Ma Femme Devient Chienne Grâce À Son Amant Dominant Et Pervers 6 Week-End À L Hotel Partie 3

Pour rappel Bruno, le maitre de C ma femme, nous avait conviés à un week end crapuleux de 3 jours dans un hôtel bon marché. Vendredi en fin d après midi, après que Bruno lui est baisé la bouche et joui au fond de la gorge ma femme me roula un patin d enfer au goût du foutre de son amant.
Ce dernier repus de cette baise sauvage, alla s étendre sur le lit afin de prendre un repos bien mérité, en effet il avait baisé C debout pendant un long moment en la portant à bout de bras. Ma chère et tendre le rejoignis sur le lit pour le câliner. Qu elle était belle, nue, ne portant que ses escarpins vernis et ces hautes chaussettes blanche, sa poitrine encore poisseuse de bave et son cul toujours rempli par ce plug.
Bruno était allongé sur le dos, C vins s allonger perpendiculairement à lui posant sa tête sur la cuisse de Bruno, de tel sorte que son énorme chibre était au niveau de sa bouche. C regardais amoureusement son amant viril dans les yeux tout en lapant tendrement les dernières gouttes de sperme qui s écoulait de son énorme mandrin. Son maitre quand à lui, lui caressait les cheveux délicatement. Autant il pouvait être très dominant, sauvage et sadique, mais il savait faire preuve d une certaine douceur me dis je. Douceur toute relative en entendant ses répliques cinglantes.
Bruno : tu est en train de devenir une bonne pute comme je les aimes. Cela t as plu esclave ?
C : oui maitre j ai pris énormément de plaisir, mais vous n avez toujours pas joui en moi, j en veut encore.
Bruno : ne soit pas impatiente ma salope je te réserve encore plein de surprise !
C : je vous fait confiance mon maitre, je vous suit dévoué corps et âmes.
Elle continuait du bout de la langue à lui titiller l urètre, et pendant ce temps, assis par terre contre un mur j était là, effacé, le cul par terre dans les restes de mouille de ma douce, les voyant jouir de ce moment tendre. Comme absent ils avaient complètement occulté ma présence et je les regardais en me remémorant cette scène de cul d une grande perversité, tout en respirant cet air lourd qui avait envahi la chambre.


Je me levais discrètement pour ne pas les déranger dans leur moment de complicité, pour ouvrir la fenêtre et évacuer cette odeur de sexe bestial afin de rafraîchir la moiteur de la pièce.
Me voyant faire Bruno me sermonna.
Bruno : tu fait quoi le cocu ? Tu sait bien qu ici c est moi qui prend les décisions, qui t as demandé d ouvrir la fenêtre ! Cette fenêtre restera fermé tout le week end et j espère que je n aurais plus à te le redire, c’est compris petite loppe !
C : écoute ce que te dit mon maitre et ne fait pas ton relou ! Déjà que tu as la chance d être présent avec nous, ne nous fait pas chier ! Désolé maitre.
Bruno : c est rien, c est rien, ça c est une bonne petite chienne. Tout t en lui tapotant la tête comme on aurait fait à un chien, il me regardait d un regard noir, me rassoir à ma place.
Qu elle humiliation, il nous possédait ma femme et moi, qui plus est C prenait partie pour lui. Jamais je ne m était sentit aussi soumis, et lui prenait surement plaisir de cette situation à dominé son petit monde. C aussi ne se gênait pas pour m humilier au passage et ses mot : « déjà que tu as la chance d être présent avec nous » résonnait dans ma tête. Le pensait elle vraiment ou jouait elle encore à me rabaisser. En tout cas je me complaisait de cette condition de cocu servile et attendais sagement que l on face appel à moi.
Ils se sont papouillés un long moment tout les deux, se bécotant, se caressant, lui jouait doucement avec le plug anal, elle lui malaxait sa grosse bite en lui prodiguant de suaves léchouilles. Après de longues minutes, Bruno sûrement lassé de ce moment tendre, repris le dressage de ma femme.
Bruno : bon c est pas tout mais j ai envie de chier, suis moi au toilettes esclave !
