Le Feu D'Artifice Du Prof De Pennis

Ça y est, les vacances étaient enfin arrivées. Je prenais mes quartiers pour 6 semaines dans notre villa du sud de la france à proximité de Saint-Tropez. J’adorais cette maison, achetée il y a 10 ans, dans laquelle nous avions fait beaucoup de travaux, et au-delà des souvenirs familiaux que j’y avais, je m’y sentais particulièrement bien. Cet esprit vacances, farniente, confortable était ma bouée d’oxygène annuelle. C’était une villa contemporaine à quelques kilomètres de Saint-Tropez et à deux pas de la mer. Entièrement rénovée et idéalement située, cette villa d'architecte d'environ 300 m2, aux prestations haut de gamme, bénéficiait d'une vaste pièce à vivre, de grands volumes et de deux belles terrasses. Son exposition plein sud, et ses grandes baies vitrées nous offrait une totale luminosité et une vue exceptionnelle sur la baie avec au loin l’île du Levant et de Port Cros. On avait fait refaire une cuisine américaine neuve ainsi que les 4 chambres dont 1 en suite parentale ainsi que tous les aménagements extérieurs avec dernièrement la piscine, qui intégrait un second petit bassin de relaxation dans le prolongement du premier, juxtaposé et en contre bas une vitre en débordement séparant les 2 bassins, mais permettant d'avoir une vue en perspective de toute la piscine. Cet ensemble nous permettait de profiter pleinement du jardin et de ses essences méditerranéennes. Sereine et détendue, je partageais sur Instagram, quelques photos de paysages et de cet environnement luxueux dans lequel j’étais heureuse d‘évoluer. J’eu la bonne surprise de recevoir un message de Louis, coach sportif que j’avais rencontré quelques mois plus tôt, lors d’une cure en suisse, et qui pour l’été travaillait dans un centre de remise en forme à proximité de la maison. Voulant planifier un programme précis de remise en forme tout au long de ces 6 semaines, Richard m’invita à prendre contact avec lui, afin de bénéficier de ses conseils et de son encadrement. Il accepta rapidement, nous proposant un forfait le matin pour des cours privé à la maison de Bodybalance.

Il m’avait aussi proposé un accès dans son centre qui permettait d’avoir accès à la plage privé et un certain nombre de soins, ainsi qu’au centre de remise en forme diététique.

J’attaquais donc mon programme intensif dès la première semaine, avec le regard bienveillant de mon mari, qui lisait le journal, alors que je m’activais sous l’encadrement de Louis. Transformée en sportive avec un legging croisé FeatherFit et un top couleur: bleu ciel unicolore long, je me préparais pour une première séance matinale. Louis utilisait une bande son inspirante, commençant avec des assouplissements grâce à quelques mouvements simples de yoga qui englobaient des éléments de Tai Chi et de Pilâtes. Il me faisait aussi travailler ma respiration partie intégrante de tous les exercices, améliorer ma souplesse et renforcer ma ceinture abdominale, tout en réduisant le stress, créant un sentiment durable de bien-être et de sérénité. Chaque séance matinale d’1 heure était soigneusement conçue, accompagnée de musique créant un cours complet qui offrait à mon corps un état d’harmonie et d’équilibre. Lors de notre troisième séance, Louis accentua le travail sur les différents types de respiration, ventrale ou thoracique, afin d’apprendre à mobiliser mon diaphragme pour mieux respirer et mieux me détendre. J’étais assise en tailleur au bord de la piscine en position du Lotus, avec Louis derrière moi et mon mari toujours plongé dans son journal.
- Ancrez vos fesses dans le sol et poussez le sommet de votre crâne vers le ciel en gardant le menton rentré. Commencez par expirer en vous redressant et non l’inverse, le ventre rentre automatiquement sans forcer. Maintenez 5 secondes « poumons vides » en apnée...
Alors que je suivais ses instructions, je sentis ses mains se poser sur mes cotes en dessous de mon abondante poitrine, maintenant fermement ma cage thoracique afin d’accen l’exercice. Il me fit reprendre l’exercice de respiration une dizaine de fois, pendant lesquelles je pouvais sentir la pression de ses mains en dessous de mes gros seins.
Il m’aida ensuite à me coucher sur le dos, mes deux genoux pliés pour que mon mollet droit se retrouve sur ma cuisse gauche. Je passais mon bras droit sous ma jambe droite pour attr mon genou gauche. Dans cette position « Supta Kapotasana », Louis, placé derrière moi, avait son visage juste au-dessus du mien remontant délicatement ses mains sur ma poitrine, tout en me fixant droit dans les yeux, plongeant sous mon top saisissant mes gros seins à pleines mains. Il avait planifié cet exercice, afin d’être masqué de mon mari, en masquant de mes jambes ses mains exploratrices. Il me souriait en me pelotant les seins, alors que paniquais, je le laissais faire. Ses doigts titillaient mes tétons, afin de m’exciter davantage, je fermais les yeux et me mordais les lèvres afin de ne pas gémir, tout en gardant cette position qui masquait cette agression mammaire que j’étais en train de subir. Il me libéra rapidement, me laissant reprendre mes esprits, allongée sur le dos. La séance continua encore pendant plus de 30 minutes avant qu’il ne prenne congé. Je le raccompagnais à sa voiture laissant Richard à la piscine, évitant d’aborder l’épisode précédent, quand arrivé près de son véhicule, il me poussa contre la portière, et m’embrassa avec passion. J’essayais de le repousser, mais collais à lui, je subissais son baiser gourmand.
