La Motarde - 8
Le lendemain matin, Anna, vêtue dun string plus que réduit et chaussée despadrilles, saffairait dans la cuisine pour préparer le café, lorsque Carole descendit. Elle était nue comme au jour de sa naissance et son clitoris turgescent dépassait des lèvres de son sexe épilé. Les pointes de ses seins lourds dardaient fièrement et elle avait la démarche languide daprès lamour.
La grande blonde sourit et sapprocha delle.
- Tu sais que tu nas pas lair innocente comme ça ?
Saisissant le clitoris bandé entre le pouce et lindex, elle le fit rouler entre ses phalanges expertes et embrassa la petite brune à pleine bouche, empaumant un sein rond de son autre main. Carole appuya ses fesses contre le bord de la table et fléchit légèrement les genoux pour écarter les cuisses et offrir son intimité à la caresse. Peu à peu, la langue dans sa bouche, la main qui froissait sa poitrine et les doigts qui la branlaient maintenant vigoureusement la firent haleter de plaisir. Anna se caressait également dune main active entre ses cuisses. Les deux filles jouirent ainsi debout, serrées lune contre lautre.
Reprenant leur souffle, elles se sourirent tendrement.
- Je savais bien que tu en avais envie, dit la Scandinave.
- Pas difficile à deviner, fit la brunette, avec tout ce quon a joui hier, je suis restée excitée toute la nuit et comme Franck bandait comme un âne ce matin, jen ai repris un coup dans les fesses.
Il était couché derrière moi et cest sa grosse trique dure frottant entre mes cuisses qui ma réveillée. Jai commencé à bouger le cul pour la faire grossir encore et ça na pas raté, un vrai épieu qui me limait la fente.
Avec cette grosse colonne au gland violacé qui dépassait dentre mes cuisses, javais limpression dêtre devenu un mec. Je lai empoignée dune main et jai commencé à la branler, comme si cétait la mienne. Je ne sentais rien, bien sûr, mais je mouillais quand même abondamment.
Au bout dun moment, je ny ai plus tenu, jai dirigé sa queue vers mon vagin pour la mettre en bonne position. Dès que jai senti son gros gland entre les plis de mon abricot, jai poussé vers larrière et je me suis emmanchée à fond. Son gland ma dilatée au maximum, jétais écartelée autour de sa grosse bite et je me suis secouée comme une folle dessus. On a joui tous les deux en trente secondes, jai senti son foutre gicler au fond de moi et ma liqueur couler hors de mes lèvres. Je ne suis même pas sûre quil se soit réveillé.
Aussitôt après, je suis descendue te rejoindre et, rien que le temps de descendre lescalier en pensant à cette ramonée sauvage, je bandais à nouveau.
- Jai vu ça... Je taime quand tu as ton air de salope. Tu mas excitée avec ton bouton tout sorti et tes yeux pleins de sperme. Jai cru que jallais jouir rien quen te regardant. Surtout que, moi aussi, jai profité de la raideur matinale après celle du soir.
Hier soir, Richard na pas voulu sendormir avant davoir joui dans mon cul. Il ma sodomisée à la paresseuse, couchés sur le côté. Ce matin, cest son gland qui forçait mon anus qui ma réveillée. Nous étions toujours dans la même position et sa grosse queue pénétrait puissamment dans mes fesses. Jétais trempée de désir et il a pu menfiler à fond. Je lui ai fait mon numéro de casse-noisettes, je lai vraiment branlé avec le cul et jai cru quil méjaculait jusque dans lestomac. Alors, tu penses que jétais à point pour taccueillir.
- Tu es vraiment une folle de la rondelle.
- Jen ai autant à ton service, enculée.
Les deux filles éclatèrent de rire.
Au premier étage, Marc sétait réveillé seul et avait investi la salle de bains pour une douche matinale. Alors quil se savonnait vigoureusement, Marie était entré sans crier gare pour se doucher elle aussi.
- Oh ! pardon, tu étais là, dit-elle à la statue de mousse, mais sans faire mine de sortir.
Elle regardait les grandes mains de lhomme frictionner son torse velu et savonneux. Il émergeait de ce corps viril une impression de bestialité qui lémut. Passant la langue sur ses lèvres elle le rejoignit sous le jet brûlant et commença un massage en règle, mi-savonnage mi-caresses. Bien vite ses gestes se firent plus précis, tournant sur les fesses musclées, sinsérant parfois entre elles pour tâter brièvement lorifice secret, puis passant au ventre plat quelles parcouraient en tous sens.
