Collection Cocu. Le Poulain. Saison V (18/20)

Une nouvelle fois ma vie a pris un tournant inimaginable lorsque j’ai épousé Louis fils de bonne famille gérant l’un des plus grands haras de Normandie.
La lumière du jour, nous venons de franchir la Manche et je suis en Angleterre.
Mon lord est là sur le quai toujours aussi élégant.

- Ton voyage s’est bien passé !
- Un peu impressionnant lorsque je pensais aux tonnes d’eau que j’avais sur ma tête, mais à part ça tout a été parfait, le voyage a été agréable.

Je suis prête à me jeter dans ses bras, mais au mouvement qu’il fait, je comprends lorsqu’il se casse en avant que c’est un baisemain auquel j’ai droit.
Dire qu’il y a peu, derrière la porte des appartements de ma belle-mère, c’est sa queue qui me taraudait contre tout protocole.
Je prends conscience que nous sommes en Angleterre et que dans ce pays, à deux pas de la demeure de la reine, les marques d’affection envers une dame sont nettement plus codifiées qu’en France.

- Un chauffeur nous attend, partons jusqu’à ma demeure, j’ai hâte de te serrer dans mes bras.

Ouf, je suis rassurée, mon amant va le redevenir rapidement et comme une midinette lorsque le chauffeur m’ouvre la portière d’une voiture de maître, je suis aux anges.
Je ressens l’envie de toutes les femmes autour de nous quand elles voient l’homme qui a pris mon bras.

- Conduisez-nous à Heathrow, mon jet est près de décoller pour retourner à Aberdeen.
Tu voulais prendre le tunnel, par la route il nous faudrait une demi-journée pour arriver, en moins de deux heures, avec mon jet privé, nous serons en Écosse rapidement, le temps c’est de l’argent.

Je suis un peu déçu, mais John a raison, 1 000 kilomètres en voiture même si la campagne anglaise doit être très belle, quand il me parle de son jet, je suis étonnée, quelle chance j’ai eue de rencontrer un tel homme.
Jupiter, le cheval de mon fils outre la carrière qu’il fait, aura été pour nous une multitude de bonnes choses.



- Madame heureuse, de faire votre connaissance.

C’est au bas de la passerelle d’un petit jet que le chauffeur de maître nous dépose.
L’hôtesse, jeune et jolie nous accueille et me conduit à un siège.

- Excuse de te quitter, il faut bien que quelqu’un se dévoue pour piloter cet engin.
- Tu as ton brevet de pilote !
- Non, mais j’aime faire joujou avec ces jolis coucous.
- Je veux descendre.
- Soyez sans crainte madame Marie, lord Cromwell a tous les diplômes qu’il faut pour piloter son avion.
Nous arriverons à destination sans aucun encombre.
- Aisy, occupez-vous de mon amie, je compte sur vous pour qu’elle ait le vol le plus agréable possible.

Quand le lord prononce ces mots avant de me quitter pour prendre place aux commandes de l’appareil, dans le tourbillon amoureux que je vis depuis la découverte des penchants de Louis, mon ex-mari, je m’attends à ce que la jeune femme vienne entre mes cuisses me lécher la chatte pour me décontracter.
Bien sûr, pur fantasme, même si je me serais laissé faire vue la grâce d’Aisy.
Les réacteurs vrombissent avant de sentir l’avion rouler vers la piste de décollage.
C’est la première fois que je prends l’avion à ce jour, j’ai toujours réussi à éviter.
Je m’accroche au siège sous le sourire de l’hôtesse assise ceinturée comme moi au siège près d’un petit office.
Ça fait cinq minutes que nous volons quand je la vois aller vers le poste de pilotage où se trouve John, une bouteille et deux verres de champagne sur un plateau.
Elle ressort et vient vers moi.

- Détachez-vous, le commandant vous attend pour fêter votre venue parmi nous.

Au moment de me diriger vers le cockpit, un léger trou d’air manque de me faire chuter.
Aisy me ratt et sa main me saisissant le bras touche mon sein.
Je sens mon mamelon réagir, mais les choses en reste là.

- Entre Marie, regarde, je pilote sans les mains.

- J’aurais mieux fait de descendre, je suis trop jeune pour mourir et mes s m’attendent.
- Tu les reverras quand tu en auras assez d’un vieux mâle aigri par la vie comme moi.
- As, ce que je m’en souviens quand tu me clouais sur la porte de ma belle-mère avec ton sexe, tu semblais loin d’être un vieux mâle aigri.
- Tu avais réussi à effacer de ma mémoire celle avec laquelle j’ai vécu jusqu’à sa mort et qui m’a donné la prunelle de mes yeux, Élisabeth.
Aucune crainte à avoir, j’ai enclenché le pilotage automatique, nous volerons jusqu’à l’aéroport près de mon château sans le moindre problème.
Tu parlais de ma queue, je crois qu’en te voyant, elle a envie de sortir de sa cachette.
Ici à part Aisy, qui se ferait couper la langue plutôt que de parler de ce que je fais lorsque je vole, personne pour me parler de protocole, de Reine ou de chambre des Lords.

