Rene
René travaillait depuis une dizaine de jours sur mon site de travail. Il était lunique employé du menuisier qui intervenait pour le montage de nouveaux murs en plaque de plâtre. René est un beau black qui ma interpellé au premier regard. Difficile de lui donner un âge, entre 20 et 30 ans je suppose, peut-être un plus
Cest un vrai black, pas métissé. Il est de taille moyenne 1m70 environ, un peu plus petit que moi. Ses cheveux sont impeccablement tressés, on voit quil prend soin de lui. Il porte régulièrement un « marcel » pour travailler ce qui met en valeur son physique, notamment ses beaux bras bien sculptés. La première fois que je lai vu, je me suis dit « Pas mal le mec ». Il ma fait un grand sourire, très rayonnant, que je souhaitai déjà interprété comme un « tu me plais bien toi ». Nous nous sommes croisés plusieurs fois par jour, avec à chaque fois le même sourire enjôleur. Dun simple bonjour, jai vite déplacé la conversation vers des sujets banaux : la météo, le temps de prise du plâtre ou le temps de séchage de la peinture. Le sourire de René est envoutant, je pourrai passer des heures à le contempler.
Dès que lascenseur souvrit, je fus surpris de le voir. « Vous, ici ». « Oui, je dois redescendre » avec son sourire, toujours aussi irrésistible. Je me retrouvais face à lui dans ce mètre carré, et je le matais à travers le miroir. Lui, me souriait encore. Je regardais les courbes de son bras et admirait son beau corps. Son torse se moulait à merveille sous son marcel. Cette vision me donna un début dérection quil était difficile de cacher sous mon pantalon. Alors que nos regards se sont croisés dans le miroir, josai me caresser du bout des doigts cette forme naissance sur mon bas ventre. Il acquiesça dun sourire encore plus large. Sans trop me poser de question, je me suis rapproché, je lui ai pris la main rapidement et je lai posé à revers sur mon sexe. Très vite, il la retourna et létala sur toute sa longueur.
Ma verge qui était déjà mal à laise me fit très mal pour trouver plus de place. Je fermis les yeux alors que lascenseur souvrait. Je reculais pour ne pas être surpris dans cette situation, et linvita dans une salle discrète à proximité. Cette salle navait pas de fenêtre et je nai pas allumé la lumière de peur de nous surprendre. Dès quil fut rentré, je le plaquai contre le mur et lembrassa vigoureusement. Il nétait pas des plus doués pour cet exercice, sa langue nétait pas assez souple pour moi. Mais pendant que nos bouches sentrelaçaient, il frottait vigoureusement lentre-jambes de mon pantalon. Sa main trouva rapidement le bouton et la braguette du pantalon, et très vite, il la glissa dans mon caleçon. Il commença à me masturber délicatement. Avec fermeté, il caressa de sa paume mon frein alors que ses doigts tâtonnaient mes testicules. Ses lèvres glissaient sur mon cou, jétais paralysé par lenvie. Je ressentis rapidement ses lèvres englober ma verge bien dure. Sa fellation navait rien à comparer avec ses baisers. Il maîtrisait les vas et viens par des passages rapides à des passages très lents. Sa langue dure que je ne trouvais pas très agréable en bouche, me compressait à point le gland. Je ne savais pas comment il sy prenait, mais toute sa bouche enfournait mon sexe. Parfois des lents mouvements du bout sa langue remontaient le long de mon frein et après quelques secondes darrêt, aussi brusquement des rotations fermes senchainaient sur mon gland. Cette façon de sucer était unique, elle faisait côtoyer une petite douleur dans un grand plaisir. Le dosage était subtil. Il savait jongler avec mon ressenti. Quand la tension était maximale, il savait se retirer et me lécher les testicules. Il maîtrisait dans les détails le plaisir masculin et rarement on mavait sucé ainsi. Mais lexcitation était trop forte pour être contenue. Rapidement, mon sexe est venu très dur et mes testicules ont commencé à se rétracter. Pendant que jéjaculais, je sentis ses lèvres recouvrir ma verge et sa langue se poser sur mon gland.
Tout mon sexe était réchauffé de la chaleur de sa bouche. Je sentais mes testicules se vider fortement en plusieurs jets intenses. Ce mélange buccal autour de mon sexe, de sperme chaud, de salive, de langue ma donné un profond orgasme à la fois long et libérateur.
Je retrouvais assez rapidement ses lèvres posées sur les miennes. Je glissais ma langue dans sa bouche et jy trouvais rapidement quelques traces salées de mon sperme. Cette jouissance mavait vidé si fortement que javais limpression davoir perdu le contrôle de tous mes muscles. Je sentais mes testicules froids, rétractés. Cependant, ma verge restait en semi-érection et lenvie de sexe était toujours aussi forte. « Fais-moi plaisir sil te plait ». Je pensais quil voulait une pipe, ce que je ne souhaitais pas car tout mon corps était trop lessivé pour faire quelque chose de bien. « Retourne- toi ». Cette demande me rassura car surmontable dans mon état. Mes muscles furent tellement décontractés, que je ne redoutais pas la sodomie à venir. Au contraire. Je me plaquais alors contre le mur. Naturellement, pour mieux mexécuter, jécartais les bras pour lui montrer que mes fesses étaient prêtes à laccueillir. La tête en arrière, le gout de mon propre sperme en bouche, alors que je mattendais à une tige longue coulisser sur ma raie, cétait sa langue humide qui parcourait mes reins. Elle glissa toujours aussi fermement jusquà mon ouverture. Cette langue bien que petite, mais tellement humide, faisaient écarter mes fesses de plus en plus. Mécaniquement, je tournais mon cul. Je mécartais de plus en plus pour laisser ce petit muscle sintroduire en moi. Après avoir bien humidifié les alentours, par surprise je sentis une longueur rentrer bien plus profondément en moi. Il avait enfoncé son index et son majeur si rapidement que je nai pu mempêcher de geindre. Je me mordis vite les lèvres pour ne pas quon mentende. Je sentais ses doigts caresser ma prostate. Bien que mes couilles ne semblaient plus exister, mon érection était redevenu très vive.
Pour mieux apprécier ses caresses anales, je me suis cambré. Il reglissa alors sa bouche autour de mon sexe. Ses doigts caressant ma prostate, ses coups de pompe buccaux mont fait jouir une seconde fois très rapidement. Mon éjaculation était certes moins forte, mais le peu quil me restait dénergie était désormais perdu. Je me couchai par terre, complétement épuisé, incapable de faire le moindre mouvement. Il se coucha alors derrière moi et coulissa sa bite bien raide le long de mon sillon inerte. Après quelques mouvements masturbatoires bien virils, il se repositionna, et en me susurrant un « je taime », il senfonça en moi. Lépuisement, lexcitation diffuse de mon corps, le doux son de sa voix, la pensée de son sourire ont complétement endormi la douleur de sa brusque pénétration. Je ne sais pendant combien de temps, sa verge ma fouillé, ma ramoné
. Il nhésita pas à me serrer la taille et à me tirer pour senfoncer au maximum. Jai senti sa verge tellement grossir que jai cru exploser. Au moment de jouir, javais limpression que tout mon ventre était rempli. Alors quil éjaculait, son sexe me perforait en profondeur. Son sperme chaud menvahissait. Il se retira sans difficulté de mon anus élargi et dévasté. Jétais trop comateux pour faire le moindre mouvement. Il sessuya, se rhabilla. Il me fit une bise sur la bouche en me disant « A plus tard ». Je me suis endormi, nu par terre ...
admin
Jan. 31, 2023
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