Ma Femme Devient Chienne Grâce À Son Amant Dominant Et Pervers 4 Week-End À L Hotel Partie 1

Nous nous endormons assez rapidement, C et moi, bercés par les odeurs enivrantes que Bruno, devenu son maître, a laissé sur elle. Dans la nuit, une envie d’aller au toilette me sorti de mon sommeil, et remarqua avec stupeur que C ne dormais plus dans le lit conjugal.

Je me dis qu’elle était surement allée prendre un verre d’eau, et en m approchant du séjour/cuisine je fus interloqué par des bruits sourds. Je m’approchai donc à pas feutré, et je tombai sur une vision qui de prime abord m’a choqué.

Ma douce lovée dans le canapé, regardant l’ordi, les cuisses écartées en grand, avec une de ses mains qui s’affairait à se masturber avec le gode moulé de Bruno et l’autre main tient les vêtements qu’elle portait lors de leur rencontre au café, encore imprégné des effluves de cette baise sauvage.

Elle hume ses vêtements souillés, qui par la même occasion étouffent ses gémissements de plaisir, de toute évidence elle ne veut pas être surprise. Je suis positionné sur le côté, légèrement derrière elle et ne peut donc pas constater ma présence. Par contre pour ma part j’ai une vue imprenable sur cette scène. En me décalant je peux voir ce qu’elle regarde sur l’ordi auquel elle a dû couper le son. Elle regarde un porno, une scène hyper hard de trio hhf, avec des mecs montés comme des ânes. Quelle vision d’effroi, elle a profité que je dorme pour se masturber en douce devant un porno avec le gode avatar de son maître.

Un sentiment de jalousie extrême m’envahi, elle est clairement en train de me tromper. Mais c’est moi qui est voulu ça, c’est moi qui l’ai poussé dans les bras de son maître, je ne peux m’en prendre qu’à moi. Sa rencontre du jour avec Bruno, a dû réveiller la salope enfoui en elle.

Avant, elle n’aimait pas regarder un porno, maintenant elle se gode devant pendant que moi son mari dort à côté, c’est incroyable la rapidité avec laquelle Bruno l’a changé, elle est maintenant sous son emprise, l’emprise de sa queue matérialisé par le moulage de sa bite.



J’en reste sur le cul. Mais cette vision de C, prenant visiblement beaucoup de plaisir, change peu à peu ma manière de pensée. Ma jalousie se transforme en excitation, et malgré l’envie de pissé qui m’a réveillé je bande déjà comme un taureau. L’envie de la surprendre ou de me recoucher qui m’a envahi au début s’est envolée pour laisser place à mon plaisir pervers de la mater à son insu en me paluchant de mon côté.

Je la vois donc s’employer à se faire jouir, les yeux rivés sur l’écran, le nez fourrés dans ces vêtements sentant le foutre et l’urine. C fini par jouir assez rapidement, elle se contractait dans tous les sens, s’étouffait presque avec les vêtements pour ne pas laisser passer les cris de sa jouissance.

Et c’est là, se frottant vigoureusement le clito, que j’ai vu pour la première fois ma femme, éjaculer de long jet de cyprine. Elle ne m’a pas menti. Mon épouse est devenue femme fontaine sous l’assaut de la bite de son amant ! Cette satisfaction malsaine me poussa à aller me recoucher, pendant que C s’affairait à nettoyer les traces de sa jouissance.

Quelques jour plus tard je reçu un message de Bruno :

Salut M comment va tu ? J’espère que cette première expérience vous a plu, et en attendant notre prochaine rencontre qui risque d’être grandiose, je vais vous donner des défit coquin à réaliser pour parfaire le dressage de C et vous faire patienter jusque-là.
J’enverrais les messages directement à C ainsi qu’à toi et je te demande de ne pas lui dire que je t’ai mis dans la confidence. Comme ça tu seras ma taupe afin de me dire si elle a fait tous mes défit sans rechigner. Il faut qu’elle m’obéisse au doigt et à l’œil tu comprends, cela me permettra de surveiller son engagement. Mais attention n’oubliez pas ma consigne pas de rapport avec pénétration pendant 1 mois et demi et pas de sodomie je me réserve le droit de lui dépuceler le cul ! Je t’envoi en pièce jointes les photos prises dans les toilettes lors de notre rencontre, comme ça tu pourras constater par toi-même à quel point j’ai asservi ta pute de femme.

