Collection Soumis - Soumise. La Lopette (1/1)

- Bonjour chère voisine, heureux de faire votre connaissance !

Avec Christian nous avions entendu le bruit fait par les déménageurs installant de nouveau voisins dans l’appartement libre depuis des mois.

- Je vous rends votre bonjour, heureuse de faire votre connaissance.
- C’est vous Radia, votre mari se nomme Christian.
- Comment savez-vous ça ?
- in, ma boîte aux lettres, je mets mon étiquette Imade, 5ème droite et je vois l’étiquette voisine, Radia et Christian, 5ème gauche.

Ce grand noir, me dépassant d’une tête est impressionnant par sa carrure, mais aussi par son regard qui me fouille jusqu’au plus profond de mon être.
Deux ans de mariage avec Christian, quand je vois cette athlète, je me demande pourquoi c’est seulement maintenant que je le rencontre.
Bien sûr, sans me satisfaire pleinement, si j’ai épousé, mon mari, c’est parce qu’il a su être attentionné envers moi.
Chacun entre chez soi et revenant de mon travail je trouve Christian affalé sur le canapé, la manette de jeux en mains.

- As-tu préparé le dîner ?
- Tu le fais, moi je joue, arrête de me déconcentrer, j’arrive à mon maxi de points.

Le ton monte entre nous, Christian est au chômage depuis six mois et a tendance à se laisser vivre.

- Je parie que si je vais dans la chambre, le lit est d’en l’état où tu l’as laissé quand tu t’es levé.
- Je t’ai épousé, c’est pour que tu fasses tout ça.
- C’est malin, je viens de perdre ma partie.
- Tu es en peignoir toute la journée, crois-tu que c’est comme ça que l’on va faire bouillir la marmite, il serait temps que tu cherches du boulot.
- Pourquoi chercher ce qui est impossible à trouver, tu travailles toi, moi à part un peu de courant pour la télé et les jeux, je vis gratuitement ?

Autant de mauvaise foi, je hurle à réveiller les voisins.
Plutôt le nouveau voisin.

- Aller ma chérie, Radia, viens me rejoindre, regarde, j’ai envie de toi, je bande.


- Ton petit bout tout rabougri, tu peux te le mettre au cul ou prendre la veuve poignée, mon cul, c’est terminé, je refuse d’avoir des rapports avec toi.

C’est à ce moment qu’on sonne à la porte.
Le Dictaphone est resté muet, c’est donc une personne de l’immeuble qui vient nous voir.
Bien sûr, c’est moi qui me déplace.

- Excusez de vous déranger, il semble que l’atmosphère soit tendue chez vous, j’ai tout entendu de ma cuisine, les murs sont en papier mâché dans cette maison.
- Je venais vous inviter à boire un verre, j’ai apporté une bouteille de champagne et des petits sablés afin de trinquer au verre de l’amitié.
- Entrez Imade, mon mari est au salon.

Je le précède, Christian s’est assis de manière plus présentable ayant refermé son peignoir.
Nous discutons, c’est drôle, Christian semble sans voix devant cet homme.
Moi, il est tellement beau qu’à chaque fois qu’il parle, je mouille mon petit string.

- Vous travaillez dans le quartier, c’est pour cela que vous êtes venu vous installer ici !
- Non, je suis rentier, je vis de ma plume, j’écris des œuvres de fiction principalement sur la domination.
- La domination, celui ou celle qui me dominera peut toujours courir.
- Vendredi, la semaine sera terminée, nous aurons tout le temps de parler de vos écrits, nous nous invitons à venir dîner.
- Ce sera avec grand plaisir.

C’est l’heure, j’ai mis ma plus jolie robe très courte avec un corsage mettant en valeur mes seins.
Pour une fois, Christian a passé un pantalon avec sa chemise à carreaux qui me fait horreur.
On dirait un maquignon.

- Heureux de vous voir Imade,prenez cette place, je vais me mettre face à vous avec ma femme à mes côtés.
Elle sera plus près de la cuisine pour nous servir.
- Nullement Christian, c’est vous qui allez-vous asseoir seul, Radia viendra à mon côté.
Ce soir, c’est son jour de fête, vous serez à quelques mètres de la cuisine et vous ferez le service.

De chez-moi, je sentais les bons plats qu’elle a été obligée de préparer.

En prononçant ces mots, Imade fixait mon mari qui comme la larve qu’il est, est venu s’asseoir comme notre voisin black l’en obligeait.
Il passe derrière ma chaise et galamment m’aide à prendre place.

Passons le repas, Imade sait manger comme les gens savent le faire dans le beau monde.
Christian en vrai toutou s’exécute et c’est lui qui amène les plats.
Je le regarde effrontément, j’attends la suite satisfaite que quelqu’un sache rabaisser son arrogance à mon mari.
Au moment du désert, Imade regardant une nouvelle fois fixement mon époux, me met la main sur la cuisse.
Il est si haut que ma jupe s’est relevée, ses doigts sont à quelques centimètres de ma chatte qui mouille comme jamais.