- J’ai trop envie de toi ma belle. Depuis la Suisse, je n’ai cessé de penser à toi... Laisse-toi faire ma belle...
- Louis, stop s’il vous plaît, mon mari et juste à quelques mètres...
- Je sais que tu as envie autant que moi, allez, laisse, toi faire...
- Non, s’il te plaît...
Sa main plongea entre mes cuisses me malaxant la chatte avec vigueur, réveillant mon excitation... Il me caressa pendant quelques minutes, glissant sa main en dessous de mon leggins pour enfoncer ses doigts en moi. Il me doigtait avec ferveur, pouvant sentir l’effet qu’il me procurait.
- Louis, non pas ici, s’il te plaît...
- D’accord, mais promets-moi que ce n’est que partie remise ?
- Oui, c’est promis, maintenant, tu dois partir.
..
Il m’embrassa, et quitta la villa, me permettant de rejoindre Richard qui m’attendait au bord de la piscine. Je m’installais sur le transat assis à côté de mon mari, reprenant mes esprits suite à cette séance très particulière.
- Tu es toute essoufflée ma belle, il te fait de l’effet ton coach...
- Voyons Richard ne soit pas ridicule, il n’a même pas 30 ans...
- Je sais que tu aimes les petits jeunes, en attendant, tu m’as excité comme un fou dans ta tenue de sportive, si tu venais t’occuper un peu de ton mari ?
- Ohhhh, tu es vraiment un vieux cochon lubrique...
- Exactement, un lubrique qui veut jouer des belles mamelles de sa femme...
Il me prit par la main, et m’attira vers lui. Je me positionnais face à lui et baisais mon top libérant mes gros seins alors que son sexe bien dur se dressait face à moi. Je le pris entre mes belles miches, le masturbant avec passion. Il se laissait faire alors que je tenais fermement son sexe coincé, et que je le branlais avec passion.
- Ouiiiii, continue ma belle, branle moi... La prochaine séance avec ton coach, je veux que tu le suce en cachette, pendant que je te materais prendre son sperme dans ta bouche de pute.
- Ohhh Richard...
- Allez active toi ma belle, je sens que je vais me vider sur toi... Ohhhhhhhhhhhh, Ouiiiiii prends mon foutre dans ta face de salope !!!!!!!
Il me gicla sur le visage toujours coincé entre mes gros seins se soulageant rapidement, laissant son sperme se répandre sur l’ensemble de mon corps. Les quelques jours suivants qui précéderent l’arrivée des s, furent pour Richard l’occasion de me faire l’amour à plusieurs reprises, bestialement, dans les endroits insolites et toujours surexcité par la présence de Louis qui continuait à me coacher.

Il était comme un qui avait besoin de son over dose de sexe, sachant que les semaines suivantes seraient plus calmes dû à la présence des s qui allaient envahir la villa avec leurs conjoints respectifs, limitant notre intimité à notre espace parental, tout en profitant du soleil, apéritifs, barbecue, plage, sieste, à la recherche d’un repos bien mérité.
Ma fille avait cependant souhaité faire une randonnée à cheval aux Salins de Giraud. Passionnée d’équitation, elle avait son Galop 7 depuis plusieurs années et montait en club. Richard lui avait offert pour son anniversaire une magnifique Jument «Electra» avec laquelle elle participait à de nombreux concours. Moi-même ancienne cavalière, je l’avais accompagné pendant toutes les années de l’adolescence. Nous les avions déposés au club pour un départ prévu à 7H le matin, pour une randonnée à partir des Salins sur la plage de Piemanson en Camargue vers l’embouchure du Rhône dans les dunes, avec un retour à 18H30. En fin d’après-midi, Richard et moi attendions le retour des cavaliers. Le club était grand, installé sur un terrain de 8 hectares, avec un club House de 80m², une sellerie, un rond de longe, une carrière de dressage, une carrière d'obstacles et 17 Boxes individuels, chacun isolait, avec enclos. Habillée avec une robe de style bohème, rayée bleu et blanc à carreau, j’avais opté pour une coupe mi-longue en trapèze à ourlet avec volants. Printanière et rafraîchissante, la forme était régulière à bretelles sans manches avec taille haute, mise en valeur par une ceinture large blanche en tissu. Ma fille m’informa par SMS de son retard de 30 minutes. Pour patienter, nous nous baladions main dans la main dans le club, visitant les structures quasi-déserte sous le soleil de ce mois de juillet. Richard m’entraîna dans un box à chevaux isolé, qu’il s’empressa de refermer derrière nous.
