Florence Se Découvre 8/9
La découverte de Florence 8
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Tout comme nous, toute la famille est naturiste, et même quand nous sommes là, leurs s se baignent nus ; si pour le plus jeune, rien de bien attirant, par contre pour Alexandre, je dois reconnaitre que cest un beau garçon,23 ans, bien fourni par la nature et jai pu remarquer quà certains moments, sa tige avait tendance à prendre du volume, surtout en notre présence, Florence et moi, si les hommes nétaient pas là ; cest le cas aujourdhui, nos hommes étant partis voir une collection de vieilles voitures. Javoue que les discutions à son sujet mont donné des envies et bronzant sur le bord de la piscine, je suis légèrement provocatrice, écartant plus que nécessaire mes jambes, ce qui pour lui, profitant de la température de leau, doit lui offrir une pleine vue sur mon minou dont les petites lèvres gonflées denvie commencent à shumidifiées. Florence a repéré mon manège et avec un petit sourire se dirige vers sa maison.
Cest loccasion de tenter le diable et le fixant, je descends doucement dans leau, pour me rapprocher de lui ; comme je my attendais, sous leau, je peux distinguer son chibre à lhorizontale et je le provoque :
« Cest moi qui te mets dans cet état ? »
En même temps je pose ma main sur le mat dressé. Il essaie un mouvement de recul, mais ma main ne le quitte pas ; au contraire je mapproche un peu plus et lui déposant un baiser sur la joue :
« Naie pas peur, au contraire, cela mexcite moi aussi ; profite de loccasion, à moins que je ne te plaise pas plus que cela, sans doute trop vieille ! »
En même temps, je le lâche et me tourne dos à lui, ce qui met sa tige en contact avec mon fessier ; jai envie de lui mais je ne peux pas le violer ; pour lexciter un peu plus et lui donner le courage de soccuper de moi, ma main se pose sur mon entrejambe et deux doigts viennent titiller mon petit bourgeon.
« Tu mexcites tellement que je me caresse ; je préférerais tes doigts à la place des miens »
À nouveau je lui fais face, continuant ma masturbation ; il a emprisonné sa queue et il se branle sans aucun doute.
Il est doué car il maitrise totalement cette pénétration, alternant puissance et rapidité pour ralentir linstant daprès, ressortant presque son chibre pour mieux me pourfendre ensuite ; si mes cris de jouissance ont excité Florence qui maintenant est près de la piscine, lui nen a rien vu, et quand elle arrive près de nous, me déposant un baiser sur les lèvres, surpris il veut se retirer : cest elle qui lencourage
« Non restes, continues à la faire jouir, tu es beau et cela me donne à moi aussi beaucoup denvie »
Alors quelle lentoure de son bras, nous embrassant amoureusement tous les deux, je le sens se cabrer ; sa queue grossit dans mon ventre avant de me féconder par de nombreux jets de sperme ; pour moi cest une explosion dans mes entrailles et ma jouissance éclate, bruyamment :
« Oui
je sens ses jets qui me remplissent le ventre, putain cest trop bon, fécondes moi encore !
Alors quil se retire de moi, je me retourne pour ne pas le laisser partir car je pense aux envies de Florence : quelle aussi il la possède ; le prenant par la main, nous sortons de la piscine et nous nous allongeons sur les serviettes. Alors que de nouveau , elle membrasss amoureusement, sa main se promenant son mon corps mouillé, saventurant même devant lui dans ma chatte doù sécoule son sperme , il nous regarde, un peu sidéré avant enfin de parler :
« Javais des soupçons sur votre libertinage, mais je peux voir que cest une réalité ; cela me surprend de voir Florence aussi libérée, mais jen suis très heureux ; je suppose que jacques participe et que Nicole soffre à lui aussi ! »
« Bien sur mon chéri et si beaucoup ont pensé que jétais prude, cela a été le cas jusquà ce jean et Nicole me fasse découvrir mes envies et depuis je suis leur maitresse pour mon plus grand plaisir ; cela te choque ? »
« Non pas du tout, simplement surpris et satisfait de te voir pleinement heureuse de cette liberté »
« Tu as dû être surpris que je te provoque dans la piscine, mais comme Florence, javais pu découvrir tes érections quand nous étions dans leau et reconnait que cela peut nous donner des envies »
Aussitôt il réagit à ce nous que jai volontairement utilisé pour le provoquer.
« Pour toi, je le comprends mais pour <florenec, la femme de jacques, cest différent, »
« Pourquoi penses-tu que je nai pas envie de toi ; dans ce cas tu te trompes et Nicole le sait. Même si pour toi cela peut paraitre énorme ; jen avais parfois lidée, mais lorsque Nicole ma avoué avoir fait lamour avec ses beaux- s, cette idée est devenue une envie, de plus en plus forte ; cela te choque ? »
« Non mais reconnait que cela peut me surprendre ; tu es une belle femme et jai très souvent admiré ton corps nu dans la piscine, ce qui a justifié mes érections. »
Sa queue frémit et je me penche sur lui, autant pour quil nest pas le temps danalyser plus la situation, que pour lui redonner une tige bandée, ce qui est le cas très rapidement ; elle sest allongée auprès de lui , sa main parcourt son corps et vient remplacer ma bouche ; doucement elle commence à le branler alors que je me suis emparé de sa bouche pour un fougueux baiser auquel il répond ; puis doucement ,je mécarte pour les laisser tous les deux se découvrir.