A plus pour de nouvelles aventures.

Je répondis que tout était ok. Je me surpris de la docilité avec laquelle je répondais à ses exigences, et me fit la réflexion que moi aussi je serais aussi soumis que C et que Bruno était en réalité notre mettre à tous les deux, même si j’avais du mal à me l’avouer.

Pressé et excité de voire ma femme dans des positions indécentes, j ouvris aussitôt le fichier et pu constater à quel point elles étaient obscène et impudique. C posait comme une actrice de cul, les yeux rempli de désir pour son amant, avec les toilettes en toile de fond. C ne m’avait pas menti, il l’a vraiment traité comme une pute, une vulgaire salope voué à son maître. Une d’elle m’a profondément excité, celle où elle posait debout cambrer au max, body relevé, prise de derrière où elle écartait ses belles fesses avec ses main laissant apparaître sa chatte grande ouverte et son petit trou. Je profitais d’un moment de solitude pour aller me faire jouir sur cette photo, éjaculant en quelques allers-retours.

Le mois et demi qui passait, fut rythmé par les défis coquins de Bruno, en voici la liste :
- Ne plus s épiler le minou et laisser pousser ses poils pubiens afin que les bonnes odeurs de chatte soit emprisonné dans ceux-ci.
- Porter la même culotte toute une semaine sans la laver, et me la faire sentir en fin de semaine. Pour ma part je trouvais cette idée grandiose, ces culottes sales et odorantes taché de mouille, de pisse, avec de légères traces de pneu, m excitait comme un fou et je me branlais frénétiquement en les sentant.
- En parallèle de la culotte sale et pour accen les odeurs de celles-ci, il lui avait ordonné de ne pas s’essuyer après être passé aux toilettes et de ne se laver la chatte qu’une fois par semaine. Généralement c’est moi qui lui faisais sa toilette intime avec ma langue à peu près tous les deux jours, je vous laisse imaginer ces bonnes odeurs de chatte et de cul lorsque je lui prodiguais cunnilingus et anulingus ! Il y eu tout de même quelques désagrément, en tout cas au début, à cette pratique, l’odeur que C dégageait en public la gênais quelque fois, mais passer la honte, son excitation reprenais vite le dessus pour venir tacher abondamment sa culotte sale de mouille.
C va souvent travailler en jupe et elle s’est retrouvé plusieurs fois dans le bus bondé à diffuser l’odeur de sa chatte et de sa culotte sale a tous les passagers, cela l excitais énormément qu’on la sente et que les gens se demande d’où ça vient, comme quand quelqu’un a péter et que personne sait qui c’est.
- De ce goder la chatte régulièrement en cachette, ou avec moi avec le gode jumeaux de la bite de Bruno. Ainsi je pu observer en secret le changement de place incessant du gode dans notre boite à toys, preuve de son utilisation fréquente. Je pense qu’elle s’en servait dès que j’avais le dos tourné cette petite cochonne. Et bien sur elle remettait sa culotte sale droite derrière. Et lors de mes cuni je pouvais observer sa chatte en gros plan écartelé par se membre démesuré.
- De créer un compte voissa pour exposer les photos de C aux pervers du net. Photo de notre bibliothèque coquine, ainsi que celles prises dans les toilettes avec Bruno. Les nombreux messages scabreux ont eu le don de nous exciter tous les deux.
- De me prodiguer des fellations en gorge profonde bien baveuses.
- De me faire des annilingus, me pénétrer avec sa langue et ses doigt, et de me les faire sucer.
- De me cracher dans la bouche après une pipe ou un léchage d anus.
- De faire des jeux uros dans la douche, receveuse et donneuse.

