Ma Première Séance De Pose
Je me prénomme Caroline, jai 27 ans et travaille dans la restauration, séparée depuis un moment je vis seule actuellement, et suis revenue vivre chez mes parents, en Savoie. Jétais tombée il y a déjà quelques temps sur une petite annonce, à la boulangerie du bourg ou je vis. Parmi les annonces courantes proposant des gardes ds et différentes offres ou recherches de service, javais remarqué à plusieurs reprises la petite affichette orange qui se présentait comme émanant du club de dessin local et indiquait rechercher des modèles pour poser. Après plusieurs semaines à voir cette petite affichette, je me suis décidée à noter discrètement le numéro de téléphone qui figurait sur lannonce.
Jai bien dû attendre encore 2 semaines avant de me décider à composer le numéro. Sur le répondeur du portable, une voix masculine me proposa de laisser un message. Je raccrochais aussitôt, mais poussée par la curiosité, je rappelais bientôt et cette fois ci, laissait un message mal assuré, indiquant mon prénom et mon numéro de portable et que jappelais suite à lannonce vue à la boulangerie.
Je me disais que lannonce nétait peut-être plus dactualité, mais le soir même, je reçu un appel du numéro en question. Je décrochais le cur battant et engageait la conversation avec la personne qui se prénommait David.
Comme je le supposais il me précisa rapidement que le club local recherchait en effet des modèles pour poser pour les dessinateurs amateurs qui faisaient partie du club. Mon cur semballa un peu quand il précisa come si cela était tout naturel, quil sagissait de poses nues. - Je dois préciser ici que sans avoir de problème particulier avec la nudité je suis cependant une jeune femme assez pudique, mais que paradoxalement ma nudité me trouble ou plus exactement que lidée dêtre vue nue provoque à la fois une sorte de peur et une certaine excitation, sans que je sache bien lexpliquer.
A la fin de notre échange, sans que je sache bien pourquoi, je confirmais dune voix un peu tremblante que jétais intéressée.
Dès le lendemain, je reçu un très gentil mail, me disant que ma candidature était acceptée et me proposant plusieurs horaires pour ma « séance dessai ». Ne travaillant pas le mercredi soir, je répondis que ça serait parfait. Pendant deux jours qui me séparait de ce premier mercredi, je pensais souvent à tout ça. Je me rendais compte que je ne savais pas grand-chose, qui serait présent ? comment tout ça se passait ? Jen rêvais même la nuit.
Le mercredi arriva enfin, et je réalisais que je ne savais même pas quoi mettre pour me rendre à ce rendez-vous. Un peu effrayée à lidée de passer pour une gourde, joptais pour une tenue assez classique. String et soutien-gorge blanc, ma robe dété fleurie rouge et des petits escarpins moyens. David mavait posé peu de questions sur mon physique, et je redoutais encore bêtement de ne pas faire laffaire. Pour information jai un physique que je trouve assez ordinaire, je suis brune avec des cheveux longs, assez mince, des petits seins (85B) et porte une taille 36/38 selon les vêtements. Je suis également épilée depuis toujours (ça il mavait posé la question !).
Le cur battant je me rendis pour 19H à la salle communale, située juste à côté de la mairie, ou lla plupart des différents clubs du bourg avaient leurs activités. Je fus accueillie jovialement par un homme dune cinquantaine dannée qui se présenta comme David et me serra la main. Après les salutations dusage et léchange de quelques banalités, il me fit entrer.
Le cur battant déjà à mille à lheure je franchis le seuil. Une grande salle, encore éclairée par la lumière du jour, mais dont les lampes étaient aussi allumées. Au centre, une petite estrade en bois, a côté de laquelle étaient posés quelques sièges (tabourets, chaises, coussins) et tout autour des chaises et pupitres. Certains participants déjà assis ou en train de préparer leurs affaires, carnet, crayons, fusains
dautres encore debout en train de discuter entre eux. Je dénombrais rapidement 23 personnes, que des hommes, quelques-uns assez jeunes, dautres entre 30 et 40 ans et une bonne moitié cependant dépassaient come David la cinquantaine, certains plus proche des 70 même. Je ne mattendais pas a autant de monde et jen eu pendant quelques secondes le souffle presque coupé.
