La Sexualité Compulsive De Florence : Devant Son Écran (Partie 4/ 15)
Après la séparation avec mon mari, j'avais repris un petit studio pendant un an, javais la tête dans les chaussettes, en plus j'avais fini mon cdd et je me retrouvais sans emploi durant trois mois puis en juin j'avais accepté un job saisonnier comme barmaid dans une boite de Montpellier, heureusement que mes amies mavaient soutenues dans cette épreuve. Enfin la roue tourna un peu, à la mi-octobre, j'obtenais un nouveau un CDD de cinq mois, pour un remplacement d'une salariée en maternité à la CCI de Montpellier et le noël 2014 en famille m'avait remonté le moral.
2015 fut pour moi un nouveau départ, un tournant dans ma vie. En effet, le Président de la CCI, comme tous les ans fin janvier, présentait ses vux lors dune réception à laquelle jétais invitée. Cétait une occasion pour moi de rencontrer du beau monde pour la suite de ma carrière professionnelle. Étant toujours aussi gourmande côté sexe, cétait également le moyen de trouver un type avec lequel que je pouvais prendre quelques moments de plaisirs.
Pour cela, je métais vêtue pour une telle soirée mondaine mais en restant sexy et désirable, javais mis tous les atouts de mon côté, une très jolie robe courte à souhait et un décolleté pas facile à oublier. Ce soir-là, connaissant mes projets, le Directeur qui était mon patron tenait à me présenter quelquun qui pouvait probablement maider dans mes démarches. Je fis donc la connaissance de ce jeune responsable d'agence locale de travail temporaire. La période étant calme pour le volume de mission, il avait profité des vux de la CCI afin de rencontrer certains de ses clients et pourquoi pas nouer de nouveaux contacts. Alexandre était bel homme, il avait 28 ans.
Ce beau brun aux cheveux courts avait de larges épaules, sa stature de sportif, dun mètre quatre-vingt-deux pour quatre-vingt kilos, était athlétique sans être bodybuildé. Ses yeux verts et son beau sourire me fascinaient.
Que pouvais-je espérer de mieux, non seulement jai trouvé de nouveaux clients potentiels mais je viens de rencontrer la plus séduisante jeune femme de tout Montpellier.
Il ne cachait pas ses sentiments, sil était tombé sous mon charme, moi javais des papillons dans les yeux et le ventre noué, Alexandre était lhomme que je cherchais, cétait une évidence. Nous avions discuté, nous nous étions marrés ensemble toute la soirée. Il était drôle, incisif, tout simplement irrésistible, menveloppant de sa douceur et sa tendresse. Sa persévérance avait fini par me troubler :
Faut absolument qu'on se revoie. Me dit-il à la fin de la cérémonie.
Javais très envie de lui tout de suite, néanmoins je ne voulais pas quAlexandre me prenne pour une fille facile, je ne voulais pas montrer le feu ardent qui brûlait dans mon ventre. J'avais reçu un coup au cur, une chose énorme, je n'avais pas ressenti cela depuis bien longtemps. J'avais accepté son invitation à déjeuner et après quelques rencontres nous avions fait route commune. Nous étions si bien ensemble, que six mois plus tard nous officialisons notre union en nous pacsant.
Nos relations sexuelles étaient tout simplement magiques toutefois, Alexandre nétait pas du tout comme mon ex-mari. Si Luc était possessif et d'une jalousie excessive, lui était tout le contraire. Ce fut lui qui me demanda de remettre des tenues vestimentaires sexy que javais laissé au placard, il appréciait le regard envieux que des hommes me lançaient lors de nos sorties, il était très attentionné, toujours soucieux de mon bien être.
Javais déjà trouvé cela bizarre pendant nos vacances dété, lorsquil me demanda de me mettre seins nus sur la plage alors que je ne le faisais pas par respect pour lui.
Que tu es belle Flo, tous les hommes te regardent et menvient.
Au départ, je pensais que tout cela nétait que compliment et quil était fier de mavoir à ses côtés, cependant lorsquun jour il me demanda :
Flo tu es ravissante dans ta petite robe d'été, tu as un admirateur, cet homme dégarni, en face de nous, ne se lasse pas de la regarder.
Oui, je men suis aperçue et cest presque gênant.
Son regard est en hommage à ta beauté. Me répondit Alex.
Ne comprenant pas tout, même si jaimais me sentir séduisante, je ne voulais pas mettre mon compagnon dans lembarras et je trouvais cette remarque quelque peu déplacée :
Et toi ça ne te dérange pas qu'il mate ta femme ?
Non ! Au contraire, je trouve cela même flatteur, c'est la preuve que la plus merveilleuse femme a bien voulu partager ma vie. Et toi aussi tu devrais en éprouver de la fierté.
Il bave carrément ! Dis-je en pouffant de rire avant quAlexandre najoute en souriant : ajouter sur le ton de la plaisanterie.