De ses mains en coupe, elle vint recueillir le sexe et les boules velues, elle les malaxa doucement pour faire encore mousser le savon et se retrouva bientôt en possession dune boule de mousse dont dépassait le gland dardé au bout de la verge érigée. Sagenouillant soudain, elle engloutit le membre dur jusquà la glotte et le savon lui donna la nausée. Sûre maintenant de lavoir branlé et sucé pour lui faire atteindre le maximum de sa longueur, Maris se releva et se campa, les jambes écartées, accrochée des deux mains au montant de la douche, la croupe tendue vers le mâle.
Marc lenfila par derrière sans même prendre la peine de se rincer. Lubrifié par la mousse, le phallus senfonça dun coup dans le vagin impatient. Aussitôt, lhomme se mit à coïter puissamment, ramonant avec fureur le petit sexe offert. En quelques secondes il déchargea violemment dans la femme qui jouissait à grands cris.
Après quil se soit vidé complètement, tous deux se rincèrent et sortirent de la douche pour une longue séance de séchage qui tourna sans surprise à la masturbation réciproque.
Marc avait commencé à sécher le dos de la petite blonde, insistant sur les fesses qui venaient au devant de ses caresses. Puis, la fille sétait retournée delle-même pour quil passe à lautre face. Les mains puissantes avaient alors frictionné les flancs, puis les seins, et enfin le sexe à peine couvert par la fine toison blonde. La serviette était vite venue à bout de leau de la douche, mais, plus il séchait, plus lhomme trouvait lendroit mouillé. Sa main masturbait toute la vulve à travers létoffe et Marie se tortillait sous la caresse en couinant comme une souris. Elle jouit dans un cri, entre les bras musclés de Marc à qui ce jeu pervers avait donné une érection impressionnante. Sans lui laisser le temps de récupérer, il la fit agenouiller et engouffra sa trique douloureuse dans la bouche avide. Elle le pompa avec vigueur, aspirant sa virilité tendue entre ses joues et astiquant le gland décalotté de ses lèvres chaudes. Leffet fut rapide, avec un gémissement, Marc se retira du chaud fourreau et lui éjacula en pleine figure. La suceuse lécha les gouttes de sperme qui ruisselaient sur son visage et reprit le priape en bouche pour absorber les dernières gouttes et nettoyer le membre ramolli.
Dans la cuisine, les deux filles sétaient mises à préparer le petit déjeuner, nues comme la main, les cuisses encore emperlées de leur récente jouissance. Lorsquelles se croisaient autour du réfrigérateur ou de la cuisinière, elles se caressaient lascivement au passage et le désir commençait à les reprendre. Au moment où elles allaient se jeter à nouveau lune sur lautre pour se gouiner passionnément sur la table toute proche, un bruit de moteur les alerta. Dun coup dil par la fenêtre, elles virent un break Volvo blanc remonter lallée qui conduisait à la maison.
- Merde, la voisine ! je lavais oubliée celle-là ! ragea Anna.
- Profites-en pour planquer le tien, cochonne !
Les deux filles se ruèrent au premier étage pour enfiler rapidement de quoi couvrir leurs appas et les traces de leurs débordements.
Trente secondes après, Anna était de retour à la porte de la cuisine pour accueillir larrivante, tandis que Carole prévenait les autres davoir à prendre lair décent.
Du gros break descendit une femme dune quarantaine dannées, grande et mince. Ses cheveux blonds cendrés encadraient un visage dont le bronzage nétait pas dû quau soleil du midi. Sa robe fleurie souvrait sur de longues jambes nerveuses et portait la griffe dun grand couturier. Ses doigts fuselés sornaient de bijoux de prix et son cou halé faisait ressortir un rang de perles naturelles. Un modèle de grande bourgeoise en vacances.
Derrière elle marchait une grande fille brune, très jeune, portant un pull de laine trop grand de trois tailles et dont dépassaient deux longues jambes moulées par un jean délavé. Sa crinière ondulée tombait jusquau milieu de son dos et ses lunettes cerclées décaille lui donnaient un air détudiante appliquée. Ses yeux noirs avaient un regard profond et une moue boudeuse retroussait ses lèvres fines.
- Bonjour Joëlle, vous êtes matinale.
- Anna, ma chère, jespère que nous ne vous réveillons pas. Je dois être à Paris aujourdhui et jai voulu partir tôt. Comme vous maviez gentiment proposé de vous occuper de Maud et de la maison, je me suis permis de passer...
