La Sexualité Compulsive De Florence : La Première Expérience Au Candaulisme (Partie 5/ 15)

En 2018 je ne trouvais toujours pas de travail, Alex ne me proposait plus de mission. Les matins, je restais à l'appartement épluchant les offres d'emploi sans succès et l’après-midi je les réservais pour mes live show. Cela faisait une bonne quinzaine de jours que je faisais l’amatrice webcam devant l’écran et je ne l’avais encore pas dit à mon compagnon. À la mi-janvier, je venais de finir un « one privé » devant un gros type qui venait d’éjaculer devant moi, je me préparais pour un nouveau client. Alexandre ayant une très bonne nouvelle à m’annoncer rentra bien plus tôt à la maison. En effet, il avait eu vent qu'un poste en CDI de secrétaire de direction se libérait, je devais impérativement envoyer ma candidature, le plus vite possible :
— Coucou chéri, c’est moi. Cria Alex jovialement.

Je répondis d’une petite voix en sortant des toilettes. Sur la table du salon il vit sur l'écran allumé de ma tablette, ma photo en sous-vêtements au milieu d'un échange de messages. Il regardait mon profil sur ce site porno rassemblant vidéo, webcam, histoires érotiques, ainsi qu'une messagerie.
Je pénétrais dans le salon, vêtue uniquement avec les mêmes dessous que sur la photo et mine de rien, après l'avoir embrassé de façon passionnée et enfiévrée je lui dis :
— Je voulais te dire que j’avais ouvert un compte sur le site depuis deux jours, j'ai fait une galerie de photos et je tchate avec des mecs !

Lui continuait à regarder mes photos où j’apparaissais sur certains clichés plus qu'exposée, cuisses largement ouvertes, je montrais tout ce que j’avais de plus intime.
— Flo chérie que tu te montres en photo ne me gêne pas, au contraire je trouve cela excitant, mais on voit aussi bien ton visage que ta chatte, et les photos ça se copie. Va savoir où elles vont se retrouver !
— Mon chéri, j'assumerai si des connaissances disent m'avoir vue à poil sur le net. Tu sais j'ai aussi fait des "cam to cam" je me godais pendant que le mec se branlait, ça chauffe crois moi.


— Pareil pour ça, tu sais que le mec en face peut tout enregistrer, alors tant qu'il le garde pour lui ça va, mais s’il poste la vidéo qu'il a enregistré sur un site vidéo de cul ... tu vois la suite ?
— Heu oui !!! Bon tous les mecs ne sont pas tordus.

Je pensais que cela lui plairait, je m’étais renseigné sur son penchant candauliste, cette forme de multi-sexualité conjugale de moins en moins taboue. Alexandre, éprouverait ainsi une intense stimulation érotique par le fait de voir, entendre ou savoir que je prenne du plaisir dans les bras d’un complice du couple. Mais visiblement, il avait raison, si je continuais sur cette voie, j’aurais de grosses difficultés à trouver un emploi dans ma branche.

À ce moment-là, après une courte pause je rajoutai :
— Tu sais je veux bien tenter ton expérience de tes envies de candaulisme.
— Florence, ça me ravi bien sûr, mais j'espère que tu es sincère, si tu acceptes juste pour me faire plaisir, ce n’est pas la peine, c'est une décision individuelle que nous mettons en commun qui fera la réussite de notre couple.
— Crois-moi mon chéri, j'en ai très envie autant que toi, je suis certaine que cela sera bénéfique pour nous deux.
— Heureux de ta décision vraiment. Sinon autre bonne nouvelle il faut que tu envoies ta candidature pour cet emploi d'assistante de direction, c'est Pierre mon collaborateur qui me la donnée, il connait un peu la boite pour avoir passé une convention. Par contre mets-toi sur ton 31 car l'assistante qui était en poste était toujours très séduisante, donc le patron doit apprécier une belle assistante, avec tes compétences, tu as toutes tes chances, je le sens bien ce coup-ci.
— Je suis contente, j'espère que tu dis vrai. Ah, tu veux que je clôture mon compte sur le site ?
— Pas du tout, fait comme tu as envie, amuses toi exhibes toi selon tes envies, mais si tu devais concrétiser une rencontre avec un mec du site, tu m'en parles avant.

