Nouvelles Erotiques - 5) Camping Sexy
Dans ma vie, jai rencontré beaucoup de monde, hommes et femmes de tous âges. Ils ont tous joué un rôle, même mineur, dans mon histoire. Les garçons, surtout, ils ont participé à léveil de ma sexualité. Il est impossible de dire le nombre de fantasmes que jai imaginé, seul dans ma chambre, la queue à la main. Lunique constante, cest que jétais toujours avec des mecs qui gravitaient autour de moi. Ça marrive de me demander si ces mecs ont eu les oreilles qui sifflaient.
Récemment, jai fait une nouvelle rencontre, dans mon supermarché. Dans un monde dominé par internet et les réseaux sociaux, on oublie que le monde réel reste le moyen le plus sûr de faire des rencontres. Au moins, les gens ne peuvent pas se cacher derrière de fausses photos, ni leurs vraies réactions. Le réel, cest nettement mieux que le virtuel, malgré les déceptions et les rejets. Ça fait partie de la vie, et cest pour ça quon se réfugie dans le virtuel, cest plus simple de faire semblant.
En fait, jen ai fait deux, lune après lautre, T et J. Dabord T, il a 23 ans, 1m80, brun, les yeux marron, le visage pointu, assez mignon, surtout quand il sourit, un corps épais. Il est pompier volontaire, et dans son uniforme, il est super sexy. Je sais peu de choses sur lui, à part que cest un bosseur, quil sentretient physiquement pour garder la forme, et quêtre pompier, cest toute sa vie. Jai essayé de me rapprocher de lui, de façon amicale, jai lamentablement échoué à cause de ma timidité et de, disons-le franchement, ma lourdeur naturelle.
Je monte dans ma machine, cette fois, on est amis, et au passage, je suis un peu moins lourd. Autant mettre toutes les chances de mon côté pour séduire ce bel hétéro, et plus tard, J. T habite une petite maison quil loue pour un bon prix. Cest proche de son travail et de sa famille quil peut voir dun coup de voiture. Je passe devant chez lui au cours dune balade, pensant quil bossait, et que jaurais peut-être la chance de voir V dans son garage qui se trouve juste en face.
-Il ne la pas ouvert depuis un moment, lance T en me voyant mater lautre côté de la rue.
-Il est à son nouveau travail, il revient ce week-end. On a prévu de se voir.
-Vous sortez ensemble, hein ?, demande-t-il innocemment.
-Pas vraiment, cest surtout du sexe. On y a cru au début, cétait très fort. On samuse bien, il est hétéro comme toi.
-Sil est hétéro, il ne devrait pas coucher avec des mecs, il est bi.
-Non, il ne couche quavec un mec, moi. Enfin, je me contente de le sucer. Après, gay, bi, hétéro, ça veut dire quoi ? Pour moi, rien du tout. Ce sont juste des cases dans lesquelles on senferme. Franchement, ça ne fait pas de toi un gay si un jour, tu te fais branler par un mec. Tout ça na aucun sens, ce qui compte, ce sont tes sentiments et le plaisir que tu en retires.
-Quand même, je préfère une meuf pour baiser, cest plus excitant une bonne paire de seins. Jadore me branle entre deux gros nichons.
-Je préfère nettement branler une queue, chacun son truc. Ce que je veux dire, cest que tu ne peux pas prévoir lavenir, un jour, tu peux tomber sur un mec qui te donnera des frissons. Tu ne seras pas gay pour autant, y compris si tu passes à lacte.
-Ça donne à réfléchir ce que tu dis. Il nempêche, les filles me plaisent vraiment plus que les mecs.
-Ce nest pas pareil. Je pense quil ne faut pas se fermer sous prétexte que la société nous impose des normes. Tu es libre de faire ce que tu veux, ne loublie jamais. Bon, je dois y aller, jai le repas à préparer. On se voit toujours pour le concert avec les autres ?
-Je passe te chercher à 8h, réplique-t-il lesprit ailleurs.
Après le concert, on roule doucement. Il fait nuit, on sest bien amusés. Même si ce nest pas mon genre de musique, jai pris plaisir à découvrir ces groupes amateurs. Leux deux a été magistral, et je pense quil sest fait remarquer par un label musical, ils avaient une grande présence sur scène, et les paroles de leur chansons étaient frappantes, malgré des thèmes rabâchés.
T garde le silence. En fait, il ne ma pas décroché plus de quelques mots de la soirée. Jai peur de lavoir blessé avec mon discours. Ça arrive parfois, certains mecs sont englués dans leurs certitudes, au point den faire des vérités absolues. Si on tente de bouleverser leur vie, même involontairement, ils peuvent devenir agressifs. Je ne pensais pas que T était une telle personne. Encore une fois, jai commis un impair, jespère seulement que ça ne va pas détruire notre amitié naissante.
-Je commence à péter un plomb, T, dis-je une fois face à chez moi. Parle-moi.