Suivit un torrent de paroles, dont il ressortait que la mère devant remonter dans la capitale et la fille désirant profiter de lété, la famille toute entière serait reconnaissante aux voisins qui prendraient soin de lhéritière, passant la voir de temps à autre pour sassurer de sa sagesse et quelle ne manquait de rien.
Ladolescente semblait prodigieusement exaspérée par ce numéro de mère de famille et levait les yeux au ciel comme pour le prendre à témoin. Anna lui lança un regard complice, auquel elle répondit dun coup dil pétillant. Malgré le caquetage de la mère, la paix était déjà faite entre ces deux-là.
- ... vous comprenez, ces s sont terribles. je ne dis pas ça pour Maud, bien entendu, elle serait même peut-être trop réservée, mais à notre époque...
La conférence continua jusquà ce que la voisine remonte dans sa voiture, se livre à un demi-tour acrobatique dans le gravier et disparaisse au détour de lallée.
- Pfffou ! je ne me souvenais pas quelle était comme ça ! soupira Anna.
- Et encore, tu ne las pas toute lannée ! Pour moi, les vraies vacances commencent aujourdhui.
Les deux filles éclatèrent de rire et sembrassèrent sur les deux joues.
- Allez gamine ! Cool ! Viens déjeuner, tu as faim ? moi oui. Sors des bols sur la terrasse, je vais chercher les autres.
La grande blonde fonça au premier et la première chose quelle vit fut la porte de la salle de bains grande ouverte sur Marie qui finissait de sucer Marc.
- Ca va pas les deux ? on a une invitée qui ne vit pas la culotte à la main, elle ! vous avez deux minutes pour prendre lair respectable et descendre.
- On arrive, fit Marc dune voix haletante en arrosant le visage de la petite Marie de longs jets de sperme.
Anna rameuta ensuite les autres membres de la bande et redescendit en trombe.
Au cours du petit déjeuner, tout le monde accueillit Maud gentiment, linterrogeant sur elle-même et la mettant à laise. La jeune fille venait davoir 18 ans, elle était en deuxième année de médecine et se trouvait en vacances dans la maison de ses parents. Il fut convenu, quelle pourrait venir profiter de la piscine quand elle voudrait et que les filles passeraient la chercher quand elles iraient faire les courses.
Après le petit-déjeuner, elle remonta sur son vélo et disparut.
- Dites-donc, les s, jespère quelle ne va pas passer ses journées ici, la petite. Je suis là pour baiser, moi ! dit Jill.
- Tinquiètes pas, elle est discrète et elle téléphone toujours avant, répondit Anna. Elle doit venir cette après-midi vers cinq heures seulement, nous avons toutes le temps de nous faire sauter en long, en large et en travers par ces quatre jeunes gens.
- On ne sait jamais, elle est peut-être aussi salope que toi, rit Marc.
- Toi, je te vois venir, elle texcite la gamine...
- Ma fois, son petit air de Sainte Nitouche me donne envie de faire son éducation. Je suis sûr quelle a un petit cul délicieux. En plus, se faire pomper par une fille à lunettes, hmmm...
- Ne rêve pas trop, fit Anna, mi-inquiète, mi-amusée.
Le soleil était déjà chaud et tout le monde sinstalla autour de la piscine. Jill en profita pour raconter lémotion quelle avait ressentie en voyant Carole se faire enculer par la grosse tige de Franck la veille au soir, et le trouble plaisir quelle avait éprouvé en se masturbant debout dans le couloir. Elle expliqua que la sodomie lui avait toujours fait un peu peur. Bien sûr, elle ne refusait pas son cul à Marc, qui aimait le contact serré de ses muqueuses postérieures presque neuves, mais elle navait jamais osé passer à de plus gros calibres. Rougissant un peu, elle leur décrit le programme quelle avait mis au point pour ses fesses.
En lécoutant attentivement, ses amis voyaient une tache humide sélargir peu à peu sur le slip du maillot de Jill. Cette vision et les propos crus de la belle noire faisaient que les quatre garçons bandaient dur et que les filles sentaient leur entrejambe shumecter à toute vitesse. Carole, ny tenant plus, fonça à la salle de bains, chercher un tube de lubrifiant.
Quand elle revint, les autres avaient déjà commencé à soccuper de Jill et à mettre en scène la séance déducation culière prévue. Franck lavait prise dans ses bras et lembrassait à pleine bouche en lui retirant sa culotte, tandis quelle le masturbait à travers son slip. Marie était passée derrière elle et, dune main agile, caressait la vulve trempée. Anna et Richard soccupaient de disposer des coussins sur un large fauteuil de jardin. Marc, qui passerait le premier se branlait lentement, découvrant et recouvrant alternativement son gland déjà luisant de liqueur séminale.