- Qu’as-tu encore en tête...
- Tu vas vite le savoir ma beauté... Fais-moi un beau show... Une belle danse bien aguichante pour ton mari qui va repartir dans 2 jours...
- Tu es vraiment incorrigible...
Il s’assit sur un tabouret alors que je commençais une danse érotique, diablement sexy en bougeant mon corps avec confiance, je me sentais irrésistible. Je me pavanais dans le box, marchant dans la pièce comme le ferait une professionnelle, très séduisante, bougeant mes hanches de haut en bas faisant glisser lentement mes mains sur mon corps pour donner un avant-gout de la suite à mon homme. Je me pavanais d'un air nonchalant autour de lui en continuant de faire bouger mes hanches, tout en caressant son épaule. Je m’assis sur ses genoux ma poitrine dirigée vers son visage et les fesses légèrement relevées, enroulant une jambe derrière son dos et passant un bras autour de son cou. Nos corps déjà très proches, j’approchais mon visage du sien et penchais la tête pour l'embrasser, ne lui faisant qu'un petit baiser rapide. J’enlevais alors lentement mes jambes pour me tenir debout entre ses cuisses écartées et plaçais mes mains sur ses genoux et avançais vers son visage. Je m’abaissais lentement tout en faisant bouger mes hanches de droite à gauche dans un mouvement de 8 jusqu'à ce rongé par le désir, il essaya de m’attr par les cheveux. Je le repoussais fermement tout en restant en face de lui, et en faisant glisser mes mains sur mon corps, de haut en bas. Je me retournais, lui tournant le dos et secouais mes fesses près de son entrejambe, de son ventre et remontais jusqu'à son visage. Je continuais à bouger et à baisser mon corps sensuellement mettant mes mains jusqu'au sol. Mes fesses face à lui, il devenait complètement fou. Ne pouvant plus résister, il se leva, et m’attira à lui, plaquant sa grosse main sur ma poitrine volumineuse, libérant mes belles mamelles en baissant mon décolleté avec force. Il m’embrassa avec gourmandise alors que son autre main s’était faufilée en dessous de ma robe se glissant sous ma culotte. Il plongea ses doigts dans mon vagin et me masturba avec ferveur. Je sentais ses doigts en moi alors que sa langue m’embrassait tel un serpent lubrique. Je jouissais sous cette pression, mais également excitée par le show que je venais de faire.
- Tu vas me sucer maintenant ma pute, mets toi à genoux et ouvre ta belle bouche.
Assise dans ce box, mes gros seins à l’air libre, j’engloutis son sexe bien dur, alors que ses mains s'accrochaient à mes cheveux me tenaient fermement.
- Oui, comme ça, suce-moi bien ma pute. Montre-moi que tu es une bonne butineuse...
- Hummmmm, Hummm, Hummmmmm
- Ohhhhh, oui cette langue, continue !!!!!
- Hummmmm, Hummm, Hummmmmm
- Je vais te jouir sur ta face de pute ma belle !!!!!
- Hummmmm, Hummm, Hummmmmm
- Ohhhhh, t’es trop bonne, demain, je veux que tu fasses un tennis avec ton coach et que tu le suces...
- Hummmmm, Hummm, Hummmmmm
- Ouiiiiiiiii !!!!!!!!!
Il me gicla dans la bouche. Je faisais attention à bien prendre tout son sperme dans ma bouche afin d’éviter les traces douteuses, avalant son liquide entièrement ce qui l’excita encore plus...

Fidèle à sa demande, je pris rendez-vous avec Louis pour le lendemain. Parmi les services collectifs de la co-propriété, un court de tennis avait été mis en place. Son fonctionnement, son entretien et les règles relatives à son utilisation avaient été adoptés en assemblée générale, et nous permettaient un accès permanent, avec réservation. Situé dans un cadre de verdure ombragé, le court était en brique pilée bénéficiant d’un petit cabanon en bois. Les besoins en eau étant beaucoup moins importants que sur les courts de terre battue traditionnelle. J’avais rendez-vous tôt le matin avec Louis pour un court d’une heure. Pour l’occasion, j’avais un ensemble blanc avec une mini-jupe évasée pratique pour le tennis, le golf ou le yoga, ainsi qu’un top blanc à bretelles sans manche et encolure dégagée. N’étant pas une joueuse experte, et ne pratiquant que de manière très occasionnelle, je n’étais pas la partenaire idéale. Louis me proposa de travailler mon service et s’installa à mes côtés, afin de m’aider à améliorer mon mouvement.