-Désolé, dit-il penaud. Jarrête pas de repenser à ce que tu mas dit. Javais jamais vu les choses sous cet angle.
-Cest normal, souris-je rassuré, on nous serine dès notre plus jeune âge quon doit rentrer dans des cases, et on sy tient. Sauf que la vie est plus compliquée que ça, les cases deviennent vite trop petites. Par exemple, jaime les hommes, mais ça ne mempêche pas dapprécier la beauté féminine. En plus, ma sexualité ne me définit pas complétement.
-Comment ça ?, sétonne-t-il en se tournant vers moi.
-Eh bien, je suis gay, comme tu es hétéro, mais ce nest pas moi, ce nest quune partie de mon identité. Je suis C, gay, grand, châtain, etc
Toi, tu es T, hétéro, grand, mignon, bien foutu, etc
. Tu vois ce que je veux dire ?
-Ouais, cest lié à ces histoires de cases. Lidentité dune personne ne se résume pas à ce que la société attend de nous.
-Cest ça. Lhumain est complexe et multiple. Cest stupide de vouloir le réduire ainsi.
-Tu as couché avec beaucoup dhétéros ?
-Pas vraiment, je prends ce qui vient. En fait, V est le seul mec avec qui jai des relations sexuelles, en ce moment. Ça ne se bouscule pas beaucoup.
-Peut-être parce que tu es avec V, il te suffit.
-Oui, surement.
-Pour quil te prenne, cest ça ? Vous, les gays, vous aimez ça.
-Pas du tout, je déteste la pénétration. Tous les homos ne pratiquent pas la sodomie. Je suis fan de pipes et de branlettes. Ça peut être bien meilleur quune pénétration. V me le dit souvent.
-Tu laimes beaucoup, on dirait.
-Je ladmets, on sentend bien au lit et en dehors.
-Tu me sucerais un jour ?, senquit-il timidement.
-Pourquoi pas, quand tu seras prêt ? Pour linstant, tu napprécierais pas de mavoir dans ton lit. Ça ta excité que je parle de sexe ?
-Pas vraiment, non. Mais je veux essayer un jour, pour savoir, avec toi.
-Ça sera peut-être avec un autre gars, plus jeune que moi. Ne te ferme pas sous prétexte que tu as peur et que je suis celui qui ta ouvert lesprit.
-Daccord, réplique-t-il peu convaincu. On se voit tout de même demain ?
-Ben oui, cest mon jour de courses, tu las oublié ?
Dans les jours qui suivent, je marrange pour éveiller lexcitation de T, à travers de petits gestes tendres, et des massages langoureux, surtout de ses pieds. Ils ne sont pas aussi beaux que ceux de V, ou de G, mais ça me convient, et à lui aussi. Il ne bande pas encore sous mes caresses, mais ça finira par venir. En parallèle, je continue de voir V qui samuse de mes tentatives de séduction. Je nen ai pas eu besoin pour lui, il mappartient quoiquon fasse. On sarrange même, une fois, pour que T nous observe depuis sa fenêtre pendant quon sembrasse et que je le branle dans son jean.
Cependant, ce nest pas V qui va faire pencher la balance, mais un autre garçon, J. 24 ans, 1m90, le teint hâlé, des bras musclés, un torse mince et ferme, de longues jambes, un visage carré, des yeux clairs et de courts cheveux châtain clair.
Ce dernier se lie rapidement damitié avec J, ce qui me permet de faire de même. Au-delà de son apparence cool, cest un garçon sympathique, serviable, ouvert et amusant. Cest un bon vivant, fêtard dans lâme, il sort souvent en boite et fréquente les bars, roulant sur son scooter noir. Un autre fantasme avec lui, le branler dessus, ça doit être super chaud. En tout cas, T semble beaucoup lapprécier, et mes massages lui font enfin de leffet. J est un excellent stimulant, et ça me donne une idée. Après tout, J ma ouvertement dragué, autant faire dune pierre deux coups.
Pour cela, jinvite mes deux amis à un week-end camping en forêt, dans une seule grande tente. Il y a un lac tout près, et la météo a prévu du grand soleil, cest parfait. T nous conduit tous les trois, on finit le chemin à pied sur quelques kilomètres avec toutes nos affaires. On est seuls au milieu de la nature sauvage, les portables passent à peine, et notre unique abri est une toile fine que je ne sais pas monter. Heureusement, J est un habitué du camping, il installe la tente en quelques minutes, pendant que T et moi ramassons du bois sec.
-Cest super beau, mexclamé-je assis sur un troc renversé.
-Oui, réplique T près de moi.
Tous les deux, on regarde J, il est en train de sétirer. Son tee-shirt se soulève juste assez pour révéler la peau dorée de son ventre plat. Puis, il sassoit entre mes jambes pour que je masse ses épaules endolories. Bien quon nait jamais rien fait ensemble, on passe notre temps à se chauffer, T nous observe, comme à son habitude. J sappuie sur moi, la tête sur ma cuisse, il a compris où je voulais en venir et mannonce quil est partant.
