La Découverte De Florence 6/9
Florence
Depuis deux ans, nous vivons notre vie, souvent avec la participation de Jacques et
Florence, qui sont tous les deux nos amants ; aussi bien en hétéro quen tant que couple
entièrement bi ; nous faisons lamour aussi bien avec elle quavec lui et ce depuis la
soirée où florence a avoué à son homme, ses envies et ses fantasmes, après sêtre fait
prendre dabord par un inconnu pour eux, puis ensuite en double devant son lui ,par Marc
et par moi. Le lendemain matin, alors que je faisais lamour ma femme, il est arrivé et
nini lui a demandé de me sodomiser, ce quil a fait vigoureusement. Depuis ce jour, nous
avons de très fréquents rapports étant voisins et il faut le reconnaitre amoureux les uns
des autres. Avec cependant la précaution que rien ne soit perceptible par nos s,
que nous recevions indistinctement les uns chez les autres. Nicole avait un fils, moi
deux filles , Jacques un garçon et une fille, s dun premier mariage et florence,
deux garçons, eux aussi issu de son premier mari ; tout ce monde ayant sa propre famille
depuis de nombreuses années. Pour notre intimité, le portail était toujours fermé, ce qui
évitait les entrées imprévues, mais il y a toujours des imprévus.
Nous avions décidé de passer le week-end ensembles, ce qui signifie que très souvent
nous vivions nus, prenant notre plaisir, sans tenir compte du temps ; Florence étant
partie faire des courses, Nini a pris sa douche, vite rejointe par nous deux ; elle ne
sait pas résister à deux bites bien bandées, et rapidement nous nous sommes retrouvés
dans la chambre, la prenant à tour de rôle, pour son plus grand plaisir ; pour finir par
une double vaginale, ce quelle aime par-dessus tout ; rapidement ses cris se sont
répandus dans la chambre et sans aucun doute dans la maison, les portes nétant pas
fermées et ses jouissance très expréssives .
Alors que nous venions de la faire jouir plusieurs fois, nous avons découvert la belle-
fille de jacques dans lencadrement de la porte nous découvrant ainsi en bonne séance de
baise ; javais bien entendu une voiture, mais pensant au retour de florence, je ne
métais pas inquiété ; en réalité, florence avait oublié de fermer le portail en partant
et Béatrice avait ainsi pu rentrer sans quon lentende ; par contre elle en entendant le
bruit à létage, était montée directement. Nous surprenant dans nos ébats, qui on sen
doute se sont vite arrêtées, nini se réfugiant dans la salle de bain et moi descendant
pour prévenir florence à son retour.
Peu de temps après le père et la belle-fille sont descendus, sans à priori de tension
entre eux ; pour nous, difficile, mais cest elle qui a rapidement détendue latmosphère
:
« je connais Jacques, pour ses nombreuses fredaines, tout au long de sa vie et quand jai
vu votre complicité au cours de ses dernières années, il ma paru évident que vous étiez
des libertins, dautant plus que parfois vous vous laissiez aller à des gestes furtifs,
le plus souvent dans la piscine ; alors que nous en avions discuté avec Bruno ( son
mari), celui-ci mavait avoué que Florence ne lui déplairait pas, pas plus dailleurs que
son amie, et il mavait fait dire, sans beaucoup de difficulté que lattrait des deux
hommes ne me laissait pas indifférente . Mais de là à vous surprendre, cétait un pur
fantasme, qui se réalise aujourdhui »
Après ce discours, on ne peut plus franc, tout le monde reste silencieux, assis soit sur
les fauteuils comme Jacques, Béatrice et moi, soit sur le canapé, recevant Nini et
Florence. Finalement cest moi qui provoque Béatrice, alors que florence, silencieuse et
tendue, se réfugie dans les bras de Nicole.
« Si je comprends bien, vous aussi vous êtes libertins, ou du moins vos avez envie de le
devenir «
« Non nous ne le sommes pas, mais javoue en vous voyant que cela me donne envie et je
suis sûr quil en serait de même pour Bruno ».