- Non Patricia, tu lances mal ta balle et ton corps est mal positionné. Accompagne ta balle le plus haut possible avant de la lâcher. En fait, ta balle doit monter dans le prolongement de ton bras et elle doit tourner le moins possible.
Il était derrière moi, et après plusieurs essais infructueux, il m’attrapa par les hanches afin de corriger ma position. Je sentais ses mains posées sur les courbes pulpeuses de mon corps, alors qu’il se collait à moi.
- Hummmmm, j’ai envie de toi, Patricia, tu es trop désirable.
- Louis, voyons pas ici, soyons discret...
- Il n’y a personne autour de nous et le court et protégé et discret...
- Ohhhh, Louis tu es un démon...
Ses mains s’étaient posées sur mes gros seins qu’il pétrissait avec désir. Je me laissais faire, me doutant que mon mari était en train de nous espionner à partir d’un bosquet, observant sa femme qui allait se faire baiser par son jeune coach.
- J’ai envie de te baiser la belle bourgeoise...
- Non, Louis pas tant que mon mari sera la...
- Alors suce-moi...
Il me poussa à genoux devant lui, sortant son sexe, qu’il poussa entre mes lèvres... Je l’avalais entièrement, alors que mes seins libres étaient palpés par ses mains-fortes. Je sentais son membre dans ma bouche, aller et venir, alors qu’il me tenait fermement par les cheveux accentuant mes mouvements de tête...
- Hummmmm, Hummmmmm, Louis, on va nous voir d’ici, allons dans le cabanon
- Attends, j’ai une autre idée...
Il me poussa vers le centre du terrain, plus discret, et passa de l’autre côté du filet qui nous séparait l’un de l’autre.
- Voilà, reprenons le cours de « Pennis » belle dame, mets toi à genoux, on va travailler ton revers buccal...
Il passa son sexe au travers des mailles du filet qu’il refourra dans ma bouche, reprenant sa pression sur mes cheveux... Il me baisa la bouche pendant plusieurs minutes poussant des grognements de plaisir et de désir. Ma langue était autour de son sexe. Je le buvais le mangeais, lui dévorais sa grosse bite, dont le pouvais sentir les spasmes d’excitation entre mes lèvres... Il me pistonnait la bouche, ne pouvant me baiser le vagin, il avait décidé de me baiser la bouche, quand dans un ultime coup de reins, il se vida entre mes lèvres me recouvrant le visage de son sperme chaud et abondant...
- Ohhhhhhh quelle salope...
- Hummmmmmm, vite, mon mari va arriver bientôt, il voulait faire quelques balles aussi...
Il se rhabilla rapidement, juste avant l’arrivée de Richard qui souriant nous rejoignait pour le second set... Ils échangèrent quelques balles avant que Louis ne reparte, me laissant seule avec mon mari pour finir la partie...
- Bravo ma beauté quel spectacle, tu m’as bien excité. Ça t'a plu de sucer ton coach sachant que je te matais derrière le bosquet.
- Richard, tu es un vrai pervers...
- Viens ici ma pute, j’ai trop envie de toi. Maintenant, une petite correction s’impose. Je vais marquer ton gros cul, viens dans le cabanon...
Tous les deux dans le cabanon, il me releva ma jupe blanche et me baissa la culotte à mi-cuisse. Tenant fermement sa raquette, il me fessa mon gros cul avec, marquant ma croupe de la marque du cordage. Clac, Clac, Clac, Clac...
- Prends ça sur ton gros cul ma pute...
- Hooooooo, Richard, doucement...
Après quelques minutes de ce traitement, il me releva la cuisse et me prit debout par-derrière, me pénétrant violemment et me pilonnant la chatte comme un fou. Il faisait coulisser son membre, m’emmenant rapidement vers un premier orgasme rapide. Sa main droite me malaxait mes gros seins alors que son sexe allait et venait entre mes cuisses. Il continua à me prendre debout comme une vulgaire catin pendant de longues minutes, ne se préoccupant pas de mes gémissements et du bruit que nous faisions.
- Viens ici ma pute, je vais t’enculer sur le banc.
- Ohhhh Richard, tu es fou...
