La Sexualité Compulsive De Florence : Sur Le Capot Du 4x4 (Partie 6/ 15)

Au printemps 2018, professionnellement, ayant obtenu mon poste d’assistance de direction, tout se passait à merveille au travail et sentimentalement, depuis les petits déboires que nous avions connu avec Alexandre, tout était revenu dans l’ordre. Après notre premier essai au candaulisme, j’avais retrouvé le moral et la sérénité et le visage d’Alexandre reflétait une immense joie. Depuis cette nuit-là, j’avais hâte de continuer et de recommencer pour aller plus loin. D’autant plus que nos retrouvailles, après cette aventure extraconjugale, furent torrides.

Nous avions décidé d’attendre trois semaines avant de tenter une nouvelle expérience, ayant une totale liberté sexuelle, j’étais en pleine recherche d’amants sur des sites de rencontre pour réaliser notre fantasme. Alex avait sélectionné plusieurs prétendants dont le physique était alléchant, cependant après une brève correspondance, aucun d’entre eux ne me correspondait pas vraiment. Je préférais faire confiance à mon instinct comme je le faisais par le passé. Faire une rencontre au hasard d'une soirée en discothèque pouvait s’avérer bien plus bénéfique car j’avais besoin de contact physique et mental avant de trouver un partenaire totalement à mon goût. Comme je désirais un partenaire un peu plus âgé que précédemment, nous avions choisi un établissement passant de la musique des années 80.

Le grand jour était arrivé, en ce premier week-end de juin, c'était l'été avant l'heure, après une grosse chaleur durant la journée, cette soirée s’annonçait très douce, presque chaude. Pendant le repas prit à la maison, nous imaginions plusieurs scénarii, j’étais très anxieuse, j’appréhendais un peu cette soirée, heureusement Alexandre était là pour me rassurer me certifiant que tout irait pour le mieux. Après m’être longuement préparée à la salle de bain, je restais plusieurs minutes, plantée là, nue devant mon dressing afin de choisir ma tenue de sortie, parmi tous mes vêtements sexy.



Mon choix s’était porté sur un petit débardeur bleu pâle moulant, dont le large décolleté recouvrait à peine mes aréoles brunes de mes seins dont les tétons tendaient le fin coton. Ce petit haut laissait voir mon nombril, laissant ainsi à l’air libre, une petite bande de peau entre mon ventre plat et la ceinture de ma mini-jupe fluide blanche de forme trapèze, arrivant au raz de mes fesses. Aux pieds, j’avais enfilé une paire de sandales blanche à lanières et à haut talons, faisant ressortir le rouge carmin de mon vernis à ongles, identique à celui de mes mains.

De retour au salon Alex me trouva irrésistible, comme à son habitude, il n’était pas toujours très objectif, lorsqu’il s’agissait de moi. Il me prit dans ses bras et m'embrassa. Sa main glissa sur mes fesses, passa sous la jupette et découvrit que je ne portais aucun sous-vêtement. Il me murmura à l'oreille que je n’étais qu'une petite coquine :
— Bien plus que coquine mon chéri ! Ce soir tu vas voir que tous les mecs vont avoir envie de baiser ta jolie petite salope de femme. C'est bien ce que tu veux, non ? J'ai très envie de me faire baiser !
— Oui ma chérie, c'est ce que je veux et tu me combleras en le faisant. Allons-y, sinon je crois que nous ne partirons jamais.
— Tu es pressé de me voir empalée sur une belle et vigoureuse raideur, tu ne veux pas que je m'occupe de toi avant ?
Alex préféra couper court à cette situation en se dirigeant vers la sortie. Je pris mon petit sac à main au passage et le rejoignis sur le seuil de la porte.

Le parking de la discothèque était déjà bien garni, après être passés aux vestiaires, la soirée était partie, je devais agir en solo, laissant Alex comme observateur. Sur la piste de danse il dansait à trois mètres de moi sous les airs disco, pendant que je me trémoussais et ondulais sensuellement aux sons rythmés de la musique. Me voyant me remuer ainsi, quelques danseurs entre vingt-cinq et quarante ans s'étaient déjà approchés de moi, presque à m'effleurer.


Ces hommes me souriaient, leurs regards se faisaient admirateurs, j’étais heureuse de les voir ainsi, me dévorant des yeux. L'approche était pratiquement muette, le volume musical empêchant d’entendre leurs paroles, hormis celles prononcées au creux de mon oreille, mais celles-ci étaient d’une banalité que je n’y faisais pas attention. Pour le moment, les danseurs qui s’agglutinaient autour de moi ne m’inspiraient pas. Je restais insensible à leurs parades, tout en continuant à danser sans me préoccuper de leurs efforts déployés afin de me séduire.