C : oui maitre. lui dit elle sans hésitation
Table raze de la tendresse, place à la perversité. En entendant ces mots mon coeur s accéléra, en effet je fus pris d une grosse angoisse et suais à grosses gouttes. Qu allais t-il lui faire, allait il lui faire découvrir des jeux scato, allait elle accepter de ce plier au jeu ? Mille et une question se bousculait dans ma tête et les suivi, mon smartphone à la main, tremblotant devant la cabine WC/salle de bain.

La porte resté ouverte, j était aux premières loges pour assisté au spectacle angoissé comme jamais, j immortalisait ce moment en filmant la scène. Bruno s assit sur la lunette des toilettes et ordonna à C de s agenouiller devant lui. Il avait laissé son engin sur la cuvette pour que C y est accès.
Bruno : met tes main derrière le dos et suce moi ma salope !
C : avec plaisir mon maitre.
C n avait pas l air angoissé du tout par la situation, et comme possédé suça son chibre encore flasque posé sur la lunette des chiottes. Les mains dans le dos s était difficile pour elle de prendre en bouche se sexe lourd toujours flasque, et je la filmais essayer tant bien que mal de prodiguer sa besogne en l aspirant, en léchant autant la lunette que la bite.
Bruno se contracta et dans la foulé j entendis un « plouf » qui me rassura, il était en train de chier le salaud tout en se faisant sucé par ma femme. Il n avait donc pas décidé de partir sur un délire scato et toute mon angoisse retomba pour laisser place à mon excitation de réalisateur pervers.
Il pris C par les cheveux et recula la bouche de ma femme de sa queue. Il l a positionna devant son trou de bite sûrement pour lui pisser dans la bouche. Je voyait ses abdos de mal dominant se contracter pour expulser la merde de son collon. Une odeur de merde avait embaumé la cabine et dans un bruit de pet il ordonna.
Bruno : boit ma pisse salope !
Je vis un petit filet de pisse s écoulé de sa bite et ma douce en dessous avalant son urine goulument. Elle avait l air d y prendre plaisir car elle n avait plus les main dans le dos mais entres ses cuisses pour se caresser le clitos et se doigter la chatte. Voyant cette scène obscène et le plaisir qui en découlait je me mis à masturber ma bite déjà dure comme du bois.
Bruno : t aime ça la pisse hein cochonne ?
C : hum, slurp, j adore, elle est bonne votre pisse maitre !
Bruno : allé, boit tout garce !
Je la voyait aspirer cette urine bien jaune et odorante avec délectation et avalé une fois sa bouche rempli.
Pendant sa déglutition il s arrêtait pour ne pas qu elle en perde une goutte. Mon ange était à ce moment, à des année lumière de la femme qu elle était et était devenu une chienne dépravé au service de son maitre tout autant sadique qu elle et se fait n était pas pour me déplaire car j avais toujours rêvé de la voire ainsi. La réalité dépassait même toutes mes espérences, je n aurais jamais imaginé qu elle puisse aller aussi loin dans la soumission et la perversité.
Bruno se redressa pour se torcher le cul et tira la chasse.
Bruno : assis toi contre la parois jambe écarté !
C s exécuta immédiatement.
Bruno : ouvre la bouche maintenant !
Il tenait sa bite dans la main et commença à lui pissé dessus. Cette fois se n était pas un petit filet, mais un gros jet de pisse qui s abattus sur C. Il lui pissait partout, sur sa chatte grande ouvert qu elle doigtait avec 3 doigt, sur son visage penché en arrière, dans sa bouche qui débordait à certain moment, sur ses cheveux, sur ses jambes recouvert de ses chaussettes hautes devenu jaune pisse. C émettait des petits gémissement de plaisir dans un bruit de clapotis infernal qui traduisait son doigtage à la pisse. Son cul d où dépassait la base du plug baignais dans une marre d urine.
Bruno : haaa ! ça fait du bien, j avais tellement envie de pisser, prend ça, et encore ça !
Tout au long de cette séance d uro, C ne montra aucun signe de dégoût ni même un haut le coeur, au contraire, elle avait l air d y prendre plaisir et se délectait de se nectar doré. Pour ma part je m astiquais frénétiquement tout en filmant, étonné de voire ma femme aussi crasseuse, elle m impressionnais par sa servitude.