-Tas déjà couché avec un mec ?, demandé-je à J.
-Jamais, mais jai fait des plans à trois avec des couples. On baisait la nana, et ça mexcitait de voir ces mecs à poil.
-Cool, souris-je, je vais te sucer, alors.
-Pas de problème. Et toi, T ?
-Je vais regarder, pour le moment.
On se glisse tous les trois sous la vaste tente, après avoir enlevé nos chaussures. T se place dans un coin, il narrête pas de déglutir. J et moi, on sembrasse goulument, ce mec est super chaud. Je me débarrasse rapidement de son tee-shirt, lui du mien. Il me reste encore quelques rondeurs, ça ne le gêne pas du tout. Il me caresse des deux mains, puis embrasse ma gorge et mes pectoraux, suçotant mes tétons. Je regarde T, il se masse lentrejambe, ses pieds nus à portée :
-Je croyais que cétait moi qui devais te sucer ?, soufflé-je.
-On se suce mutuellement, ce week-end, je vire gay.
Je lèche chaque centimètre de son torse, prenant à pleine main son paquet rebondi. Il bande bien dur, tout comme moi. T, dans son coin, a sorti sa queue, taille normale, dans les 15 cm, pas trop épaisse, non circoncise, et des couilles énormes, bien pleines. La bouche de J me happe, je perds T de vue. On se caresse la queue, la sienne a lair un peu plus grosse, loin dégaler celle de V. Pendant une seconde, je men veux dêtre avec ces deux mecs, et joublie ma culpabilité.
J ouvre mon jean, il est très entreprenant. Je narrive pas à croire que cest sa première fois, ces gestes sont si naturels. Il nhésite pas à saisir ma queue dune main ferme, ni à me laisser faire pareil avec la sienne. Comme je le pensais, elle mesure environ 18cm pour 5 dépaisseur, circoncise, une queue de compétition. Je lastique rapidement, elle est bien dure. Je lembrasse à nouveau, il se colle à moi. Je navais pas connu ce genre détreinte depuis longtemps :
-Tes sûr que tes hétéro ?, demandé-je.
-Je me pose la question, rigole-t-il. On verra lundi matin si je te roule une pelle.
-Tu le ferais en public ?
-Ben ouais, jai pas honte.
-Cool.
On se place tête bêche, chacun face à la queue de lautre. Les pieds de T sont encore plus proches ainsi, je me les réserve pour plus tard, tout comme ceux de J. Il a gardé ses chaussettes, comme moi, je suis impatient de les voir. En attendant, sa queue soffre à moi, je lavale aisément. Lui me branle et lèche mon gland pour prendre confiance. Il le gobe tout rond, ce nest pas très difficile vue la taille de ma queue, cest quand même sacrément osé de sa part, Je le branle en pompant son gland, cest trop bon de le sucer, ça change de V. Près de nous, T sastique énergiquement, je saisis sa cheville pour lui faire comprendre que je ne loublie pas.
-Putain, lâche J, je suce un mec et jadore ça.
-Tu le fais bien en plus. Tarrête pas, je vais gicler bientôt.
-Moi aussi.
On se pompe plus fort, je suis curieux de sa réaction au moment où mon sperme inondera sa gorge. Il peut encore me surprendre, je lespère. Je tiens toujours la cheville de T, lui aussi est au bord de lextase, je le sens dans la tension de ses muscles. Je lattire doucement vers moi, je veux son jus sur mon visage. T se lève, il se masturbe au-dessus de ma joue. Son gland caresse ma peau, et moins de dix secondes plus tard, il masperge de son jus épais et gluant, bien chaud.
Cest le signal pour moi, je me tends, et mon sperme sort, étouffant au passage J qui tient bon. Il avale tout ce quil peut, gardant le reste en bouche. Dans le même temps, il minonde de sa sève liquide en des jets puissants. Je réalise que J nexagérait en prétendant être gay pour le week-end, il se donne à fond. Je nettoie sa queue avec soin, et me redresse pour lembrasser. J lèche le jus de T sur ma joue, et me le donne dans un baiser tendre et sincère. T nous observe toujours, je lattire à moi, lembrasse longuement, et le confie à J.
-Ça va ?, demandé-je à mes deux compagnons.
-Oui, réplique T, ça me donne envie que tu me suces aussi.
-Plus tard, souris-je, on a tout le week-end pour ça. Et toi, J ?
-Je me sens gay jusquau bout des pieds. Cest bien mieux quavec une nana, même si
-Tinquiète tas le droit de tremper ta queue où tu veux, rigolé-je. Ça me gêne pas du tout, tant que tu prends tes précautions. Jai horreur de sucer avec des capotes. Cest pareil pour toi, T.
-Daccord, répliquent-ils ensemble.
-Allez, on va se baigner maintenant, dis-je en déshabillant T. Tu nes pas gay, le rassuré-je, mais J, lui, en prend le chemin.
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