Collection Zone Rouge. La Maman De La Mariée Se Lâche (1/2)
Demain, je marie ma fille.
46 ans, 26 de bonheur ce que je souhaite à Carole qui se marie comme moi à 20 ans.
- Maman, jai oublié les cartons avec les noms des invités pour mettre sur les
tables dans ma chambre.
Je pars les chercher.
- Reste ici, tes amies sont venues taider et vous avez beaucoup de ballons à
gonfler et à attacher.
Je viens de finir dinstaller les fleurs que nous avions commandées.
Cest moi qui retourne chez nous.
Jen profiterais pour amener deux trois choses qui seront utiles demain.
- Merci maman, je taime.
- Moi aussi ma fille.
On dit je taime à son même si Carole est la fille chérie de mon mari.
Rien de trop beau pour elle.
Dans cette résidence de Chantilly, Paul mon mari a même retenu la suite nuptiale pour que
les jeunes mariés puissent convoler sans prendre le risque dabus dalcool et que le
mariage se termine par un drame.
Mais cest la seule chose qui nous sépare un peu entre mon mari et moi, rien de trop beau
pour Carole.
Je récupère notre Mercedes et je roule jusquà Courbevoie où nous avons notre
appartement.
Appartement, duplex de sept pièces dans les beaux quartiers.
Lorsque nous sommes parties avec ma fille, Paul lisait la presse financière, principale
source dintérêt pour lui.
Directeur de banque, cest certainement nécessaire même sil a pris quelques jours de
congé.
Quand je me retourne, non pas au volant, mais dans ma vie, je vois une parfaite ligne
droite.
À aucun moment, la tentation daller voir ailleurs ma semblé nécessaire.
Certes, comme tous les hommes de sa génération, le remplissage de notre bas de laine
passe avant nos galipettes.
Une maman cul serré layant élevé dans le culte catholique en ayant même fait un
de chur dans sa jeunesse, ça laisse des traces.
Je rentre à notre parking et par lascenseur direct chez nous je dois rejoindre notre
septième.
Là encore pas ciel, mais étage.
En réparation.
Sept étages à pied, ça fait les mollets surtout lorsque jouvre notre porte et que
jentends la voix de notre nouvelle jeune bonne.
- Vous êtes sûr que si votre femme revient, on lentendra ?
- Rien à craindre, je la vois mal faire sept étages à pied, on entendra lascenseur
et tu pourras filer dans la cuisine.
Je reprendrais mon journal, le temps que la cage arrive, elle nous trouvera dans une
situation plus que normale.
- Alors allez-y bourrer moi monsieur.
Incroyable, moi qui parlais de ligne droite de ma part, je viens de surprendre Paul, mon
mari, en train de se sauter la bonne à quatre pattes sur mon tapis persan.
À la limite de pleurer, je prends le couloir jusquà la chambre de Carole à létage de sa
chambre et sans bruit comme je suis entrée, je quitte ce salopard qui en plus quand je
passe la porte de lappartement entend cette salope jouir.
La salle retrouvée, je rumine, mais jignore, comment me venger de 26 ans damour foulé
aux pieds en quelques secondes.
La cérémonie se passe sans problème, les OConnor sont fiers que leur fils épouse Carole
jeune femme de grand avenir dont le père est un haut dignitaire à la Banque de France.
Repas, discours en Français et en Anglais jusquà ce que les musiciens appellent les
mariés à ouvrir le bal.
- Fred, tu as une cigarette ?
- Oui, tantine, je croyais que tu avais arrêté de fumer il y a dix ans.
- Cest ma sur qui ta dit ça ?
Eh bien, ce soir jai envie.
Viens sur la terrasse, ici cest interdit.
Je sors, il me suit.
- Range ton paquet de clopes, ce sont les autres dont jai besoin pour me calmer et
déviter de faire un scandale avec tous ces faux culs.
- Tu es en colère tantine, quelquun ta manqué de respect.
- Ça me regarde, ten as ?
- Jen ai roulé six ou sept, tiens en voilà une, fait gaffe, cest de la bonne.