Une fois la vessie vidé il ordonna.
Bruno : essuie moi la bite avec ta langue ma petite pute !
C : oui maitre. Le corps encore dégoulinent de pisse, elle s exécuta comme une bonne esclave et lui goba le sexe en entier.
Bruno : tu est une bonne chienne dégueulasse toi ! Lèche moi le trou du cul maintenant, j aime avoir le cul propre.

Il sorti sa bite de la bouche de ma femme, et sans même lui laisser le choix, il se retourna, lui empoigna les cheveux et lui plaqua le visage sur son anus.
A demi étouffé par la pression que lui imposait Bruno, le visage plongé entre les deux fesses, C broutait l anus de son maitre encore maculé de merde.
C : hum, c est bon, slurp, hum. Elle se délectais et m avouera par la suite qu elle s était régalé de cette anus mal torché au bon goût de noisette.
Bruno : c est bien, haaa, lèche bien, vas y continu, t aime ça hein lécher mon anus sale hein grosse salope ! Met y la langue, voila comme ça ! Haaa !
Le sexe de Bruno s était de nouveau gorgé de sang traduisant l excitation des caresses buccale de ma femme. Il prenait son pied le salaud. Ma douce, accroupi, juché sur ces escarpins vernis pataugeant dans la pisse, passa la main entre les cuisses de son maitre et le masturba tout en continuant de lui galocher le cul.
Bruno : putain que c est bon ma chienne, je paris qu elle ne t as jamais fait ça, hein le cocu ?
Il avait raison l enfoiré, même si par le passer C m avait à de râre occasion léché délicatement l anus, ce n était sans aucune mesure avec ce boufage de cul tout droit sorti d un porno.
Tout en la tirant par les cheveux, Bruno la fit se relever et la conduit vers moi toujours le téléphone dans une main et la bite au bord d explosé dans l autre.
Bruno : maintenant que j ai le cul propre fait sentir ta bouche à ta loppe de mari !
C : non maitre, je ne veux pas l embrasser ce cocu ! Vous embrasser moi ! Enculez moi, si ça vous chante, mais je ne veux rien faire avec lui !
Mon coeur se serra d un coup, jouait elle un jeu ou l emprise de son maitre lui avait elle brouillé l esprit au point de me dénigrer de cette façon.
Bruno : allé chienne obéis. Et lui claqua le cul de sa grosse paluche.
C vins m embrassé sur le pas de la porte avec un regard mélan luxure et dégoût, et je stoppais ma video dans la foulé satisfait de mes prises de vues pour profiter du moment présent. Le visage encore luisant de bave et d urine, elle me galochait comme une vrai trainé, me crachant à la gueule, elle sentait la pisse, sa langue et sa bouche au bon gout d anus me titillais les sens et je me délectais de toutes ces sécrétion laissées sur ses lèvres.
Bruno, toujours la main dans les cheveux de C, nous interrompus en la tirant vers lui.
Bruno : c est bon les tourtereaux je vais pas vous regarder vous embrasser toute l après midi, je te rappel que tu m appartient esclave !
C : oui maitre, de toute façon je n en avait pas envie, je l ai embrassé simplement pour vous obéir ! Et me fit un clins d oeil que Bruno, derrière elle, ne pu voir.
Ce clin d oeil me rassura sur notre complicité, lucide, elle jouais le jeu à fond mais n en oubliait pas mon plaisir. Ce baisé au goût de cul et de pisse en était la preuve.
Bruno : t inquiète pas salope, je sait que tu n en avait pas envie, même s il te dégoute tu m as obéis, c est bien ! Bientôt tu n en aura que faire de cette petite bite, tu sera obsédé par les grosses bites que je vais te présenter.
C : c est déjà le cas mon maitre !
Elle était debout, blottis dans ses bras dos à lui, Bruno lui pétrissait les seins d une main tout en lui caressant la chatte de l autre, tout en frottant sa bite entre ces fesses pluggé. Ma femme me regardant fixement dans yeux de son regard provocateur, se mordillait les lèvres.
