Le Gourdin De Tonton - 6

Le gourdin de tonton. 6

-Tonton, comment en es-tu arrivé à poster des vidéos de toi sur des sites pornos ?
-Eh bien, me répond-t-il, une de mes maitresses adorait filmer nos ébats. Mais ce qu’elle préférait, c’est que je me branle devant elle pour pouvoir saisir sur le vif mes éjaculations. Ce qu’elle kiffait le plus, c’est que je ne tienne pas ma teub au moment de l’éjaculation, adorant voir ma pine monter et descendre, puis remonter pour projeter mon sperme le plus loin possible. Elle me disait qu’elle était en adoration devant le spectacle quand j’arrivais à jouir en propulsant ma crème à plus d’un mètre, me disant que s’il y avait des jeux olympiques de cette discipline, je serais sélectionné pour représenter la France. C’est elle qui a posté sans me le dire une de ces vidéos. Je l’ai engueulé comme pas permis. J’étais effrayé de ce qu’elle avait fait et regardais plusieurs fois le site par jour pour voir les réactions. Heureusement qu’elle avait fait attention que jamais mon visage n’apparaisse pour garder mon anonymat.
Je n’en revenais pas du nombre de vues, des notes et des commentaires élogieux. J’ai donc céder et lui ai autorisé à en poster d’autres avant de reprendre la main sur le site. Je n’en revenais pas du score obtenu par deux d’entre elles : « belles éjaculations au ralenti » et « comment mesurer sa bite », plus de 43 000 et 80 00 vues. Pas peu fier non plus que quand tu tapes ces termes sur ton clavier, c’est sur mes vidéos que tu tombes sur la première page si ce n’est la première proposition. Ensuite, je n’ai eu que l’embarras du choix suite aux propositions de rencontres de femmes plus belles les unes que les autres, car la plupart m’envoyaient des photos d’elles dénudées. Je crois que vous avez devinez maintenant pourquoi je m’absente si souvent.

Suite :
-Et maman, l’interrompt Chantal en allongeant le bras sur le ventre de tonton pour refermer sa main sur la verge en sommeil, que voulais-tu dire par aussi vicieuse que votre mère ?
-Eh bien, quand elle a fait la connaissance de votre père et de moi, elle a mis un long moment à se décider entre nous deux.

Et elle ne s’est pas contentée de flirter avec nous deux. Pendant un certain temps, elle a jouée avec nous deux, se faisant baiser à tour de rôle par votre père et moi. Mais elle acceptait avec difficulté ma queue, se plaignant que je sois si « bien monté ». Elle a fini par choisir mon frère, votre père, plus adapté question sexe à sa petite chatte, un peu comme la tienne, Chantal.

Depuis un moment, ne voulant pas être en reste, ma main a retrouvé celle de ma sœur sur le chibre de tonton qui reprend doucement vie, nous permettant vite d’avoir suffisamment de place sur la hampe pour que nos doigts ne se touchent plus.
-Eh les filles ! Si vous réveillez Popaul, il va falloir que je remette ça. L’autre jour dans mon studio, je vous ai prises debout avec ma queue dans la chatte. Cette fois ci, je vais recommencer mais avec mon défonce-queue entre vos fesses et vous devrez vous tenir où vous pourrez car vous me tournerez le dos. Mais avant, je veux que vous me fassiez bander à fond avec vos bouches.

Tonton, toujours couché sur le lit, s’arrange pour poser les pieds au sol puis écarte les jambes. Je me précipite pour prendre la place entre elles mais Chantal a une meilleure idée. Elle se met tête-bêche sur tonton qui lui astique aussitôt le clitoris offert de sa langue agile. Elle a de la difficulté pour se concentrer à prendre en main le pénis que je masturbe lentement et ne veux pas lui céder. Elle se penche en avant et happe le joli morceau de chair qui dépasse pour une nouvelle sucette de ce chibre orgueilleux. Mes doigts refermés sur la hampe disproportionnée, j’en astique la base, accélérant le mouvement de la branlette qui se termine par la danse du gland sur sa langue déchaînée de ma sœur.
Mais tonton résiste à cette double agression, se livrant à un passe-temps très stimulant et agréable pour Chantal dont il distend complètement les grandes lèvres de la chatte pour n’avoir plus sous les yeux qu’un trou rond de chair vive où il promène sa langue sur toutes ces collines douces et dans la crevasse profonde, lui arrachant quelques grognement de plaisir.
Pendant qu’il lui mordille l’une ou l’autre des babines sexuelles, Chantal aspire le gland frénétiquement. Tonton la repousse, se relève, le sabre au clair, nous nous mettons face à face, la bouche ouverte appuyée sur sa verge et il donne des légers coups de reins pour faire coulisser sa hampe entre nos deux bouches avides. Je malaxe ses burnes mais Chantal est encore plus vicieuse en introduisant son majeur dans l’anus de tonton.
-Eh ! Petites dévergondées ! On dirait que ça vous amuse par cette endroit, et bien, qui veut passer la première ?
-Moi tonton, moi tonton ! Je suis ta cochonne, ta salope !

