Ma Femme Devient Chienne Grâce À Son Amant Dominant Et Pervers 3 Début Du Dressage

Je regardais à nouveau l assise de C, l auréole de cyprine avait cette fois doublé de volume. Elle avait vraiment mouillé comme une chienne en chaleur lorsqu il lui a fouillé la chatte.
A peine 30 seconde plus tard C revint à notre table.
Moi:tu as changé d avis ou quoi chérie ?
C:non mon amour mon maitre m a ordonné de venir chercher mon cadeau, il m a dit qu un cadeau ça s essaie ! Il n était pas content d ailleurs, il m a mit une fessée.
Elle souleva discrètement ça jupe et me montra une grosse trace de main rouge sur l une de ses fesses.
C:il m a soulevé la jupe et ma mit une de ces claque !
Moi:ca va chérie, tu est toujours chaude ?
C:plus que jamais mon amour, je suis hyper chaude, sa virilité me rend dingue ! A toute
Elle me fit un bisous furtif et couru le rejoindre aux toilettes des hommes.
Un des deux gars qui était en face de nous, et qui avait suivit toute la scène vint me voire pour me parler. Je me suis dit quesqu il me veut celui là ?
Gars:salut, désolé de venir te voir, mon pote et moi, on a vu votre petit manège à toi et ton pote le costaud. C est une salope que vous vous faites tourner ou quoi ? Tu sait s il y a moyen de faire croquer ?
Moi:non désolé mec, c est un délire entre nous, laisse tomber !
Je me suis dit que le gars était plutôt gonflé de venir me demander ça, il a peur de rien lui il y va franco ! C est vrai que la scène qu il venait de voire avait du fortement l excité mais c est pas une raison putain ! Pendant qu il me disait ces conneries, il vint s appuyer sur la chaise de ma femme pour être plus prêt pour me parler, et mit la main sur la trace de mouille de C.
Gars : putin c est quoi ça ? Ta renversé ton verre ou quoi ?
En se frottant la main il se rendit vite compte que c était la mouille de ma femme.Il senti ses doigt.
Gars:c est la mouille de ta copine ca ! Putin elle à l aire trop chaude ! Si c est une question d argent ça peut s arranger, elle est trop bonne et habillée comme une vrai bitch !
Moi:on se connais pas vieux, je t est déjà dit de laisser tomber, donc fait ta vie et me casse pas les couilles !
Gars:ok tranquille mon pote, t énerve pas, je tentais ma chance on ne sait jamais !
Et il reparti à sa place, où il fit sentir ses doigt à son pote.

Il se marrèrent tous les deux, et celui qui était venu me voir se touchait l entrejambe, il remettai surement sa bite en place car au vu de son pantalon j était sur qu il bandais le salaud.
Il y en a qui doute de rien, il m avait chauffé celui-ci. J était mi énervée, mi flatté qu il soit près à payer pour baiser C. Puis je vit ce même gars se lever de son fauteuil et dire en parlant fort à son pote.
Gars:je vais me laver les mains poto, à toute.
Je voyais son pote rigoler en me regardant. Je me suis dit putain il lâche jamais l affaire celui là ! J avais qu une envi c était de lui en coller une, mais en définitive il était libre d aller au toilette si il en avait envie, je veut dire c est nous qui avons provoqué ça donc je ne pouvais rien lui reprocher son insistance, on aurait du être plus discret. Je me rassurais sur le fait que Bruno savait ce qu il faisait et qu il le refoulerais tout comme moi.
Les minutes passèrent, cela faisait au moins une vingtaine de minutes que C, Bruno et l autre gars étaient aux toilettes. Mes couilles me faisait un mal de chien tellement j était excité, cette sensation me rappela mes premiers émois au collège quand je bandais pour une fille de ma classe sans pouvoir me soulager dans l instant. L attente fut interminable et je me posait des centaines de question, qu est ce que Bruno lui fait, a t il intégrés le gars à leur ébats, est ce que d autre hommes en allant pisser ont vu se qui se tramait, est elle en sécurité, prenait elle du plaisir etc… Mais par respect pour le maitre de C je ne pu aller voir, pour ne pas trahir sa confiance. Je vivait à ce moment le pire instant d humiliation de ma vie, mais bizarrement cela m excitait au plus au point et en replaçant mon chibre compressé dans mon boxer je ne pu me retenir d éjaculer dans mon pantalon. Comme ça sans me toucher, une chose qui ne m était pas arrivé depuis 25 ans. Je sentais ma bite et mes couilles se décompresser baignant dans le sperme contenu dans mon boxer.