Je suis médusée de voir notre cercueil volant se conduire seul.
Lorsqu’il sort sa verge, ma main comme si elle avait un aimant s’avance pour la saisir.
Au moment où ma bouche s’approche malgré l’endroit exigu, la chanson de Dutronc étant hôtesse de l’air et voulant avoir les fesses en l’air arrive dans mon cerveau malade.
Quelle femme dans un avion pense obligatoirement à cette chanson qui en a fait rêver plus d’une.
Ma bouche retrouve sa verge, qui est déjà toute dure.
Sa main passe sous ma jupe, mon string est trempé.
Ma peur s’est envolée, je suis simplement devenu sexe.

- Enlève ta jupe, je vais te prendre là dans cet avion, j’étais à deux doigts de te violer sur le quai de la gare quand je t’ai vu avancer vers moi.
Heureusement, au moment de le faire, les gros titres des tabloïds comme le Sun m’en ont empêché.
« Lord Cromwell saute sur une touriste française et la viole sur le quai de la gare de Londres à la sortie d’Eurostar. »
- C’est sûr, je vois la tête de la reine apprenant ça.
Bien que je sois certaine qu’elle a dû connaître, il y a bien longtemps, le loup vu son nombre d’s, petits s et arrière-petits-s.


J’ai évité de baiser dans des voitures depuis que, je me suis ouverte au sexe.
Dans cet espace confiné, j’arrive à enjamber toutes les difficultés et à m’empaler sur sa verge tendue au maxi de ses possibilités.
Je rythme ma pénétration tout en lui prenant la bouche.
C’est un peu essoufflé qu’une question vient à mon esprit.

- Dites-moi, lord Cromwell, que se passerait-il si en me baisant, tu avais tellement de plaisir que tu faisais une crise cardiaque ?
- L’avion volerait jusqu’à ce qu’il manque de kérosène et finirait par s’écraser près du pôle.
- Une nouvelle fois, tu me montres que j’aurais mieux fait de rester sur le plancher des vaches.
- Baise et tait-toi, je t’ai dit que tout était prévu.

Je l’embrasse avec fougue, je sais que ce qu’il dit est parole d’évangile, même Anglicane.
Rapidement sa verge me caressant mon clitoris exacerbé, peut-être par l’altitude, me déclenche un méga orgasme.

- Tient, trinquons avec ce merveilleux champagne millésimé, à part la bière, le Scotch écossais et le vin français, c’est le seul breuvage que mon estomac aime à recevoir.

Un dernier baisé, un peu chancelante, je reprends pied dans le cockpit.

- Retourne t’asseoir, je vais reprendre les commandes, nous allons atterrir.

La coupe vide que je repose à côté de la bouteille, une fois mon tailleur rajusté, je rejoins la cabine ou je retrouve Aisy.
Combien de temps de vol avait-il parlé avant de décoller ?
Un peu plus d’une heure.
Quel homme, je me suis empalée tout ce temps sur sa verge sans me rendre compte de la force de résistance de cet homme surtout qu’à part mon méga orgasme nul éjaculation pour lui.

- Il vous a fait le coup du pilotage automatique.
Non, il serait mal venu de ma part que je vous demande s’il vous a baisé !
Je parlais de l’avion se dirigeant seul.
J’ai tous mes brevets de pilote et en cas de nécessité, je peux prendre les commandes et poser notre coucou.

Assied toi, je vais, t’attacher.

Après la verge de John, c’est l’haleine de cette jolie fille qui se penche sur moi pour me passer la ceinture de sécurité.
Ses mains me frôlent, je suis à deux doigts de l’emballer, mais l’avion pique du nez et Aisy doit rejoindre sa place.
Une fois posé, John vient me rejoindre et Aisy ouvre la porte avec la passerelle.
Vivante je retrouve le plancher des vaches.

- Aisy, rangez l’avion, je vous contacterais lorsque j’en aurais besoin.
Robin, conduisez-nous à Fyvie, que ma compagne voit mon château.

C’est dans une voiture Bentley beige que nous montons.
Une vitre nous sépare de Robin.
Une fois que nous roulons, je caresse et sors la verge de John qui se laisse faire et c’est pour l’achever que je me mets à le sucer.
Ma compagne, ces mots me vont droit au cœur.
Je veux boire son sperme, je lui fais la plus belle des fellations jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche.
Je le regarde et je déglutis.
Je me redresse, une nouvelle fois la campagne anglaise, non écossaise viens de m’échapper.

- Tient essuie ta bouche, voici mon château !

Majestueux devant moi, un château digne de ceux des romans les plus noirs se dresse devant nous.
Comme au siècle dernier, une kyrielle de personnes semble m’attendre.
Moi la petite normande, c’est au pied d’un château écossais que j’entre dans un autre monde…

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