Il ne bave pas encore pour ça, il faudrait que tu lui en montres un peu plus.
Tu deviens complètement fou mon pauvre chéri !
Oui ! je suis fou de toi !
Sur ces mots, nous nous étions embrassés passionnément. Puis il mexpliqua quil adorait que je sois le centre d'intérêt et que si je voulais lui faire plaisir, je pouvais jouer de mes jambes devant cet homme qui me matait. Je trouvais cela complètement dingue, néanmoins la situation mexcitait, ce nétait pas la première fois pour moi, jaimais être observée et je comprenais que ce nétait pas une blague :
Tu veux vraiment que je m'exhibe ?
Oui, à condition que tu le veuilles, et surtout que tu éprouves une certaine excitation, du plaisir à le faire, si tu le fais juste parce que cela me fait plaisir, là j'aurai l'impression de te forcer à faire ce que tu ne souhaites pas.
Je trouvais sa demande un peu bizarre, je navais pas hésité une seule seconde, jétais curieuse de connaitre sa réaction. Javais lentement écarté les jambes, afin de montrer la dentelle de mon string recouvrant mon intimité, à mon observateur. Puis pour pousser le vice, je passai la main sous ma robe qui se releva un peu plus et de mon index posé sur ma vulve, je mimais une masturbation. Je ne regardais pas le voyeur, mes yeux étaient dans ceux dAlexandre qui souriait tel un bébé, je lui offrais un réel plaisir.
Après avoir quitté la terrasse du bar, il mavait remercié et mavait demandé si cela m'avait un peu excité. Je lui avais avoué que lorsque jétais étudiante, lorsque je baisais avec un garçon chez moi, ce nétait jamais dans mon lit mais au salon devant la baie vitrée non pourvue de rideau et que cela décuplait mon excitation, de savoir que les voisins pouvaient nous mater :
Oui mon amour ! jai eu un frisson dans le ventre en le faisant.
Depuis ce jour, nous nous régalions tous les deux en me donnant en spectacle aux terrasses des cafés ou au restaurant. Cétait devenu un jeu où nous prenions un plaisir commun. Un an et demi après notre rencontre, lorsquil me dit que si je le voulais, je pouvais prendre un ou plusieurs amants, je navais pas du tout compris. Jétais triste, je pensais qu'il ne m'aimait pas puisqu'il désirait m'envoyer dans les bras d'un autre, cétait probablement un moyen davoir le champ libre de son côté. Je lui demandai pourquoi il appréciait tant que d'autres hommes me regardent mexhiber devant eux et pourquoi il désirait que je prenne un amant.
Pour la première fois, il osa évoquer son fantasme et ses envies de candaulisme. Il me parla de « Candaule », ce roi qui trouvait sa femme plus belle que toutes les autres. Sans cesse, il vantait les charmes de son épouse à Gynès, officier de sa garde du corps. Un jour, il l'invita à assister au coucher de la reine, dissimulé derrière la porte de la chambre nuptiale, Gygès avait admiré la nudité de la souveraine.
Tu me prends pour une salope !
Il n'aborda plus le sujet, pas plus qu'il ninstaurait ces petits jeux d'exhibition auquel javais volontairement participé. À cette époque, je me sentais mal, les aléas de la vie vinrent perturber l'osmose de notre couple. Non seulement, je venais dapprendre le diagnostic d'une maladie grave d'un proche de ma famille, mais sajoutait à cela, les réponses négatives aux entretiens d'embauches que je passais. Alex avait beau me trouver quelques missions intérimaires, ces emplois ne correspondaient pas à mes attentes ni à ma qualification de responsable de ressources humaines.
Jaccusais le coup, je perdais le goût aux simples plaisirs de la vie, ne travaillant que très peu, je ne faisais même plus ces petits efforts pour être séduisante. De son côté avec ses problèmes relationnels entre collaborateurs, Alexandre préoccupé, en oubliait d'être plus au soutien de sa chérie. Cette situation dura un peu plus six mois jusqu'au début décembre 2017. Ce fut au cours d'une prise de bec pour des broutilles que simultanément nous nous sommes rendu compte de notre comportement puéril était totalement stupide et inutile. Je lui lançai :
Faut qu'on fasse quelque chose là, on se bouffe la vie.
Et si on revenait en arrière pour vivre l'un pour l'autre et non pas l'un à côté de l'autre comme lon fait depuis 7 mois !
Jacquiesçai, et très vite le ciel bleu accompagna notre couple. Javais retrouvé ma superbe et ma sensualité, les fêtes de fin d'années furent une réussite, d'autant que javais des nouvelles rassurantes sur la santé de mon proche.
Je ne trouvais toujours pas de travail et ne voulant pas vivre au crochet de mon compagnon, en attendant de trouver mieux, je métais inscrite comme amatrice webcam sur un site porno. Javais créé mon profil afin de me donner en spectacle devant certains internautes payant pour me voir me mettre nue et plus, suivant leurs désirs et le montant dépensé par leur carte de crédit. Je travaillais à la maison la journée, installée sur le canapé avec mon ordinateur portable devant moi.