J avais joui une grosse quantité de foutre et je craignais désormais que celui-ci traverse mon boxer pour venir tacher mon pantalon. Et je ne pouvais toujours pas aller au toilette pour me nettoyer, j était coincé ici à ma table à attendre leur sortie.
D ailleurs, peut de temps après le gars revint à sa table le sourire jusqu au oreilles, il racontait surement ce qui c était passé aux toilettes à son pote qui avait l aire ébahit et dubitatif. Il rigolais tout les deux, mimait des truc. Et moi j était là, à les toiser du regard jaloux comme jamais. C est vrai ces deux enflures savaient tout se qui s était passé avant moi et moi comme un con j était là à attendre ma douce et son maitre. Il arrivèrent 5 min après, en regardant ma montre je ne pu que constater qu il avait passé une bonne demi heure à l intèrieur. Ils arrivèrent à la table tous les deux main dans la main, C tenait la boite cadeau dans l autre, la posa sur la table et tout en gardant sa main dans celle de Bruno me roula une galoche endiablé. Sa bouche sentait le foutre. En l éxaminant attentivement je pu constater qu elle était encore légèrement débraillés, les cheveux un peu décoiffés, le maquillage avait coulé et essuyé à la hatte, ses joux étaient encore toutes rose et le haut de son body était trempé si bien que le coton blanc était trensparent. Pour cacher cette auréole elle remis tout de suite son perfecto. Je me suis dit alors qu il venais à peine de finir leur exile crapuleux et que C était venu au plus vite me faire gouter le sperme de son maitre qui avait une mine réjouis.
Moi:ca c est bien passé chérie, tu as pris du plaisir ?
C : oui mon amour c était incroyable je te raconterais ça plus tard.
Moi : le gars qui est rentrée au toilette, il …
Bruno : Ma salope te raconteras ça plus tard, on t a dit ! me dit il en me coupant la parole. En tout cas je suis fier de vous 2, toi le cocu tu est resté à ta place, et toi ma pute de soumise tu as obéis comme une bonne esclave.
Docile comme vous etes, je pense qu on va pouvoir faire un bout de chemin ensemble, les amoureux ! A ce propos il faut que tu sache cocu, je n est pas baisé ta femme aujourd’hui car je déteste baiser mes soumises avec une capotte. Nous allons tous les 3 faire le test du vih comme ça la prochaine fois je pourrai la baiser sans capotte et la remplir de foutre. Pendant 1mois et demi vous ne pourrez avoir de relation sexuelle, juste des préliminaires. De mon coté j en ferais autant. Car il faut attendre se laps de temps sans relation pour pouvoir faire le test et surtout qui soit fiable compris ?
C : oui maitre
Moi : ok Bruno
Bruno : très bien, on se revoit dans un mois et demi les amoureux, appellez moi dès que c est fait.
Il galocha C tout en lui plotant le cul, me serra la main, fit un signe de tête au gars en face de nous, et parti nous laissant abasourdi de cette expèrience.
C : rentrons chérie, j ai hatte de tout te raconter !
Moi : avec plaisir chérie, j en peu plus d attendre. Même ces gars en face en savent plus que moi !
C : on est jaloux à ce que je vois !
Elle joue encore avec moi, comme une chatte avec une souris. Et elle avait repris de l assurance, quand je vous est dit que j aurais ma part d humiliation.
C : ce gars là ? Mes non t inquiète mon coeur, cette petite bite n a fait que nous mater, il a joui sur le carrelage comme une merde. Bruno ne l a pas laissé s approcher, en plus il a une bite encore plus petite que la tienne.
Moi : ça veut dire que si il en avait eu une plus grosse peut etre que… C me coupa la parole
C : aller rentrons, j ai nombre de chose à te raconter.
Nous prirent nos affaires, C n oublia pas son cadeau bien évidemment. En me levant, je m aperçu que mon sperme avait transpercé mon pantalon de couleur camel laissant apparaitre une grosse tache de sperme. Je sortis du café en essayant de la cacher au maximum avec ma veste, mais arrivé à la voiture, C la remarqua.
C : ba alors tu n a pas pu te retenir.
Fait attention à se rythme la tu va finir éjaculateur précoce mon amour.
Encore se ton narquois, je pense que désormais il faudra m y habitué. Et elle rentra dans la voiture.
C : hola ! C est moi qui est fait ça ? dit elle en voyant la tache de mouille séchée et devenu blanche sur son siège.
