Papy Et La Sauterelle (1)
Papy et la sauterelle
1-Les mercredi après-midi
Cétait désormais un rendez-vous immuable : chaque mercredi, en début daprès-midi, elle lui rendait visite. Elle portait pour loccasion une jupe courte mais assez ample et un T-shirt, plus rarement une robe légère. Elle se présentait à lentrée de lélégant immeuble haussmannien de ce quartier cossu, sonnait à linterphone qui ne tardait pas à grésiller.
« Cest moi, Papy.
-Monte. »
Bien quil ny eut entre eux aucun réel lien de parenté, elle avait pris lhabitude de lappeler ainsi, et la différence dâge entre ses 18 printemps tout juste révolus et les 73 ans de son hôte rendaient après tout la chose vraisemblable.
Un claquement métallique, la lourde porte sentrouvrait et elle grimpait lestement au premier étage. Là, sur le palier, devant la porte entrebâillée de lappartement, elle ôtait prestement sa petite culotte quelle fourrait dans son sac, frappait trois petits coups et entrait.
« Bonjour, Papy, ça va bien ?
-Très bien, ma sauterelle, très bien. »
Il se tenait assis sur une chaise, dans le salon. Elle sapprochait, se penchait pour lui faire une bise, et sans plus attendre saccroupissait devant lui. Elle ouvrait avec dextérité la braguette du vieux monsieur, en tirait un membre encore mou et le caressait doucement. Il la regardait agir sans un mot. Quand elle sentait la bite commencer à frémir puis à durcir, elle se penchait, la saisissait entre ses lèvres et tétait le gland décalotté.
« Oh oui, ma sauterelle, suce moi bien.
Oui, comme ça, cest bon
Oh, continue, vas-y. »
Elle prenait progressivement la bite entièrement dans la bouche et la suçait jusquà ce quelle en juge lérection satisfaisante. Alors elle se relevait, tournait le dos au vieil homme, retroussait sa jupe pour lui laisser admirer ses petites fesses rondes. Il glissait la main entre les deux longues jambes qui lui avaient valu son affectueux surnom, caressait labricot lisse et doux, ensuivait du doigt la fente étroite, lintroduisant progressivement entre les lèvres de la vulve humide.
Depuis cette première fois tout se passait ainsi chaque mercredi. Quand il sentait sa queue mollir dans la chatte de la petite, il linvitait à se relever :
« Merci, ma petite sauterelle, cétait très bien.
-Pour moi aussi, Papy, cétait très bien. Jadore ça.
-Tant mieux, sauterelle, tant mieux. »
Tandis quelle passait à la salle de bain, il glissait quelques billets dans son sac, puis allait servir pour lui un cognac, pour elle un jus de fruit quils buvaient en parlant de choses et dautres. Enfin elle se levait :
« Bon, Papy, je vais y aller.
-Bien sûr, ma sauterelle. A la semaine prochaine.
-A mercredi, Papy. »
Ils se faisaient la bise et elle sen allait.
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