Toutes ces pratiques que j’avais tant rêvé étaient maintenant belle et bien réelles, et servaient à nous maintenir C et moi dans un état d’excitation permanent pour arriver le jour du rdv excités comme jamais et prêt à n’importe quels délires et exigences de Bruno.

C et moi firent les défis un à un avec un plaisir immense. Et bien sûr je faisais mon compte-rendu à Bruno toutes les semaines. Je m’aperçus aussi en fouillant le portable de C que elle aussi faisait son compte-rendu à Bruno de son côté. En effet ils communiquaient beaucoup tous les deux, et je pu constater en détail la nature de ces messages salaces.


Toujours agrémenté de photo explicite, tel que des photos de nu et de bites pour Bruno et pour C les photos de ces culottes souillées, de sa chatte devenu poilu, d’elle se godant la chatte, d’elle se doigtant le cul etc… Je fus à peine surpris tant je connaissais l’emprise que Bruno avait sur elle. Elle était devenue la chienne docile obéissant à son maitre, ce que j’avais longtemps rêvé.

Un mois et demi passa, et le jour d’aller faire le test vih arriva. Une simple formalité, et aucune angoisse lié au résultat, mais plutôt une grande impatiente et excitation à l’idée que cela nous rapprocherai de nos retrouvailles avec Bruno.
A la réception des résultats, aucun suspens, séro négatif tous les deux. Nous nous empressâmes d’en avertir Bruno. C l’appela en haut-parleur.
C : Bonjour maître c’est M et C, nous avons reçu nos résultats c est négatif pour tous les deux.
Bruno : Salut ma chienne, salut cocu, écoute j’attendais votre appel car moi aussi je les ai reçu la veille et tout comme vous c est négatif.

Le rdv fut pris dans 2 semaines lors des vacances scolaires de pâque durant lesquelles C et moi avions des congés. Il nous dit qu’il pourrait nous accorder 3 jours de son temps, du vendredi au dimanche, et de nous organiser en fonction. Il réservera une chambre d’hôtel à mi-distance de nos domiciles respectifs.

Je reçu un message dans la foulé m’informant de l’adresse de l’hôtel ainsi que le numéro et code de la chambre.

Ca y est nous y sommes enfin je vais pouvoir enfin voire ma femme se faire dominer par un autre homme. J’attendais ça depuis la naissance de mon fantasme il y a 10 ans en arrière.

Moi : tu es pressée chérie ?
C : ho que oui ! Tu vas pouvoir enfin m’admirer me faire baiser par mon maitre ! J’espère que tu vas aimer mon amour. Il dégage une telle puissance, il ne faut pas que ça te mette mal à l’aise mais tu es loin d’une telle virilité. Et sa bite, j’en rêve toutes les nuit, même si j’ai son moulage ce n’est pas pareil en vrai.
Encore se ton narquois et provocateur, elle s’amuse à le glorifier pour me montrer à quel point elle lui est soumise.
Moi : j’ai hâte de voir ça mon amour !

Pendant les deux semaines qui nous séparent de notre futur weekend end crapuleux nous nous ne sommes pas touchés une seule fois, comme lors de notre premier rdv elle voulait se préserver pour Bruno pour arriver avec un appétit sexuel exacerbé.

Je pu constater aussi qu’elle n’utilisait plus son gode, elle était vraiment motivée à être en manque de sexe pour se donner corps et âme à son maître. Connaissant ses penchant pervers, elle décidait aussi de lui faire une surprise en portant la même culotte, ainsi que de ne pas se laver la chatte pendant ces deux semaines.
A force de dressage, perverse, C l’était devenue aussi.

Deux semaines passèrent et le jour du départ pour nos retrouvailles avec Bruno arriva enfin. Comme lors de notre premier rdv, c’est moi qui m’occupai de sa tenue et de la préparation de son sac. Ne sachant pas le programme je pris la totale : toute sorte de sous-vêtement plus excitant les uns que les autres, des habits ultra sexy, tous nos toys en oubliant pas le gode Bruno, toute sorte de chaussure à talon, maillot de bain etc… A la fin quand j’eu fini, on aurait dit que l’on partait 2 semaines.

