Nuit Torride À L'Hôtel ( Une Histoire D'Hommes 2 )
Nuit torride à l'hôtel ( Une histoire d'hommes 2 )
David se lève et va récupérer une autre capote dans la poche de son pantalon qu'il a laissé au sol dans l'entrée de la chambre d'hôtel.
Pour la première fois, avec le faisceau de lumière que j'ai dirigé vers le plafond, je le vois nu, debout, dans toute sa splendeur, tel un gladiateur de l'antiquité.
Il est magnifique, imposant, large, costaud, hyper balèze, d'une beauté brute et sans artifice, velu comme j'aime, un ventre bombé et ferme
l'équilibre est là, des bras imposants, des cuisses massives poilues elles aussi
humm. Et que dire du sexe
Il me voie en admiration à regarder son mât, un gros tuteur fièrement dressé et se réjouit de ma curiosité.
" Tu veux le toucher, Bébé.
Je m'assoie sur le bord du lit et David est là, devant moi, debout, à me présenter son sexe tendu de désir pour moi. Comment a-t-il pu me prendre avec un gourdin pareil. Je comprend maintenant pourquoi ma rondelle a souffert pour finalement abandonner devant un tel gabarit.
David me relève, me prend dans ses bras puissants, son énorme braquemart vient buter contre moi.
" Laurent
Si tu savais comme j'ai envie de toi. Ma grosse bite, elle est pour toi, Bébé."
Je ne sais pas quoi dire tellement il me transmet son envie et que sa demande d'amour est forte. Je ne suis même pas inquiet par son gros manche à prendre.
" Bébé, t'as vu, je suis très doux. Je ne veux pas que tu aies peur de moi.
" Doudou, prends moi encore, je sais que tu as envie
moi aussi, j'ai envie de toi.
" Bébé
. tu me rends fou.
Nous basculons sur le lit. Il me laisse caresser son énorme phallus dur comme de l'acier et masser ses couilles poilues. Sa large main s'empare de mes bijoux de famille et me rend la politesse pendant que nos visages se frôlent et forment un ballet érotique des plus sensuel. L'harmonie est parfaite et la volupté installée.
Je brûle d'impatience qu'il vienne m'imposer son membre viril au fin fond de mon anatomie. Il me sent prêt alors il me met sur le ventre, me masse, me caresse puis vient me couvrir.
Il jubile de me voir cambrer mon cul pour le recevoir et s'embarrasse de moins de précautions. Il remet néanmoins du gel et prend soin de moi. Il sait qu'il est bien équipé et tient à ce que notre accouplement soit agréable. Son énorme piston glisse sans façon entre mes fesses en demande, vient se caler sur mon illet humide pendant qu'il montre sa satisfaction en me léchant les oreilles, en me distillant des mots d'amour et de sexe avec sa voix si virile, si profonde et qui me rend dingue.
D'un coup de reins, il m'ouvre, me fore et se réjouis de mes gémissements qui lui confirme ma satisfaction d'être ainsi possédé.
" Tu aimes, Bébé ?
pendant que mes "Heiiiinnn" sont pour lui les plus doux des remerciements et l'incitent à continuer.
Il m'encule avec toute la délicatesse que je lui connais. Il sait qu'il est superbement monté et que c'est déjà passé mais y met toute son attention pour ne pas me faire mal.
" Bébé, je veux que tu n'aies que du plaisir avec moi. C'est trop bon, mon chéri.
L'enculage est somptueux, le rêve absolu tant j'y prend du plaisir et qu'il s'en rend compte. La grosse tige emboitée, je le laisse disposer de mon corps et cambre mon cul pour lui montrer tout mon désir. Il me distribue alors ses coups de bites à volonté et sans contrainte tellement mon cul est maintenant ouvert.
Tantôt il se donne à fond dans la tendresse, tantôt dans la hargne pour me faire gémir sous ses coups de butoirs ou me faire délirer sous ses étreintes amoureuses
Il prend son temps, trop heureux de pouvoir faire durer cette saillie virile et tendre à la fois
pour finir comme une bête et décharger dans mon cul dans un râle libérateur.
