La Motarde - 10
Mollement allongée dans sa chaise longue, Maud cuvait son orgasme et repassait sur lécran de ses paupières closes le film de la fellation quelle venait de pratiquer sur la verge de Marc. Sa première pipe sur un sexe dhomme. Avec les amies de sa chambre, au collège, elle sétait livrée à des simulacres sur des goulots de bouteille de cola. Les délurées qui avaient déjà osé cette caresse sur les membres de leurs jeunes amants avaient expliqué les circonstances et la sensation éprouvée, mais cela navait pas été plus loin et lamour buccal était restée une notion abstraite pour la plupart des jeunes filles de la chambrée.
Alors que le soleil chauffait sa peau, Maud revivait la raideur du priape distendant ses joues, la chaleur du brandon contre son palais, la douceur du gland sous sa langue, puis les vibrations de la queue en train de jouir et les saccades de léjaculation qui avait empli sa bouche vierge.
Cette évocation la fit vite mouiller abondamment et son clitoris se dressa comme un petit pénis. A tel point que, bientôt, le minuscule dard érigé sortit la tête de son capuchon pour venir pointer entre les lèvres sexuelles de la jeune fille. La toison partiellement épilée ne cachait rien de sa fente et Gilbert, qui était allongé face à elle, nen perdait pas une miette. Au fur et à mesure de lémergence du bourgeon luisant, sa verge se gonfla en une puissante érection qui menaçait de dépasser le niveau de son maillot tendu.
Pour masquer son trouble, le garçon se leva et, tournant le dos à ses amis, annonça dun air détaché :
- Bon, cest pas tout ça, mais je mendors. Je vais passer un coup de jet à la Jag, toutes les bonnes volontés sont les bienvenues pour un coup de main.
Avec un ensemble touchant, Carole et Maud ouvrirent les yeux pour se jeter un regard entendu. Deux éclats de rire fusèrent dans le dos de Gilbert qui séloignait.
Le long capot vert anglais brillait doucement dans la pénombre de la grange.
Il ouvrit le jet deau, fit mousser de la lessive dans un seau et empoigna une éponge pour procéder à la toilette de la sportive anglaise, afin de lui rendre le lustre quil aimait. En quelques instants, il ne pensait plus quà sa tâche et frottait la carrosserie à grands gestes. Alors quil avait à peine fini le coté gauche du toit de la Jag, il entendit une voix flûtée derrière lui :
- A vos ordres pour le coup de main, Chef !
Maud se tenait dans lencadrement de la porte donnant sur le soleil. Elle avait enfilé un bas de maillot, sans plus, et la lumière de laprès midi silhouettait son corps sensuel. Ses cuisses minces se découpaient dans le soleil, le galbe de ses hanches et de sa poitrine apparaissait en ombre chinoise et la crinière de ses cheveux ondulés lui faisait une auréole de femme fatale. Déhanchée, elle regardait lhomme et sa monture dun regard brillant.
Sans ajouter un mot, elle sempara dune deuxième éponge et commença à frictionner la droite du toit du coupé, ses yeux braqués dans ceux de Gilbert.
Le garçon déposa son éponge pour se saisir du jet et rincer la voiture, à gauche dabord, puis à droite. Ce faisant, il aspergea le corps de la fille qui frottait toujours la carrosserie Sous la froide caresse de leau, les formes juvéniles frissonnèrent et le mouvement de la main laveuse ralentit, puis sarrêta. Renversant la tête en arrière, la jeune fille exhala entre ses dents un long soupir sensuel.
Aussitôt animé par cette invite sans équivoque, Gilbert lâcha le jet pour venir poser ses larges mains sur les hanches emperlées de gouttes deau. La fille se laissa aller contre son torse, éprouvant la fermeté de ses pectoraux.
Ivre de désir, le garçon fit remonter ses larges mains sur les flancs de la jeune fille et vint cueillir les fruits impatients de sa poitrine. Il massa les sphères sensuelles jusquà la faire gémir de volupté. Les mamelons turgescents appelaient la caresse et il les saisit entre deux doigts, les pinça, les fit rouler comme des crayons entre pouce et index, les étira, les fit grandir sous la forte pression de ses phalanges.
Un étage en dessous, la situation se développait. Folle de désir, la fille imprimait à sa croupe un mouvement de rotation qui masturbait la bosse saillante de la verge masculine. Le membre exacerbé était emprisonné par les fermes rondeurs qui le massaient sur toute sa longueur. Le garçon donnait de violents coups de reins vers lavant pour simbriquer encore à ce fessier tentateur.
Ny tenant plus, le mâle arracha la culotte de la fille et son propre vêtement, avant de revenir coller sa queue contre la chair brûlante. Son gland, déjà luisant de liqueur séminale, émergeait du prépuce rougi que lérection avait retroussé. Il plaqua une main sur la vulve trempée, entre les cuisses de la fille, et glissa un doigt dans sa fente baveuse de désir. Le majeur tendu sépara les grandes lèvres et trouva aussitôt le clitoris raidi, auquel il imprima un branle vigoureux. Lautre main vint séparer les fesses dures, suivit le sillon et pénétra sans plus attendre le vagin inondé pour masturber le conduit ardent. Maud émit un râle dagonie et sappuya sur les doigts magiques pour mieux sempaler.