C : pas dit donc tu n’as pas lésiné sur mes affaires ! Qu’est-ce que tu m’as prévu pour aujourd’hui mon amour ? J’espère que tu vas choisir une tenue que mon maitre appréciera ! dit-elle en ricanant.

Elle est devant moi nu comme un ver et se trémousse d’excitation, sa chatte, que je sais déjà tremper est luisante de mouille et sent extrêmement fort. Une odeur âcre, avec un mélange de mouille, d’urine, de transpiration, s’en échappe à chacun de ses mouvements. Cette odeur divine excite mes sens, et me donne envie de me délecter de ce nectar puant la chatte.

C : avant que tu ne choisisses ma tenue, il faut que je me fasse un lavement anal mon chérie. Je veux être la plus propre possible pour que mon mettre profite au mieux de mon cul.

Je ne savais même pas que l’on avait une poire à lavement, je n’avais jamais pu la sodomiser, et maintenant, elle réserve le droit à son maitre de lui dépuceler le cul. En entendant ses mots je ressenti à ce moment une grande humiliation, mais une part de moi aimait cette soumission, et devant ma mine déconfite, elle me dit.
C : ça n’a pas l’air d’aller chérie ? Ça te dérange que je réserve mon dépucelage anal à mon maitre ?
Moi : non, non chérie. Dis-je en balbutiant.
C : après tout c’est toi qui m’a poussé à être la salope soumise et docile obéissant à son maitre, donc ne t étonne pas si maintenant j’y prends goût !
En gros, je n’ai plus le choix, la machine est lancée. Mais elle me remit dans le droit chemin en me disant.
C : aller arrête de cogiter, j’ai besoin de toi pour mon lavement. Suit moi aux toilettes.

Excité de ce qui allait suivre, mon cerveau fait table rase de mes doutes et la suit sans broncher. Nous voilà tous les deux aux toilettes, elle nue comme un ver me demandant de remplir la poire à lavement à l’aide du robinet du lave main. Elle est debout face aux toilettes et est dos à moi.

Je rempli donc la poire et lui demande de se cambrer et d’écarter les fesses avec ses main, ce qu’elle fait sans hésitation. J’approchai ma langue de son petit trou pour la lubrifier et faciliter l’introduction de l’embout de la poire, et profitai par la même occasion des odeurs de sa chatte puante. Elle eut un léger sursaut lors de l’introduction, et j appuyais au max sur la poire pour que son cul avale l’eau censé la nettoyer.

C : Houla ! L’eau est trop froide chérie au prochain passage, met de l’eau tiède s’il te plait !
Moi : désolé mon cœur, c’est la première fois que je fais ça, je vais faire attention au prochain passage.

Sur ces mots, elle s’assit à califourchon sur les toilettes dos à moi, cette petite perverse veut que je voie ce qui sort de son cul, c’est évident, sinon pourquoi ne pas se remettre dans le bon sens. Elle poussa d’un coup sec et je pu voir le jet d’eau brunâtre être projeté sur les parois des toilettes et par ricochet quelques gouttes vinrent s échouer sur mon visage. Quelque petite crottes sortirent aussi de son anus, ma bite était dur comme du béton.

C : ça te plait mon chéri ?
Accroupi devant ce spectacle, elle vint toucher mon entrejambe.
C : ça en a tout l’air en tout cas !

Elle passa la main sur sa chatte perlant de mouille et me fit sucer ses doigts. Je me sentais souillé et humilié mais cela me plaisait d’être réduit à cet état. Nous recommençâmes l’opération plusieurs fois jusqu’à ce que l’eau expulsée par son anus devienne clair et sans résidu fécaux.

C : c’est bon, je suis propre de ce côté-là ! Tu vas pouvoir m’habiller.
Moi : j’ai choisi pour l’occasion une tenue que je trouve hyper excitante ! J’espère qu’elle plaira à Bruno. Donc pour commencer tu vas mettre ta culotte puante de 2 semaines… C me coupa la parole.
C : attend un peu mon chéri, sans te vexer je vais y aller sans sous vêtement pour être sans entrave et être au plus vite disponible pour Bruno. En ce qui concerne ma culotte sale de 2 semaines je vais l’offrir en main propre à mon maître.

