Le Manoir Du Péché (9)
Jétais en train de maffairer à mettre des buches de bois dans le panier quand jai sentis un corps féminin se plaquer dans mon dos, mais surtout une main experte faire le tour de ma personne pour sintéresser ensuite activement à cette partie de lanatomie masculine que les femmes ne posséderont jamais, enfin jusquà maintenant !
Jai émis un petit rire de fausse surprise. Sachant très bien à qui appartenait cette mimine. Cétait tout bonnement celle dAnnabelle. Qui profiter de labsence de son mari partit dès laube sous dautres cieux, pour assouvir encore une fois sa soif de sexe.
- Encore-vous
ai-je entendu lui dire. Madame est vraiment une dévoreuse.
Juste derrière moi, sa voix cristalline sest faite très câline pour me dire :
- Je ne suis jamais rassasiée, jamais ! Tu devrais le savoir tout de même.
Jai tourné la tête vers larrière et dans un souffle, je lui ai
Lancé :
- Que puis-je faire pour satisfaire Madame ?
- Que tu me suives jusquà ma chambre !
- Oui, mais que Madame veuille bien mexcusé, mais jai encore quelques choses urgentes à finir.
- Et bien ! Fais ce que tu dois faire, mais après
jexige que tu viennes me rejoindre. Je pense que je nai pas besoin de dindiquer le chemin de ma chambre. Fit-elle en se frottant contre moi avec des mimiques gourmandes.
- À tout de suite ! A-t-elle ajouté.
- Oui Madame.
Tel un conquérant face à une nouvelle terre, je me suis sentis fier de monter les marches. Rempli dune excitation qui sest répondu dans tout mon corps, et que jai essayé tant bien que mal à canaliser. Et cela jusquà ce que jarrive devant la porte. Jai toqué sur cette dernière et Annabelle ma invité à entrer.
Sitôt la porte fermée, la coquine est venue de nouveau se blottir contre mon torse, avec une audace qui ma stupéfié sur le moment, et dune main maladroite, elle sest activé à ouvrir ma braguette.
- Ooh
Fit-elle. Je ne peux
pas
Hhh
men empêcher
Le contact de ses doigts chauds à la peau fine et douce a fait tressauter mon sexe. Une fois mis à nu, elle sest penchée sur lui. Jai senti le souffle chaud. De ses lèvres douces et moelleuses, elle a enserré ma tige de chair, avant de me laspirer avec une grande délicatesse, presque avec une certaine timidité. Mais au fur et à mesure, elle a accéléré le mouvement. Plongeant sa bouche de plus en plus loin, mabsorbant de plus en plus profondément. Dodelinant de la tête et soufflant à mesure quelle faisait disparaître ma verge entre ses lèvres. Puis après avoir bien salivé mon pieux, elle sest mise à me pomper, nhésitant pas à changer de rythme.
Plus que jamais, cette bourgeoise était vraiment une bonne vicieuse comme je les aimais. La salope que désire tout homme normalement constitué. Une femme à la sexualité débridée. Qui aimait dominer, commander, contrôler son désir. Et cest pour cela que jacceptais sans limite, ses caprices.
Très vite, jai sentis des picotements annonciateurs dune prochaine jouissance. Cest pourquoi que jai tenté de sortir mon sexe de sa bouche, mais cétait sans compté sur la coquine, qui elle, semblé au contraire, insister pour la recevoir. Me boire. Jai alors joui au fond de sa gorge. Elle a longuement joué de sa langue pour me nettoyer des dernières gouttes de sperme rebelle. Quand elle a jugé que la toilette était terminer, elle sest élevée jusquà ma bouche pour me tendre ses lèvres, que je me suis empressé à cueillir. Elle a profité de cette étreinte pour me faire parvenir un peu de restes de ma jouissance.
Sans plus attendre jai glissé mes mains sous son peignoir pour les poser sur ses fesses. Elle a collé son ventre contre le mien, comme pour minviter à mieux prendre possession de son cul. Jai malaxé son fessier. À sentir les coutures de sa culotte qui couvraient lintégralité de son généreux postérieur. Toujours en malaxant le derrière de Madame à pleines mains, elle ma lancé un :
- Je compte sur toi pour me faire atteindre le septième ciel.