David me fit monter sur lestrade et me présenta a la cantonade dune voie sonore « Voici comme annoncé Caroline Martin, qui sera notre nouveau modèle ». Je saluai de la tête à droite à gauche, intimidée par cette assemblée et tus ces yeux qui me dévisageaient en souriant, mais avec curiosité. Je réalisais alors avec effroi, lorsquelles madressèrent un petit signe de tête, que je connaissais certaines des personnes présentes. Jaurais pu men douter, dans un bourg de quelques milliers dhabitant comme le nôtre, mais javoue ne pas avoir envisager cette éventualité. Je reconnu notre boulanger, deux voisins assez proches, dot lun est assez ami avec mon père, un ancien copain du lycée hôtelier et
Monsieur Menard, un de mes anciens professeurs désormais en retraite.
Tandis que tous sinstallaient chacun a sa place autour de moi, David me dit comme si cela était parfaitement naturel : « vous pouvez vous déshabiller Caroline ».
Je restais tétanisée de longues secondes, puis me rendis compte que 23 paires dyeux étaient tournées vers moi et attendaient. Le front rouge, et le souffle court, je commençais, ce que je trouvais être une espèce de strip tease. Javais imaginé naïvement que jaurais un vestiaire ou quelques choses approchant mais rien de tout cela. Je retirai ma robe, la tendis a David qui tendais la main (rien a côté de moi pour la poser) puis mon soutien-gorge, et enfin mon string et mes chaussures. Je restai la, nue immobile et intimidée, tandis que David emportait mes affaires au fond de la salle. Tous le scrutaient, de haut en bas dans les moindres détails. Comme ils étaient tout autour de moi je ne les voyais pas tous et navais pas la possibilité de me cacher avec mes mains.
David revint près de lestrade, me fit pivoter sur moi-même. La plupart des participants de cherchaient même pas à cacher leurs regards et regardaient tour a tour mon visage mes seins
mon sexe lisse, sans gêne. Je me faisais limpression dêtre presque un objet au milieu deux.
David indiqua alors « Caroline débute, donc nous ne ferons que des poses classiques aujourdhui », et tandis que je me demandais, un peu tard, au fond de moi ce quétaient des poses classiques ou non classiques, il mexpliqua les règles. Chaque pose était assez courte, entre 10 et 15 minutes, pour permettre à chacun de faire le croquis ou le dessin me représentant, puis on changerait de position pour une nouvelle pose.
Pour la première pose il me demanda de rester simplement la debout, détendue, le bras gauche pendant le long de mon corps et le bras droit relevé derrière ma nuque, la tête légèrement inclinée en arrière. Je mexécutais, en essayant de respecter la pose le mieux possible. Je pouvais presque sentir physiquement tous ces regards sur moi, tout autour de moi me scrutant dans les moindres détails.
Je pensais « je ne dois pas montrer mon excitation, pourvu que ça ne se voit pas », mais quelques sourires dans lassistance me firent comprendre rapidement que bien sûr, tout monde devait le remarquer.
Au bout du temps imparti, qui me parut à la fois court et très long, David revint vers moi, se saisi dun tabouret posé à lécart et le placé au centre de lestrade. Puis il mexpliqua « asseyez-vous caroline ». Je massis donc en gardant les pied et les cuisses jointes autant que possible. Il mintima alors « placez-vous plus en arrière sur le tabouret », puis une fois que je me fus reculée (sentant mes fesses dépasser dernière le siège et sans doute offrir un certain spectacle aux participants placé derrière moi) il ajouta « parfait, maintenant gardez votre pied gauche au sol mais placez votre cheville droite sur votre genoux gauche ».
Faisant le mouvement indiqué, je réalisais que mon sexe lisse, que je sentais même souvrir légèrement, devenait très visible pour une parte de lassistance. Davis sapprocha sur lestrade et me toucha pour la première fois. Le contact de sa main sur mon genou, quil forçat à sécarter un peu plus me fit come une décharge électrique. Et tandis quil me faisait ensuite placer mes deux bras mis levés derrière ma tête, je sentis affolée une humidité poindre au creux de mes cuisses. Tandis que je priais intérieurement que cela ne se voit pas (mais je me doutais que mon sexe devait briller un peu), il reparti a sa place en demandant au groupe « nest-elle pas douée ? ». Plusieurs commentaires confirmèrent quils appréciaient ma prestation « très douée », « prometteuse », « magnifique »
A la fois fière, gênée et troublée, je restais a peu près immobile, pendant que les participants réalisaient leurs dessins.
La pose suivante fut identique, mais je dus me tourner pour que ceux qui mavaient dessinée de dos me voient de face et inversement. Désormais, aucun des 23 hommes présents nignoraient rien de mon anatomie.
