Piscine Rime Avec Pine 04.
Me voilà seule avec Mr le directeur, après ma démonstration comment va-t-il réagir? Sa dernière phrase nest pas faite pour me rassurer.
- Voyons, mademoiselle vous pouvez vous assoir, je dois vous reconnaître certains talents, mais des petites dévergondées de votre espèce jen ai jamais vues cest la première fois! Je vais vous donner une petite chance de vous rattr et ne par rapporter à votre papa votre aptitude à la débauche. Que pensez-vous de cette proposition?
- Merci monsieur, je veux bien un arrangement avec vous, jai observé que vous étiez captivé par mon petit happening.
- Ne soyez pas effrontée en plus dêtre vicieuse. Je dis que vous méritez une petite correction, êtes-vous daccord?
- Vous avez entièrement raison, je dois avoir une punition.
- Que diriez-vous dune petite fessée pour commencer?
Là je le trouve beaucoup plus drôle que tout à lheure, lidée est excellente, souvenez-vous avec Benjamin et David notre petit jeu sympa, cette fois cest une vraie, étant jeune mon père ne men a jamais donnée et je voudrais connaître cette sensation, finalement ce directeur mexcite, voilà que je mouille à limage de la scène qui envahit mon esprit.
- Puis-je vous demander une faveur?
- Allez-y je vous écoute mon .
- Vu le degré de la faute, je pense que je dois la recevoir cul-nu pour être remise dans le droit chemin.
- Comme il vous plaira, je crois que vous avez raison, la leçon ne peut quen être plus salutaire.
Quelle cochonne je suis! En fait je nen pense pas un mot cest pas cela qui mempêchera dêtre une dépravée, et je suis de plus en plus émoustillée: la petite tache qui macule mon maillot en est la preuve, elle provoque un effet translucide, et volontairement bien sûr jécarte un peu les jambes pour mieux quil remarque cette conjoncture. En face de moi, engoncée sur ma chaise, il ne peut pas la louper, mes jolies lèvres roses et lisses sont parfaitement visibles, et le fait que je sois ruisselante ne peut pas le laisser indifférent.
- Venez par ici, me dit-il en sassoyant sur lextrémité du canapé.
Je mapproche debout devant lui, il saisi alors mon maillot de bain et dun geste énergique le descend à la volée au niveau de mes genoux.
Il prend un temps de latence afin dadmirer la beauté de la marque de ma féminité, je vois quil fond denvie, et moi espiègle, je me campe les fesses en avant pour faire ressortir encore plus ma fente devant ses yeux médusés, moi aussi je ressens une forme de plaisir à montrer ma moule, qui coule de plus belle, à ce monsieur dont je flaire que son cur doit battre à 100 à lheure, et un autre appendice aussi jespère.
Enfin il sempare de mon bras et le tire pour mallonger sur ses cuisses, nous sommes au bord dun canapé sans accoudoir, mes pieds sont dans le vide, mon ventre sur le haut de son pantalon, il me maintient fermement contre lui et, malgré le tissu, je crois bien que cest sa bébête qui me taraude les cotes, le fait-il exprès de me serrer contre elle? Mystère, en tout cas mon joli postérieur, que je bombe au maximum, est prêt pour le châtiment.
Je suis impatiente que le bal commence et je ferme les yeux en guettant la première étincelle. Soudain sa main ferme sabat sur une de mes fesses et produit un bruit strident, la douleur me fait rouvrir les yeux, me bouche sentrouvre et laisse échapper un petit « oh » de surprise. Je mattendais pas à une claque aussi forte, un instant bizarre, mélange de souffrance et de plaisir difficile à décrire sempare de moi. La 2ème toujours aussi forte atterrit sur lautre versant de mon cul et je mhabitue à ces calottes qui mettent le feu à la partie charnue de mon individu.
Après plusieurs salves sur chaque flan, ma croupe rougie et me brûle dun émoi qui méchauffe encore plus mon abricot qui pleure despérance. Il redouble de force dintensité et de fréquence, le bruit saccentuant, rehausse mon délire, je ne sens plus de douleur mais un fort désir de continuer cette expiation.