Un sourire pervers sétait installé aussitôt sur ses lèvres.
- Mais pour ça je veux que tu viennes avec moi. A-t-elle ajouté.
Docile, je lai suivi jusquà la salle de bain, où elle memmena.
- Pourquoi là ? Fis-je.
- Cela ne sexplique pas ! Une envie voilà tout !
Elle ma attiré jusquà la cabine de douche toute vitrée. Son petit jeu a eu pour effet de me brûler lestomac. Attisant si jen avais encore besoin, un véritable incendie chez moi. Puis Annabelle ma fixé, de ses yeux remplis de malice. Et ans me lâcher du regard, elle ma lâché :
- Tu ne le sais surement pas, mais ma chatte narrête pas de mouiller pour toi ?
- Madame est-elle devenue boulimique ?
Cela la fit sourire, avant dajouter :
- Évidemment. Elle a très envie que tu la caresses et que tu lembrasses, comme tu las fait à chacune de nos rencontres.
Jai pris cela comme un défit. Et ce défi, javais bien lintention de lhonoré. Alors jai commencé à promener mes doigts, le long de sa jambe. Annabelle a tout de suite, gémi. Me chuchotant ses gémissements à même mon oreille, qui furent absolument délicieux à entendre.
- Humm
cest bon ce que tu me fais
ma-t-elle murmuré.
- Vraiment Madame ! Madame est bonne !
Je me suis saisi de la ceinture de son peignoir et jai tiré dun coup sec. Dans laction les deux pans se sont ouverts et comme par magie sa poitrine mest apparue. Maintenue par un soutien-gorge blanc transparent, assortie au slip. Annabelle a glissé une main dans le bonnet pour le remonter au-dessus du sein. Avec deux doigts, elle a étreignit le téton. Jai penché ma tête au-dessus, et jai happé une pointe, que jai serrée doucement entre mes dents. Puis dans un excès dexcitation, jai mordu dans le gras du sein avant de le lécher. La bourgeoise a soufflé de contentement. Elle était très excitée, au point dexiger de moi que je la prenne, là tout de suite.
Je lui ai demandé pour cela de se tenir à la barre chromée servant de rampe, et de me tendre son cul.
Elle était dans un tel état dexcitation quelle faisait du nimporte quoi. Allant jusquà lécher la paroi vitrée de la douche. Elle a envoyé une de ses mains se caresser le clitoris, et lautre sur ses seins.
Nespérant plus rien de la position où nous nous trouvions, jai soudain stoppé mes mouvements de va-et-vient pour lui demander de changer dorientation. Je lai fait sappuyer contre le mur de verre, et je me suis collé à elle. Puis jai ramené mes mains sous ses fesses, en même temps je les ai malaxé. Elle a enroulé ses jambes autour de ma taille. Sarrimant à moi. Jai tiré de nouveau, la culotte sur le côté car elle avait tendance avec les poussées, à venir se ramasser dans la fourche. Une fois son sexe nue, je me suis mis à frôler sa vulve avec le bout de mon membre.
- Mets-moi là ! Cest un ordre ! Sinon je te vire.
Malgré la menace je ne lai pas écouté, continuant mes mouvements lents en menfonçant un peu entre ses lèvres imbibés de mouille, sans jamais la pénétrer. De temps en temps je marrêtais même et, la soutenant dune main, je me servais de mon autre menotte pour me saisir de ma queue et faire frotter mon prépuce sur le clitoris. Elle ne mit pas longtemps à réagir.
- Oui, continu ! Je vais jouir, oui je viens, narrête pas, encore narrête surtout pas, oui, continue, continue, oui
oui
oui !
Et elle a joui. Jai profité de son orgasme pour plonger ma queue dans sa chatte. Elle a crié sous leffet de la surprise. Je lai collé contre la paroi et jai remué de plus en plus vite.
- Tu vas me manquer ! Ma-t-elle lancé alors que je sortais de la douche. Les jambes en coton.
- Mais que Madame se console, elle reviendra !
- Oui ! Mais quand !
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