Cette salope de Chantal a encore été plus rapide que moi, elle ne perd rien pour attendre…
Il se met derrière elle et se place entre ses jambes, la forçant à baisser son dos et toucher le sol du bout de ses doigts.
-Laisse-toi faire. Et toi Brigitte, rends-toi utile et prends ma teub pour que je ne rate pas la cible.
Je fais frotter le gland cramoisi sur la vallée culière et stoppe le mouvement quand toutes les planètes sont bien alignées. Maintenant les choses sérieuses vont commencer... Sans précautions, tonton fait entrer son gland assez rudement et continue la poussée. Je suis à quelques centimètres et vois son pieu embrocher lentement, d’un seul trait, le cul de ma sœur. La pénétration est dure car le l’entends geindre. Tonton pose ses mains sur les hanches de Chantal comme pour l’empêcher de se soustraire à la sodomie et ne s’arrête que quand ses testicules tapent contre la vulve de Chantal. Il ressort presque entièrement de son rectum et réinvestit aussitôt son cul.
Malgré la séance de tout à l’heure, Chantal ne peut pas réprimer un cri de douleur. Tonton la pistonne régulièrement, passe ses bras sous la poitrine de ma sœur pour la faire se redresser et coller sur son corps. Il plie un peu plus les jambes, glisse ses bras sous les cuisses de Chantal et sans prévenir se redresse en la portant. Elle arrive à s’agripper aux bras de tonton pour ne pas chuter.
Elle est maintenant en suspension, retenue uniquement par les mains de tonton sous ses cuisses et ce gros dard planté entre ses fesses. Des rictus déforment ses traits quand tonton la soulève et la laisse retomber sur son chibre, encore et encore…faisant presque ressortir sa queue monstrueuse des fesses de Chantal avant de l’empaler à nouveau. Les deux corps sont trempés de sueur, facilitant la pénétration.

Malgré la douleur aigue qui lui vrille les entrailles, Chantal finit par se laisser bercer par la voix rassurante de tonton et accepte « le supplice ».
-Changement de cavalière ! Annonce tonton en déculant.
Je sais que je vais prendre chaud, mais il est hors de question de faillir à la tâche après le « débourrage » de notre étalon par Chantal, enfin…ça serait plutôt le contraire mais j’aime à le penser comme ça puisque il va falloir que j’y passe aussi. Je viens m’appuyer des deux mains sur le pied de lit, proposant mon popotin à ce gros bâton crémeux que je sens en approche. Deux mains se posent sur mes fesses. Sa queue qui m’a donné déjà tant de plaisirs pointe sur mon œillet brun.
Tonton écarte mes fesses et introduit son sexe démesuré dans mon cul. Je serre les dents pour ne pas hurler. Le « colosse » est entré au maximum et reprend connaissance des lieux encore inexplorés avant ce jour. La violence de cette saillie après déjà avoir chauffée en regardant Chantal déclenche en moins d’une minute un orgasme. Je jouis très fort, je mouille comme une fille faisant pipi au lit et le liquide inonde le pal perforateur. Je sombre dans le plaisir. Mes cuisses tremblent, mon plaisir provoque des contractions de mon anus qui essaie de broyer l’intrus. Tonton ouvre toujours mes fesses pour faciliter l’intromission de ce sexe qui laboure toujours mon rectum. L’intensité de l’orgasme diminue lentement. Tonton décule et vient négligemment poser son rostre dans la raie de mes fesses.
-Prête !
Chantal ne peut pas s’empêcher de railler :
-Tu vas prendre chère, sœurette…c’est plutôt hard ! Avant de se précipiter entre les cuisses de
Tonton pour une dégustation rapide.
Elle commence à sucer sa grosse queue encore couverte de choses déposées par nos deux culs. Tonton la repousse assez vite et se repointe, c’est le cas de le dire où vous savez. D’un seul coup de reins sans même le concours de ses mains, sa verge disparait à nouveau en moi. Il me redresse et comme pour Chantal, je me retrouve dans les airs, ses mains me soulevant comme si je ne pesais rien entre ses bras et me laissant m’empaler encore et encore sur ce chibre infatigable. La douleur est si forte que je réussis in-extrémis à mettre le bout de mon pied droit sur le pied de lit pour soulager de quelques kilos mon trou du cul avant qu’il ne se déchire.
Je gémis comme une femme prête à l’agonie. Il ressort et replonge sa « jauge » en tenant mes cuisses et continue ses va et vient puissants. L’amplitude de ses mouvements est au maximum.
Comment peut-il encore continuer sans s’écrouler de fatigue ?
- Je vais jouir Brigitte. Je vais tout décharger dans ton beau p'tit cul, comme pour ta sœur! Hurle-t-il en me défonçant comme un possédé.