Je la vois prendre cette culotte, blanche à l’origine et devenu jaunâtre, et la mettre dans un sachet fraicheur pour qu’elle garde toutes ses senteurs.
Quelle chienne me dis-je !

Moi : Ha ok chérie ! Donc sans sous vêtement si tu préfères.

Je lui ai préparé une mini-jupe noire, plissé, style écolière, avec des chaussettes hautes de couleur blanche arrivant mi-cuisse ainsi qu’un chemisier blanc où les pans se nouent à la taille. Pour parfaire sa tenue des escarpins vernis à bout rond, ainsi qu’un gilet style bcbg avec un blason d’université américaine. Pour les accessoires, je lui mis un sert tête sur ses cheveux lissé ainsi que des boucles d’oreilles en perle, une croix en pendentif venant mettre en valeur son décolleter, un maquillage discret et efficace et ses lunettes de vue qui complétait ce look d étudiante perverse. En effet le style recherché était entre l’universitaire perverse et la bcbg/catho/coincée, et on était selon moi pile dedans.

C : ce n’est pas trop sage mon amour ?
Moi : justement c’est ça qui est excitant chérie, de baiser une étudiante ingénue et sage. Tu es ultra bandante chérie !

Ces mots finirent de la convaincre. Et c’est vrai qu’elle était bandante à parader ainsi, ses chaussettes arrivant mi-cuisse avec sa jupe raz la moule, son chemisier blanc laissant apparaitre par transparence ses grosse auréoles. Elle roulait du cul tout en se regardant dans le miroir, elle répétait son rôle pour se mettre en condition d’étudiante soumise. Elle faisait tourner sa jupe me laissant voire sa chatte poilue, ainsi que ses fesses rebondies. Faisait quelque moue d’étudiante naïve devant le miroir pour rentrer encore plus dans son personnage. Et moi je lui donnais mon avis pour que son maitre soit le plus satisfait possible.

C : Je suis prête mon amour nous pouvons y aller.

Aussi bien elle que moi ne tenions plus en place et étions encore plus excité que lors de notre première rencontre avec Bruno.
Sur la route, ma douce s’ambianssa avec de la musique hip hop et se trémoussait de façon osée et vulgaire, elle se frottait le clito, que j’imaginais déjà gonflé, sur l’assise du siège passager.
Moi : attention chérie, tu vas encore tacher le siège…
C : arrête de ronchonner, j’ai mis cette fois-ci une serviette sous mes fesses.
Et elle continuait de se trémousser comme une folle. Elle était chaude comme la braise, et je pu le constater en mettant ma main entre ses cuisses. J’ai cru que comme lors de notre premier trajet vers Bruno, qu’elle lécherait mes doigt goulûment mais cette fois si elle me rétorqua.

C : essuie ma mouille avec ta langue mon cocu !

Je me sentais à ce moment l’esclave de l’esclave de Bruno et me dit que j’allais sûrement en voire de toutes les couleurs lors de ces 3 jours. Je bandais déjà férocement, excité par les danses suggestives de C ainsi que par les odeurs de sa chattes poisseuse qui avait envahi l’habitacle.
Nous voici arrivé devant cet hôtel sans prétention, dans une zone commercial en périphérie d’agglomération.

Moi : ça va, pas trop stressée ?
C : je suis trop excitée pour ça mon amour ! Et toi ?
Moi : un petit peu chérie, mais suis aussi impatient de profiter du spectacle. Promet moi chérie que l’on ne se forcera de rien et que si l’un d’entre nous deux n’est pas chaud pour tel ou tel truc on ne le fera pas ! Tu demanderas mon approbation, promet le moi !
C : je te promets, ne t’inquiète pas mon amour tu vas kiffer, et ne croit pas que tu vas rester là à te branler tranquillement en profitant du spectacle comme tu dis ! Je vais te mettre à l’épreuve et à contribution ! Toi, promet moi de m’écouter et de m obéir !