C : une vrai cochonne, partout où je passe je laisse des traces de mouille ! Tu vois chérie il n y a pas que toit qui se tache.
Moi : très drôle, alors raconte chérie.
C : encore un peu de patience mon amour, je vais te raconter tout ça à la maison en même temps que tu me bouffera la minou. Le seul truc que je peu te dire c est que Bruno transpire la virilité et qu il n a pas été tendre avec moi.
La maligne je n aurais même pas droit à une pipe si je veut l entendre me raconter son histoire.
Moi : ok chérie, je me fait déjà une joie de t entendre. Dit moi, il ta vraiment plu Bruno ?
C : ho que oui, c est pour l heure une de mes meilleurs expérience de ma vie. Et toi mon coeur ça ta plu d être cocu ?
Moi : oui, ce mélange de jalousie, d excitation et d humiliation m a beaucoup plu, mais je reste un peu sur ma faim, j aurais aimé être présent pour cette première fois. Je suis un peu frustré, je n est même pas pu me toucher en vous observant.
C : ne t inquiète pas mon amour la prochaine fois tu sera au première loge pour admirer ta femme comblée par son amant.
Une odeur de sperme et d urine avait envahi l habitacle de la voiture, de sperme ok, mais de pisse, pour quelle raison ?
Moi : chérie tu sent cette odeur d urine dans la voiture ?
C : A bon tu trouve, c est peut être ma jupe que Bruno a jeté à même le sol.
Ca n a pas l aire de la dégouter, une chose comme ça l aurais répugné avant de le connaitre. C est dingue à quel point elle à déjà changé, et ça en une seul rencontre. Et je suis sur que je ne suis pas au bout d être surpris.
Nous continuons de discuter de chose et d autre durant le trajet, je roulais assez vite pressé de rentrer rapidement.
Une fois arrivé et enfin chez nous, je vis plus précisément l étendu des dégâts que son maitre avait fait sur elle. J avais déjà vu le haut de son body qui était trempé et qui avait séché entre temps, sa jupe qui avait été laissée négligemment sur le sol crasseux des toilettes pour homme, était rempli de tache de sperme et d urine je présumait. Ces cheveux était poisseux et un peu collé par endroit.
Moi : bah dit donc il ne t a pas ménagé le salaud.
C : tu ne t imagine pas à quel point ! Déshabille toi et attend moi près du canapé je vais faire pipi.
Elle se déshabilla en deux temps trois mouvement gardant ces talons, et laissa ses affaires sur le sol et parti vers les toilettes en roulant du cul et en me jetant un regard de coquine. Je me déshabillait aussi et pris le temps de humer l odeur de ses vêtements pendant qu elle urinais au toilettes. Le haut de son body sentait la bite, l entrejambe sentais fort la chatte, tu m étonne à mouiller une partie de la journée, et sa jupe sentais fort le sperme et la pisse. Mais que s est il passé dans ces toilettes, mon état d excitation était de nouveau remonté au maximum et je bandais déjà comme un taureau. Elle revint rapidement et me trouva le nez dans ses affaires.
C : ça t excite hein cochon de sentir l odeur d un autre homme sur moi ?
Moi : A fond je n en peu plus raconte !Stp
Elle s installa sur le rebord du canapé avec un coussin sous ses fesses pour la rehausser et y installa une serviette pour ne pas le tacher, et écarta en grand les jambes. Je remarquais à cette instant qu elle ne s était pas essuyé après avoir pissé car des goutes d urines avait coulé le long de ses cuisses.
C : bouffe moi la chatte maintenant et tu l aura ton histoire petit pervers.
J avais toujours voulu pratiquer l uro, donc commençais par lécher les goutes de pipi qui avait ruisselé le long de ses cuisses et c est vrai que je m en délectais, elle n aurais jamais accepté ce genre de pratique avant et avait fait exprès de ne pas s essuyer.
C : tu voit mon maitre m a déjà appris à apprécier les fluides corporel, j espère que tu est content de moi ! Va y chérie bouffe moi maintenant.
J y suis allé franco, la forte odeur de sa chatte m excitait terriblement et ce gout âcre de pisse était exquis. Elle commenca donc à me raconter ce qui c était passé.