Afin de mieux me préparer, il enfonça son doigt dans mon petit trou, qui avait pour effet de vaincre les premières résistances de mon sphincter. Il me massa le contour de l’anus en exerçant des petites pressions avant de pousser son doigt pour relaxer l’entrée de mon cul. C’étaient toujours les premiers centimètres qui provoquaient chez moi le plus de sensation. Il appuyait en excercant des pressions successives tout en tournoyant ce qui me provoqua un premier plaisir. Assis tous les deux sur le banc, il me sodomisa enfin en levrette, enfonçant son gros membre dans mon petit anus dilaté. Il avait introduit son pénis doucement, en marquant des temps d’arrêt me permettant de me décontracter. Il raffolait de cette pratique animale qui d’un point de vue anatomique lui donnait plus de sensation, alors que pour moi, c’était un acte d’amour et d’abandon. Il m’encula pendant de longues minutes alors que mes gémissements faisaient place à des cris plus intenses. Craignant que mes gémissements attirent l’attention de nos voisins, il me força à ouvrir la bouche et à mordre une balle de tennis qui me servit de bâillon, alors que sa bitte me détruisait le cul. La situation était sur-réaliste et d’un fétichisme complet. Moi en levrette dansant sur sa grosse bite bien enfoncée dans mon gros cul, et en train de mordre une balle de tennis pour atténuer mes cris. Je n’en pouvais plus, je jouissais comme une folle, remplie de sa bitte et mon corps malaxait par ses mains intrusives qui me palpaient mes grosses mamelles. Au bout d’un ultime coup de rein, il se vida enfin dans mon petit trou, poussant avec passion chaque goutte qui sortait de son membre. Il se retira enfin, laissant le sperme s’expulser naturellement de mon anus dilaté, et m’embrassa avec passion.

Il repartit quelques jours plus tard, me laissant seule avec les s, ainsi que ma belle-sœur et son mari, qui devait, restait avec moi jusqu’à la fin du séjour. J’avais donc décidé l’alterner mes cours de body balance avec des séances dans le club de Louis. Le centre faisait partie d’une chaîne d’hôtels de luxe 5 étoiles et avait ouvert à l’année. Dédié à la perte de poids, au sport et au bien-être, à quelques minutes de Saint-Tropez, le centre était installé dans un paysage préservé, poumon vert de la côte varoise au bord d’une plage sauvage de sable fin. Avec une vaste salle de fitness, des salle de cours, un bassin semi-olympique chauffé, des cabines de soins et de consultation, saunas, hammam et douche à neige, le Shape Club accueillait les résidents qui souhaitaient être accompagnés dans leurs objectives minceurs. Chacun était encadré et motivé par une équipe de professionnels bénéficiant des conseils d’un médecin nutritionniste. Pour ma part je ne souhaitais que profiter du confort de l’espace privée et de ses transats. Je m’installais donc en limite de la plage pour la matinée afin d'être tranquille et avec un petit-déjeuner sain pour les sportifs du matin. J’avais un maillot bleu de la collection Ajourage Couture des collections balnéaires de la marque Lise Charmel avec un haut en triangle sublimant ma silhouette et mettant en valeur mon décolleté tout en simplicité. Le slip de bain séduction était très échancrée me rendant irrésistible avec une élégance décontractée. Pour ajouter à la carte de la sensualité et du glamour, ce slip de bain possédait un jeu de liens qui habillait et sublimait la courbe de mes hanches. Installée dans mon sunbed, je me laissais bercer par un parfum de dolce vita, mêlant maquis méditerranéen, sable chaud et embruns marins. Le soleil brillait, et la température était parfaite. En fin de matinée et alors que j’étais en train de me remettre de la protection solaire, Louis me proposa une boisson fraîche.
- Merci, c’est gentil de ta part...
- Tu veux que je te mette de la crème dans le dos.
- Ohhh oui s’il te plaît...
Je m’allongeais sur le ventre, et me laissais tartiner de crème par Louis, donc je connaissais les talents de masseur depuis ma visite au centre de cure de Luzerne. Ses larges paumes, posées sur mon dos, étalaient la crème de manière douce et sensuelle, provoquant en moi un léger frisson, qui ne lui échappa pas. Il enduit mon corps de crème remontant ses mains sur mes jambes et mes cuisses et sur mes épaules et mon dos. Une de ses mains longea le dessous de l’élastique de mon slip, alors que je sentais sa seconde main remonter l’intérieur de mes cuisses qu’il tenait à pleine paume laissant son pouce s’attarder sur mon entre-jambe. Cette caresse inattendue provoqua une réaction, qui me fit contracter les cuisses, alors que je sentais son pouce se frotter au tissu titillant mon vagin sensible à cette caresse...
- Ohhhhh, Louis ne serais tu pas en train d’r de la situation...
- Je te désire, belle cliente, j’ai envie de toi...
- Ça va être un peu compliqué sur cette plage chèr coach.
- Dis-moi que tu en as envie aussi...
Je ne répondais pas, laissant ses mains jouer sur le bas de mon dos, et entre mes cuisses, quand je sentis son pouce qui venait de se frayer un passage en dessous de ma culotte me caressant ma chatte chaude et humide...
- Ohhhhhhh, Louis... Que fais-tu ? Hooooooooo, non...
- Chut, laisse, toi faire...
Il continua sa caresse pendant quelques minutes, masquant mon corps avec le sien des yeux des autres clients qui ne prêtait pas attention à nous, avant de pousser son pouce entièrement entre mes cuisses au plus profond de mon vagin.
- Louis !!!! Tu es complétement fou ???? Arrête tout de suite !!!
