La Sexualité Compulsive De Florence : Deux Camionneurs Polonais Et Les Autres. (Partie 7/ 15)

Je venais de me faire baiser par Luca sur le capot de son 4x4, j’avais bien joui mais j’étais encore très excitée, je voulais encore du sexe. Alexandre, mon mari venait d’accepter de recevoir à la maison mon amant et ses deux amis, Julien et Hugo, rencontrés à la discothèque. Ils allaient me faire ma fête en me prenant à trois. J’étais folle de joie. Alex était dubitatif, si la raison lui disait que tout allait un peu trop vite, la raideur dans son pantalon n'ayant toujours pas diminuée, lui rappelait qu’il ne pouvait qu'approuver. J’avais en quelques minutes tout organisé, Alex partait devant, je devais récupérer mon sac à main au vestiaire et monter avec les trois garçons jusqu'à notre domicile.

Tout en regagnant sa voiture, Alexandre me regardait m’éloigner avec le trio, vers l'entrée de la boite. Je tenais par la taille deux d’entre eux, Lucas mon baiseur avait passé carrément sa main sur mes fesses nues, retroussant ainsi ma courte jupe et de l’autre côté, Julien avait passé son bras sur mes épaules, sa main sur un de mes seins, sous l’échancrure de mon débardeur. Alex m’entendait même éclater de rire, sachant que mon amant d’un soir dévoilait mon cul aux trois jeunes qui nous suivaient à une bonne dizaine de mètres.

Lorsque nous avions quitté la boite à bord de son SUV, Luca conduisait, Julien était monté côté passager, je me retrouvais seule avec Hugo à l’arrière. J’étais survoltée pleine de désir, j’étais déçue que Luca ait éjaculé dans sa capote, il me fallait du sperme, je voulais me rattr. À peine installée sur la banquette arrière, je sautai littéralement sur mon voisin en lui roulant une nouvelle pelle. L’habitacle était suffisamment grand pour que je m’allonge sur Hugo, bouche contre bouche, il me caressait la poitrine pendant que je lui massais son pénis à travers son pantalon. De ses mains expertes, très vite il enleva mon petit haut, me retrouvant ainsi, seins nus, sans débardeur.

Hugo avança son bassin sur le siège, je me suis agenouillée sur la banquette et commençai à lui enlever la ceinture, puis descendit sa braguette et enfin baissai son pantalon jusqu’à mi-cuisses.

Je me penchai vers son entrejambe, la tête entre ses cuisses. Je pris sa bite bien bandante dans ma bouche, pendant qu’il me caressait la raie de mon cul. Je le suçais goulument pendant qu’il me pelotait sans modération. Je gémissais fortement, Luca ne voulant rien rater, avait allumé le plafonnier afin de nous observer dans le rétroviseur.

Ma bouche descendait le long de sa tige dans un va et viens lent et régulier, ma langue tournant autour de son gland. Ma main droite lui triturait les bourses, ma main gauche caressait son torse velu à souhait. Au fur et à mesure, je prenais un peu plus de longueur au fond de ma gorge, sa verge étant épaisse, j’étais dans l’obligation d’écarter en grand mes lèvres. J’étais parvenue enfin à avaler entièrement son gros pénis. Je continuais mes allers-retours sensuels, Hugo était au bord de l’explosion lorsque le 4x4 s’arrêta à la boutique de l'aire de repos de la station-service. J’arrêtai instinctivement ma fellation au grand dam de mon partenaire :

— Pourquoi t’arrête, j’allais t’envoyer la sauce.
— Descends chercher une bouteille de champ Hugo, nous n’allons pas venir chez eux les mains vides. Et c’est à ton tour de payer cette fois.
— Putain c’est bien ma veine…Bougonna-t-il
— Ce n’est rien Hugo, je recommencerai ma pipe tout à l’heure en repartant et j’avalerai tout ton jus, promis. Lui dis-je en me moquant quelque peu de lui.

