Collection Dominant Domine. Faire De Ma Femme Une Chienne En Chaleur (4/4)
Putain, quelle chance je me trimbale, le maître moffre une de ses soumises, madame
Blanche mannequin international.
Madame Blanche qui doit être d'origine touarègue vue sa morphologie et sa peau très
lisse.
Elle attaque fort, sa bouche est déjà autour de ma bite.
Ses dents de carnassière pourraient faire de moi un eunuque si lenvie lui en prenait.
- Décontracte-toi, et appel moi Blanche laisse tomber les « Madame ».
Tu es une bite, je suis un vagin et notre plaisir sera de nous éclater pour que je plaise
à mon maître.
- Tu lui restes fidèle pourtant si tu fais les plus grands défilés, les hommes les
plus riches doivent vouloir te donner des fortunes pour tentraîner dans leur lit.
- Escorte, entre deux défilées, jai gagné des fortunes à travers le monde.
Mais très vite mon maître ma manqué et je suis revenue vers lui.
- Je peux dire que jai de la chance.
- Non, tu as payé pour récupérer une salope et je fais partie de ce que tu dois
apprendre pour satisfaire ta femme.
Jai suivi son parcours, dans la chambre du maître avec ses deux autres soumises que tu
aurais pu choisir.
Ta femme est de celle qui apprend très vite, jétais un peu comme elle quand le maître
ma reçu la première fois, regarde le parcours quil ma fait accomplir.
Pendant quelle me parlait, sa bouche ma délaissé, mais elle est remplacée par sa main
qui me masturbe.
Je bande comme un taureau, mais avec des bourses moins pendantes.
Viens sur le lit, je vais te sucer la chatte, dis-moi comment je dois faire pour
satisfaire la petite pute que jai vu être dépravé depuis que je lai laissé aux mains de
deux beaux gosses.
Jai une furieuse envie de lui demander si elle connaît le blanc et si son tatouage
représente bien une sirène.
Mais jai trop peur quelle se lève ramasse sa robe blanche pour senfuir, retrouver
celui qui malgré son grand âge les subjuges toutes.
- Deux manières de faire avec ta bouche.
La première classique, ta femme écarte ses cuisses et tu viens la lécher doucement très
doucement.
Oui, comme ça cest bien.
- Et la deuxième, laisse-moi me mettre à quatre pattes, cest ma position favorite,
la levrette.
Maintenant, ta langue tu la fais courir, de mon clito jusquà mon anus.
Pour mon anus, en bonne professionnelle du sexe, je me suis fait un lavement avant de
venir.
Dailleurs, la canule et leau tiède ont déclenché en moi une première jouissance,
premier signe dune soirée réussit.
Cest la première fois que je lèche une femme surtout cette farouche gazelle du désert
avant de magenouiller derrière elle, lui empoigner les hanches et après la pilonner à
grands coups de reins.
Une fraction de seconde, je pense à Laury, mais jabandonne rapidement afin de me
concentrer sur ma première maîtresse.
Je veux tenir le coup craignant, une panne rapide si jéjacule trop vite.
- Cest bien, tu te retiens, cest important de satisfaire sa femme dès la première
fois.
Si tu as payé pour en faire une salope, cest que tu las loupé sa première fois, mais tu
as pris la bonne décision en la confiant à notre maître à tous.
Jacuzzi, pour nous décontracter sans pour autant voir ma petite.
Quel con, penser à sa femme alors que vous avec certainement les femmes de ce harem les
plus bandantes.
- Monsieur, réveillez-vous, la dernière étape de linitiation de votre femme va
bientôt commencer.
- Merci mademoiselle où est Blanche ?
- Partie, comment ça, je me suis retenue toute la nuit, je me souviens quelle me
disait que bien des femmes aimaient dominer le mâle et quil faudrait que souvent ma
femme vienne sempaler sur moi.
- Vous avez dû vous endormir et madame Blanche a dû être frustrée !
- Et moi, je suis frustré mendormir alors que jai une des plus belles filles de
Paris dans mon lit, je suis un minable.
- Déjeunez, je viens vous conduire devant votre écran et ce soir vous aurez une
chance de repartir avec votre femme et davoir la petite femme souhaitée à votre
dévotion.
Je déjeune, les croissants sont tout chauds et le café divin même si dans mon for
intérieur je me traite de tous les noms.
La nouvelle jeune femme me met devant mon écran qui sallume comme si les gens qui
dirigent tout ça voyaient que je suis là.
- Votre femme aujourdhui va être initiée à la partouze.
Si vous savez y faire, elle vous suivra dans vos délires, par exemple tester les clubs
échangistes.
Je suis moi-même mariée et mon mari my emmène presque toutes les semaines.
Nous y sommes allés la semaine dernière, quatre hommes mont baisé pendant quil
regardait, il est candaulisme.
Ma caméra est dirigée vers la cage où ma femme dort.
Un seau deau lui est jeté dessus.
Ça la réveille plutôt efficacement.
Je vois quelle a mangé ses croquettes et quelle a tout bu leau à sa disposition.
Celui que je prends pour Fred ouvre sa cage et elle le suit.
Jignore ce quil se passe jusquà ce que limage me montre un salon avec plusieurs
canapés dépoque.