Satisfait, heureux, David me maintient sous lui, continue de me serrer, comme s'il voulait prolonger ce moment. Il attend que sa queue reprenne une dimension plus raisonnable et se déboite de mon cul naturellement. Pendant ce temps, il ronronne, me lèche le cou et les oreilles. Je me sens bien sous ce mec balèze qui prend soin de moi et qui, après avoir déchargé, continue sa tendresse. Malgré son poids conséquent, il ne m'écrase pas
et sa queue encore dure qui me rempli
mais quel bonheur.
" Laurent, j'ai un problème. J'avais que deux capotes. J'avais pas prévu de tomber ce soir sur l'homme de ma vie. Et j'ai trop envie de t'en donner une autre tournée cette nuit et demain matin.
Nous rions, parce que nous sommes heureux ensemble et parce ce que sa réflexion, sans qu'il s'en rende compte, montre qu'il voudrait qu'il y ait sans doute autre chose après cette partie de cul.
" David, on va trouver une solution. Moi aussi, j'ai envie de toi.
" Bisous mon cur.
Et nous basculons l'un contre l'autre pour un moment à nous câliner. Il se régale de ma joie à frotter son tapis de crins et prend ma main pour participer à mon bonheur et me bécote, me lèche, me salive
une baise d'hommes. La braise est chaude, pas du tout prête à se refroidir.
Après cette arrivée torride dans la chambre d'hôtel, après s'être vidé les couilles et s'être repu de douceurs masculines, nous allons dans la salle de bains. La proximité de David nu près de moi, la vue de son corps massif et poilu me font déjà rebander. Le gaillard fait quand même 1.85m pour 98 kilos pleins de muscles fermes. Je suis surpris d'être autant plein de sève. J'ai le cul distendu et je suis zen, heureux, en total bien être avec ce mec.
Ce n'est pas le pur sang de l'écurie pour le tiercé mais plutôt le magnifique percheron bien solide.
David, les couilles pendantes, le sexe lourd, le gland gonflé et magnifiquement encapuchonné, bave de désir de me toucher, envieux de mon corps lisse et profite du moment. Je passe le premier sous la douche. Libéré du complexe de ses poils, de son physique qui ne m'a pas rebuté, il vient me rejoindre, me savonne, me frotte, me colle la tête dans ses poils mouillés, m'excite, me rend dingue. Il est libéré, on l'aime tel qu'il est.
Ses gros doigts fouillent mon anus qu'il a explosé et il s'excite d'avoir réussi à avoir mis sa grosse bite là dedans puis il s'offre à moi, joyeux, heureux d'être désiré. Son cul est, lui aussi, touffu de poils et mon doigt me dit qu'il n'est pas accessible pour une bite. Il rit de ce contrôle sans m'en tenir rigueur et vient soulever un bras et m'offrir son aisselle fortement garnies.
Pendant que je lèche cette superbe offrande, sa main empoigne doucement mon sexe, malaxe mes bonbons, comme si tout cela était naturel, sans tabou entre nous.
L'étroitesse de la douche ajouté à de l'eau froide qui vient nous calmer et nous reprenons nos esprits. Je n'ai pas oublié le problème de capote de mon Doudou et je me propose d'aller en demander à la réception.
David s'essuie et file se coucher pendant que je m'habille pour aller en quête de préservatifs.
" Je chauffe le lit en t'attendant, Bébé.
" Je reviens tout de suite, mon beau David.
Ses yeux pétillent. Il est heureux, ému, amoureux. Il sait que moi aussi, j'ai chaviré sous ses étreintes.
A la réception, c'est un peu confus que je demande des capotes. La gêne est évidente mais je tombe sur une personne compréhensive et décontractée. C'est un homme qui revient à ce moment là à l'hôtel qui me sauve la mise et qui accepte de m'en donner, plutôt de m'en vendre et à bon prix ( le business n'a pas d'heure) tout en se proposant de venir "sauter" ma copine.
De retour dans la chambre, David dort, d'un sommeil profond. Je le connais à peine, je ne sais rien de lui, son prénom oui, mais à part ça, rien. Je pourrais partir, le laisser là, il ne sait rien de moi non plus
mais non, je vais me coucher à côté de lui. Un irrésistible aimant en lui m'attire.
Je le regarde, vulnérable, massif, velu, poilu, d'une virilité brute, qui respire fort, ronfle presque, le visage sévère mal entretenu et abimé mais je sais aussi qu'il est d'une douceur extrême, attentionné, tendre, aimant.