En quelques jours, jeus plusieurs clients qui navaient pas été très loin en jetons, je discutais avec des mecs qui payaient un jeton la minute, quelques fois deux, je navais pas le temps de faire grand-chose, je me caressais les seins au-dessus de mon petit déshabillé sexy. Lorsque je recevais plus de jetons, jallais jusquà enlever mon soutien-gorge en faisant un strip-tease. Le but du jeu, était de maintenir le client le plus longtemps possible afin quil dépense ses jetons au fur et à mesure car cétait ce qui rapportaient de largent. En effet, je touchais les deux tiers, il était donc important dêtre le plus efficace possible et de maintenir les internautes en haleine afin quils éjaculent le plus tard possible.
Un après-midi, jétais parvenue à me retrouver avec trois gars pendant cinq à dix minutes. Là, je métais dévêtue entièrement et me caressais la poitrine et en pénétrant mes doigts dans mon vagin. Dans ce système, il y avait le salon privé, cétait celui qui rapportait plus, le client et lamatrice étaient seuls en webcam, tous les deux se voyaient par écrans interposés. « Le one », cela voulait dire quaucun autre client ne pouvait participer, cela coûtait à linternaute quatre jetons par minute.
À un moment donné, un jeune homme mavait invité en privé « en one ». Sur le tchat, il me demanda sil pouvait brancher sa webcam, jacceptai volontiers. Nous nous retrouvions face à face devant nos écrans, cétait un bel étalon musclé assis sur son fauteuil devant son ordinateur :
Que veux-tu voir de moi ? Mon petit chéri ! Lui demandais-je.
Je voudrais te voir à poil, sil te plait.
En travailleuse consciencieuse, je métais mise debout et fit un strip-tease langoureux comme la musique qui était diffusée dans le salon. Le jeune madmirait, il nen loupait pas une miette. Je métais agenouillé sur le canapé, complètement nue puis commençai à me caresser les seins puis descendant au fur et à mesure vers ma vulve. À cet instant, il descendit sa caméra afin que celle-ci parvienne sur son entrejambe, il avait baissé son pantalon et son slip jusquà ses genoux, je pus admirer sa queue. La situation et sa verge de belle taille en pleine érection mexcitait fortement.
Cet homme bandait pour moi, cela maidait à me masturber devant lui car ma chatte était de plus en plus mouillée de cyprine qui suintait au fur et à mesure sous mes doigts qui me fouillaient et je lui montrait comment je mouillais en disant :
Que penses-tu de ça ?
Tes trop bonne ! répondit le jeune homme. Jaime tes nichons et ta petite moule.
Regarde comme je mouille pour toi, regarde mes tétons comme ils durcissent.
Oui ! Jadore, je voudrais les pincer, tu es une belle cochonne.
Ta queue est trop belle, jaimerais la sucer.
Et dans ton cul, tu ne voudrais pas ma bite ?
Si regarde, attends.
Jattrapai le sextoy posé sur la table basse, le plaça dans ma bouche mimant une fellation, cracha sur mes doigts et me prépara en dilatant mon anus en y enfonçant un puis deux doigts. La verge en silicone qui nétait pas de très grosse taille, vint se ficher dans mon rectum, pendant que de mon autre main je caressais mon clitoris.
Le jeune était en train de se branler devant lécran. Avec de lents mouvements longs et régulier :
Pas trop vite mon petit chéri, essayons de jouir ensemble.
Tes une pute, une vraie salope. Hein !
Oui ! Je veux ton bonheur, regarde, je mastique aussi le bouton damour, uniquement pour toi.
Il se branlait de plus belle, voyant que je ne pourrais plus le retenir plus longtemps, je lui dis :
Hum
jai envie de te sucer. Tout en mettant le godemiché dans ma bouche, le salivant en me lenfilant dans une gorge profonde.
Me caressant toujours de plus en plus vite, je sentais venir mon orgasme :
Je vais jouir
en hurlant mon plaisir.
Je venais dexpulser une grosse quantité de liquide sur la serviette posée sur le divan. À cet instant, le client se leva, mis sa verge devant la caméra et envoya son sperme par saccades sur son écran. Javais pu voir ce liquide blanchâtre et visqueux sortir par jets du méat de son gland, en criant très fort. La déconnexion eut lieu sans que le type, ne dise un « au revoir ».
Javais trouvé un moyen de gagner un peu dargent facilement en prenant du plaisir, mais je me devais de le dire à Alexandre. Connaissant ses murs, je savais déjà que cela lui plairait de voir ainsi me donner en spectacle devant des types chauds bouillants bandant pour moi et mon corps. Je regrettai un peu de ne pas lui avoir dit avant quil ne sen aperçoive. Tout ceci, je vous lexpliquerai dans quelques jours lors dun prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Pour des raisons danonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.
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