J'Ai Encore Rêvé De Toi
Jai encore rêvé de toi, cette nuit. Le genre de rêve dont je me réveille humide, la respiration saccadée, et surtout frustrée de ne pas tavoir à mes côtés. De ne pas avoir ton corps chaud contre lequel me coller, pour te chuchoter à loreille ce rêve que jai fait. Je ne sais pas sil taurait plu, mais laisse moi te le raconter.
Dans ce rêve, nous étions lun et lautre allongés sur le lit. Nos lèvres étaient soudées, nos langues sentremêlaient, nos mains parcourraient doucement nos corps. Je profitais avec passion de ton torse nu et de la sensation de ta queue que je sentais grossir à travers le pantalon que tu portais encore. Puis ma bouche a doucement glissé dans ton cou, remontant jusquà ton oreille.
- Ce soir, jai une surprise pour toi.
- Oh jai hâte de voir ça
Je me suis redressée, et suis sortie du lit. Je tai pris par la main, et tai entraîné sur une chaise que javais posée dans un coin. Je ty ai installé et ty ai attaché.
Je te regardais, avec un mélange de tendresse, de désir et de défi. Je passai doucement ma main dans tes cheveux et le long de ton visage, avant de tembrasser sur la joue en te demandant dêtre bien sage le temps que je revienne.
Je suis sortie de la chambre, pour passer un appel. Cette soirée était prévue depuis plusieurs jours, jen avais planifié les moindres détails. Jétais cependant un peu nerveuse au moment de passer à laction. Plus que quelques minutes à attendre, et ma surprise arriverait. Juste le temps de me changer, au fond. Jenfilai des sous-vêtements neufs, un petit ensemble que javais choisi avec amour la veille, tout à fait dans le style de ce qui te plaît. Par dessus, je remis mon jean et un chemisier. Je mobservais dans le miroir, attendant impatiemment quon sonne à la porte. Je tentendais râler à mi-voix dans la chambre, ce qui me fit sourire.
Le moment tant attendu arriva. Je pris une grande inspiration et ouvris la porte. Jadressai un grand sourire à cette jeune femme qui se tenait sur le seuil.
Je la fis entrer, et posai mes lèvres sur les siennes pour laccueillir.
- Tu es superbe, je nen attendais pas tant.
- Je voulais faire un effort pour loccasion.
Je lui souris encore, et la pris par la main pour la mener à la chambre.
Là, je contemplais ton air incrédule, la surprise se peignant sur ton visage, ta bouche souvrant légèrement, tes yeux sarrondissant.
Je te désignais du menton :
- Je te présente mon copain, je suis sûre quil est ravi que tu sois là.
Je te lançai un regard de triomphe, et je la pris dans mes bras pour lembrasser. Mes mains posées sur ses hanches ne tardèrent pas à passer sous son haut, caressant avec ferveur la peau nue de son dos. Lune descendait doucement vers ses fesses, que je tâtais à travers sa jupe, lautre était posée entre ses omoplates, la tirant toujours plus vers moi. Elle nétait pas en reste, ayant déjà commencé à déboutonner mon chemisier pour enfouir ses bras entre les pans, me faisant frissonner au contact de ses mains froides sur ma peau.
Je fis glisser son haut par dessus sa tête, révélant un soutient-gorge lacé qui mettait parfaitement sa poitrine en valeur. Elle était magnifique. Je la regardais avec envie, et je lisais dans ses yeux autant de désir.
Nous en avions quasiment oublié ta présente, à toi, attaché sur cette chaise, impuissant devant ce spectacle.
Elle me retira mon chemisier, et commença à sattaquer à mon jean, ouvrant délicatement les boutons. Il glissa rapidement le long de mes jambes, et je me jetai sur le lit, exhibant fièrement mes sous-vêtements neufs. Elle se glissa contre moi, ses mains de chaque côté de mes épaules, et membrassa à nouveau. Je passais doucement mes doigts le long de son soutient-gorge. Il était tellement beau et lui allait si bien que je navais pas envie de lui enlever tout de suite. Et surtout, il fallait quon soccupe un peu de toi. Je levai la tête pour te regarder. Tu nous observais, et je savais que tu nattendais que de pouvoir participer. Mais tu te doutes bien que ce nétait pas encore au programme.
Je lui retirai sa jupe, dévoilant le string assortit à son haut. Nous étions toutes les deux en sous vêtements, nous embrassant avec passion sur ce lit, devant toi.
- Regarde le, dis-je. Il va falloir aller lui tenir compagnie, il va finir par se sentir seul, sinon.