C : qu il est viril mon amant, qu il est endurant, qu il à une grosse bite, tout le contraire de toi, tu l as bien choisi mon cocu ! J ai encore envie qu il me baise comme une pute, qu il m encule à m en éclater la rondelle, qu il me baise la bouche, qu il me féconde ! Et qui sait, à force de me souiller de la sorte peut être qu un jour il prendra ta place fiotte ! Et me fis encore un clins d oeil discret.
Elle sait au fond d elle que cela m excite d être humilié de la sorte et s en amuse comme une gamine.
Pataugeant de ces escarpins vernis la flaque de pisse pas encore évacué par la douche, C se dirigea vers celle-ci pour se rincer de cette odeur âcre d urine. Elle eut à peine le temps de prendre le pommeau dans sa main que Bruno la corrigea une nouvelle fois d une grosse tarte sur les fesses. CLAC !
Bruno : tu fais quoi là ?
C : Ail ! je prend une douche.
Il lui colla le visage contre la parois, la fis se cambré et lui mit une grosse fessé.
CLAC ! CLAC !
Bruno : qui ta dis que tu pouvait prendre une douche ? CLAC ! CLAC !
C : Ail ! Ail ! je pensais que vous…
Bruno : tu pensait mal grosse salope, tu va rester crade tout le week end, à sentir la vieille pute ! CLAC ! Quand tu sortira d ici on pourra te sentir à des kilomètre à la ronde et tout les chiens en rute de ce bas monde en sentant ton odeur aurons envie de te sauter ! CLAC ! Ta compris, que je ne t y reprenne pas !
C : Han ! Ail ! oui maitre, désolé maitre. Dit elle le cul rougit par sa correction.
Il l as fis se mettre à quatre pattes et l aspergeas avec la flaque de pisse de son pied, l agrippa par les cheveux et l as dirigea, comme un maitre tient sa chienne en laisse, vers le lit. Le cul en l air, le plug anal ressortant de son anus, en position levrette elle vint tacher les draps de l urine laissé sur sa peau.
Bruno : je vais te dépuceler le cul ma coquine, tu vas t en rappelle toute ta vie !
C : ho oui mon maitre, j en avais trop envie, dépucelez moi le cul comme une bonne garce !
Bruno : supplie moi !
C : svp mon maitre enculez moi !
CLAC !
Bruno : mieux que ça !
C : je vous en supplie, défoncer moi le cul, élargissez moi l anus de votre énorme bite !
Bruno : c est mieux ! dit à ton cocu de mari de venir t écarter les fesses. Comme ça il sera aux premières loges pour voir le dépucelage anal de sa femme !
C : écarte moi les fesses ma loppe !
Ce que je fis expressément excité par ce qui allais se passer. Bruno comme dans un état second respirait fort, on aurait dit un animal, un taureau se préparant à une saillit. Il tapait sa grosse bite, d au moins 25 cm et d un d un diamètre d au moins 6 cm, sur le cul déjà rougit de ma femme.
Bruno : écarte bien toi lopette ! Allez ma salope pousse le plug comme je t ai appris.
La base était tellement large que C eut toutes les peine du monde à expulsé le morceau de latex.
Bruno : allé pousse je t ai dit ! Tout en lui biflant les fesses et lui crachant dans la rais.
Je voyait l anus de C s élargir de plus en plus jusqu à faire sortir le plug entièrement, dans un long bruit de pet incroyable, et venir tacher les drap déjà souillés par le corps de ma douce. Son anus était dilaté au maximum frisant même le prolapse, le lubrifiant que Bruno avait introduit précédemment et qui avait macéré dans son collon pendant 2 heures, suintait de son trou jusquà sa chatte déjà trempé.
Bruno y plongea de doigt directement et fis gouter son cul à ma femme.
Bruno : alors il es bon ton cul hein ?
C : Slurp ! Ho oui maitre, je veut votre grosse bite dans mon cul !
Bruno : t inquiète pas tu va l avoir bien assez vite !
Et il lui introduit délicatement son gland dans son trou béant lui arrachant par la même occasion un gémissement de plaisir.