Je n'ai pas vu le vice en lui lorsqu'il m'a baisé mais l'amour, la soif d'aimer et d'être aimé.
Il ne m'a pas traité de pute, de salope, de pédé ou autres saloperies. Je me suis senti respecté, aimé, désiré. Je n'ai pas cette sensation avec lui d'être "le coup d'un soir". Pourquoi, je ne sais pas me l'expliquer.
Et puis j'avais besoin d'amour, que l'on m'aime. Ma séparation récente a laissé des traces. Mon "ex" copain était certes beau mais la trahison, le mensonge ont tout détruit. Tout était artificiel.
David est fatigué mais je ne lui en veux pas. Je m'allonge près de lui, le plus près possible. Son corps chaud transmet sa chaleur, sa respiration me berce, je suis heureux
*****
Tôt le matin, un mouvement près de moi vient de me réveiller et, encore pris dans mon sommeil, je sens le corps tout chaud de David près de moi. Il n'ose pas me réveiller. Avec les premières lueurs du matin il me regarde et fait glisser la couette doucement pour me découvrir complètement puis il vient déposer sur ma poitrine de tendres bisous et répandre sur moi son odeur d'homme, son odeur de mâle en demande.
Il sait que sa barbe va me piquer. J'apprécie toute la délicatesse qu'il y met et me tourne pour lui faciliter la tâche, pour que son plaisir soit aussi le mien.
Mes mains vont frotter son ventre et sa poitrine pour lui rappeler que j'aime ses poils, que j'aime son ventre rond. Ce contact me fait bander immédiatement et une irrésistible envie de me faire baiser est en moi. Il sourit de mon désir qui apparait
" Laurent, je suis désolé, je me suis endormi. J'étais crevé par
" David, ce n'est pas grave. Ferme les yeux.
Et je caresse ses joues puis sa barbe dure car j'ai remarqué qu'il adorait ça.
" David, embrasse moi.
" Pas de problème, Bébé.
Et il bascule toute la masse de son corps contre moi, tout chaud, ivre de bonheur, ronronne, roucoule des mots doux dans mes oreilles, me fait sentir toute sa virilité, sa puissance, sa douceur.
Son braquemart humide et raide entre mes jambes me rappelle la virilité imposante de mon amant et il en rit tant il sait qu'il va s'imposer en moi et me faire découvrir l'extase.
Nous naviguons dans le lit au gré de nos ébats, sans repère. Tout n'est que volupté, tendresse, érotisme. Je suis à lui, le corps offert. C'est lui le mâle qui se prépare, qui me prépare. Nous jouons nos préliminaires, consentants, libres, éperdument amoureux.
Je me donne à ce mâle qui me plait tant, caresse son corps, lèche sa peau, boit sa salive, ondule pendant qu'il me couvre d'amour et me fait sentir sa virilité triomphante.
Nos yeux se noient dans le même bonheur, ses bras m'enveloppent, nos soufflent se mêlent.
Mon cul brûlant de désir s'offre à ses doigts. Je n'en peux plus, je le veux en moi.
" Doudou, prends moi maintenant.
" Tu as trouvé des capotes, Bébé?
" Prends moi sans, Doudou. Je veux bien.
" Bébé, je veux pas que tu prennes des risques pour moi. Je ferai un test la semaine prochaine et on fera l'amour comme des fous après. Je t'aime trop.
Il aperçoit les capotes sur la tablette du lit, en met une immédiatement et vient m'honorer sans hésitation en me regardant prendre sa grosse queue, ouvrir la bouche de satisfaction tellement il dilate ma rondelle, gémir de plaisir quand il glisse son énorme dard en moi et qu'il me l'enquille jusqu'à la garde. Il maitrise, il réfléchit, c'est lui le mâle, l'homme fort.
Puis il se penche, vient chercher un baiser, me nique à s'en coincer les couilles. Mes bras frottent sa nuque de taureau, caressent sa barbe dure.
Je suis heureux, immensément heureux, des larmes me viennent.
" Je t'ai fait mal, mon homme.
Je ne répond pas et l'attire à moi, l'embrasse de toutes mes forces sur sa joue marquée pendant qu'il essuie mes larmes avec ses gros doigts, qu'il jouit d'être en moi, me serre, me cajole, me dit qu'il m'aime, qu'il est heureux.