Un, deux, trois, cinq couples sont là.
Tous ont des masques même une femme que Fred rejoint formant le sixième couple.
Je dois me tromper, Françoise est brune celle-là est blonde.
Il est vrai que les perruques permettent de changer de look, mais la poitrine de cette
femme est bien plus grosse que celle de la femme de mon amie.
Et cette caméra qui refuse de me montrer ce tatouage.
Le bruit habituel quand le maître apparaît, toujours aussi vieux.
- Mes amis, la jeune femme qui est encore attachée à sa laisse, elle va être libre
de ses mouvements.
Elle est à vous mes fidèles parmi les fidèles.
Apprenez-lui tous ce quil lui reste à acquérir avant que je revienne lui proposer son
avenir.
Tout pivote, il disparaît.
Qua-t-il voulu dire par cette proposition davenir ?
Dans quelques heures, je vais récupérer Laury et la baiser toute la nuit sans mendormir.
Toute la journée, elle passe de main en main, les couples formés au début se mélangent
rapidement.
La compagne de celui que je prends pour Fred la bourre une nouvelle fois pendant quelle
fait minette avec celle qui semblerait être sa femme.
Combien de fois ses divers organes sexuelles dont sa bouche sont pénétrées, puis arrosées
de cyprine et de sperme.
Elle-même expulse de grandes quantités de liquide sécrété par ses glandes.
Je suis sûr au fil du temps de récupérer la chienne que Fred ma promise.
Jusquau bruit et au maître qui apparaît toujours aussi royal.
- Merci mes amis, je vois que vous avez passé un bon après-midi.
Laury rejoignez-moi.
Ma femme rejoint le maître.
- Qui est votre maître ?
- Vous monsieur.
Extraordinaire, la docilité de ma femme, elle sagenouille et sans quil lui demande,
elle lèche les escarpins de ce vieux débris.
- Très bien, mon , regardez sur votre gauche.
Deux portes, lun simple, lautre surmontée de mes armoiries.
La porte simple si vous la choisissez, vous retrouverez celui qui vous regarde et qui
vous fera une vie avec des s, des tromperies et finira par vous devenir
indifférent.
Si vous passez par mes armoiries, ma berline vous conduira dans mon autre château où vous
vivrez parmi mes adeptes une vie de plaisir et de luxure.
Faites votre choix.
Je vois ma femme se lever, jaurais pu espérer quelle hésite, mais cest dune démarche
sur, drapé dans sa dignité quelle rejoint les armoiries et disparaissant à ma vue.
Le maître lui aussi disparaît.
- Monsieur, vous avez joué avec le feu et vous vous êtes brûlé.
Jai mal pour vous, remettez vos affaires et prenez cette porte.
Vous les remettrez dans la camionnette qui va vous raccompagner chez vous.
20 000 pour me faire piquer ma femme.
20 000 pour mapercevoir que je suis cocu.
Le voyage du retour me semble bien plus long quà laller jusquà ce que la voiture
sarrête que la porte me libérant.
Je descends, la voiture repart.
Rendu chez moi, je comprends pourquoi ça ma paru plus long, toutes les affaires de Laury
sont parties me prouvant que son choix est définitif.
Je me couche à sa place dans notre lit et je pleure toutes les larmes de mon corps.
Et dire que pendant des années chaque fois que mon relevé bancaire arrivera je verrais le
prix de sa trahison.
Au matin, cest mon portable qui me réveille.
- Salut, cest Fred, alors tu tes éclaté cette nuit après votre retour.
Laury est comme Françoise une belle petite chienne en chaleur.
Je renifle un coup.
- Tu renifles, Thierry, tu pleures, merde, Laury a choisi les armoiries.
Comprenant certainement que je pourrais lui casser la gueule, il raccroche à jamais.
Pendant plusieurs jours, je cherche sur Internet un château où une communauté avec un
gourou qui y vivrait.
Rien, même à létranger.
Je cherche même du côté de chez Dracula.
Cest devant la porte du commissariat que je prends conscience de ma situation.
Comment dire à un policier que je suis cocu et que jai payé 20 000 pour lêtre !
Il est onze heures, on sonne à la porte, je me cuisinais des lasagnes au buf, jouvre.
- Ça sent bon, tu veux partager ?
- Bien sûr, Françoise, tu es seule ?
- Oui, Fred ton pote est parti comme chaque semaine, vendredi, samedi et dimanche
comme le week-end dernier.
Je sais quil ta proposé le parcours faisant de nous des chiennes.
Je le suis devenue pour quil mignore.
Je te propose de combler ta solitude.
Voilà, je voulais une chienne, je lai, nous baisons souvent elle sur moi comme ma
appris Blanche que nous voyons défiler à Rome alors que Françoise vient de me sucer
divinement.
Nous avons mangé les lasagnes sur son ventre et sur le miens.
Le samedi matin, je lemmène chez mon pote vider ses armoires et surtout son livret de
caisse dépargne et des bons au porteur.
30 000 , il va savoir ce que le mot cocu veut dire.
Le dimanche, il doit partouzer avec une autre future soumise au maître.
Nous nous partouzons dans le club échangiste près de chez nous.
Le maître peut aller se faire foutre.
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