Anna disposa son amie sur le fauteuil, les seins appuyés au dossier, chevilles et genoux largement écartés, la croupe tendue en arrière, les reins cambrés. La position exposait le petit illet froncé caché entre les globes rebondis des fesses. Lair frais fit frissonner la pastille brune. Marie continuait à caresser le sexe ouvert, passant du clitoris à la fente, pénétrant dun doigt langoureux le vagin, puis lanus, pour répartir la liqueur sexuelle. Jill était maintenant follement excitée, elle donnait des coups de reins vers larrière, appelant la pénétration, même postérieure.
Marc exhibait une pleine érection et Carole empoigna la verge dardée pour la diriger vers la rondelle impatiente. Le nud sappuya sur létroit orifice et le dissimula de sa masse. Puis le garçon poussa vers lavant, écartant lentement le sphincter de son gland décalotté. Lanus se mit à éclore autour de la boule de chair qui pénétra complètement dans le rectum de la femme affolée. Anna embrassait tendrement son amie pour la consoler et la réconforter.
- Doucement, doucement, arrête ! ne bouge plus, ne bouge plus ! cria Jill qui souffrait sous la pénétration du chibre dans son fessier.
Marc ne se retira pas dun millimètre, mais simmobilisa pour laisser à la sodomisée le temps de shabi à la chaude présence du membre dans son cul. Après quelques instants, il commença un imperceptible va-et-vient qui déclencha à nouveau les supplications de la fille. Imperturbable, lhomme donna de lamplitude à ses mouvements dans le boyau qui sassouplissait. Bientôt les cris de Jill changèrent de tonalité pour se muer en gémissements de plaisir, il en profita pour la pénétrer à fond, abutant son vit dans les entrailles maintenant consentantes.
Les deux partenaires montaient doucement vers le plaisir, Marc défonçait sans vergogne le fion distendu, ressortant presque son gland pour revenir aussitôt sodomiser à fond la belle salope qui délirait de plaisir. Enfin, il la prit aux hanches pour enfouir son membre le plus loin possible dans la croupe débène et se vida à longs traits entre les parois de braise. Il juta abondamment dans le cul ouvert, administrant un véritable lavement de sperme au petit orifice qui devait encore accueillir des chibres dun calibre bien supérieur au sien. Jill jouit violemment sous la douche chaude qui linondait par derrière.
Carole nétait pas restée inactive pendant que sa copine se faisait ramoner le fion. Elle avait branlé Richard à petits coups de sa main enduite de lubrifiant. Cétait désormais une grosse colonne de chair luisante et grasse quelle secouait sans pitié pour la faire grossir encore.
Marc se retira en douceur de lanus gluant qui resta entrebâillé, dégoulinant de foutre blanc. Immédiatement, Carole qui tenait Richard par la queue, le pointa sur le trou tentateur. Elle plaça le gland sur lorifice et lâcha le gros membre pour caresser tendrement les couilles velues. Richard débuta sa pénétration et décida de brusquer un peu les choses. Dun coup de bassin sec, il fit entrer son gland massif dans lanneau lubrifié. Jill poussa un hurlement, mais le gros phallus, bien huilé par léjaculation de Marc, continua à se glisser entre ses fesses. La sensation était différente, douleur et plaisir mélangés, tandis que lénorme muscle se frayait un chemin dans son cul. Ses muqueuses se dilataient devant la progression de la trique épaisse qui lui ramonait le fondement.
Voyant que la femme shabituait à son diamètre, Richard lencula brusquement à fond, faisant disparaître totalement son engin turgescent dans la gaine étroite qui lui compressait délicieusement le gland. Jill hurla sa jouissance et sa douleur, puis lorgasme lemporta tandis que Richard lui éjaculait son foutre dans le rectum. Il navait pas joui ainsi depuis longtemps et ne sarrêtait plus de vider sa semence, poussant toujours davantage son érection dans le conduit anal pour décharger plus fort et plus loin. Ce fut une verge ramollie par la jouissance quil extirpa du cul défoncé.
Carole avait préparé Franck en massant à deux mains sa virilité enduite de crème. Lénorme priape vibrait entre ses doigts qui avaient peine à en faire le tour. Elle le décalotta entièrement pour exposer la grosse fraise du gland. De ses doigts caressants, elle lubrifia le pourtour de la collerette, rajoutant encore de la crème pour couvrir la totalité de la boule de chair. Elle sassura que le prépuce coulissait bien sur le dôme en effectuant un ou deux profonds mouvements de branle sur la queue massive. Il était prêt, la phase finale de lélargissement des reins de son amie allait pouvoir commencer.