Il sait qu'il a gagné, que je suis à lui, que seul l'avenir peut nous séparer. Son expression "mon homme", un peu surprenante, a fini de me convaincre que je ne suis pas un coup de passage.
Ses coups de reins sont virils, somptueux et profonds et tout mon corps se cambre pour qu'il me pénètre dans toute sa puissance. Il s'arrête et me laisse onduler sous son pieu, heureux du désir qu'il me procure. Je frotte sa toison, caresse ses bras poilus et noueux de force, suce ses doigts, lèche ses mains
Il reprend ses va et vient et saisit ma queue raide, tendue tel un arc. Sa grosse main a raison de mes sens et, pendant qu'il jouit en moi, j'explose.
Ses doigts dégoulinent de foutre. Il ne s'en inquiète pas et, pris par son désir d'amour, il me regarde, fier de m'avoir fait jouir, lèche ses doigts, déguste, avale presque toute mon éjaculation et me propose les finitions.
Repu, satisfait de son devoir, il bascule sur le côté, enlève la capote remplie et nous restons ainsi, enlacés.
Il reprend ses mots doux près de mon oreille. Il a compris le pouvoir de sa voix, des vibrations qu'elle me procure et a oublié tous ses complexes physiques.
David se confie
son immense bonheur de m'avoir rencontré, sa vie, ses envies. Contre moi, il est comme un livre ouvert, confiant, heureux, plein d'espoir.
Ces confidences, la tendresse que je lui ai donné et que j'ai accepté de sa part, le respect que je lui porte, l'absence de rejet, l'ont libéré. On dirait qu'il fait sa cour, sa promotion pour être accepté bien davantage que pour une partie de cul, qu'il veut élargir la base et solidifier notre rencontre, c'est trop plaisant à entendre. Bien sûr qu'il sait que sa queue épaisse est un atout mais il vise plus que ça, bien plus qu'un coup de queue. Il sait que si j'ai passé la nuit avec lui, c'est pour lui, pour l'homme qu'il est. Sa grosse queue, c'est du bonus. Il en aurait une "normale" que je serais aussi heureux et ça, il l'a compris.
Le soleil pointe et un creux à l'estomac nous disent que le petit déjeuner serait le bienvenu. Une douche et quelques moments plus tard, nous allons descendre.
David est devenu plus viril encore, transformé, plus sûr de lui. Une autorité se dégage de lui assortie d'une grande attention pour moi.
" Tu as aimé, Bébé ?
" Oui, énormément. Et toi, David, tu as aimé ?
" Le bonheur total.
" Fais moi un bisou, David. J'adore tes baisers.
" Pas de problème, Laurent. Autant que tu veux.
Dans la salle du petit déjeuner nous croisons le mec qui m'a vendu les capotes et celui-ci se croit obligé de faire le malin. David le rembarre et l'envoie promener.
" Laurent, si tu as un problème, je te défendrai. Tu peux compter sur moi.
Sa réflexion me fait plaisir car David se projette dans la durée, dans ma protection, comme si nos chemins allaient dans la même direction.
Il a un bon appétit et, toujours très prévenant, se propose d'aller me rechercher du café, des fruits ou des croissants. Son attitude me plait car, même si je me fait baiser, je ne me voie pas faire le larbin ou m'écraser bien que pour lui j'ai l'impression que je ferais n'importe quoi.
David, soudain pensif, profitant qu'il n'y ai personne à proximité, me demande:
" Ecoutes, Laurent
j'aimerais énormément te revoir
je suppose que tu l'avais deviné.
" David, j'attendais que tu me le demande. Je t'ai laissé ce privilège. J'aurais été trop malheureux si t'avais pas eu envie de me revoir. Doudou, je voudrais te dire plein de choses.
Il se lève presque comme un ressort, les yeux pleins d'amour, manque de renverser sa tasse de café.
" Bébé, faut qu'on retourne à la chambre sinon je vais décharger dans mon froc.
Devant la porte, il me câline déjà, impatient, tendre, heureux mais prudent en public. Rentré dans la chambre, il se déchaine, pris d'une irrésistible envie de me faire plaisir, libéré de toute pudeur. Ses vêtements sont vite enlevés, comme les miens.
Plus question de peur des poils, il jubile de sa virilité, me colle le nez dans sa toison, me fait sniffer ses aisselles, lécher sa balafre, me dévore la bouche, me lèche à son tour, ne sait plus ou donner de sa langue. Il me voit, raide et ivre de désir pour lui et ses yeux se mouillent.