C : en partant de la table j était chaude comme jamais auparavant, je sentais des gouttes de mouilles couler le long de mes cuisses. Arrivé dans les toilettes pour homme Bruno attendais son tour devant une cabine handicapé, pour que nous aillons plus de place je présume. Il vit à ce moment que je n avais pas pris le moulage de sa bite, il me cermona et me corrigea malgrés une autre personne dans les lieux, la personne qui occupait la cabine convoité par Bruno. C est a ce moment que je suis revenu à notre table, tu te souvient chérie ?
Moi : hum hum entre deux reprise de respiration
J avais maintenant ma langue toute sortie à l intèrieur de sa chatte et je remarquais que celle-ci était plus large et plus dilaté que d habitude. Je lui stimulais le clito en même temps d une main et de l autre commençais à me branler quel soulagement. C soupirais déjà.
C : hum comme ça chérie ! Je revint donc au toilette avec l avatar de Bruno en main et nous rentrâmes dans la cabine en croisent le regard de son occupant qui nous fit un large sourire. Un regard sur les lieux me montra que la cabine n était pas hyper propre, enfin tu connait les toilettes des mecs ça sent un peu la pisse. Bruno ferma la porte à clés et il pris sont portable et me dit qu il va prendre quelques photo souvenir avant de me besogner. Il me fit prendre quelques pause suggestive et franchement impudique, à 4 pattes sur le sol poisseux la jupe légèrement relevée avec les toilettes en fond comme décor, debout cambré au max pris du sol pour voir sous ma jupe, assise sur le couvercle des toilettes les jambes grandes écartées et la tête en arrière. Il commença par enlever ma jupe qu il jeta à terre près de la cuvette, il me pris dans ses bras et me galocha comme un sauvage nos langues s entremêlait dans de grands filets de bave qui s échappais de mes lèvres. Tout du long je sentait une énorme bosse gonfler sous son pantalon pendant qu il me malaxait les fesses frénétiquement et m introduisait un doigt ou deux en écartant mon body. Il dégrafa ensuite mon body au niveau de l entrejambe et remonta le pan arrière pour le coincé au col au niveau de ma nuque. Il me plaqua contre la cloison le visage et les seins collés contre elle, les main dans le dos, il me demanda de me cambrer au maximum comme une actrice porno et d écarter les fesses avec mes mains. Il repris encore quelques photo vraiment hard et glissa son visage entre mais fesses et me bouffa la chatte et l anus de sa langue épaisse et puissante, aussi épaisse que ton sexe je crois mon amour. Je mouillais abondamment et j eu déjà un premier orgasme, et oui ça faisait une semaine sans pénétration chérie ! Il se releva et dit d un ton énervé, « qu est ce que tu fou toi connard » je n est pas compris sur le moment à qui il parlais et en levant la tête je vis un des deux gars qui étaient assis en face de nous se rincer l oeil au dessus de la cabine. Me voyant un peu effrayé Bruno me dit de garder la pose, qu il gérais la situation. Ce petit con avait maintenant une vue imprenable de mon anus et ma chatte grande ouverte, je me sentais ultra soumise et humilié et cela me plaisait un truc de fou. Le gars lui répondu « désolé mec mais j ai parlé avec ton pote assis à la table il a dit que je pouvais venir vous mater sans problème » Bruno lui répondu « arrête de mentir petit enculé, ici c est moi qui prend les décisions » le gars lui répondit « ouais c est vrai tu as raison il m a envoyé chier ton pote, mais faut me comprendre vous avez pas arrêté de faire des truc de fou devant moi, j ai pas pu m empêcher de venir mater, ça te dérange si je vous regarde un peu en me paluchant et une fois ma branlette fini je me casse, aller stp » Bruno lui répondit par l affirmatif disant que l humiliation serais d autant plus grande pour se couple d amoureux. Mais il le mis en garde « écoute petit merdeux vient dans la même cabine que nous tu va attirer l attention perché ainsi, tu te fou dans un coin de la cabine et surtout tu ferme ta gueule sinon je t arrache les couilles, ok » Il lui ouvrit la porte « fou toi là et bouge plus compris » le gars lui dit « ok mec merci, t inquiète j ai pas envie de me frotter à un colosse comme toi, je veux pas d ennui juste mater » « ok ferme là maintenant » le gars se défroqua et continua d astiquer sa petite bite en silence.
Moi : quel batard celui la.
J avais maintenant rentré mon pouce dans la chatte de C et je lui titillais le clito avec ma langue tout en m astiquant. Ce qu elle me racontait me rendait dingue, elle poursuivie son récit.
