Mariage Kabyle (1)
Découverte de la Kabylie
Pendant un peu plus dun an, jai été en couple avec un Kabyle, Ilyas, homme magnifique, hyper velu, super bien membré et chaud comme de la braise, comme la plupart des Kabyles, dailleurs, il nen avait jamais assez. Il suffisait que je leffleure, pour quil bande comme un âne et me culbute dans tous les coins, et ce, plusieurs fois par jour. Son appétit sexuel était gargantuesque, et même si jadore ça, javais quelquefois du mal à lassumer
Ilyas était beaucoup, beaucoup plus jeune que moi, et cette forte différence dâge na jamais été un problème pour nous, nous semblions vraiment fous lun de lautre. Sauf que
. Sauf que
La culture, le poids des non-dits ont eu raison de notre couple et quand sa « soi-disant » meilleure amie, qui avait compris nos liens sest bien rapprochée de lui, dabord très amicalement et ensuite pour le « moralement correct », elle a réussi à le ramener dans le « droit chemin » et nous faire voler en éclat.
Ilyas ma mis brutalement dehors un soir de dispute, en me disant quil était fou amoureux de moi, mais que ce nétait plus possible entre nous
. Merci Célia
Je ne sais pas si il est toujours avec elle, je ne sais pas si il est heureux, mais cest SON problème et ce nest pas le sujet de ce récit.
Pendant notre vie commune, jai pu rencontrer quelques-uns de ses amis Kabyles, dont Réda, que jadorais, un peu comme un neveu et qui mappelle toujours Tonton dailleurs. Cette affection était sincère, réciproque, et même si du fait de ces fameux « non-dits » kabyles nous navions jamais évoqué laspect sexuel de notre relation avec Ilyas, il la connaissait parfaitement, ainsi que mes goûts vers les hommes hyper velus et super bien montés.
Il me parlait quelquefois de son oncle au bled, en manière de plaisanterie, Omar, velu comme un singe, avec des poils qui lui sortaient de partout, hyper bien équipé daprès ce quil avait pu voir au Hammam quelquefois, et toujours célibataire, peu courant dans leur région.
Quelques semaines après cette rupture plus que douloureuse avec Ilyas, Réda, mon neveu dadoption, mannonce quil va se rendre en Algérie, pour assister au double mariage de son frère et de sa sur, les deux fêtes étaient célébrées en même temps, pour réunir toute la famille un peu dispersée, en Algérie, en France et ailleurs, ce qui représentait quand même plusieurs centaines de personnes.
Alors que nous étions attablés à la terrasse dun café parisien, partageant une bière, Réda ma proposé de laccompagner, de venir avec lui pour me faire découvrir ce quétait quune vraie fête familiale Kabyle.
« Viens avec moi, tu verras, tu vas trop aimer. »
« Mais je ne suis pas de ta famille, et elle ne me connait pas. »
« Oh que oui elle te connait
Ils savent tous ce que tu fais pour moi, comme un vrai Tonton
Viens avec moi, Marc, mon Tonton
!!! »
« Mais il faut des formalités pour ça
Un Visa, et je vais aller où ? »
« Tinquiète pas pour ça Tonton, et si tu es daccord, je moccupe de tout »
Ainsi fut dit, et ainsi fut fait. Un mois après, je prenais lavion avec Réda pour Alger où ses frères étaient venus nous attendre. Je métais déjà rendu en Algérie 2 ans auparavant pour des raisons professionnelles, séjour sans aucun problème, et de ce fait, lobtention de ce nouveau visa a été hyper simple.
A la sortie de laéroport Houari Boumediene, une sorte de 4/4 nous attendait, et le frère de Réda, Medhi ma soulevé dans ses bras puissants.
« Enfin, on connait Tonton
Bienvenue parmi nous »
Là, je me suis rendu compte que Réda avait parlé de moi à toute sa famille, que jétais le « Tonton » de tous, avec une franche affection et que chacun voulait me remercier, à sa manière, de toute lattention que je portais à Réda, comme un vrai Oncle Kabyle.
Le trajet a été assez long, leur village ancestral était un peu perdu dans les montagnes, mais il représentait pour eux leur lien, leur sang, leur origine et chacune de leurs fêtes sy déroulaient avec ceux qui lhabitaient encore.
Une fois arrivés jai été entouré de mille gentillesses de toute cette famille vraiment merveilleuse, et après le thé servi, Réda a commencé à aborder le problème dintendance. Le village était rempli, et il fallait que je me loge.
« Omar vit tout seul dans une maison un peu à lécart, mais pas très loin quand même, ça ne te gêne pas de loger chez lui ? »
« Non, bien sur Réda, fais ce qui vous arrange, je suis tellement content dêtre avec vous tous »
« Bien Tonton
Il va bientôt arriver »
Je navais pas bien percuté que Omar était le « grand singe poilu célibataire » dont il mavait parlé, quand je lai vu apparaitre devant moi.