— Bien sûr mon amour, je ne te cacherai rien, viens là toi que je te montre comme je t'aime !

Une heure de feu d'artifice sexuel s'en suivi. Je n’avais pas encore 30 ans, j’obtins le poste d’assistante de direction dans cette PME d’une soixantaine d’employés, grâce à mes connaissances du droit social et de la convention collective dont dépendait l'activité de l'entreprise. Mais lors de l'entretien d'embauche, le décolleté de mon léger chemisier dévoilant, selon mes mouvements, la dentelle de mon soutien-gorge, la jupe courte laissant entrevoir la dentelle de la jarretière de mes bas et peut être plus, à la faveur d'un croisement de jambes, avaient probablement participé à la décision finale de mon patron.

Depuis mon embauche, j’avais repris gout à la vie. Chaque matin Alex était émerveillé de me voir me préparer, prendre soin de mon maquillage, de ma coiffure, et de la façon de m'habiller, exacerbant ma sensualité. Il me complimentait et imaginait le nombre de mâles qui allaient fantasmer sur moi et essayer d'obtenir mes faveurs. Le soir je lui racontais ma journée, le plaisir que j’avais eu à me savoir admirée et complimentée. De jour en jour je reprenais de l'assurance sur mes capacités de séduction et d’attirance physique auprès des hommes de tout âge.

Alexandre m'avait prévenue que nous tenterions notre première aventure candauliste à la fin de sa période d'essai. Ce qui nous avait laissé du temps pour établir un cadre et fixer les règles du fonctionnement des nouvelles pratiques de notre couple dans ce domaine. Néanmoins, une franchise absolue afin de ne rien nous cacher était indispensable. J’aurais une totale liberté sexuelle, je pourrais rencontrer mes futurs amants où je voulais et quand je le désirais. Ces aventures sexuelles pourraient être suivie ou unique, je devais juste l'avertir avant, afin qu’il assure ma sécurité. Par contre, je ne pouvais refuser les éventuels partenaires qu’il me choisirait avec lesquels je devais baiser devant lui.
Mais quoique nous fassions, l'essentiel était de partager nos émotions, nos envies et nos craintes.

Le jour « J » arrivait, début mai, à la faveur des jours fériés, nous avions tout orchestré. Je devais passer la soirée avec mes deux amies de facultés, Audrey et Magali en discothèque. La présence d’Alex à proximité me rassurait, et ne dérangeait pas mes copines redevenues célibataires. Ce soir-là, en sortant de la chambre, un tout petit blouson court à la main, Alex me trouva magnifique, avec un petit haut rose pâle moulant, manches courtes à large encolure descendant au ras de mes seins nus sous le fin tissu, les tétons semblant vouloir percer le fin coton, le bas de mon top dénudait une bande de la peau de mon ventre. En dessous je portais une courte jupe de forme légèrement trapèze m’arrivant juste en dessous de la bande de dentelle des jarretelles de ses bas marron fumé. À mes pieds, j’étais chaussée de fins escarpins à talons de 10 cm. Il s’approcha de moi en me félicitant pour ma beauté, il souleva ma petite jupe et me dit en bloquant sa main : « Alors culotte ou pas culotte ? » Devant son air interrogateur, je remontai ma jupe et il découvrit un string en tulle légèrement brodé, entièrement transparent :
— C’est pire que si tu étais nue. Me dit-il en souriant.
— Mon chéri, tu vas finir par gober une mouche, alors string ou pas string ? Sans, les mecs pourront plus facilement doigter les trous de ta petite cochonne de femme.