Je regarde Jacques et je vois quil comprend où je veux en venir ; dun signe de tête,
il me donne son accord ; me relevant, je mapproche delle, derrière son dos , mes mains
se placent sur le dessus de ses épaules ; à ce contact, je la sens trembler, mais je
continue et doucement je lui masse les épaules, descendant parfois à la limite de sa
poitrine ; elle ne bronche pas
« Vous aimez ? »
pas de réponse et prenant ce silence pour un non, je retire mes mains ; elle réagit
aussitôt :
« non continuez sil vous plait » je repose mes mains sur elle ; il est visible que cela
excite Jacques car son survêtement quil a enfilé rapidement se tend au niveau de sa
queue.
« Vous avez envie que je continue ? »
Un petit oui fuse entre ses lèvres ; elle a incliné sa tête en arrière, les yeux fermés
et jen profite pour descendre mes mains jusquà sa poitrine, dégrafant les boutons de
son corsage ; sa respiration sest accélérée, la bouche entrouverte ; doucement je me
penche et dépose un baiser sur ses lèvres ; elle ne se rebiffe pas. Ma langue force un
peu le passage pour un baiser plus fougueux, baiser quelle me rend aussitôt. Repassant
devant elle, je lui ôte son corsage, laissant découvrir un joli soutien-gorge, bien
gonflé et tendu par des pointes qui jaillissent sous le fin voile ; écartant le rebord,
je dégage son téton pour le sucer ; au contact de mes lèvres, elle agrippe ma tête et un
oh oui sort de ses lèvres. Son acceptation pour la suite étant évidente, je la
redresse et devant Jacques et les deux filles, je la déshabille ; la jupe tombe au sol,
découvrant un tanga, déjà enserré entre ses petites lèvres, puis provoquant, je lui
ordonne de quitter son soutien-gorge et son tanga ; derrière moi, les événements se
précipitent car devant le tableau, les deux femmes sembrassent alors que Jacques, tout
en nous regardant, sest rapproché des deux femmes et a investi plusieurs doigts dans la
chatte de Nicole ;
Après un regard perdu vers eux, mais devant ma détermination, elle sexécute et découvre
deux superbes seins, les pointes gonflées et un petit ventre tout nu, laissant apparaitre
le début de son minou, doù il est facile de voir perler quelques gouttes de cyprine.
écartant les jambes, ma main sempare de son ventre et deux doigts sinfiltrent entre les
lèvres. Lorsque je commence à la doigter, elle se cambre, enfonçant encore plus mes
doigts qui la fouillent ; ses gémissements accompagnent ceux des deux filles, couchées en
69 sur la moquette, alors que Jacques la queue bandée, fiste doucement Nicole ;
Je marrête soudainement, provoquant un vide dans la chatte baveuse et elle réagit
aussitôt
« oh non encore sil te plait » me penchant à son oreille :
« tu aimerais que ce soit Jacques qui le fasse ? »
« Je ten prie fais-moi jouir, mon ventre me brule »
« tu ne mas pas répondu, tu veux que jacques vienne à ma place ? »
mes dernières paroles sont assez fortes et tout le monde a pu les entendre ; lui sest
arrêté de fister Nicole ; la queue bandée, il me regarde un peu surpris , mais quand sa
belle- fille me répond
« oh oui, depuis longtemps jai envie de lui «
il sécarte des filles et vient auprès de nous ; pour lui lenvie est trop forte et
lallongeant sur le canapé, il la perfore , dune traite ; sa queue la penetre
facilement tellement la chatte baigne dans sa cyprine ; quand la queue la perfore, un cri
séchappe de sa gorge, comme une délivrance et saccrochant à ses hanches , elle
senfonce un peu plus .Laccouplement est furieux, tous les deux sans aucun doute excités
par cet acte irréel. Nous ne comptons plus pour eux mais les gémissements et ses demandes
nous excitent particulièrement.