Lucas s’était garé à l'arrière du bâtiment donnant sur le parking poids lourds. Deux bahuts étaient garés côte à côte, perpendiculairement au 4x4. Les deux chauffeurs que l’on ne distinguait que très mal, étaient assis chacun sur un fauteuil de camping, en retrait au niveau du réservoir de leur tracteur et buvaient tranquillement le café, sorti de leur thermos. Pendant qu’Hugo était allé à la boutique, pensant certainement que je n’en serais pas capable, Luca et Julien me demandèrent :
— Pas cap de nous faire une petite exhibition devant ces deux camionneurs.

— Sur le parking des routiers ? Je veux bien mais ici devant vous et les deux mecs.

J’étais chaude-bouillante, une vraie pile électrique, sans rien leur dire d’autre, j’ouvris la portière et descendis en faisant le tour de la voiture. Je me plaçai devant le capot, déjà les seins à l’air, je jouais à soulever ma jupe, montrant mes fesses et ma petite chatte à mes amis derrière le pare-brise. Je me penchai en avant, retroussant entièrement ma jupe, leur montrant ainsi mon derrière que je massais volontiers. Puis ma main posée sur mon sexe, je commençai à me masturber, un doigt sur le clito et un autre s’introduisit entre mes grandes lèvres.

J’étais dans le champ de vision des chauffeurs poids lourd qui n’en loupaient pas une miette. Le plus jeune des deux m’interpella avec un accent slave. Je n’avais rien compris mais Julien me traduisit par la vitre ouverte :
— C’est des polonais, ils te prennent pour une pute, ils demandent, combien tu prends pour une pipe ? et combien s’ils te bourrent ?
— Dis-leurs que la pipe, je leur fais gratos mais qu’il n’est pas question que je me fasse baiser. Mais tu connais leur langue ?
— Oui mon grand-père était polonais, de Varsovie.
— Fais vite Flo ! Ton mari va s’impatienter. Cria Luca en sortant du véhicule.

Je ne voulais pas me retrouver seule avec eux, je leur fis signe de s’approcher afin que mes deux amis soient proches de moi. Sans attendre, les deux camionneurs avancèrent entre les deux bahuts vinrent à hauteur des cabines. Le plus âgé me regardait sans trop y croire, pendant que je m'agenouillais, devant le premier. L’homme d’une quarantaine d’année, pas trop mal physiquement, sortait déjà sa bite et me la tendant devant ma bouche. Ne bandant pas suffisamment, je le branlai en lui massant ses couilles, il prit vite du volume. Le deuxième, un type d’une soixantaine d’année, attendait, il avait compris qu’il n’était pas dans un rêve et caressait déjà de sa main, sa belle queue en érection.


Hugo sortait de la boutique la bouteille de champagne à la main, suivi de près par un autre type, un sachet de course en main. Il était stupéfait de me voir sucer la bite d’un inconnu et de branler un deuxième. L’homme qui le suivait regarda quelques secondes puis se précipita vers son camion, garé à quelques mètres plus loin. Je les suçais tour à tour, tout en me laissant copieusement peloter les seins et le cul. Les nouvelles allaient vite chez les routiers, deux autres camionneurs dont celui qui suivait Hugo, à la sortie de la station, étaient là à proximité en me matant en pleine fellation :
— Tu pourras nous faire une pipe après ? Demanda-t-il dans un français parfait.
— Non ! Aboya Lucas, nous n’avons pas le temps mais vous pouvez vous branler et répandre votre sperme sur la salope.

Pendant que les deux chauffeurs français placés dans mon dos, se masturbaient, je suçais les polonais l’un après l’autre. Julien et Hugo me pelotaient les seins, leurs caresses étaient délicieuses et Luca fouillait mon vagin profondément, de ses longs doigts manucurés. J’étais trempée, je jouis laissant échapper une grande quantité de jute dans sa main. Avec ma langue et ma bouche d’experte, j’avais vidé les couilles pleines du premier chauffeur, suivi de près par le plus vieux qui ne résista pas à mon jeu d’aspiration.