Le reste de la séance se déroula à peu près de la même manière, une succession de poses de 15 minutes environ, de plus en plus suggestives. Souvent très cambrée, je dus successivement faire une autre pose assise, mes deux pieds au sol mais les cuisses plutôt très ouvertes, une pose au sol allongée sur les coussins sur le ventre, là aussi les jambes peu fermées, et pour finir, me tenir à 4 pattes, à trois reprises, pour que chacun put me dessiner de profils, puis de face ou tris quart face et de dos. Je savais bien que dans cette dernière position, ma chatte, mes fesses et mon anus même devaient être bien visibles.
David vint plusieurs fois vers moi pour corriger ma posture. Relever mon menton, appuyer à plat avec sa main sur le bas de mon dos pour que je creuse les reins, appuyer sur larrière de mes cuisses que javance un peu un genou au sol, relever une épaule en tendant un peu plus un bras
très léger au départ les contacts devenaient plus appuyés, sa main frôlant mes fesses ou touchant deux secondes un de mes seins.
A chaque fois une sorte dexcitation mêlée de honte, me traversait, sans que jose émettre la moindre remarque ou protestation. Je mexcusais même bêtement plusieurs fois de ne pas prendre du premier coup la meilleure pose. Ce à quoi il répondait toujours « ça nest pas grave, vous allez prendre le coup vous verrez », avec lair de supposer que je reviendrais. Et toujours je voyais les sourires approbateurs des dessinateurs, qui échangeaient entre eux des mots que je ne pouvais entendre.
Après deux heures de pose, David annonça que la séance touchait à sa fin, mais me demanda de rester telle que jétais, (à 4 pattes donc), et indiqué alors aux participants « Si vous voulez parfaire vos uvres dici à la prochaine séance, vous pouvez prendre quelques photos à travailler chez vous ». Et avant que jaie eu le temps de réaliser le sens de ses paroles je vis tout le monde sortir un téléphone de sa poche ou son sac et me mitrailler en tournant autour de moi. Cela dura une minute ou deux, et je réalisais que tous ces homes avaient désormais des photos de moi, dans cette posture
de chienne.
Un peu terrorisée à cette idée que toutes ces photos puissent circuler, je me relevais aidée par David qui pris ensuite tout son temps pur me rapporter ms habits, tandis que certains participants me parlaient, toujours en me matant. Je pus enfin me rhabiller, toujours sous leurs yeux inquisiteurs. Et tandis que je sortais en répondant aux « au revoir, merci et à bientôt », David me dit tout haut, « prochaine séance mercredi prochain donc Caroline, même heure ». Jacquiesçais mécaniquement de la tête, nosant dire non et il ajouta alors sur un ton qui ressemblait plus à un ordre quà une demande « ne mettez pas de sous-vêtements au moins une demi-journée avant, pour éviter les marques », et regardant mes petits escarpins il dit encore « et si vous avez des talons plus hauts, mettez-les, nous attaquerons les poses érotiques ».
Là aussi je murmurais juste un bête « oui bien sûr... » et je sortis en saluant une dernière fois les participants qui semblaient se régaler à lavance de cette séance à venir et de ma nouvelle condition.
A mes parents qui me demandaient si ma journée sétait bien passée et doù je venais à cette heure je mentis bien sûr en indiquant que javais dû faire un remplacement au restaurant, doù mon retour un peu tardif.
Après le diner, je me masturbais come une folle, trois fois de suite excitée que jétais en repensant à cette séance. Pendant la semaine, je repensais tous les jours à ce que javais osée faire, jimaginais tous ces hommes regardant chez eux les photos de moi quils avaient prises, peut-être sexcitant en me regardant, ou en parlant autour deux. A chaque fois un sentiment de gêne presque de honte même me saisissait, jimaginais ceux que je connaissais, même mon vieux professeur se masturber en pensant à moi (tout en me disant que jétais folle de penser cela).
Alors que jhésitais encore intérieurement à retourner là-bas pour la séance suivante, mon passage le samedi à la boulangerie acheva de vaincre mes doutes. Notre boulanger (qui était je le rappelle présent à la séance), madressa un grand sourire, tout en me disant devant dautres personnes présente dans le magasin « Ha Caroline, vivement mercredi, nous comptons tous sur vous ». Je rougis jusque à la racine des cheveux, imaginant que tout le monde savait de quoi il sagissait et répondit « oui comptez sur moi » sous les yeux interrogateurs des autres. Mais une fois rentrée à la maison je réalisais combien cette situation mavais troublée, et me masturbant une fois de plus longuement, je compris que malgré mon appréhension, je serais présente le mercredi suivant.
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