Mec immense, à vue de nez, 1.95, très mince mais costaud, et dont les poils, effectivement, ressortaient de partout. Il dégageait, autour de lui, cet arôme si fort de mâle arabe brun, hyper chargé en testostérone, en phéromones qui emplissait mes narines au fur et à mesure quil avançait vers moi
Le Mâle
Le Vrai
!!!
Réda, me connaissant bien, ma fait un clin dil :
« Tu dois avoir envie de te reposer un peu Tonton après ce voyage, non ? »
« Oui, cest vrai, javoue. »
« Si tu veux, Omar va te conduire chez lui, il a préparé une chambre pour toi. »
« Je veux bien Réda. »
« On se revoit ce soir ? »
Et jai suivi ce monstre de virilité, humant toutes ses fragrances de mâle en cheminant à ses côtés. Javais certes envie de le rejoindre chez lui, mais pas ment pour my reposer
Mais Impensable, non ?
« Jai pas encore eu le temps de préparer ta chambre, mais si tu veux, tu peux te reposer dans la mienne en attendant. »
« Pas de problème Omar, et merci pour ton accueil, jespère ne pas trop te déranger. »
« Cest un plaisir et un honneur pour moi de te recevoir chez moi. »
Sans quil sen rende bien compte, et par réflexe fréquent chez les arabes, il avait porté sa main sur son entrejambe, laissant se développer une protubérance inimaginable, dépassant de loin celle dIlyas, pourtant déjà particulièrement bien doté de ce côté.
Le séjour allait me sembler très long à côté de ce monstre de virilité qui me semblait, intouchable. Surtout que depuis ma rupture avec Ilyas, aucun membre viril navait perforé mes orifices et le manque commençait à se faire cruellement sentir, cette envie décarter les cuisses pour me faire défoncer puissamment.
Réda savait parfaitement ce quil faisait en me logeant chez Omar, surtout que son célibat confirmait tout ce que la famille pensait, à savoir, quil aimait les hommes, mais bien sûr, personne nen parlait
Les fameux « Non-Dits ». Sauf que lors de son dernier séjour, Réda lui avait raconté, sous le sceau de la confidence, mon histoire avec Ilyas quOmar connaissait pour lavoir vaguement aperçu au bled.
Au bout dune heure environ de repos, il est venu me rejoindre dans sa chambre, verre de thé à la main, revêtu dun simple marcel et dun short desquels émergeait sa foret, même une touffe hyper drue à la naissance de son pubis.
« Tiens, prends ça
Ça va te faire du bien et te détendre. »
« Merci Omar, cest trop gentil »
« Tu es remis de tes embrouilles avec Ilyas ? »
« Oui, ça va
»
Cest là que je me suis rendu compte que Réda lui avait parlé, quil savait pour moi, et que cela avait lair de lui convenir parfaitement. Je lai scruté avec un peu plus de détails, en apercevant cet énorme morceau sur le côté de son short ample. A vue de nez, au moins 15 cm au repos, hyper large et reposant sur des couilles velues, dont la taille était tout aussi conséquente.
Il ma pris dans ses bras, me serrant contre lui, mon torse nu collé à sa poitrine velue, et ma main, par réflexe, sest posée sur sa cuisse, noire de poils.
« Allez, ne tinquiète pas, oublie tout ça
Tu es là pour faire la fête et je vais bien moccuper de toi. »
Ce geste aurait pu paraître simplement amical, sil navait pas posé ses lèvres sur mon cou et sa main sur mes fesses, les empoignant et les caressant du bas du dos jusquà la naissance de mes cuisses, en cherchant à les écarter.
Enfin, je me retrouvais dans les bras dun homme, dun monstre de virilité, doté dun sexe que je navais vu que dans des films pornos aux titres aguicheurs de XXL, voire XXXL et dont jétais très friand.
Je savais que ma chatte était hyper souple au vu des nombreux assauts dont mabreuvait Ilias, mais ça
Je ne lavais jamais imaginé, même dans mes fantasmes les plus fous. Nus en quelques secondes, il sest allongé sur moi, moi, en position de femelle soumise, sur le dos jambes écartées, offerte au mâle, son immense chair virile dans toute sa splendeur, incrustée sur mon ventre jusquà atteindre la naissance de mes seins. Nos mains couraient partout, à la découverte de nos corps, affamé de ce besoin qui nous avait tant manqué lun et lautre, sa langue sur ma corolle destinée au plaisir des hommes, la lubrifiant au maximum pour permettre un accouplement hors normes, et cest après avoir copieusement enduit son pal de vaseline, que son gland sest approché de ma fente, la fouillant dabord, la pénétrant ensuite dun grand coup de reins pour commencer à sintroduire en moi.
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