Son membre majestueux le précédant dun bon pied, Franck savança vers les fesses offertes, le bout de sa verge sinstalla entre elles et la femme frémit sous le contact. Elle gémit danticipation, son imagination lui suggérant limage de son petit anus, encore presque vierge il y a peu, se déchirant sous leffraction de cette barre monstrueuse dont elle ressentait la pression impatiente.
Le mâle lui saisit les fesses pour mieux les séparer, puis poussa fermement vers lavant. Mais la rosette était trop étroite pour céder aussi facilement, il ne faisait quenfoncer lanus dans le rectum, sans parvenir à sy engager. Il relâcha un bref instant son effort pour mieux sajuster à la pastille et reprit son enfilage. Cette fois, le petit anneau commença à souvrir devant le bélier de son sexe. La peau entourant lorifice se dilata jusquà devenir pâle de tension et létroit passage absorba la moitié du gland. Jill émit un long feulement rauque sous leffraction que subissait son petit trou martyrisé. Elle avait limpression daccoucher par derrière tant son cul était élargi. Le plus dur était fait, le diamètre maximum avait franchi le sphincter et Franck put introduire la totalité de son gland dans larrière-train de la noire qui transpirait maintenant à grosses gouttes. La verge, bien que baignant dans les éjaculations successives de Marc et Richard, était serrée dans le rectum comme dans un étau. Lenculeur marqua un temps et avança soudain sa queue de dix centimètres. La défonce fut terrible, le boyau culier était écartelé hideusement autour du piston qui continuait sa progression sans pitié. La femme hurla, pleura, sagita frénétiquement pour échapper à lempalement extrême. Rien ny fit, en quelques instants lénorme pénis était enfoncé en elle jusquaux poils, le gland boursouflé lui dilatait lintestin et le reste de la tige lui ramonait le rectum. Alors quelle croyait avoir tout vu, la grosse bite avança encore de quelques centimètres dans son cul. Elle hurla de plus belle. Anna la bâillonna de sa bouche et Marie passa sous elle pour lui aspirer le clitoris afin de transformer la souffrance en jouissance.
Profondément ancré dans le boyau brûlant, Franck savourait sa victoire. Il prit soin de rester immobile un moment, emmanchée à mort, la fille ne pouvait plus lui échapper. Il fit pulser sa verge roide à lintérieur delle pour lui masturber le fion. Lentreprise fut efficace, Jill commença à apprécier le contact monstrueux dans son cul. Delle-même elle risqua quelques mouvements prudents qui envoyèrent les premières ondes de plaisir dans son fondement. Graduellement, elle se déplaça davant en arrière sur le mandrin et arriva rapidement à se défoncer en rythme sur la queue qui la brûlait. Lembrochage faisait maintenant du bien à son orifice élargi et elle sut que lorgasme allait être ravageur. Le garçon se mit à participer et sa verge dure ramona le conduit sur toute sa longueur. Quand il sentit monter le sperme de ses bourses, il appuya davantage ses assauts, senfonçant toujours plus dans la croupe fendue de la noire qui commençait à jouir. Saisissant les hanches rondes, il encula sa partenaire à fond et déversa son sperme à longs traits saccadés dans ses entrailles.
Lorsquil se retira lentement dentre les fesses malmenées, Jill seffondra en avant dans un râle dépuisement, le cul béant, ruisselant de foutre et de mouille. Son petit trou la brûlait atrocement, mais elle avait pris trois pieds terribles sous la défonce anale quelle avait subi.
Marie et Anna la congratulèrent chaudement, Marc et Richard lui lancèrent des regards approbateurs. Gilbert lui, ne dit rien, trop occupé à éjaculer dans la bouche de Carole qui lui avait sucé le gland avec passion tout au long de cette sodomie profonde.
Puis les trois filles emmenèrent lenculée pour prendre soin de sa rosette échauffée par les membres qui sy étaient succédés. Lanus dégoulinait encore de sperme.
Dans la salle de bains, elles lui massèrent tendrement le rectum avec un lait adoucissant qui rafraîchit ses muqueuses mises à rude épreuve.
- Alors ? demanda Carole, tu recommenceras ?
- Oui, je ne savais pas vraiment ce que cétait dêtre prise par derrière. Jai joui comme une folle, ces grosses bites dans mon cul... quel pied ! Et la douche chaude qui remonte, remonte... je la sens encore. Mais pour linstant jai plutôt besoin dun verre, jai limpression davoir été sodomisée par un troupeau de buffles.
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