Je vis Alex abandonner la piste de danse pour prendre un rafraichissement au bar d'où il pouvait toujours m’observer à l’intérieur d’un cercle formé par les danseurs. Ne trouvant toujours pas le partenaire idéal, un gros quart d'heure plus tard, je décidai de retrouvai mon mari au comptoir et commandai un cocktail sans alcool.
— Je n’ai aucun feeling ce soir, ni avec l’un, ni avec l’autre. Pourtant je n’ai que l’embarras du choix.
— Cela va venir ma chérie, soit patiente. Au fait ! Quand tu tournes en dansant, ta petite jupe légère dévoile le bas de tes fesses.
— Ce n'est pas pour te déplaire que ta petite femme montre un peu son cul. Dis-je en souriant.

Puis la musique changea de rythmes, l’afro-Cubains remplaça le disco. Alors que nous avions les yeux sur les danseurs afin de trouver enfin, mon futur amant. Un homme, la trentaine passée, à l'allure charismatique se présenta devant nous. Dès cet instant, je compris que ce grand brun athlétique était probablement celui que je cherchais désespérément. Il me demanda :
— Je suis Luca, je serais très heureux si tu acceptais de danser avec moi.
— Moi ! C’est Florence, mais tu peux m’appeler Flo. Lui répondis-je en me levant de mon tabouret.

Luca me remercia et me prenant par la taille, m’emmena sur la piste, pendant que les enceintes crachaient une série de zouk. Sans préambule, je passai mes bras derrière sa nuque, pendant qu’il posa ses mains sur le bas de mes reins.
C’était un bon danseur, je n’avais aucun mal à le suivre, nous évoluions en jouant du bassin, suivant le pas de danse, nos corps se collaient, dès la première occasion, je frottai sans gêne mon pubis nu contre la cuisse de mon cavalier. Il appréciait et à chaque tour, il plaçait de nouveau sa jambe entre les miennes.

Puis d’un bras ferme posé dans mon dos, il me fit me pencher en arrière, il était fort, je m’étais laissée aller en toute confiance. Ainsi positionnée, la tête à la renverse, j’avais tout mon torse à sa disposition devant lui, il passa le plat de sa main droite sur mon cou, me caressant de la gorge à mon bas ventre jusqu’à la ceinture de ma jupe, en passant entre mes deux seins. Sa main était douce et experte, ce qui eut pour effet une grande excitation pour moi. Puis nous reprenions notre danse en collé-serré, dans un tourbillon érotique, je savais en ressentant la bosse de son sexe, sur mon ventre que je ne le laissais pas indifférent.

Je ne pensais plus à Alexandre qui devait sans doute nous regarder évoluer sur trois morceaux de la série, mais la piste était pleine, cela lui obstruait la vue car nous étions noyés dans la masse des danseurs. Il n‘avait pas vu que Luca avait pris mes fesses à pleine main en m’embrassant dans le cou. J’étais aux anges, ses lèvres posées sur ma peau me firent mouiller un peu plus. Je sus après coup, qu’Alex nous avait perdus de vue et qu’il nous avait cherchés en vain. Intrigué, il retourna au comptoir quelque peu désabusé, commanda un cocktail et observa sans intérêt les couples sur la piste un peu perdu dans ses pensées. Il n’était pas inquiet mais déçu de ne plus profiter du spectacle qui jusque-là l’avait enchanté.

M’apercevant qu’Alex était au bar, je décidai de le rejoindre. Il ne m’avait pas vu arriver dans son dos, je posai ma tête sur son épaule et en entendant ma voix, il se mit à sourire :
— Ha c’est toi ! je croyais bien ne plus te revoir de la soirée.

— Viens avec moi ! Je vais te présenter à nos amis, prends ton verre ils ont de quoi boire à leur table. Lui dis-je.
En chemin vers le box de nos hôtes, je dis à Alex sans rentrer dans les détails que j’avais expliqué à Luca et ses deux amis que nous vivions en couple libre. Que mon mari aimait voir sa femme prendre du plaisir avec d'autres hommes.