Sa bouche a remplacé sa main et elle le suce avec avidité, sa main triturant ses bourses ; manifestement il hésite, puis alors quil soffre, tendu, à cette sucette , sa main se pose sur le dos de Florence, avant de venir découvrir ces seins qui sont à sa portée. Florence a les gestes de ses envies car elle rapproche son corps de celui d4alexandre, mettant ainsi sa chatte à portée de ses doigts . Il en profite aussitôt ; ses doigts viennent découvrir la vulve offerte ; ce sont maintenant deux êtres qui découvrent leurs envies et les gémissements de Florence se faisant fouiller le ventre par des doigts agiles le prouve ; elle a écarté ses jambes afin quil la pénètre le plus possible et je peux constater que tous ses doigts sont à lintérieur de son antre ; entre deux fellations, les premiers gémissement séchappent de sa bouche , traduisant le plaisir de sentir ma moule envahie par la main dun jeune ; d
Cest finalement lamante qui se révéle car enjambant Alexandre, elle place son ventre au-dessus de la queue bandée et dune seule poussée, elle se plante sur le dard dressé ; pénétration puissante , complète saccompagnant , pour les deux par un oh oui pour elle , très certainement un oh de surprise pour lui, dautant plus quelle le chevauche, sappuyant sur son torse pour avoir plus de puissance dans ses allers retour sur son amant ; la tête renversée, les yeux brillants de larmes, elle se fait jouir sur ce jeune membre quelle a tant désiré et qui maintenant emplit son ventre , pour son plus grand plaisir ; ce qui se traduit par une puissante jouissance ; la queue totalement enfoncée dans sa matrice, elle se penche sur lui, lembrassant , sa langue se frayant le passage entre les lèvres encore fermées, mais qui souvrent rapidement pour lui rendre ce fougueux baiser.
Pour lui la surprise est dépassée, et la renversant sur le dos, cest à son tour de la dominer et manifestement il sait être le maitre :
« Tu as envie que je sois ton amant ? » ; la réponse est sans équivoque « oh oui, prends-moi, je veux tappartenir, je te veux en moi, jai envie de ta semence dans mon ventre »
« Tu sais ce que cela veut dire ? » C est lamant qui parle et elle hésite « cest-à-dire ?»
« Cela veut dire que si tu me demandes maintenant de te couvrir, à lavenir quand je serais là, tu devras aussi mappartenir ! »
« Oui bien sûr, mais maintenant prends moi, fais de moi ta petite femelle, jai trop envie de ta queue dans mon ventre, fais-moi jouir je ten prie »
« Et jacques quen fais-tu ; tu devras le mettre au courant ! « Cest moi qui interviens :
« Je texpliquerai après, il ny a pas de problème mais pour linstant elle a envie de toi, ne lui fais pas regretter son choix ! »
Je nai pas fini ma phrase que dune poussée virile, il sest enfoncé entre les petites lèvres gonflées et rouges, recouvertes de cyprine ; sous la pénétration tant désirée, elle gémit, puis quand le gland touche le fond de la matrice, elle saccroche à lui :
« Vas-y, defonces moi, je veux tappartenir et jouir sous tes assauts, baises moi fort ; fais-moi jouir, je suis une petite salope qui veut prendre son plaisir »
Commence alors une véritable défonce de ce vagin offert ; agrippant ses seins, il la perfore, la démonte senfonçant au plus profond de ce vagin qui maintenant lui appartient ; les gémissements de Florence résonnent à mes oreilles ; je me branle, deux doigts enfoncés dans ma chatte pleine de mon jus, qui sécoule en continue ; quand mon plaisir est énorme, je suis fontaine et là devant cette possession, que nous attendions toutes les deux, cest le cas.
Pour les deux amants, je ne compte pas : ils sappartiennent. Alexandre prouve quil est un bon baiseur, performant, puissant, ce qui pour ma part me donne envie de lui appartenir moi aussi ; pour linstant cest Florence qui en profite.
« Oh oui je te sens éjaculer, ton sperme me remplit, tes jets sont chauds et ils me fécondent ; je suis ta femme, vas -y encore fais-moi jouir »
Alors quil na pas encore débandé, repus les deux amants sécroulent sur la pelouse ; pour moi cest loccasion et sans attendre, je gobe sa queue, lembouchant pour lui donner plus de dureté ; quand son mat se dresse fièrement, je mempale, son vit écartelant les parois de mon vagin, me remplissant à nouveau.
Je nai pas le temps de commencer à le chevaucher quil me renverse et me plaçant à genoux, il membroche puissament ; sous lemprise , mon corps réagit et ma cyprine à nouveau envahit ma chatte , facilitant si besoin était le pilonnage quil a commencé dans mon vagin qui laccueille avec bonheur ; il ne me faut pas longtemps pour jouir, mais pour mon plus grand plaisir, il continue longuement à me baiser, alternant ses ardeurs, ressortant parfois de mon antre pour se frotter sur mon petit bourgeon , ou même sur mon sillon bien visible , mais il nose pas se frotter sur mon petit trou . Devant moi, je réalise que jai lentrejambe de florence, qui comme moi tout à lheure se branle le minou ; alors quil me pénètre avec vigueur, je dépose ma bouche sur sa chatte doù sécoule encore le mélange de leurs semences. Au contact de ma bouche, lapant son plaisir, elle saccroche à ma tête, soffrant sans aucune honte à nos amours lesbiens devant lui. ; plaisir pour elle dautant plus ardent quelle ressent tous les à-coups de la queue dAlexandre dans mon ventre. Sans aucun doute le fait de voir la se faire lécher le minou par une femme doit lexciter, car sarque boutant à mes hanches, collant ainsi ma bouche sur la vulve béante, il se repend en moi, me fécondant ainsi pour la deuxième fois.
Lové entre les deux femmes quil vient de faire jouir, arrive le temps des explications que je lui avais promis tout à lheure.
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