Dun mouvement brusque, lhomme avança son membre jusque dans la paume de la main qui avait investi lintimité de létudiante. Ainsi guidée, la verge trouva tout naturellement lentrée du vagin, quelle investit dun mouvement coulé, alors que les doigts sen retiraient. Appuyée des deux mains au toit de la voiture, la croupe tendue vers lépieu qui lembrochait, Maud secouait ses fesses pour mieux se faire enfiler. Elle se dandinait dun pied sur lautre pour mieux prendre le sien. La grosse tige lui remplissait labricot jusquau col et dilatait ses muqueuses comme jamais elles ne lavaient été.
Se retirant presque complètement, Gilbert saisit la gaine du pénis entre le pouce et lindex. Il le décalotta entièrement pour faire saillir son gros gland hors du prépuce. Puis il entama de lents va-et-vient dans le sexe juvénile. La pensée de ramoner ce vagin encore presque intact le faisait bander de plus belle. Sa queue se dilatait dans la grotte trempée, augmentant ainsi le contact entre leurs chairs brûlantes. A chaque mouvement, la fraise de chair épanouie ramonait les muqueuses gorgées de sang du conduit offert à ses pénétrations. Le fort diamètre du phallus qui la limait, la profondeur de lenfilage puissant et régulier firent à nouveau monter Maud vers lorgasme. Alors quelle se pâmait de jouissance, son pourfendeur la fourra à fond et éjacula à long jets dans sa corolle incendiée de plaisir. Tenant à deux mains la fille par les hanches, lhomme nen finissait plus de se vider dans ce corps adolescent qui jouissait sous sa verge.
Lorsquil se retira enfin delle, le vagin inondé laissa échapper des filets de sperme qui virent sécraser au sol en gouttes laiteuses.
Lorsque létudiante arriva au bord de la piscine, tous purent voir le sperme qui barbouillait son corps bronzé et bavait de sa fente entrouverte. Elle se jeta dans sa chaise longue avec un soupir repu et ferma les yeux. Les trois garçons bandaient comme des cerfs devant cette jeune salope prometteuse. Ny tenant plus, Richard sortit carrément sa verge pour la branler furieusement. Aussitôt, Anna se jeta sur le gros muscle tendu à se rompre et le prit en main. La fine main féminine astiqua vigoureusement la chaude colonne de chair, allant et venant à toute allure sur la trique douloureuse. La femme ne sencombrait pas de fioritures, elle avait compris lurgence de jouir qui avait poussé Richard à sempoigner le membre pour éjaculer le plus vite possible. Elle le branlait violemment, à la limite de la douleur, cognant du poing fermé sur le ventre de lhomme pour faire mieux saillir le gland hors de ses doigts serrés. Leffet fut immédiat. En quelques va-et-vient elle fit gicler le jus laiteux hors des boules crispées sous la tige qui dégorgeait. Dès que les premiers jets jaillirent, elle tira encore davantage le prépuce vers le bas et des doigts de son autre main, forma un anneau serré avec lequel elle frictionna à toute allure la collerette du fruit boursouflé. Explosant sous la violence de la sensation, Richard éjacula avec force, expédiant sa liqueur à plusieurs mètres, jusque sur les cuisses de Jill, en gouttes blanches sur la peau noire. Anna lécha ses doigts gluants et, son service accompli, retourna sallonger, sans se donner la peine de ranger la verge encore tendue. Richard massa son vit pour en essorer les dernières larmes visqueuses et le remit à labri de son maillot.
Entre ses yeux mi-clos, Maud navait pas perdu une miette de cette branlette expresse. Elle se jura bien de traire aussi ce membre noueux, le plus gros quelle ait vu jusquà présent. Instinctivement, elle porta la main sur sa motte emperlée pour la cajoler en sendormant au soleil.
Les quelques gouttes de foutre qui tachaient ses cuisses avaient excité Jill au plus profond delle-même. Son vagin lui lançait des appels pressants et ruisselait de désir. Inconsciemment elle remuait ses fesses sur la toile du transat et frottait ses cuisses lune contre lautre pour piéger son clitoris entre les lèvres de son sexe et le branler en douceur. Tout à coup, elle bondit de son fauteuil, prit Marc par la main et lentraîna vers la maison en disant dune voix rauque :
- Viens, viens menculer, vite... vite...