Je senti en moi cet élan de soumission qui s’emparait de moi qui me fit répondre par l’affirmative.
Moi : bien sur mon amour.

Je sorti les sacs du coffre, et nous marchèrent jusqu’ à l’entrée de l’hôtel. C marchait devant moi en roulant du cul et moi son porteur suivait avec les affaires bourrées de jouet sexuelles et de lingerie fine. Les rares hommes présents, sur le parking assez désert en ce début d’après-midi, se retournèrent à son passage pour observer sa jupe virevolter sous la cadence de ses hanches et de la légère brise ambiante, espérant voire un bout de ses fesses. Elle était magnifique, la chatte à l’air libre son entrecuisse caressé par le vent.

J’étais fier d’elle, de son pas déterminé, de sa confiance, fier d’être son homme, son cocu de mari ! Au moment où elle ouvrit la porte de l’hôtel un courant d’air se produisit, soulevant sa jupe, me laissant apercevoir ses fesses nues et sa toison pubienne au réceptionniste nous accueillant. Nous saluons celui-ci et nous dirigions vers le numéro de la chambre. Arrivé devant la porte j’avais le cœur qui battait à 100 à l’heure, elle m’embrassa fougueusement.

C : merci chérie de me laisser vivre une telle aventure ! Je t’aime mon amour de cocu !
Moi : moi aussi chérie je t’aime comme un fou.

Au moment de faire le code j’avais la tremblote, nous rentrons dans la chambre croyant être les premiers arrivé mais furent surpris d’y voir les affaires de Bruno.

C’était une chambre basic d’hôtel bon marché, avec un lit double où Bruno allongé sur le ventre dormais nu, le drap recouvrant à peine son corps puissant et musclé. Un lit d’appoint en superposé au-dessus du lit double surplombais la chambre, je me rappel m être dit « à tous les coups ce sera ma place » en pensant comme le bon cocu que j’étais en train de devenir. Au fond une cabine de douche/toilette tout en plastique.

Et pour finir, en dessous de l’unique fenêtre, une chaise et un petit comptoir/vasque/bureau sur lequel était posé la carte d’identité de Bruno, son test vih ainsi que quelques sexe toys et de matériels bdsm tel que plug anal, lubrifiant, cagoule en latex, boule/baillon, corde et harnais. Mon cœur failli s’arrêter en imaginant le futur programme que son maitre lui a réservé.

Je me concentrai donc sur le test, qui me révélât le résultat : séro-négatif ! Je posais les sacs, rassuré, dans un coin et sorti à la manière de Bruno les résultats de notre test à côté du sien.

Pendant ce temps C n’avait pas perdu de temps, elle s’était placé sur le bord du lit et avait commencé à le caresser tendrement, ses mains parcourais son corps viril tout en lui susurrent des mots doux à l’oreille.

C : mon maitre c est C, réveillez-vous.

A ce moment je vis avec quelle tendresse elle s’occupait de le réveiller, elle m’avait déjà zappé et je m’assis sur la chaise pour observer la scène.
Pendant qu’elle chuchotait, elle commença à lui donner quelques coups de langue sur le lobe de l’oreille, puis commença à l’embrasser tendrement le long de son corps tout en continuant à le caresser des deux mains.

Celles-ci s’attardaient plus précisément sur les fesses, les bourses ainsi que la bite de Bruno que C alla chercher coincée contre le matelas. Ma bite et mes couilles commençaient déjà à me faire mal tend j’étais excité, et j’entrepris d’enlever mon pantalon et mon boxer, afin de décoincer ma bite et de me tripoter.

C continuais ses doux baisers et arrivé dans le creux des reins de Bruno, je vis le corps de celui-ci se tendre et ses fesses se cambrer légèrement, comme une invitation à poursuivre ses caresses et bisous vers son cul. « Il ne dort plus le bougre » me dis-je. Ma femme compris immédiatement l’ordre formulé par son corps et commença à lui caresser l’anus, les couilles et la bite tout en continuant ses baisers mouillés sur ses fesses imberbe.