Arrivée à destination, je fis les présentations, Alex serra la main à Julien et à Hugo, deux hommes du même acabit que Luca qu’il avait déjà salué. Sur la banquette en U, Alex s’installa à coté de Julien et en face d’Hugo. Quant à moi, j’avais choisi la banquette faisant face à la piste, je restais collée à mon amant, les lèvres soudées aux siennes. Sans plus attendre, je fis en sorte que mon partenaire soit sans gêne et sans retenue vis-à-vis de mon mari, je lui pris la main pour la déposer en haut de ma cuisse, pendant que je caressais la grosse bosse évidente qui déformait son pantalon. Tout en lui murmurant à l'oreille « caresse-moi, je mouille »

Tout en nous matant nous caresser, Alexandre tenta d'engager une conversation avec ses voisins qui étaient bien intrigués en me voyant flirter avec leur ami. Julien et Hugo, très curieux de cette pratique, posaient des questions auxquelles Alex répondait volontiers. Alors qu'à ce moment précis, j’avais largement ouvert le compas de mes cuisses, les trois voisins, entrevoyaient dans la pénombre, la nudité de mon intimité que fouillait de ses doigts, mon amant. De son autre main, Luca n'hésitait plus dans ses gestes, il malaxait un de mes seins qu'il n’avait pas eu de peine à dénuder. J’étais dans un état second, ses caresses étaient précises et délicieuses.

En plus des regards de nos proches amis, ceux des danseurs se dirigeant vers notre box, m’excitaient énormément. J'en perdais toute pudeur et ce que pouvaient penser ces regards indiscrets étaient le dernier de mes soucis, Luca me murmurait que nous nous donnions en spectacle, lui aussi appréciait. Sous ma main je sentais qu’il était bien à l’étroit dans son pantalon, son érection était à son apogée. Il n’en pouvait plus, il avait envie de me prendre tout de suite, il se pencha à mon oreille :
— Flo ! Allons aux toilettes, j’ai très envie de toi.
— Non ! Pas aux chiottes. Allons dehors, dans ta voiture, il fait bon et il n'y aura pas des odeurs nauséabondes.

Nous nous étions levés ensemble, je rajustai ma petite jupe qui avait totalement disparue lorsque j’étais assise puis remis mon sein à sa place sous le débardeur avant de quitter le box. Je souris à Alex et me penchai sur lui en posant mes deux bras sur le dossier de sa banquette de part et d'autre de sa tête. Je savais fort bien que ma position, devait révéler la moitié de mes fesses voire même mon intimité, j'étais dans mon trip de dévergondée.
— On va à sa voiture sur le parking, tu me rejoins dans dix petites minutes.
— Mais où elle est garée sa bagnole ?
— Je ne sais pas, mais ses copains le savent, ils sont venus avec lui. Ils t'y conduiront, je t'aime très fort mon amour à tout de suite.

Avant de partir main dans la main avec Luca, j’embrassai mon mari d’un baiser fougueux et amoureux. Alex était resté sans réaction comme anesthésié par la situation. Il m’avait dit le lendemain qu’il avait eu des difficultés de croire que j’allais me donner à un autre homme, il ne s'agissait plus de simples caresses et quelques bisous mais bien de pénétration. Il avait fini son verre, tout en écoutant sans trop les entendre ses deux voisins lui dirent que j’avais de la chance d'avoir un mari large d'esprit.

Leur répondant qu'en retour, je l'aimerais encore plus fort lors de nos retrouvailles. Durant ces dix longues minutes, il avait eu l'impression que chaque seconde qui passait, était multipliées par cent. Le temps s’était enfin écoulé, les trois hommes sortirent à leur tour de la boite. Alex avait presque froid malgré la douceur exceptionnelle pour une nuit de début juin. C'était ce que confirmait Julien en regardant son portable
— « 1h45 et 24 degrés », vous imaginez que dans le nord, ils n’ont pas cette température au meilleur de la journée !

Alors qu’Alex frissonnait toujours, en s’apercevant que leur voiture était tout au fond du parking, bien plus loin que la nôtre. Cela le réconforta en se disant : « Tant mieux ! Ça sera plus discret. ». À une trentaine de mètres, il aperçut la lueur d'un plafonnier, d’un gros SUV dont la portière arrière était ouverte. Ils avancèrent encore tous les trois silencieusement puis s'arrêtèrent à deux ou trois pas du véhicule.

J’étais assise sur le siège arrière, Luca était debout entre mes cuisses ouvertes, les seins à l'air je suçais sensuellement sa verge bandée. Sans être exceptionnel, il avait un beau sexe, il était gâté par la nature. Mes lèvres coulissaient le long de sa queue, j’essayais de l’avaler presque totalement pendant que du bout de mes doigts, je stimulais ses testicules en les effleurant. Jusque-là c’était le silence le plus total à l’exception des petits grognements de satisfaction de Luca, empoignant ma chevelure en m'incitant à faire une gorge profonde :
— Allez ma salope ! Suce ma bite, prends là à fond. Fais-moi bien bander, si tu veux que je te défonce la chatte.

Il guidait le rythme et la profondeur de la fellation de sa main solidement ancrée dans mes cheveux.
— Oui comme ça avec ta langue, c'est bon ça, ... allez maintenant prends la entièrement ! Ah oui ! Tu l'as toute avalée ! Hé les mecs cette petite chienne est vraiment douée pour les pipes, quand je l'aurai baisée et enculée je vous la prêterai !
Il s'adressait à ses copains comme si je lui appartenais sans penser un seul instant de la présence d’Alex.
— Allez ma belle, lève-toi, que je te baise.