Je la pris par la main, et lassis sur tes genoux. Elle était face à moi, le dos collé contre ton buste. Tes mains attachées rêvaient de se poser sur son corps, et tu tentais tant bien que mal de lembrasser dans le cou, même si je la tenais au maximum hors de ta portée.
Je continuais à lembrasser, ma bouche courant de ses lèvres à son cou, descendant de plus en plus vers sa poitrine, que je finis par embrasser goulûment à travers le soutient-gorge. Je glissai alors mes mains dans son dos, pour défaire les lacets. Elle était désormais vêtue uniquement de son string, et je contemplais cette poitrine que tu ne pouvais pas voir. Je décidai den rajouter un tout petit peu. Japprochai ma bouche de son oreille, et après avoir embrassé son cou, je te regardai dans les yeux, ton visage à quelques centimètres du mien.
- Tu as vraiment une poitrine magnifique, lui chuchotai-je. Il doit être tellement jaloux de ne pas la voir
Ta réaction ne se fit pas attendre, et je pu voir se dessiner sur tes lèvres une insulte à mon égard, qui traduisait sans peine toute la frustration que tu ressentais à ce moment là.
Je détachai mon regard du tien, pour placer mon visage devant cette poitrine qui me faisait tant envie, et je commençai à la déguster doucement. Suçant les tétons, les caressant, les pinçant
Cela dura de longues minutes pendant lesquelles elle soupirait daise sur tes genoux.
Je glissai ensuite ma langue le long de son ventre, mes mains caressant ses cuisses avec douceur, avant de tirer lentement sur le string.
Elle était nue sur tes genoux, ma tête entre ses cuisses, ma langue fouillant son intimité trempée, ses mains enfouies dans mes cheveux.
À cet instant où je suçais doucement son clitoris, jimaginais ta queue tendue contre ses fesses, ton envie de te détacher pour profiter de ces deux femmes affairées sur ton corps.
Elle commença à gémir doucement sous mes caresses, et je sentais sa mouille dégouliner le long de mon menton. Elle sabandonna contre toi, et tu posas ta tête sur son épaule, profitant de la vue de sa poitrine, de ma tête fourrée dans son entre-jambe. Tu commenças à déposer de petits baisers sur son épaule, dans son cou, avant de jouer à la mordiller gentiment. Ce traitement semblait beaucoup lui plaire, et elle se tourna vers toi pour tembrasser.
Tu fus surpris par son geste, mais lui rendis un baiser enflammé, qui ne fit quaugmenter ta frustration de ne pas pouvoir bouger.
Elle se détacha soudain de ta bouche pour annoncer sa jouissance, et elle plaqua ses mains dans mes cheveux, me tenant fermement à mon poste. Je redoublai dardeur tandis quelle gémissait son plaisir.
Lorsquelle fini par relâcher ma tête quelle maintenait contre elle, je léchai délicatement le haut de ses cuisses. Le bas de mon visage était dégoulinant, et je remontai contre elle, pour te demander :
- Tu veux goûter ?
Tu me jetas un regard amusé, avant de me répondre :
- Tortionnaire.
Tu tendis malgré tout le cou afin de lécher mon menton, te délectant de cette femme que tu navais pas pu toucher.
Elle, toujours entre nous, me repoussa doucement, pour se relever.
- Comme prévu, dit-elle en me faisant un clin dil, je vous laisse finir entre vous.
Tu me regarda, indigné, et lui dis :
- Quoi ? Mais non, reste !
Elle se retourna pour te sourire, puis tembrassa encore.
- Une autre fois, je dois y aller, là. Amusez vous bien tous les deux.
Elle se leva, cherchant du regard ses vêtements éparpillés dans la pièce. Elle prit tout son temps pour se rhabiller, et je la raccompagnai à la porte. Elle membrassa une nouvelle fois, me disant quelle repasserait si nous le voulions bien, et que la prochaine fois il faudrait songer à te détacher, quand même.
Je te rejoignis, le sourire aux lèvres. Je passai derrière toi, posai ma tête sur ton épaule, et commençai à tembrasser doucement dans le cou. Tu tournas la tête, tes lèvres cherchant, puis trouvant, les miennes. Pendant ce baiser, je défis les liens qui te maintenaient cloué sur cette chaise. Dès que tu te sentis libre, tu te levas et te jetas sur moi, me plaquant contre le mur. Ta bouche quitta rapidement les lèvres pour senfouir dans mon cou et sur ma poitrine.
Je pense que tu pourras sans mal imaginer la suite, et si ce nest pas le cas, je te la raconterais plus tard, tu ten doutes.
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