Alex était à l'étroit dans son caleçon, avec mes paroles, il était à deux doigts d'éjaculer sans s'être touché !
— Mon amour, je crois que le string ne sera pas un obstacle pour celui qui voudras te doigter, ne change rien tu es bien bandante !
— Je vois ça. Lui dis-je
Tout en posant ma main sur son érection, mes doigts l'effleuraient par d'infimes pressions.
— Bon ! Faut y aller, nous allons finir par être en retard.
— Pfftt, on dit que la ponctualité est une qualité, mais là ça devient un défaut !
— On se rattra plus tard, allez vient.

— Moi oui, toi je ne sais pas. Lui répondis-je en riant.

Nous rejoignions le bar à tapas, mes deux amies arrivèrent un gros quart d'heure après. Elles étaient toutes les deux vêtues dans le même registre que moi, Alex était tout heureux d’avoir trois beautés devant lui et il ne n’était pas le seul dans ce cas. Lorsque je me rendis aux toilettes, il comptait le nombre de têtes qui se tournaient sur mon passage et imaginait les pensées malsaines qu'ils avaient en tête. Comblé de voir sa Florence offrir la sensualité de son corps, aux yeux de tous.

Pour le trajet jusqu'à la boite de nuit, j’étais dans la voiture des filles, et Alex nous suivais derrière. Arrivée sur le parking nous étions sorties du véhicule dans un total état d'hilarité. Je vins le rejoindre aussitôt :
— Tu as vu les cinq mecs qui croyaient nous allumer. Ils sont restés tout cons, quand on leur a montré nos seins et nos culottes. Je me suis même laissée doigter.
— Les filles vous êtes des diablesses, mais vous avez raison amusez-vous.

Sur le chemin de l'entrée Magali lui dit qu’il était super de me laisser la liberté de faire ce que je voulais et que j’étais hyper amoureuse de lui. Nous avions déposé nos blousons au vestiaire, les deux videurs ne pouvaient s'empêcher de nous mater et en regardant Alex, ils devaient se dire « Il ne doit pas se faire chier celui-là avec ces trois canons ». Ça gonflait son égo à mon homme, il passa ses bras sur mes épaules et celles d'Audrey en avançant au cœur de la discothèque.

Après une halte au bar, nous étions sur la piste de danse déjà bien garnie. Durant dix petites minutes nous dansions tranquillement, six jeunes hommes s'approchèrent de nous faisant semblant de les ignorer. A la faveur du changement de morceau, trois autres garçons se glissèrent entre nous, nous isolant l'une de l'autre. Chacune était entourée de trois prétendants, Alex devait avoir des difficultés à me distinguer avec ce rideau de corps lui masquant une vue directe.

Plus tard, ayant besoin de nous désaltérer, nous avions rejoint Alex au bar. Magali nous expliquait qu'un mec ne s'était pas gêné pour lui mettre par deux fois la main aux fesses. Et la réponse d'Audrey fusa : « de quoi tu te plains ce n'est pas ce que tu veux ? » Éclat de rire général, je restai quelques minutes avec mon homme tandis que mes deux copines étaient retournées danser. Je lui demandai s’il ne s'ennuyait pas :
— Comment pourrais-je m'ennuyer en regardant danser, la plus jolie fille de la soirée ?
— Je t'aime mon chéri ! Lui répondis-je en soudant mes lèvres aux siennes

Je rejoins la piste de danse, il prenait plaisir à me voir évoluer gracieuse, sensuelle dans mes ondulations rythmées. Quatre hommes étaient autour de moi. Tout en regardant Alex, je m’aperçus qu’il parlait avec un ami, j’étais collée dans mon dos par un homme, je frottais mes fesses contre son sexe, mon cavalier avait une main sur mon bas-ventre et l'autre sur ma poitrine. Ma nuque posée sur son épaule, je lui disais en souriant : C’est bon de sentir ta queue contre mon cul ». La main de l'homme empaumait et caressait mon sein. Il me fit la bise dans le cou, j’ondulais de plus belle mon bassin, je sentais son sexe raide contre moi. Mon danseur descendit sa seconde main sur mon pubis, ses doigts presque entre mes cuisses.