A mi-chemin de la porte-fenêtre qui donnait sur le living, elle avait déjà arraché son string et lavait abandonné sur les dalles de pierre de la terrasse. Marc la suivait de près, la verge tendue dans son slip moulant. Aussitôt à lintérieur il la prit dans ses bras, plaquant le dos du corps féminin contre son torse et incrustant son sexe entre les fesses chaudes, dune main il froissait les seins impatients et de lautre il pelotait la croupe ronde et fendue. Son majeur sinséra entre les masses rebondies, descendant la raie profonde, caressant lanus au passage pour venir pénétrer le vagin ruisselant de désir de la femme gémissante. Le doigt bien lubrifié remonta sans perdre de temps vers lantre de la sodomie, quil investit sans coup férir tant la rosette avait été assouplie par les multiples verges qui sy étaient succédées lors de la séance de défonce rectale qui avait réconcilié la belle noire avec les jouissances postérieures. Elle ne demandait quà remettre çà. Haletante, elle saisit ses fesses à deux mains et les écarta largement pour mieux offrir son petit trou à la concupiscence du mâle échauffé. Dans le même temps elle faisait aller et venir ses reins pour branler la tige maintenant complètement enserrée par les rotondités jumelles de son cul débène.
Marc bandait comme un fou, il dégagea sa trique douloureuse du maillot et constata que son gland était luisant dexcitation et déjà plus quà moitié dégagé du prépuce. Visant avec soin le petit oeillet noir, il appuya le bout de son membre sur les fronces de lanus et poussa vivement vers lavant. Le chibre bandé pénétra dun coup la rondelle brûlante, sy enfonçant puissamment jusquaux poils et remplissant complètement le rectum accueillant. La femme poussa un hurlement de plaisir en se sentant enculée à fond. Pour Marc, le plaisir était indicible davoir le pénis enserré par les chaudes entrailles palpitantes, la peau du dard était retroussée sur sa mentule turgescente, dégageant le gros gland boursouflé quétranglait la bague anale serrée. Pinçant la base du sceptre entre deux doigts pour ne pas éjaculer immédiatement, il se mit à sabrer davant en arrière dans ce cul de braise. Son épieu de chair ramonait férocement les muqueuses anales livrées à sa sauvagerie, il coïtait de toutes ses forces, labourait à grands coup lanneau culier qui souvrait devant lengin qui lemmanchait. Il senfonçait de toute la longueur de sa grosse colonne de chair dans le fion distendu. La rosette élargie par lassaut épousait étroitement le muscle qui la défonçait, la peau de lanus sétirait en suivant les mouvements de piston qui la faisaient entrer et sortir tour à tour du cul féminin, au rythme de lenfilage sodomite.
Jill criait à pleine gorge, emmanchée par derrière jusquau plus profond de ses entrailles en folie. La grosse trique ramonait son conduit anal avec fureur et elle jouissait sans interruption sous les coups de boutoir que lui assenait le mandrin qui lui dilatait la pastille au-delà de ses espérances. Elle sentait la puissante ramonée de la grosse lance qui sagitait entre ses reins. Lépieu qui la pourfendait lui écartelait le conduit comme un fer rouge dans ses chairs violentées. La boule de chair du gland poussait toujours plus loin ses percées furieuses et elle avait limpression dêtre embrochée comme un poulet sur la forte ardeur tendue à se rompre. Le rythme de lempalage saccéléra comme lhomme montait vers le plaisir. Se sentant partir, il empoigna à deux mains les hanches rondes pour les tirer à lui sauvagement et encula sa partenaire à fond pour cracher son sperme dans lintestin avide. Sous ce lavement de feu, Jill jouit violemment et cria en contractant spasmodiquement ses fesses, ce qui acheva de traire le foutre de la bite tressaillant dans son cul. Lépaisse liqueur lui inonda le fondement par saccades, tapissant ses muqueuses de jets brûlants.
Abuté au fond du conduit serré, Marc se vidait à grandes giclées, terrassé par le plaisir éprouvé. La sodomie était sa passion. Il naimait rien tant que prendre une femme par derrière et la faire défaillir autour de son gros noeud. Il appréciait par dessus tout les femelles en chaleur, chaudes adeptes du petit trou, qui se le faisaient mettre directement dans le cul sans passer par le côté face, ces vicieuses qui, aux agaceries vaginales, préféraient lenfilage rectal sans préliminaire. Pour lui, le terme enculée était un compliment. Il rendait grâces aux fanatiques de la rosette, aux branchées de lanneau brun, aux folles de loeillet, du cercle froncé quétait létroite pastille blottie entre leurs fesses. Elles ne concevaient lamour quentre leurs rondeurs postérieures, dans le conduit de braise qui était la porte de leurs entrailles avides. Ces passionnées de lenculage ne jouissaient vraiment bien que par derrière. Le plaisir vaginal ou clitoridien leur paraissait terne au regard des sensations éprouvées à se faire défoncer la rondelle. Marc avait constaté que, souvent, ces femmes qui offraient spontanément leur porte étroite étaient mères. Était-ce la distension due à laccouchement qui leur avait donné le goût de lélargissement et qui leur faisait apprécier les effractions postérieures ? Il nen savait rien et se bornait à profiter de ces bonnes dispositions pour les sodomiser avec force et éjaculer sans retenue dans leur anus accueillant.
Avec Jill, il venait de découvrir une nouvelle passionnée de la rosette. La récente séance de sodomie multiple quavait subi la belle noire lui avait donné le goût de se faire ramoner loeillet et Marc se promettait bien den profiter plus souvent quà son tour.
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