C:Bruno se déshabilla, il garda ses chaussures et accrocha soigneusement ses affaires au crochet de la porte, moi j était toujours contre la parois la tête tourné vers la porte, il me dit de la tourner vers lui et je pu enfin admirer se don que la nature lui a offerte, une bite énorme digne d un hardeur, et encore elle n était qu au repos car non décalottée « Elle te plait hein salope ? j ai envi de pisser regarde moi sale chienne » me dit il. Il souleva la lunette, se tourna légèrement pour pisser me rapprocha de lui et me dit « tient la moi pendant que je pisse petite pute » elle était lourde, avec de grosse veine, ma main n en faisait pas le tour. Absorbé par son engin je visait mal le trou et il pissa un peu sur les rebord et sur le sol. Il mit un de ses doigt devant le jet d urine et le porta à ma bouche pour m ordonné de le sucer « tu sait ton mari m a dit que tu n aimais pas les jeux de sécrétion, je vais t apprendre à aimer moi grosse putin » et il repetta l opération plusieurs fois jusque à ce qu il eut fini. Il égoutta à peine sa bite et de nombreuse goute de pisse finirent sur le sol qu il essuya avec ma jupe, il en profita aussi pour essuyer ce que j avais mise à coté lorsque j avais mal visé. Il me fit assoire sur le devant des chiottes la lunettes toujours relevé, à même la céramique, ma chatte rentrait en contact avec sa pisse laissé sur les rebord ainsi que celle de tout les hommes précédent qui ne savent pas pisser droit, mais ça ne me dérangeait pas au contraire.
C était donc ça se gout si prononcé que j avait senti tout à l heure, me dit je.
C : il m ordonna de le sucer, je ne l avais pas encore décalotté et je jouait avec la peau de son prépuce que j aspirait entre mes lèvres ou y introduisait ma langue dedans. Sa bite avait une forte odeur de pisse et je lapais les dernière goute de pipi qui sortait de son urètre. Il commençais à bander fort, sa bite s est décalotté toute seul tellement elle devenais monstrueuse. Il me donna l ordre de lui lécher l urètre ce que je fit tout de suite, son trou de bite était hyper gros et j y enfonçais le bout de ma langue, j aurais pu y enfoncer le petit doigt vu la largeur du truc. Je lui bouffais ensuite ses grosses couilles, sa bite ou se bras d me couvrais une parti du visage en largeur et dépassait mon crâne en longueur, j était dans tout mes état. Il m ordonna ensuite d ouvrir en grand la bouche s était pour lui le moment de me baiser la bouche. Ce que je fit, il la pénétra un poussait lentement pour voir jusqu’où où il la ferait rentrée, « même pas à la moitié salope, il ya encore du bouleau » il la ressorti complètement me tira le menton vers le haut et me cracha un gros filet de base dans la bouche « n avale pas, il faut lubrifié tout ça » il répeta plusieurs fois l opération et essayait à chaque fois d aller plus loin, ma mâchoire était grande ouverte j ai cru qu elle allait se détacher tellement il forçais, je commençais à avoir des haut le coeur et par réflexe phisiologique se fut des quantités importante de salive qui envahissait maintenant ma bouche. Il vu la bave sortir peu à peu de ma bouche et lui forçais toujours plus ma gorge pour ressortir entièrement et voir sa bite recouverte de long filet de salive comme une scène de gonzo deepthroat. Ma salive coulais sur mon menton pour venir tacher à grande eaux le coton blanc de mon body. Il me leva, j avais la bouche dégoulinent de salive, le mateur n en perdais pas une miette en continuais de s astiquer. J entendais les bruits des toilettes ou les hommes venais pissé, des discussion et priais pour ne pas qu on m entende, je ne voulais pas voir débarquer un autre squatter. Bruno ferma la lunette ainsi que le couvercle des toilette et me mis à 4 pattes sur le couvercle fesse vers la porte et le mateur et il vin s associer sur le réservoir des chiottes. Cette position était inconfortable mais tellement excitante. Il saisi mes cheveux et commença a limer ma bouche avec un rythme beaucoup plus soutenu et il ordonna au mateur de lui donner le gode dans la boite à ses pied. Il s exécuta sans broncher. Bruno saisi le gode jumeaux de sa bite et tout en me limant la bouche se penchant en avant pour me pénétrer avec. Il n eut pas besoin de forcer très longtemps tellement ma chatte était mouillé. Me voici maintenant avec plus de la moitié d la bite de Bruno dans la bouche et dans la gorge, la salive qui coule de celle-ci