Elle poursuivi ses coups de langues entre les fesses de son maître et à mesure de ses caresses et de ses bisous baveux, le corps de Bruno se redressait et se cambrais de plus en plus pour finir pratiquement à 4 pattes sa bite rasé pendent entre ses cuisses, sa tête plongée dans l’oreiller, et son anus tendu en offrande. C se mit aussitôt à cheval sur son dos le visage tourné vers les fesses de Bruno et sa chatte vers sa nuque. Elle lui écarta les fesses pour y plonger son visage et le besogner de sa langue baveuse.

Putain j’étais sur le cul, comme ko, je voyais la scène de l’extérieur comme si mon esprit avait quitté mon corps. Cette vision, d’une incroyable sensualité et de perversité, restera gravée en moi à jamais, en effet c’était la première fois que je voyais ma femme avec un autre homme.

Je me délectais de la scène et ne sachant pas trop quoi faire, je m’assis à mon tour sur le lit, profitant du spectacle hypnotique de ma femme broutant le cul de son amant. Une odeur de cul, de bite et de chatte avait déjà envahi la chambre, C se doigtais la chatte tout en continuant de s’occuper du cul de son amant.

J’étais étonné qu’il n’y ait eu aucun échange de parole, de la douceur de ce moment ainsi que de l’intimité déjà créé entre eux. En effet, posté à quelques centimètre de C je pu observer en gros plan à quel point elle se délectait en fouillant de sa langue l’anus rasé de son amant. De sa main libre, elle lui malaxait les bourses et branlais son énorme chibre en le remontant vers le haut.

Moi assis cul nu à côté d’eux, je pu constater l’imposant membre de Bruno et en le comparant au mien, je me sentis tout d’un coup assez ridicule, et perdu par la même occasion un peu de ma superbe et de ma vigueur. Mais la beauté de C, qui était toujours juché sur son maitre lui bouffant le cul tendrement et qui m’ordonna de venir l’embrassée et ainsi me faire enfin participer à cette chorégraphie vicieuse, me fit reprendre du poil de la bête.

Je m’approchai un peu hésitant et elle me dit.
C : embrasse-moi mon cocu ! Nettoie-moi de toute cette bave sentant le cul !

Sur le moment je fus quelque peu écœuré, tellement cette douce caresse buccale se transformait en scène baveuse hard sentant l’anus. En effet C, entre deux respirations, plongeait sa langue dans les tréfonds de son maitre, et en remontant son visage elle étirait des filets de bave entre son menton et l’anus. C crachait dans la raie de Bruno où son pendentif en croix baignait, sa bave glissait sur ses couilles et sur sa queue épaisse pour finir sa course sur les draps déjà trempé. L’atmosphère était tellement chaud que ses lunettes avait fait de la buée.

Je l’embrassai à pleine bouche, lui aspirant cette bave visqueuse puant le cul pour lui rendre sous forme de baiser.

C : ouvre la bouche !
C se mit au-dessus de ma bouche pour me resti le fruit de ma récolte sous la forme d’un gros crachat qu’elle m’ordonnait d’avaler. J’en avalai une partie, et l’autre me servi une fois craché dans ma main à me masturber avec. Je me sentais souillé et se sentiment décuplais mon excitation.

C tendais sa langue au max pour pénétrer le plus profondément son amant, et dés qu’elle remontait m’embrassait goulûment de cette langue au gout de cul. Elle doigtait aussi cet anus, lubrifié de bave poisseuse, pour me faire goutter ses doigts après.

Cette incroyable humiliation me fis prendre conscience qu’en présence de Bruno, C devenais par la même occasion ma maîtresse et j’étais naturellement sous ses ordres. J’étais en effet en bas de la hiérarchie sadique de notre trio, le cocu, la laupe sans pouvoir de décisions rompues aux désirs pervers de mes supérieurs.
Pendant tout ce temps Bruno, la tête toujours plongé dans l’oreiller, râlais de plaisir. Il se cambra d’un coup, et C fut pratiquement éjecté de son étalon. Il se leva et laissa C à 4 pattes sur le lit.