- Ton corps te trahit ma belle, regarde, comme tu bouges tes belles fesses...
- Ohhhhh, Louis, arrête s’il te plaît, tu vas me rendre follle... Ouhhhhhhh
- Viens avec moi dans ma cabine de massage, et j’arrête...
- Ohhhhhhhh, Louiiiiiiisssss....
Il continuait de me masturber avec son pouce, alors que je m’étais écroulé sous mon transat afin de ne pas gémir... Je sentais sa main en moi qui me possédait, sans attendre un quelconque consentement de ma part... Je contractais mes cuisses sous la pression de sa caresse, j’allais jouir...
- Alors, tu viens avec moi...
- Ohhhhhh, oui oui, je vais te suivre.
- Très bien, cabine numéro 2 dans 5 minutes...
Je pris quelques minutes, pour retrouver mes esprits, et me diriger vers sa cabine afin de le rejoindre. Il m’attendait à l’intérieur, et referma la petite pièce à clé, avant de m’attirer à lui pour m’embrasser avec fougue. Sa langue plongeait en moi alors sa main droite, s’était glissée sous mon slip entre mes cuisses, et je pouvais sentir ses doigts envahir mon vagin. Il était surexcité, et allait me baiser comme une folle rapidement et brutalement dans cette petite pièce. Au bout de quelques minutes de caresses entre mes cuisses ; il me poussa sur le ventre sur sa table de massage me couchant entièrement pour se positionner au-dessus de moi. Je sentais enfin son sexe s’enfonçait entre mes cuisses me pénétrant doucement. Dans un dernier coup de rein, je pus enfin sentir son dard bien ancré profondément entre mes cuisses. Allongé sur mon dos, il me pilonna avec vigueur. Il était hystérique et déchaîné, m’attrapant par les cheveux, afin de me relever la tête tout en continuant à me labourer les reins, avec force. La table grinçait, résonnant dans cette petite pièce, alternait par les bruits de son sexe qui coulissait en moi.
- Bouge-moi ton gros cul, ma belle, ahhhhh depuis le temps que j’attendais ça, tu es en train de jouir ma salope !!!!
- Ohhhhhhh, Ouiiiiiii, Nonnnnnnnn, Louissssss !!!!!
- Oui, c’est bon, tu aimes te faire pilonner, dis moi que tu aimes ça, je veux t’entendre...
- Ohhhhhhh, Ouiiiiiii, doucementtttt !!!!!!!!
- Je vais te sodomiser ma beauté, te prendre ton petit trou, dis moi que tu veux que je t’encule maintenant...
- Nonnnnnnn, seulement mon mari, est autorisé à me prendre par mon petit trou, je ne veux pas...
- Allez laisse toi faire, donne moi ton petit trou...
- Non Louis, j’ai dit non !!!!!!
Devant mon refus de lui donner mon anus, il continua à me défoncer encore plus fort, me faisant jouir comme une folle. J’avais perdu tout repère et le laissais jouer avec mon corps, me transportant d’orgasme à plusieurs reprises, quand dans un ultime coup de rein, il se vida entre mes cuisses en grognant écroulé sur mon dos.
- Haaaaaaaaa, tu es trop bonne... Mais j’aurais ton petit trou avant ton départ ma bourgeoise, c’est une promesse.
- Louisssssss........
Je ne le contrariais pas, ayant de toute façon bien décidé de ne pas lui donner ce qu’il voulait. Nos séances se poursuivirent pendant plusieurs jours. Ne pouvant me baiser à la maison, il profitait de mes visites au club pour me prendre dans sa cabine, chaque jour essayant de me sodomiser sans succès.

Les vacances arrivées à leur terme, et je passais la dernière semaine, avec ma belle-sœur et son mari, alternant les séances de body balance à la maison et les visites au club. Mon nouvel amant profitait de chaque occasion pour me posséder et je devais trouver des stratagèmes pour freiner ses ardeurs et son appétit parfois incontrôlable. Il m’avait proposé une soirée sur Port Grimaud, ou il logeait pour la saison, afin d’assister au feu d’artifice annuel des Prairies de la mer. Comme tous les ans, les Prairies de la Mer faisait honneur à leur image en proposant plusieurs feux d'artifice, nous émerveillant par les palmiers magiques qui éclataient dans le ciel et se reflétaient dans l'eau. C’était, le temps d’une soirée, le théâtre de superbes feux, avec en arrière-plan la ville de Saint-Tropez. J’avais pour la soirée revêtue une robe de style bohème, blanche en coton, mi-longue avec une coupe trapèze un col en V et une broderie anglaise. À manche courte, j’avais serré ma taille avec une ceinture afin de mettre en avant mes formes pulpeuses.