- La punition a assez duré, dit-il.
Allons-nous en rester là? Oh non! Je suis prête à subir dautres assauts, je réfléchis aux moyens à employer pour lui communiquer mes désirs.
Peine perdue, je suis tranquillisée quand je le vois se pencher sur moi et déposer un baiser sur chacune de mes jumelles cramoisies. Le gardon est ferré dautant plus que je sens toujours son bâton de maréchal qui me laboure le flan.
Je me retourne, et nous échangeons notre premier sourire.
- Jai discerné que cette petite leçon ne vous a pas laissé indifférente, mavance-t-il, voulez-vous pousser le bouchon encore plus loin?
Tu parles mon neveu, et sans répondre, je me remets debout et jarrache littéralement mon slip qui mentrave et mallonge un
Peu plus loin sur le canapé, les jambes bien écartées attendant des préliminaires avant le passage du TGV.
Lappel est si direct que ce rapace, dun vol de reconnaissance, a repéré la petite souris qui frétille dimpétuosité. Il finit par se poser entre mes cuisses et inonde de baisers lintérieure, se rapprochant de plus en plus de mon rouge gorge, jusquà le toucher du bout de sa langue, leffet est immédiat, un flot ruisselle dans mon jardin secret, de minuscules filaments saccrochent à celle-ci, ils les étirent me montrant lélasticité de mon baume. Ny tenant plus il plonge entre ma fente et parcourt toute sa longueur de sa langue qui salive de bonheur, de ses doigts doux et câlins, il ouvre la porte de ma salle des fêtes, sa langue est sur mon clito et un doigt me frictionne avant de pénétrer dans lantre souterrain et le parcourir sans cesse.
Bientôt son frère jumeau le rejoint et tous les 2 remettent du gaz et accélèrent le mouvement associés avec le titillèrent de sa langue sur mon bouton quelle malmène dans le bon sens du terme, me pousse à monter dun ton, mes petits grognements de bête en rut, lincite à accélérer encore plus la trépidation, de sa main libre il me pelote mes petits seins, et je ne peux plus résister, je suis au bord de lapoplexie, je me laisse aller et semblable à une hémorragie cérébrale, je subis un tel choc émotionnel que je ne me rappelle pas avoir vécu un moment aussi intense et agréable.
Contemplant létat de béatitude qui perdure plusieurs minutes sans que je puisse retrouver toutes mes facultés, tellement lorage intérieur est intense, il jubile. Un large sourire illumine son visage quand jouvre les yeux, il se rapproche jusquà ce que nos visages soient à moins de 10 cm. Je suis encore recouverte des marques de la jouissance de Thomas, elles coulent lentement mais reste immobilisées à mon menton sans tomber dans le vide tellement elles me collent.
Ces effluves me tournent la tête, jadore cette odeur différente pour chaque garçon et que mon cerveau transforme en désir de doses supplémentaires. Dans ma bouche, jai encore le goût suave et enivrant de ce breuvage grisant, mes papilles gustatives me remémorent ce moment sublime où jai savouré ce mets qui mensorcelle.
Mr le directeur pose ses lèvres sur ma joue, sort sa langue pour récupérer la semence encore liquide qui barbouille mon minois, il passe partout avant dunir nos lèvres et dintroduire cette délicieuse crème que nos langues se partagent, ce baiser est divin, jamais je naurais imaginé que cet être , dapparence si sévère et si strict, soit si doux et si pervers.
- Avez-vous encore envie de jouir? Me demande-t-il? Quand nos bouches se décollent et que nous ayons dégluti ensemble ce mélange damour.
- Oh oui, déclamé-je avec force.
Ce cri du cur lemplit de joie, il retourne à son bureau et dans un des tiroirs il en sort une petite boîte quil me montre de loin, ma parole cest une boîte de capotes! Serais-je la dernières de ses captures qui va passer à la casserole? Et combien dautres avant moi ? Pas si puritain ce gros vicelard .......
A suivre.
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