comme une fontaine et sa bite jumelle enfoncé jusque à la garde dans ma chatte trempé, le cul en l aire et le mateur qui se délecte du spectacle. Jamais dans ma vie je n est vécu un truc aussi fort, aussi humiliant, je suis devenu se que tu voulais mon chérie, une chienne soumise à la solde de son maitre. Je jouis une nouvelle fois alors qu il n avait toujours pas commencé de va et vient avec le gode. Bruno l avait juste planté en moi comme ça sans bouger, sa largeur et sa longueur ont fait le reste. Il commença a imprimer un va et vient dans ma chatte, ce monstre de silicone me ramonait en profondeur, jamais ma chatte n avais reçu un tel morceau. Il imprimait maintenant une cadence soutenu et je jouie une nouvelle fois, mes cris étouffé par sa queue énorme dans ma bouche. Il enleva son autre main de mes cheveux et me le laissa le sucer à mon rythme se qui me permit de souffler un peu. Sa main de nouveau libre vint prendre de la salive qui dégoulinait de mon menton pour m en enduire l anus et de le caresser pour préparer un future passage, toujours avec son autre main qui s activait avec le gode. Il me dit « ton mari il m a aussi confié que tu lui refusait la sodomie, avec moi t auras pas le choix ma grande, mais aujourd’hui rassure toi il encaissera que mes doigt » et m en enfonça un dans la foulée. J était un peu gêner car non préparer, va savoir se que contenait mon rectum, la prochaine fois je ferais un lavement avant.
Sur les mots de C je fini par éjaculer sur le carrelage mais continuais de la doigté.
C : ta joui, mais l histoire n est pas fini chérie. Va me chercher le gode Bruno désormais j ai besoin de plus pour jouir.
Je lui ramenais donc son nouveau jouet, tout en étant stupéfait de se qu elle me racontait et la façon dont elle me parlais je devenais l esclave de l esclave de Bruno. Je pris cette énorme gode qui était tout poisseux, et commenca à la besogner avec, voir sa chatte écartelé en gros plan me fit reprendre du poile de la bete je repris ma masturbation et elle son histoire malgrès ces gémissement.
C : Bruno me défonçais donc la chatte et me doigtais le cul avec deux de ses gros doigts et la j eu un nouveau orgasme encore plus puissant que les autres qui sous mes contraction expulsa le gode de ma chatte et eu pour la première fois de ma vie une éjaculation de cyprine. c était tellement intense mes jambes flageolait j ai bien cru tombé des toilettes, Bruno sortie sa bite de ma bouche pour y introduire ses doigt tout juste sortie de mon cul. Les jambes tremblante je me délectait de ses doigt le prenant même en gorge profonde. Au même moment le mateur éjacula sur le sol. Il régnais dans la cabine une atmosphère de baise sauvage où de multiple odeur venait me titiller les sens, des odeurs de sperme, de chatte, de cul, de bite, de pisse, de sueur d où les odeurs que tu à pu sentir sur mes vêtements mon chérie. Le mateur se rhabilla et sortie sans un mot, et Bruno ferma la porte derrière lui. Il me relève va, et vin me coller le visage sur le couvercle ou s était mélangé salive et cyprine m ordonnant de laper. Mes cheveux baignais dedans j était souillé comme une grosse pute. Bruno ouvrit le couvercle, remonta la lunette, me fit m assoir par terre devant les chiotte la nuque appuyé sur le devant de celle-ci, comme chez le coiffeur, la tête en arrière la bouche grande ouverte. Ma chatte à même le sol baignait dans un mélange de pisse, de bave et de cyprine, Bruno vint se placer au dessus de ma bouche pour s astiquer frénétiquement, il éjacula de long jet de foutre, une quantité impressionnante à vrai dire, qui vinrent s écraser dans ma bouche, mon visage et mes cheveux. J avalais se que je pouvais je ne voulais pas en perdre une seul goutte. Il me tendit ma jupe pour m essuyer comme je pouvais, et nous nous rhabillairent à la hatte. Bruno me dit « ne traine pas ma salope avant que le gout de mon sperme disparaisse de ta bouche il faut que tu le face gouter à ton cocu de mari » et c est à se moment que nous nous sommes retrouvés.
C fini par jouir, pratiquement au même moment que Bruno dans l histoire.
C : alors mon chérie ça ta plu, tu est fier de moi ?
Moi : de fou mon amour, c est plus que je ne l espérait.
Repus physiquement et mentalement nous décidons d aller nous coucher sans même prendre de douche afin que toutes les senteur de baise bercent nos rêves…

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