C : HAN ! HAN ! C’est trop bon je vous veut en entier, remplissez moi le cul ! Dit elle en mordant les draps souillés.
Bruno enfonçait lentement son énorme mandrin veiné dans le cul de C qui gémissait comme une pute en chaleur. Il la pénétra jusqu’à la garde et resta au fond un moment sans bouger. J avais la vision en gros plan de cette grosse bite, écartelant le cul de ma femme, et la bite à la main je ne pu m empêcher d éjaculer une nouvelle fois.
Bruno : espèce de petite bite va, j ai même pas commencé que tu as déjà fini ! Regarde comment baise un vrai mal pédale !
Il ressorti entièrement sa queue, le cul de C était béant. Et il repris sa place aussitôt avec moins de douceur et l encula de nouveau d un grand coup de rein.
C : Ho OUII c est ça, plus fort !
Il répéta l opération plusieurs fois, ressortant complètement puis rentrant énergiquement sa bite dans se fourreau poisseux en la gratifiant au passage de cracha sur l œillet. Ma femme de son côté n était pas en reste et poussait ses fesses vers lui à chaque réintroduction de se membre épais. Quand sa bite eu enfin fait sa place, il l attrapa par la taille et commença à la pilonné vigoureusement, toujours accompagné par C qui à chaque coup de bite venait à sa rencontre. Le bruit assourdissant des claquements de leurs corps et les hurlements de ma femme, traduisait avec quelle bestialité il était occupé à lui déflorer la rondelle. Il lui défonçait littéralement le cul tout en lui disant des mots crues que ma femme avait l air d apprécier.
Bruno : il est à qui se trou du cul ?
C:HAN ! HAN ! à vous mon maitre et rien qu a vous !
Bruno : t aime ça maintenant te faire casser le cul par une grosse bite. CLAC ! lui mettant des grosse claques sur les fesses.
C : Ho ! Oui j aime ça ! Encore plus fort ! HAN ! HAN !
Bruno : c est pas la petite quequette de ton mari qui pourra te donner autant de plaisir ?
C : non ça sait sûr, ce n est qu une fiotte rien à voir avec vous, un mal puissant !
Bruno : tu la sent bien ma grosse queue ?
C : Hoo que oui vous me défoncé bien encore plus fort ! HAN ! HAN ! comme ça Ho ouiii !
Bruno avait encore accéléré le rythme et les impacts étaient d une rare violence, sûr qu elle allait boiter après ça. Il lui tira les cheveux, tout en lui maintenant la taille, ont aurait dit qu il allait la briser en deux temps sa colonne vertébrale était courbée, il l étranglais, lui mettait les doigts dans la bouche, lui mordait les épaules, lui giflait le cul, lui triturait les tétons dans une étreinte tellement hard et bestial que je me sentis tout petit à côté de lui. Spectateur de la scène et au vu de la violence de cette baise je m étais mis à l écart sur le lit pour les laissés vivre se moment de complicité à deux. Je repris mes esprit et me mis face à ma femme pour l embrasser, et entre deux hurlement de plaisir l embrassait à pleine bouche rythmé par les coup de butoir de son amant.
J entrepris de passer en dessous de son corps pour lui lécher la chatte en même temps que cette enculade féroce. Je mis un coussin sous ma tête pour me rehausser afin de lui brouter sa chatte trempé d excitation. J avais en gros plans les grosses couilles de son amant qui ballottait devant mon visage et qui parfois venait l effleurer ainsi que la vision de sa bite rentrant et sortant de l anus de ma femme. Le jus de son cul coulait jusqu à sa chatte et je m empressait de le lécher goulûment. Je lui léchais le clito comme un damné et le résultat ne se fut pas attendre, en effet sous l effet de ma langue et de cette sodomie profonde, C joui dans de grand râles, expulsant par la même occasion un flot de cyprine sur mon visage de cocu volontaire. Intérieurement j était très satisfait, car j estimais être l élément déclencheur de sa jouissance, même si Bruno soyons sincère y était quand même pour beaucoup. Elle me dira par la suite que cela l avais excité comme jamais d avoir son amant dans son cul et son cocu de mari lui bouffant la chatte.