Nous profitions de quelques instants avant le dîner pour flâner dans le port. Bien que plus récent que le village médiéval, Port Grimaud séduisait un bon nombre de marins et de touristes, tous conquis par le pastel des maisons colorées. Nous terminions par une visite de l'église Saint-François d'Assise, qui était un des points d'intérêts avec une architecture simple en son intérieur. Après avoir gravi plus de 80 marches pour accéder au toit de l'église, nous découvrions une des vues les plus magiques. Je montais seule avec Louis, ma belle-sœur préférant faire les boutiques de souvenir. Une fois arrivé sur la plateforme, structurée en forme de L, je m’installais du coté village afin d’observer cette vue magique sur le massif des Maures. Je sentis Louis derrière moi, qui m’avait coincé dans l’angle de cette plateforme masqué par la porte.
- La vue te plaît à ma belle bourgeoise ?
- Louis, ne serais-tu pas en train de profiter encore une fois de la situation ?
Sans une parole, il glissa une main en dessous de ma robe, et je pouvais sentir ses doigts se poser sur ma culotte blanche. J’essayais de le repousser, réalisant que j’étais coincée et masquée par mon amant entreprenant. Toujours silencieux, je sentis ses doigts se glisser sous ma culotte, alors que de sa main gauche, il m’enserra les poignets appuyés sur la rambarde de ce belvédère. D’un coup sec, son index plongea en moi, dans mon petit trou que je lui avais interdit durant 2 semaines…
- Louis !!!!!!!
- Trop tard ma belle, ton anus est à moi…
Il s’enfonça en moi, profitant de l’endroit pour me soumettre et m’empêcher de me rebeller. Je sentais son doigt qui jouait entre mes fesses, déclenchant une réaction immédiate accentuant mon désir. Son corps derrière le mien, et ma robe mi-longue, masquaient ce viol anal dont j’étais la victime. Il se plaquait contre mon dos, et je pouvais également sentir son membre bien dur se frotter contre moi, alors qu’il continauit à me doigter le cul.
- Louis, s’il te plaît, arrête.
- Que si tu me promets de me donner ton gros cul ce soir pendant le feu d’artifice…
- Non Louis, tu sais que je ne veux pas
- Alors je continue ici…
- Ohhhhh Louis….
Il accéléra sa masturbation anale, activant son doigt dans mon rectum, qu’il dilatait avec force et autorité, anéantissant toutes objections de ma part. Je ne me contrôlais plus, et m’abandonnais à cette caresse, tout en espérant que personne ne remarque notre jeu et cette absence totale de pudeur. Je gémissais discrètement, coincée sur cette plateforme, et possédée par mon amant, sentant ce désir m’envahir auquel je savais ne pouvoir résister.
- Ohhhhhhh, nonnnnnnnn…
- Alors tu acceptes ?
- Ohhhhhh, oui, c’est bon, tu as gagné…
- Alors trouve une excuse pour venir regarder le feu d’artifice de mon balcon.
- Ohhhhhh, oui, je vais trouver…. Ohhhhhhh
Il stoppa sa caresse, me laissant reprendre mes esprits avant de rejoindre ma belle-sœur au restaurant chez Lily’s. C’était un restaurant rafiné qui revendiquait la confection de plats uniquement à partir de produits frais avec une coquette terrasse au bord de l’eau. Durant le repas, je sentis ma belle-sœur sensible au charme de mon masseur, faisant du gringue ouvertement devant son mari. Agacée, par ce comportement que je trouvais indécent, peut-être aussi, un peu jalouse, en voyant mon amant qui n’hésitait pas à rentrer dans son jeu, je profitais de l’occasion.
- La vue sur la plateforme est magnifique, mais je doute que l’on puisse trouver une place…
- Oui, c’est vrai que c’est vraiment petit, en plus, il ne faut pas tarder pour y aller.
Je proposais à ma belle-sœur de profiter de la plateforme avec son mari, pendant que Louis et moi devions observer l’événement à partir du port. On se sépara à la fin du repas, et je me rendais en compagnie de Louis à son appartement situé au dernier étage d’une petite maison donnant sur le port de plaisance de Cogolin. Il avait loué un T2 avec mezzanine entièrement refait à neuf au dernier étage, « Cosy« , douillet, et lumineux, il offrait une magnifique vue sur les canaux et les collines sans aucun vis-à-vis, disposant d’un balcon spacieux avec salon de jardin. Il m’invita à entrer, refermant la porte derrière lui, et m’attrapa par les hanches pour me pousser et me coincer contre la porte d’entrée.
- Avant de profiter du feu d’artifice sur le balcon ma belle, tu vas avoir droit à quelques préliminaires.
- Louis, tu es un démon….