Quelques instants plus tard, le copain d’Alex s'avança, bien décidé vers la piste de danse. La main de mon cavalier était remontée légèrement, ses doigts s’étaient glissés sous le fin tissu, le mouvement de la main dévoila mon sein à la vue de tous, alors que les doigts de son autre main étaient sur mon pubis bien plus qu’humide.

L’homme que je devinais l’ami de mon chéri, se plaça à côté de nous presque à nous toucher, et sans se soucier de mon cavalier, posa sa main sur mon autre sein. Devinant qu’il était envoyé par Alex, je ne le repoussai pas, il en profita pour me caresser. Ce drôle de copain était gonflé, il osait, devant ma passivité et celle de mon partenaire d’un soir, poser son autre main sur le haut de ma cuisse, en retroussant ma courte jupe. Il dévoilait le triangle noir du string, ses doigts se faufilèrent entre mes cuisses légèrement écartées, j’ouvris un peu plus le compas de mes jambes pour lui faciliter l'accès à mon intimité.

Je me laissais caresser comme si nous étions seuls au monde, j’ignorais les dizaines de paires d'yeux braquées sur moi. Ce fut mon cavalier qui mit fin au spectacle en m’emmenant par la main vers un petit box à l'écart. Je ne vis plus mon homme au bar, je l’avais perdu de vue, la salle était à présent bondée, mais je savais qu’il avait dû nous suivre et qu’il se trouvait non loin de moi. J’étais avec Jérôme, assis sur une banquette occupée par trois autres jeunes hommes. Il m’avait servi un verre, il avait passé un bras sur mes épaules, sa main négligemment posée sur son sein.

Les trois autres tout en discutant nous regardaient. Après avoir déposé son verre sur la table basse, il m'embrassa dans la pénombre, pendant notre baiser passionné, Jérôme vint dénuder un sein et l'autre main retroussa ma petite jupe jusqu'en haut des cuisses, j’écartai largement mes cuisses afin que mon amant puisse caresser mon intimité, pendant que je lui massais sa virilité.

Je vis enfin Alex au comptoir, mes deux amies accompagnées de leur boy-friend, lui firent la bise en quittant l’établissement, elles avaient trouvé ce qu’elles étaient venues chercher. Quelques minutes plus tard, je savais que c’était pour moi le moment de conclure. Je demandai à mon partenaire de me suivre à l’extérieur. En passant devant le bar, je fis un signe de tête à mon chéri en lui souriant, afin qu’il nous suive. Il comprit et nous emboita le pas vers la sortie.

Une fois dehors nous longions le mur de la bâtisse et tournions à l'angle. Je vis se faufiler Alex entre les voitures stationnées, se retrouvant à une petite dizaine de mètres de nous. Je me retrouvai vite, seins nus et jupe retroussée jusqu’à la taille, Jérôme ne savait plus où donner des mains. Je m'accroupis, défit sa ceinture et sa braguette, j’écartai les pans de son pantalon et sortis une belle verge bien raide. Après l'avoir branlé, je le suçais, léchais son gland, gobais ses couilles. Je me mis à le pomper énergiquement, j’avais sa bite en entier entre mes lèvres, Jérôme gémissait, il se tendit et dans un borborygme éjacula dans ma bouche. Je lui fis le plaisir d’avaler son sperme, j’aimais cela et ça m’avait très excité.

Nous nous rajustâmes et nous étions retournés vers la boite lui ayant passé un bras dans mon dos, il laissa sa main glisser sur mon derrière, retroussant ma jupe et me laissant ainsi les fesses à l'air :
— Tu es fou ! Tu montres mon cul. Lui dis-je en ne faisant rien pour la rabattre.
Trois quarts d'heure plus tard, Alex et moi étions rentrés, je lui racontai ce qu’il n’avait pu voir, ni entendre. Lui m’avoua qu’il avait eu de drôles de sensations. Néanmoins, il était certain que ça l’avait terriblement excité et qu’il était heureux pour moi :
— Je t'aime encore plus fort ma chérie.
— J’ai très envie de te faire l'amour.

Après une nuit de folie avec Alex, il me tardait d'aller plus loin la prochaine fois. Je vous raconterai cela dans quelques jours.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.

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