Bruno : vous avez failli me faire attendre les amoureux. En tout cas tu t’es bien rattrapé ma chienne de soumise, belle entrée en matière.
Et sur ses mots claqua violemment le cul de C à peine recouvert par sa jupe.
C : Aie ! Désolé maitre, mais mon cocu de mari a pris du temps pour me préparer et choisir mes vêtements. Est-ce que le résultat vous plait !

Sur ces mots, elle tourna sa croupe vers lui en cambrant ses rein et doigta avec deux doigt sa chatte baveuse et les suça comme une pute. C pu à ce moment goutter sa chatte sale de 2 semaines, l’odeur qui s en dégageais était forte, décuplé je pense par l’excitation de ma belle. Bruno s’en aperçu tellement cette fragrance prenait aux tripes.

C : hum…
Bruno : tu sens fort de la cramouille ma salope ! Pendant combien de temps tu ne t’es pas lavé ?
Fier d’elle, C répondit.
C : 2 semaines, mon maitre.
Bruno : c’est bien, tu es en train de devenir une vraie salope dégueulasse, comme je l’avais planifié !
C : merci maitre et pour vous remercier, je vous ai amené un petit cadeau. Ma culotte souillé qui m’a accompagné pendant ce temps.
Bruno : une bonne initiative, tu apprends vite ! Alors j’attends !
C se leva et alla la chercher dans son sac à main. Elle en sorti le sachet fraicheur contenant sa culotte sale et le tendis à Bruno. Il l’ouvrit, en sortis la culotte crade, et la porta à son nez tout en se tripotant la queue.
Bruno : Putain tu pu de la chatte ma crasseuse, ça me rend fou ! Défile pour moi salope !

C remonta sa mini-jupe des hanches à la taille de sorte que l’on puisse admirer ses fesses bien rondes, mit ses lunettes au bout de son nez et pris son air d’étudiante effarouchée tant répété à la maison. Elle paradait juchée sur ses talons, sûr de ses charmes, minaudant, roulant du cul, exhibant sa chatte poilu.

Moi j’étais toujours aussi ébahi avec quelle assurance elle évoluait, par moment j’avais l’impression de ne plus existé. J’avais l’impression d’être sur un tournage porno où ma femme serait l’actrice principale ! C n’avait d’yeux que pour Bruno et n’avait aucune pudeur et considération à évoluer devant moi.

Bruno toujours debout se malaxait le membre en reniflant la culotte sale de C, et après quelques allers-retours de ma douce, il lui dit avec les yeux emplis d’un désir bestial.

Bruno : aller viens garce, tu as enfin mérité que je te baise.
Je vis le visage de C s’illuminer. Elle s’empressa de lui sauter dans les bras et dans élan bestial, ils s’embrassèrent, se pilotaient, fougueusement. Je pense que C attendais se moment avec une extrême impatiente, que son maître la baise enfin de sa queue puissante, car il ne l’avait jamais encore pour l’heure, pénétrée de son membre turgescent. Bruno lui arracha son chemisier pour lui téter les seins et lui fourra la culotte crade dans la bouche.

Bruno : suce donc ça salope !
C : oh oui maître ! Et commença à mâchouiller sa culotte crade.

Elle était pendue au cou de Bruno, et lui, la portait par les jambes à la pliure du genou. C frottait frénétiquement sa chatte déjà trempée sur l’imposante bite de son maître afin de lui enduire la bite de sa mouille poisseuse. Pendant ce temps je m’étais assis au sol adossé contre le lit, pour avoir la meilleur vu possible du chibre massif de Bruno caressant sur toute sa longueur la chatte poilu de ma femme.
Sa bite faisait des allers-retours et venait soulever le pan arrière de la jupe de C.
Toujours dans la même position, Bruno se présenta à l’entrée de sa chatte et la pénétra lentement…

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