Tonton pousse une longue plainte, cessant de bouger, tous ses muscles bandés comme sa teub qui se déverse en moi. Je sens un liquide chaud envahir mes entrailles, je sens les soubresauts de son braquemard à chaque giclée et j’ai moi aussi un nouvel orgasme fulgurant.
Tonton retire sa queue de mon cul débordant de foutre. Le liquide blanc se mélange au mien et coule par terre. Je m'effondre sur le lit, épuisée mais heureuse. J'ai quand même réussi à prendre du plaisir de sentir cette énorme bite dans mon cul. Au bout d’un moment, je reprends mes esprits, me redresse et fais face à tonton et son énorme engin dont la vue m’emplit de fierté.
Chantal ne perdant décidément pas le nord, comprime dans ses deux mains à intervalles réguliers son nœud comme pour en extraire les dernières gouttes qu’elle déguste du bout de la langue.
Le membre de Tonton perd du volume doucement, la rigidité devient lentement de la mollesse qui vient se protéger entre ses cuisses mais malgré tout ce qu’il nous a mis, sa verge garde une épaisseur qui ferait encore peur à bien des femmes. Chantal lui demande alors, comme si elle avait besoin de se faire pardonner de l’avoir amener à sauter ses nièces :
-Tu n'es pas fâché contre nous tonton ?
-Fâché ? Je ne dirais pas ça. Mais il va falloir faire preuve maintenant d’un peu de maitrise de soi devant les autres pour ne rien laisser paraître. Je ne veux pas avoir de problèmes avec le reste de la famille. Mais avant de partir, venez me nettoyer le sexe, les filles !

Nous nous retrouvons dans la salle de bain pour sa toilette intime, mais à notre grande surprise son organe reprend vie. Sacré tonton !
-Vous ne croyiez-pas les filles que vous alliez partir sans faire une dernière bise à Popaul ? J’ai une réputation à tenir, moi !
Nous nous regardons perplexes mais heureuses de pouvoir jouer une dernière fois avec un tel outil.
Vous avez déjà joué de la pine à quatre mains et deux bouches orchestrée par tonton ? Il nous faut nous escrimer un temps fou pour l’amener une dernière fois à la jouissance après les précédentes joutes. Tonton ne nous ménage plus et on se retrouve avec son sexe démesuré dans la bouche qu’il essaie d'enfoncer jusqu'au bout, nous forçant presque à l'avaler en entier. Il force tellement que je me demande encore longtemps après comment un tel engin a pu envahir ma gorge si profondément. Je manque de vomir et de m'évanouir. Je me retiens avec peine de ne pas déchirer la peau si fine avec mes dents, je ne peux plus respirer, mon nez écrasé dans ses poils pubiens.
Il me permet de respirer de nouveau au bout de quelques secondes et j’en profite pour m’extraire de ce piège. Je crache sur le sol une grosse quantité de bave pendant que ma sœur a du prendre la relève pour une nouvelle gorge profonde.

Tonton envoie enfin une ultime fois la sauce. De puissants jets de sperme atterrissent sur nos visages « innocents ». Chez tonton, Il n'y a pas que la bite qui soit hors-normes, mais aussi ses doses de foutre! Pour la troisième fois, Il crache littéralement une cascade de liquide chaud et blanc sur nos visages. Son foutre chaud m'aveugle, se répand sur mon nez, mes joues, mes lèvres. Chantal a aussi le visage dégoulinant de foutre.
-Bien, j’espère que vous êtes rassasiées pour quelques temps les filles car malgré que je vous aime comme mes propres s, je veux éviter à l’avenir de telles pratiques dans la famille. Vous devrez vous contentez à l’avenir de regarder mes vidéos en pensant à moi et à ces instants de débauche. J’espère que je ne vous ai pas déçues.

Sacré tonton ! Il devra se lever tôt, le petit copain qui voudra essayer de battre tonton. Ça va être dur pour ma sœur et moi à l’avenir de côtoyer un tel étalon sachant ce qui sommeille entre ses cuisses et ne plus avoir droit d’y toucher, si ce n’est avec les yeux… Dur-dur… Comme sa bite !!!!!!!
Ce qui nous fait marrer et nous rend fières, c’est quand les copains et les copines regardent et commentent les vidéos de tonton. On fait les blasées devant eux, mais nous, on a pas à se branler en fantasmant, on sait de quoi il est capable, tonton !

Fin.

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