Toujours à quatre pattes, ses jambes tremblotais durant cette orgasme long et puissant. Bruno n avait toujours pas joui, il lui dit.
Bruno : ça t excite salope de te faire bouffer la chatte pendant que je t encule salope !
C : Ho oui c est trop bon !
Il l enserra dans ses bras et toujours planté dans son anus, bascula sur le côté pour se mettre sur le dos, ma femme au dessus dos à lui. Il remonta en rampant au niveau de la tête de lit, se redressa un peut, lui écarta les jambes et continua à l enculer m offrant un spectacle inouï.
Ma femme les jambes écarté, la chatte ouverte et toujours cette énorme chibre lui limant le cul.
C : bouffe moi la chatte mon cocu !
Je ne me fis pas prier et lui introduisit ma langue au plus profond de son intimité, sentant la bite de Bruno à travers la fine parois séparant la chatte de l anus. Comme précédemment mais dans des trous différent, Bruno me fis participer en se retirant de temps à autre de son cul béant pour me le faire lubrifié de ma salive et ma langue. Je lui galochais la chatte puis quand Bruno se retirait, je lui galochais l anus et ainsi de suite pendant de longues minutes. C prenais tellement de plaisir qu elle était comme plongée dans un état second, elle repris ses esprit et dit à son amant.
C : attendez mettre j ai comme une petite envie de faire pipi !
Bruno : oui et alors ? Tu vas rester sur ma bite et ton cocu va boire se qu il peut !
C : vous êtes sûr ? je vais tacher les draps.
Bruno : pisse je t ais dit, c est pas toi qui fait la lessive non !
Bruno avait arrêté ses coups de rein, et attendait que ma femme se soulage. Jambe toujours ouverte elle écarta les lèvres de sa chatte, et commença à pisser. Je me positionnais afin de pouvoir récolté l urine que j avalais aussi sec.
Rendez vous compte de ce moment exceptionnel de ma femme enculé par son amant jambe ouverte me pissant dans la bouche à même les draps, une vision que même dans mes rêves les plus fou je n avais jamais imaginé. Cette scène ultra hard et ultra bandante digne d un porno, se déroulait là, devant mes yeux et qui plus est j y participait, j était en extase et ma femme aussi.
C : allé boit mon cocu pervers.
Elle avait laisser place à un gros jet d urine, rien à voire avec son petit jet timide du début, je ne pu tout boire d un coup et l urine de ma femme s écoulait de ma bouche pour venir souiller une nouvelle fois les draps de ce lit devenu crasseux. Elle finissait tranquillement, de l urine ruisselait sur les couilles de son amant et je lavait sa chatte de ma langue pour l essuyer. Bruno continua de lui baiser le cul pendant encore de longue minute, et ma femme fut secoué de 2 nouveaux orgasmes libérant par la même occasion un flot de cyprine sur ma gueule pour venir encore tacher ces draps puant.
Bruno : HA ! je vais jouir salope !
C : Ho ! Oui jouissez moi dans le cul maitre ! Je veut tout votre foutre en moi !
Bruno : HAAAA !
ET dans un long râle d ogre satisfait lui déchargea toute sa semence au fond du cul.
Bruno : putain que c était bon. Donne moi le plug cocu !
Il était toujours planté en elle et aussitôt sa bite enlevé le remplaça par le plug pour lui reboucher l anus contenant son sperme encore chaud.
Bruno : Voila ma chienne j ai marqué mon territoire et tu va rester avec mes effluves dans ton cul le temps nécessaire.
C : j ai adoré me faire défoncer l anus, mon cul est et restera à vous toute ma vie.
Sur ces mots elle s endormi direct, rincer par cette sodomie qui restera graver à tout jamais dans sa mémoire de néo esclave sexuelle.
Repus physiquement Bruno s endormi à son tour en cette fin d après midi du vendredi, me laissant songeur de ce début de week end, qui pour ce premier jour était un feu d artifice de bestialité, de perversité, de sensualité et de découverte de ma femme se libérant sexuellement.
Vivement la suite de son apprentissage me dit je…

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