Mardi
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Mardi
La nuit a été longue mais son sommeil court. Elle est tremblante au moment d'ouvrir la porte de la salle des profs. Dès qu'elle l'entrouvre, son regard cherche Martin et Thomas. Ils sont là, assis en train de discuter. Ils boivent leurs cafés tranquillement. Ils semblent à l'aise. Elle s'approche d'eux.
« - Bonjour Hélène, tu sembles fatiguée. Tu as mal dormi ?
Il faut qu'on parle les garçons, vous n'avez pas le droit de faire cela, c'est totalement ...
Je t'arrête de suite. Il est interdit de parler de cela en public. Si cela se reproduit, nous te punirons et je pense que tu as compris que nous en avons les moyens.
Que s'est-il passé l'autre soir chez toi ?
Je pense que tu n'as pas bien compris. Il t'est strictement interdit d'en parler. C'est la première mais surtout la dernière fois que cela se produit. Est-ce clair ?
Oui
Très bien. Je vois que tu as mis une jolie robe, ajoute-il avec un grand sourire. »
En entrant dans sa salle, elle découvre une enveloppe sur sa paillasse. La même que la veille. Elle l'ouvre discrètement et lit :
« A midi, tu mangeras entre nous. Enlève ton tanga avant de venir à la cantine.Envoie nous une photo prise sous ta robe pour qu'on juge de ta bonne foi »
La matinée est longue et stressante, elle ne pense qu'à sa nouvelle tâche. A midi, sa classe se vide. Pour la deuxième fois en peu de temps, elle ferme sa porte à clef ainsi que les volets. Elle hésite un instant avant de se photographier. Elle dépasse les limites qu'elle s'était toujours fixées : pas de photographies d'elle nue. Elle descend son bas et sent l'air lui effleurer le sexe. Elle le range précipitamment dans son sac de cours. Elle écarte légèrement les jambes et prend la photo. La réponse est immédiate :
« Rejoins nous en salle des profs ».
Elle sort de sa salle. Elle a peur, elle ne sait pas ce qui va se passer et redoute la suite.
Dans la queue, l'un d'eux lui glisse « J'adore l'idée de te savoir nue ». Elle, n'a pas le même ressentie. Comme prévu les garçons se sont arrangés pour qu'elle soit entre eux. Les discussions avec les collègues vont bon train, comme si de rien n'était. Mais elle est absente, soucieuse et peinée. Soudain, elle se tend, tressaute de surprise mais tente de rester la plus discrète possible. Une main, certainement celle de Thomas vu la position, se pose sur sa cuisse. Une main , qui se met à la caresser. Du genou, les caresses de plus en plus appuyées remontent.
Puis, elle sent le contact d'une main sur son autre jambe. Celle-ci est plus directe et certainement celle de Martin. Il ne souhaite pas être en reste. Cette deuxième main remonte directement le long de sa cuisse.
Pour la première fois du repas et même de la journée, elle est envahie d'une nouvelle sensation. Elle est, bien sûr, toujours mal à l'aise d'être découverte mais elle pense ressentir de l'excitation. Les mains continuent de la caresser discrètement mais sûrement. Elle se surprend à entrouvrir les cuisses pour faciliter l'accès à son entrejambes. Elle sent les mains qui se rapprochent de son sexe. Elle sait maintenant que ce qu'elle ressent est de l'excitation. Tout doucement, elle s'ouvre à ses maîtres chanteurs. Elle tente de rester digne en ne laissant rien transparaître mais que c'est dur.
Petit à petit la salle des commensaux se vident mais ils ne sont toujours pas seuls. Ça y est, des doigts ont atteint son pubis, elle frisonne. Elle sent les doigts qui explorent leurs environnements. Dabord des caresses sur les grandes lèvres puis ils les écartent. Son voisin souhaite accéder davantage à son intimité. Ses petites lèvres sont lubrifiées par son excitation.
Thomas et Martin sentent son excitation. Leurs caresses ont,vite,fait leur effet. Ils l'ont à leur merci. Dun regard échangé, ils se sont compris. Ils se lèvent, s'essuient chacun une main et partent du réfectoire la laissant seule. Elle reprend ses esprits et de nouveau la gêne reprend le dessus. Elle replace rapidement sa robe et quitte à son tour la salle. Devoir traverser la cantine pour accéder à sa salle est stressant et elle le fait à toute vitesse afin de pouvoir se réfugier dans sa salle.
L'après-midi se déroule sans contact de ses partenaires de repas, tout comme la soirée. Allongée dans le lit, elle peine à trouver le sommeil, mais ce n'est plus pour la même raison. Elle se remémore le déjeuner. L'excitation la saisit. Elle réalise qu'elle commence à aimer ce nouveau petit jeu.
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