Il m’embrassa avec fougue, plongeant sa langue entre mes lèvres gourmandes, alors que je pouvais sentir sa main se frayer un chemin en dessous de ma robe remontant le long de mes cuisses jusqu’à mon entre-jambe. Il se glissa sous ma culotte prenant ma chatte en feu à pleine main, alors que sa main gauche me pétrissait mes gros seins au travers de ma robe blanche. Ses doigts plongèrent entre mes cuisses prenant possession de mon vagin afin de me masturber vigoureusement, alors que sa bouche plongeait sur mes mamelles laiteuses qu’il mangeait et dévorait avec frénésie. Je sentais la succion de sa langue sur mes tétons durcis alors que sa main, qui s’était emparée de mon entre-jambe, coulissait férocement entre mes grandes lèvres. Je gémissais, soufflais, miaulais comme une chatte en chaleur, alors que sa main gauche m’étranglait par le cou, accentuant encore plus ma soumission et sa domination. Il me garda comme cela pendant plus de 10 minutes jusqu’à ce qu'après un râle ultime orgasmique, je jouis bruyamment…
- Voilà, ma belle, je savais que tu allais jouir belle pute, regarde-toi, tu es toute excitée…
- Ohhhhh Louis, tu m’as fait jouir… Laisse-moi te sucer maintenant….
- Non pas tout de suite beauté, tu sais ce que tu m’as promis, en plus le feu d’artifice va commencer…
Il me prit par la main et m’entraîna vers le balcon, faisant face aux Marines et à la baie de Saint-Tropez, me poussant face à la rambarde du balcon… Il releva ma robe et me descendit ma culotte à mi-cuisse, et plongea à nouveau son doigt dans mon petit anus.
- Tu aimes sentir mon doigt dans ton petit trou beauté, dis le moi…
- Ohhhh doucement Louis, je suis sensible de ce côté…
- Prépare-toi, car une fois bien dilaté, je vais te mettre ma grosse bite dans ton gros cul. Dis-moi que tu as envie que je t’encule…
- Ohhhhhh, Louis oui, tu peux me sodomiser, mais doucement
- Pas sodomiser, j’ai dit enculer !!!!
- Oui, vas-y encule moi !!!!!! Fourre-moi ta grosse queue dans mon petit trou !!!!
Il retira son doigt et me sodomisa avec force et puissance. Je sentais sa grosse bite m’envahir, alors que ses mains de masseur avaient libéré mes gros seins, qu’il malaxait avec frénésie. Il poussa son sexe au plus profond de mon sphincter, ramonant mon trou du cul avec violence. Sa main gauche, toujours palpant mes gros seins, il utilisait sa main droite afin de me tenir par les cheveux tel un cavalier domptant et dominant sa pouliche rebelle.
- Remue-moi ton gros derche belle pute….
- Ohhhhhh, Ouiiiiii
- Oui, comme ça, je t’avais dit que je posséderais ton anus ma salope…
- Hummmmmmmm, Ohhhhhhhh
Il me plaça sa main sur ma bouche afin de me bâillonner évitant d’alerter ses voisins. Nous étions à l’extérieur, sur son balcon, dans une obscurité total, juste éclairé par le feu d’artifice qui venait de démarrer, et pendant que tout le public était fasciné par ces couleurs féeriques, je me faisais enculer violemment par mon amant. Je gémissais de plus en plus bruyamment, forçant Louis à me ramener à l’intérieur de la pièce, me positionnant à quatre pattes en levrette face au feu d’artifice pour continuer à m’enculer. Toujours trop bruyante, il m’arracha ma culotte toujours coincée entre mes cuisses afin de me l’enfoncer dans la bouche et de limiter la portée de mes gémissements.
- Allez ma pouliche, bouge moi ce gros cul
- Hummmmm, Hummmmmm
- Oui, comme ça, t’es bonne, j’adore te prendre ton anus de bourge.
- Hummmmm, Hummmmmm
Je m’écroulais, face au sol, toujours pilonnée par ce forcené, qui me violait le cul, abusant de toutes mes formes plantureuses. Il utilisait mon corps sans états d’âme, juste comme bon lui semblait, sans se préoccuper de moi. Je jouissais comme une folle, sous les va-et-vient de son sexe hystérique, rythmait par les claques qui m’appliquaient sur ma croupe rouge vive. Mon corps était détruit par la puissance de mon amant qui me baisait tel un prédateur en rut ravageant et enculant sa proie captive. Il continua à me sodomiser pendant toute la période du feu d’artifice. Au terme de sa résistance, il me redressa le visage, en tirant sur mes cheveux, me forçant à observer le feu d’artifice qui arrivait à son terme.
- C’est le bouquet final ma pouliche, regarde le beau spectacle…
- Hummmmmm, Hummmmmm,
- Ohhhhh, je vais te gicler au fond de ton gros cul….
Il se vida en moi, alors que je voyais ces lumières flamboyantes rayonnées dans la pièce, poussant chaque goutte de son précieux liquide au fond de mon anus… Je repris mes esprits et me réajustais rapidement afin de rejoindre ma belle-sœur, et de rentrer à la villa, alors que mon retour à la maison était prévu pour le lendemain. J’allais enfin retrouver mon mari pour nous préparer pour une rentrée ambitieuse.

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