- Christian, c’est le moment d’honorer votre femme.
Je vous ai entendu l’autre jour et presque tous les jours traiter Radia, plus bas que terre.
Christian, pour vous punir, vous allez me l’offrir.
Passez sous la table, pour lui enlever sa petite culotte.

Ou tout ça va nous mener, mais je sens que je vais passer un bon moment.
Mon mari s’exécute, ma petite culotte me quitte quand je soulève mes fesses.
Je m’attends à ce qu’il lui donne l’ordre de me sucer la chatte.
Pendant ce moment ou mon string me quitte, il ouvre sa braguette sortant la verge la plus grosse jamais vue.
Plus grosse que mon avant-bras.
Alors qu’il est à quelques centimètres de sa figure, je sens que je décolle ma chatte venant au contact de ce vrai bras qui veut me pénétrer.

- Christian, tu es un bon toutou, va jusqu’au bout de ton travail, saisi ma verge et fait là entrer dans le vagin de notre jolie Radia.
- Es-tu d’accord que devant ton soumis, je te prenne ?
- Oh oui, vas-y prend moi, je suis à toi.

Je sens la main de mon mari positionner ce gourdin qui petit à petit entre en moi chaque fois qu’il me laisse descendre.

Je sens ses couilles toucher mes fesses, j’ai tout absorbé me trouvant secoué de tremblement de plaisir.
Jouir, jouir, jouir, je suis jouissance.
Pour la première fois de la vie, je sais ce qu’est un orgasme.
Non, deux, trois, je finis par arrêter de compter.

- Tient, lopette, prend mes clefs et va dans mon armoire tu trouveras une valise, tu me la rapporteras.

Entre deux frissons de plaisir, montant et descendant régulièrement au rythme qu’Imade décide de me faire monter et descendre.
Je le vois sortir de dessous la table et partir vers le couloir.

- Voyons ce que nous avons à notre disposition pour notre lopette.
À oui, met toi à poil sinon tu vas tâter de mon martinet.

Imade pose sur la table un martinet.
Je sens qu’il a peur, lopette enlève ses vêtements.

- Tenue de soubrette, tablier, coiffe, tient en plus donne ton cou, je vais t’attacher le collier qui fait de toi notre chien fidèle.
Radia, nous allons continuer notre nuit dans notre chambre.
Toi lopette, tu nettoies la salle et fais la vaisselle à la main, inutile d’user du courant.
Je t’ai entendu dire que trouver du travail pour ceux qui veulent bosser est impossible, tu viens de trouver un triple travail.
Bonniche, tu es très jolie avec ta coiffe.
Majordome, demain tu nous serviras le petit déjeuner à 9 heures.
Tu trouveras une tenue dans l’armoire ainsi qu’un costume avec casquette quand tu me conduiras ou que tu la conduiras à son travail en semaine là ou tu as trouvé la valise.
Demain et à partir de maintenant tu feras les courses avec les listes que nous te ferons Radia et moi.
À oui dimanche, après notre petit déjeuner, tu seras de repos jusqu’à midi où tu nous conduiras au restaurant, c’est le seul jour où nous y mangerons.
Allez au travail, je veux trouver la maison nickel demain matin, car sinon tu tâteras de mon martinet.
Que trouve-t-on dans ma valise ?
Je vois que tu te tais, c’est que tu approuves ce que nous t’imposons lopette.


Christian baisse la tête, je découvre que j’étais marié à un pleutre qui jouait les gros bras devant moi.

- Regarde, Radia, tu refusais à bon escient de te faire baiser.
Avec ce gode ceinture, tu vas pouvoir l’enculer et lui déchirer le cul.
À genoux sur le canapé, lopette présente ton cul à ma petite.

Imade m’aide à le fixer et c’est avec délice que je l’encule.
- Ah !

C’est le seul son qui sorte de sa bouche pour finir par un.

- Oui !
- Viens, laissons-le travailler !

Ça fait un mois qu’Imade est venu manger chez nous.
Que dire de plus que notre lopette nous sert le mieux possible au risque de coups de martinet.
Ça lui est arrivé deux fois, c’est moi qui ai appliqué la punition avant de me faire baiser par cette magnifique bite qui me fait jouir chaque fois que je me fais l’amour avec Imade.
Quand je suis à la maison, hors de mon travail, j’ai une vie de rêve, farniente et queue gigantesque en moi.
Je sais mesdames vous m’enviez, vous avez raison.
Inutile d’essayer de prendre ma place, Imade m’a dit qu’il m’aimait.

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