Récit De La Première Double Vaginale De Virginie : Épisode 4
Salut, Cest Bob. Comment allez-vous ? Suite à vos nombreux messages et à vos encouragements, jai décidé décrire la suite des aventures de Virginie, belle garce pour les uns et femme hors-pair pour les autres.
Pour ceux qui souhaitent avoir une idée exacte à quoi ressemble ma belle, sachez que vous aurez sans doute la réponse dans un prochain récit car en vrai, je vous le dis, il y a suite et pas des moindres, bien que cela soit tout relatif.
Je vais aussi répondre à une question, à savoir est-ce que ma chérie a connu dautres doubles pénétrations vaginales. Je vais être franc : à vrai dire, je nen ai aucune idée. Jentends en cela que je nai aucune certitude en la matière car si ma belle, souvent, me raconte ses aventures, elle ne me dit jamais tout. Et, parfois, cest moi-même qui découvre le pot-aux-roses, comme au cours cette visite lautre jour chez Olivier (voir le récit).
Cependant, je sais que : « ce nest pas par ce que je ne sais pas, quelle ne fait pas !». Aussi, oui, il y a eu peut-être dautres doubles pénétrations vaginales avec ma belle, mais si cela sest réalisé, ce fut sans moi, car assurément je nai jamais fait cela avec elle.
Voici donc la suite de cette histoire que jespère vous transcrire le plus fidèlement possible. Cela ne devrait pas me poser trop de difficulté puisque dune part je nai pas hésité à poser des questions à ma dulcinée, et dautre part, parce que jai eu la chance de rencontrer Phil et de visiter son appartement, après les faits, bien sûr.
Phil était un homme de 35 ans. Il était donc plus âgé que ma belle qui en avait presque alors 26. Il faut dire, je vous lai avoué, que cette histoire sest déroulée il y a quelques années, 5 ou six ans de cela ; et que, lorsque Phil eut baisé pour la première fois Virginie (dans la clairière près de Compiègne), cétait un an environ avant cette première double vaginal.
Bref, en discutant avec lui, ji appris bien des choses.
En arrivant chez lui, (un loft près du faubourg Saint-Antoine à Paris), il me dit en parlant de Virginie était « délicieuse et délictueuse », pour reprendre ses propres mots. Aussi, si je comprenais parfaitement ce quil voulait dire par « délicieuse », jentendais moins ce quil voulait signifier par « délictueuse ». Je mis cela alors sur le compte de la rime, sachant cependant quil y avait sans doute derrière cela, une signification quelconque que jignorais encore.
A côté de cela, Phil avait bien compris en effet mieux que quiconque et mieux que moi que ma belle avait un tempérament de feu, et cela en dépit de son air réservé et de femme prude. Il avait compris mieux que moi que ma belle était ouverte à TOUTES propositions parmi les plus chaudes inimaginables.
Virginie en contrepartie aimait beaucoup les hommes et leur présence. Cest ainsi quelle me le dit plusieurs fois, alors que je ne comprenais pas son message. Cest ainsi sans doute quelle me mit devant le fait accompli : dabord le gang-bang chez elle avec Olivier quand elle avait 23 ans ; ses multiples faciales ou buccales, ses endroits les plus insolites, puis maintenant avec Phil et Yvon.
Vous dirais-je en revanche que ma chérie nest pas partageuse ? Oui, en effet. La belle courtise les hommes mais ne veut pas prêter le sien. Javoue que si cela est bien vrai, je ne lexplique toujours pas.
La rencontre au Royal Palace entre Virginie et Phil était donc pour elle une nouvelle opportunité. Avec cet homme, elle pouvait réaliser parmi ses fantasmes, les plus chauds et les plus coquins. Cest ainsi quelle répondit à linvitation de Phil, chez lui. La belle avait tout fait pour que cela.
Dans lappartement, qui se situait rue du Faubourg Saint-Antoine, Phil et Yves installèrent alors ma belle dans le sofa que Phil venait dacheter pour son emménagement. Elle était assise entre eux. Ils lembrassèrent, la couvrirent de baisers avant de la déshabiller pleinement, toute entière jusquà la petite culotte noire transparente que la belle avait revêtue ce soir-là. Cest ainsi quils la baisèrent à tour de rôle, pour leur propre plaisir et pour le plaisir de ma douce qui, malgré sa délicatesse et sa tendresse, semblait en vouloir toujours plus.
Ma belle se faisait sauter par deux lascars. Jen souffrais assurément mais jen bandais tout autant en me disant quelle était faite pour ça, prendre du plaisir et en donner. Assurément, jétais bien plus excité de savoir ma douce, elle si belle et si prude, en train de se faire culbuter comme une garce quelle nétait finalement pas.
Jai eu loccasion de voir, une fois dans ma vie, cet appartement où ma belle se fit sauter en double vaginale pour sa première fois. Cest Phil lui-même qui minvita chez lui, peu après que ma belle mai fait toutes ses confidences sur le sujet. Virginie lavait convaincu de me rencontrer. Arrivé à lappartement, je demandais alors au propriétaire du lieu (Phil) à voir où exactement ma chérie sétait fait culbuter. Un moment difficile pour moi mais qui me redonnait déjà la trique. Au final, Phil et moi sympathisions : il baisait ma femme et je ne lui en voulais pas.
Dans le petit salon de lappartement parisien (le jour de la double), Virginie après sêtre faite copieusement caresser par ses deux soupirants, comme relaté précédemment, sest assise sur la queue dressée dYvon en le chevauchant lui et son chibre.
Dans le salon, cependant, Phil sintroduisit derrière elle, doucement, par la voie vaginale uniquement. Il venait davoir lubrifiée sa queue dans la bouche de ma chérie. Tout doucement, placé au-dessus du chibre dYvon, il commença par introduire dans la douce chatte de ma chérie, son gland rouge vif et turgescent. Virginie ne bougeait plus et restait silencieuse. Son regard était plongé dans le vide. Sa respiration se fit plus lente. Yvon pouvait entendre les battements de son cur. Il regarda ma belle dans les yeux au moment où Phil introduisit son sexe à son tour dans lentrée formidable de ma belle.
Virginie avait en effet se pensées toutes concentrées sur la queue qui se plantait en elle et qui écartait ses chairs. Elle sentit combien la pénétration était profonde. Il est difficile cependant de dire que cela fut, pour elle, comme une jouissance phénoménale, sans fin car, de son aveu, cela nétait en rien comparable aux orgasmes quelle obtenait quand elle se caressait elle-même, dans ses jeux solitaires.
Le plaisir, néanmoins était inédit ; et la belle assura que ce fut une sensation unique, agréable au demeurant. Ce qui lui a plu le plus était le fait de se sentir prise en étau, comme bloquée entre ces eux corps dhommes virils. A la question que je lui posais alors après coup « recommenceras-tu ? », elle avoua, sans donner de réponse par laffirmative, que ce fut une expérience « à renouveler », ajoutant à cela que « ça sest plutôt bien passé ! ».
Voilà la jolie fin de cette histoire.
A suivre
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