Il m'amena jusque devant la voiture, le capot de son 4x4 étant trop haut pour que je puisse m'y allonger, je pris appuis de mes mains sur l'avant de la voiture, jambes légèrement écartées et je me penchai en avant afin que ma croupe lui soit bien accessible. Le temps que Luca enfile le préservatif, Alex, ne voulant rien louper la scène, se positionna à côté de moi. Je lui tendis ma main qu'il attrapa. Luca guida sa verge contre ma vulve, fit passer son gland trois ou quatre fois le long de ma fente, j’étais toute trempée de cyprine. D'une lente mais régulière poussée, il me pénétra profondément, son pénis tout entier disparut et remplit mon vagin.

Comme c’était bon de me faire prendre de la sorte, en plein air et sous le regard de voyeurs. Tout en lâchant un soupir de satisfaction, je serrais la main de mon homme, cela me rassurait de le sentir auprès de moi. Quant à Luca, il savourait sa possession puis commença à se retirer pour mieux m'investir de nouveau, sa cadence était lente mais ample, les yeux fermés, je gémissais de bonheur, feulait comme une chatte, serrait et desserrait les doigts d’Alex, au rythme de mon plaisir. Les deux copains à nos côtés, caressaient chacun mes seins dénudés :
— Hum !!! Que sa chatte est bonne et elle est trempée cette salope ! Dit Luca en me claquant les fesses.

Il accélérait le rythme de ses pénétrations, il ahanait tel un bucheron, mes râles bien plus bruyants, j'en oubliais où nous nous trouvions, seul le plaisir que je prenais comptait. Les mouvements de son bassin faisaient claquer ses testicules contre mon fessier rebondi. Ma respiration devenait bien plus rapide et rauque. Ma main serrait très fort celle de mon mari lorsque je criai :
— Oh oui ! Tu me défonces ! Vas-y ! Plus fort encore !
À l’intention d’Alex : « Chéri il me baise bien, je sens bien sa queue qui me remplit, il va me faire jouir. Ah ! C'est bon, oui !!!
— Ah !!! La pute ! Elle me fait partir, je lui balance la purée dans sa chatte ! Tiens prends ça ! Salope !

Pendant ma jouissance, Luca s'affaissa sur mon dos durant quelque secondes, son pénis toujours dans mes entrailles. Alex lâcha ma main, regarda autour de lui. Il aperçut trois jeunes qui mataient la scène en s'avançant vers nous. Ils avaient tous les trois leur bite en érection dans leur main. Le plus grand d’entre eux, demanda crânement : « On peut la baiser, aussi, nous. » Alex se sentant que spectateur ne put répondre, son esprit était ailleurs. Luca tout en se retirant de mon ventre et en enlevant la capote de son sexe débandé, leur répondit négativement, mais les autorisa à me toucher. Les trois jeunes voyant déjà quatre hommes autour de moi, n'osèrent pas et préférèrent tourner les talons. J’étais quelque peu déçue, je me redressai, sans pour autant rectifier ma tenue, mon regard plongea dans celui d’Alex en lui disant du bout des lèvres : « Merci ».

J’étais très frustrée, je voulais poursuivre car j'avais encore faim de sexe, ce n’était pour moi, qu’un amuse-bouche, j’en voulais bien plus et jouir plus fort encore. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas réalisé un de mes plus gros fantasmes : la pluralité masculine. Luca, Julien et Hugo, étant disponibles, c’était une occasion rêvée. Tout en rabaissant ma courte jupe et replaçant mes seins sous son petit débardeur, de ma voix la plus suave, afin de décider mon chéri, je demandai calmement à Alex :
— Mon amour, j'aimerais qu'on les invite à la maison, j'ai très envie qu'ils me prennent tous les trois à la fois.

Alex fut très surpris, il ne s'attendait pas à cet enchainement, il m’avait entrainé dans ses envies candauliste et c'était moi, contre toute attente, qui appuyais sur l'accélérateur. N’entendant pas de réponse, je pensais qu’Alex n’était pas chaud à poursuivre l’aventure. Je m’approchai de lui, je posai ma main sur son entrejambe. Je n’étais pas du tout étonnée, il bandait comme un cerf, la situation ne pouvait que lui plaire. Je lui fis une bise en insistant :
— S'il te plait, mon amour, dis oui. Allez !

Son visage s’illumina, il n’en demandait pas tant, tout en me rendant mon bisou, il accéda à ma requête. Je vous raconterai cela dans quelques jours, dans la catégorie « plus on est »

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.

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