Alors que je fourrage intensément la chatte de florence, encore sous lémotion de voir
son homme baiser sa belle- fille, Nicole sapproche du couple et ses lèvres viennent se
poser sur celle de Béatrice ; surprise au départ, elle ne se retire pas, bien au
contraire, sa langue répond en pénétrant la bouche offerte. Jacques a compris lenvie de
Nicole , et se retirant du con de sa belle-fille, il létend sur la moquette , avant à
nouveau de lui enfiler son chibre sans ménagement , lui relevant les cuisses sur ses
épaules ; écartelée, elle subit les a coups, alors que Nicole vient placer sa chatte
quelle branle, au-dessus du visage de Bea ; descendant son bassin, elle dépose son minou
sur le visage ; très vite, elle gémit, Bea doit bien lui sucer la moule , car son visage
est couvert de cyprine, signe de la jouissance de sa coquine au-dessus delle ; à coté
deux, florence soffre avec beaucoup plus dardeur, répondant à mes coups de butoir par
de nombreux et puissants gémissements ; ses yeux ne quittent pas le trio à coté de nous
et soudain , elle part, une jouissance fulgurante la traverse , son corps parcouru de
soubresauts sempale encore plus sur moi, puis un long cri ; de puissants jets de
cyprine viennent jaillir autour de mon sexe.
remplissent la matrice, ce quelle accompagne par
« oh oui, remplit moi, je suis à toi oouiiiiiii ». puis plus rien ; elle vient de
perdre motion de son entourage.
Notre trio, lui aussi vient de jouir et Jacques sauvagement pilonne Beatrice après
lavoir engrossé, alors que le visage de Nicole traduit son plaisir, visible sur le
visage de Béa qui vient de laper son émission importante de cyprine ; après un moment de
calme, Jacques prend sa belle-fille par la main et monte dans la chambre damis ; le
sperme qui sécoule le long de ses cuisses prouvent sil était nécessaire que les jets de
son beau- père lont bien fécondée.
Nous nous retrouvons tous les trois, plein de satisfaction ; finalement, cest Florence
qui prend la parole et nous traduit son étonnement de voir ce rapport hors normes dit-
elle, bien que finalement elle y ait pris du plaisir à les voir ; et assure -t -elle,
aucun sentiment de jalousie, sans doute en raison de nos relations. Puis après un petit
silence sans doute pour analyser la situation, enlacée dans les bras de Nicole, elle lui
demande : et toi, cela ne ta pas choquée ? laurais-tu fait avec ton fils, si loccasion
sétait présentée comme aujourdhui ? » Nous nous regardant, puis lembrasant
sensuellement elle lui répond :
« Je tai déjà avoué que jai été la maitresse du fils de Jean, pendant plusieurs mois
et de plus, cela fait presquun an que Florian me possède à chaque fois que nous nous
rencontrons ; jai aussi fait lamour avec Lindsay et Jean les a possédés tous les deux.
pour être totalement honnête, nous avons fait une journée chez nos amis où nous avons
partouzé à trois couples, sans aucune limite. Et comme ici, je me suis fait féconder
plusieurs fois par Florian, pour mon plus grand bonheur et celui de Jean »
Florence reste un moment silencieuse, blottie dans ses bras, surprise sans aucun doute,
puis avoue quelle aurait beaucoup de mal à le faire avec son fils, bien que souvent dans
leur piscine, elle avait pu , étant naturiste, apprécier le sexe de son fils, lors de ses
bains ; elle semble réveuse. Puis à nouveau elle nous confie que par contre, elle ne voit
pas dinconvénient à soffrir à son gendre, et même à sa belle-fille ; là-haut , nos deux
amants ont repris le combat, et manifestement pour leur plus grand bonheur ; déposant un
baiser sur les lèvres de Florence, » je pense quil est temps pour toi de les rejoindre
,profite sen ; à plus tard »
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