Eh oui, jai fumé de lherbe dans ma période rebelle quand jétais jeune avant de
rencontrer Paul qui a fait de moi la femme BCBG que je suis devenue et qui a toujours
suivi la ligne droite.
Un joint et je plane, jen oublie presque les turpitudes de Paul.
Mais la vengeance est un plat qui se mange froid jen veux plus.
- Viens suit moi Fred, je vais te montrer quelque chose.
Je connais la porte sur le côté que va emprunter ma fille pour aller se faire dépuceler.
Enfin, je lignore même si je connais certaines choses sur ma fille.
- Regarde la chambre nuptiale, tu viens, on va essayer le lit.
Ces pétales de roses, cest moi qui les ais jetés dessus.
Je mallonge, relevant ma jupe montrant ma petite culotte à mon neveu.
- Enlève-moi là et baise-moi.
- Tantine.
- Un peu moins de tantines et amène ta bouche avant de te planter ta queue.
Je suis trop vieille.
- Non, jai eu des maîtresses bien plus vieilles que toi.
Il me rejoint et commence à me sucer la chatte au travers du fin voile qui la recouvre.
Je lui mets les mains sur sa tête pour que sa langue sapplique plus profondément malgré
le tissu.
- Arrache là.
Il était réticent au début, mais les effets produits par le joint décuplent notre envie.
En quelques secondes, le lit est ravagé et je hurle mon plaisir comme la petite salope
hier.
Je pense que je tiens ma vengeance surtout quand il allume un nouveau pétard que nous
partageons.
La dernière taffe tirée, jai le joint de haschisch en main, je lécrase sur oreiller en
soie comme les draps.
- Dis, tu portes toujours des strings, celui que tu portais il semble que je lai
déjà vue.
- Il est à Carole, je lai pris hier machinalement quand je suis revenue chercher
des cartons dans sa chambre .
Mais, dis-moi Fred, doù connais-tu les petites culottes de ma fille ?
À part ce que je sais avec ses copines, je lai entendu dire au fils OConnor quelle
était vierge et quelle voulait le rester jusquau soir de ses noces.
- Ta fille, vierge, nous avions seize ans quand je lai sauté et jétais loin
dêtre le premier.
Cest pour ça que jai hésité à te baiser tout à lheure, javais renfilé la fille,
javais peur que tu prennes mal que je baise la mère.
Mais je suis loin de regretter, tu as été un de mes meilleurs coups, bien loin delle.
Merci, il faut y retourner, notre absence pourrait être remarquée.
Rajustée, recoiffée grâce au matériel de toilettes de ma fille déposée dans la salle de
bains.
Un seul détail, un bouton de mon chemisier qui dans notre précipitation a sauté montrant
mon soutien-gorge noir.
Rien pour réparer, je lenlève, ma peau se voit moins que lui.
- Où étais-tu Joy ?
- Je prenais lair sur la terrasse.
- Avec Fred, ce petit dégénéré, qui deal de la drogue pour vivre.
Je suis à deux doigts de demander à Paul qui est le dégénéré, Fred qui vient de me faire
fumer ou lui qui baise la bonne quand je suis absente.
Par chance mon gendre vient me sauver, dans son magnifique kilt rouge et bleu marine aux
couleurs de son clan Écossais.
Tous les hommes écossais présents sont en kilt aux couleurs de leurs différents clans.
Je le sais, cest Carole qui me la expliqué quand elle ma dit que tous seraient dans
leurs costumes traditionnels.
- Vous dansez belle-maman ?
Je pars dans une valse, dans les bras de ce beau gosse.
Jai de la chance et ma fille aussi, il est beau gosse et danse très bien.
Leffet des joints est au maxi, je méclate.
- Fiston permet moi de you empruntez belle-maman.
Je change de bras, cest un slow que les musiciens entament.
- You permet.
Et il menlace un peu plus que de raison.
Je maperçois quil bande.
Beau-papa écossais bande pour belle-maman française.
- OConnor, pouvez-vous maccompagner jusquà ma Mercedes, jai oublié mes lunettes
à lintérieur.
- Yes, belle-maman je vous suis
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