Ils étaient tout heureux d’avoir pris leur plaisir gratuitement. Je reçus sur moi, tour à tour, leur sperme qu’ils avaient giclé sans retenue, m’ayant arrosée les seins sans en mettre une goutte à côté. Puis ce fut au tour des deux masturbateurs, me voyant éjaculer en grande quantité, ils m’envoyèrent également leur semence sur mes fesses. J’étais assez fière de moi, je les avais essorés qu’en quelques minutes. La seule ombre au tableau, c’était qu’Alex n’était pas là pour voir ça. Je me promis de lui raconter tout ceci en détail.

Ayant la poitrine et le cul, couvert de sperme, Julien me tendit mon débardeur que j’avais laissé sur la banquette arrière afin que je m’essuie avant de remonter dans le SUV.
Lorsque j’aperçus les trois jeunes de tout à leur sur le parking de la discothèque. Là encore, ils avaient leur bite en main et se masturbaient tous les trois en me matant, planqués derrière la cabine du deuxième camion. Ne voulant pas que mes admirateurs ne soient déçus de moi, je voulais les soulager également. Luca ne l’entendait pas de cette oreille et me dit :
— Non Flo ! Ça suffit, ton mari va vraiment s’impatienter. Nous avons notre baise privée qui nous attend.

Tout en éjaculant sur le sol, suivi rapidement par les deux autres, le plus hardi des trois jeunes demanda une nouvelle fois :
— On peut venir aussi à cette baise privée ?
— Non les mecs ! Ce n’est pas pour vous. Répondit Julien
Dans la voiture, ayant pris vraiment du retard, Luca râlait, Julien se moquait de lui en disant qu’il était jaloux. Pendant leur conversation, Hugo, pressé que je reprenne ce que j’avais commencé vingt minutes plutôt, me demandait de le faire rebander. Il ne me fallut pas longtemps pour que son gros sexe reprenne forme entre mes lèvres, aidé de ma main lui malaxant les burnes. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, après une savante pipe, il éjacula dans ma bouche. J’avalai tout jusqu’à la dernière goutte, je tenais à respecter ma promesse :
— T’es vraiment une bonne suceuse de bites. Me dit-il en me déposant un baiser sur mes lèvres.

Jusqu’à mon domicile, nous avions changé deux fois de conducteurs et de passagers, Luca ne voulait pas être en reste, il voulait lui aussi profiter de ma bouche et se déversa de tout son jus au plus profond de ma gorge. Tandis que Julien éjacula dans mes dents m’enfonçant uniquement, entre mes lèvres son gland, dans un jeu de léchage et d’aspiration. J’étais heureuse, j’avais eu ma dose de sperme, je venais de finir les entrées, il fallait maintenant consommer le plat principal.

Hugo gara le 4x4 à une trentaine de mètres de notre immeuble. Les portières s'ouvrirent, les trois garçons s’extirpèrent de la voiture. Étant torse nu, j’attendais qu’il n’y ait personne pour descendre. En sortant du véhicule, avant de fermer la portière, je vis Alex par la fenêtre du deuxième étage. Je décidai de ne pas recouvrir ma poitrine de mes mains, mes deux seins nus restèrent apparents. Alex m’observait ainsi sur le trottoir d'en face tenant à la main mon sac et mon petit débardeur trempé de sperme. Des sons de voix lui parvenaient sans en comprendre la teneur. Les trois hommes étaient en train de se remémorer cet épisode d’exhibition.

Comme nous allions traverser la rue, une voiture déboucha du virage, à peine à plus de vingt mètres de nous. Ce qui était certain ce n'était pas une voiture de flic, vu le volume sonore de la musique qui sortait de l'habitacle. La voiture ralentit en arrivant à notre hauteur et s'arrêta. Nous en avions profité pour traverser en riant. C’était une nouvelle fois les trois jeunes qui nous avaient suivis. Dommage pour eux, cette fois-ci, ils ne pourraient pas assister au spectacle.
Je vous donne la suite de l’histoire dans quelques jours

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.

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