Nous venons de découvrir chacun notre plus beau cadeau
l'amour de l'autre.
Un tourbillon de désir nous envahit. La bite affreusement raide, il me salive le cul, me doigte et, ne tenant plus, m'introduit d'une traite son énorme phallus jusqu'aux couilles.
La tête dans l'oreiller, j'étouffe mon cri, je ne sens plus mon cul. Je suis à lui, nous ne faisons plus qu'un. Il me domine, me possède tout en me serrant dans ses bras avec amour, sans la moindre violence.
" Bébé, j'ai pas mis de capote. Je vais jouir dans toi. Je vais te remplir.
" Mon Doudou, fais toi plaisir. J'ai trop envie de toi.
Sa main vient saisir ma queue et, dans une harmonie parfaite, il me branle pendant qu'il coulisse en moi et me procure des sensations inouïes.
Il me défonce le cul, me bourine, me colle ses couilles au cul.
Il sait son pouvoir sur moi et, en me baisant, me parle au creux de l'oreille. Il sent qu'il va ouvrir les vannes et tient à ce que moi aussi, je crache en même temps que lui. Il se répand en moi, me fourre de sa semence, exténué et heureux d'avoir senti ma queue gicler.
" Oh putain, c'est trop bon, Bébé. Maintenant, tu es mon homme, j'ai marqué mon territoire.
Il sait que nos corps sont en harmonie, faits l'un pour l'autre et se pose en mâle alpha, assez curieusement, comme certain animaux.
Sa conception de l'amour l'un pour l'autre et de la fidélité, c'est sans doute cela qu'il veut exprimer, est assez binaire mais combien rassurante. Curieusement, cela ne me pose aucun problème d'être sélectionné ainsi.
Nous restons ainsi un moment, le temps que nos corps savourent. Je ne sens plus mon cul, ce qui le fait rire.
" Bébé, j'ai jamais eu autant de plaisir. C'est trop bon sans capote. T'as aimé?
" Doudou, tu fais l'amour comme un Dieu. J'avais autant envie que toi.
" Merci mon chéri.
Une bonne douche et nous nous rhabillons. Sans bagage, nous sommes prêts.
" Doudou, je voudrais te proposer quelque chose.
" Oui, vas y, Laurent.
" Tu peux venir chez moi
si tu veux
à moins que tu ne sois pas dispo
David se rapproche de moi, m'enlace tendrement, me dit tout bas à l'oreille, comme une délivrance:
" Je t'aime, Bébé. Pour toi, j'ai tout mon temps.
Debout contre moi, attentif à ma réaction, il ne bouge pas et me laisse le regarder, lui caresser son visage. Ses yeux brillent d'amour, ses mains frottent mon dos
" Moi aussi, Doudou, je t'aime.
" Je sais.
Nous restons là, pendant plusieurs minutes, comme sonnés par ce mot qui nous fait peur, incrédules d'en être arrivés là, de cette constatation.
Comment David, avec son profil de rugbyman cabossé, son air macho, son physique peu avenant au premier abord, a-t-il pu ressentir le désir que j'ai pour lui qui va bien au-delà du sexe.
Lui aussi est en quête de tendresse, de complicité, de jouissance avec un être aimé.
Nous sommes tous les deux la tête dans le cou de l'autre, à se frotter les cheveux, la nuque, les épaules, à se respirer
c'est si bon.
" On y va, David ?
" Oui, mon homme. Moi aussi, je voudrais te dire plein de choses mais on est un peu con quand ça arrive.
" Doudou, je suis heureux avec toi.
Et il profite de ce dernier instant, avant d'ouvrir la porte de la chambre, pour me donner un baiser sincère, un baiser d'homme satisfait, libre, heureux, fier, aimé, viril. Un baiser que l'on donne à quelqu'un auquel on tient énormément.
" On va chez toi, mon chéri
**********************A suivre
Merci à tous ceux qui m'ont envoyé un mail directement ou sur le site HDS. N'hésitez pas à continuer.
Prenez du plaisir, profitez de ces instants de sexe et d'amour que vous pourrez, un jour, peut être comme moi, raconter.
L'amour, le sexe, avec le respect de l'autre, la protection s'il le faut.
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