Moi, Un Homme Soumis Par Un Autre Homme. (3Ème Partie)
Ce Mardi 6 Juin 2017 à 00h30, je devenais la propriété de Maître H.
Dès 06h00, le lendemain, je reçus un sms me disant de lattendre à 06h30 dans le jardin, nu debout, mains sur la tête et jambes écartées. Je fonçais à la douche, je métais engagé à avoir une hygiène parfaite.
Jétais à la fois content et inquiet de sa venue. Content davoir à nouveau sa magnifique bite en bouche et inquiet car cétait un saut dans linconnu, tout allait être différent désormais.
La fraîcheur du matin attisa mes sensations, je sentais mes tétons tendus, mes testicules se serraient comme 2 ufs et ma queue avait des vibrations fébriles, des sursauts dune demi molle qui ne demandent quà durcir.
Il arriva et me dit :
- Bonjour Chienne.
- Bonjour Maître
- Voici le contrat avec nos 2 signatures.
- Merci Maître
-A 19h45 ce soir, tu as rdv chez le médecin, je tai noté son nom et adresse dans le contrat. Il vérifiera le bon fonctionnement de mon nouveau corps de pute. Occupe-toi de lamener à lheure et propre.
- Oui Maître.
Tout en parlant, il sortit de sa poche un mètre de couturière en ruban et sappliqua à prendre diverses mesures ; les tours de cou, de poitrine, de taille et de bassin. Quand il eut fini, il prit les couilles, les soupesa, les entoura avec ses doigts comme un collier.
Dune main ferme, il me saisit par lépaule et me fit pivoter sur moi-même.
Directe, sa main droite convergea vers mon cul, quil prit à pleine main, il serra et desserra les doigts plusieurs fois de la chair pâle des fesses, comme sil voulait en connaître la fermeté, lélasticité et la tonicité. Sa main gauche me pris à la gorge comme sil allait m puis dun geste vif, sa main droite fouina entre mes fesses pour les écarter et HAAA, il introduisit un de ses doigts dans cet anus si serré, faute davoir pas servi depuis bien longtemps. OH bon sang, la violence de ce doigt !
Ma tête bloquée par létranglement nempêcha pas mon cul dêtre élevé en lair sous limpact ! Une décharge électrique glaçante remonta le long de ma colonne, jétais immobilisé comme par un teaser, les bras ballants sagitant comme des pantins tandis quil enfonça encore plus violemment son doigt, encore, encore et encore.
Je le déboutonnai, la bite se détendit comme un ressort et bondit en dehors de son slip.
Je la saisis à la base, avec mes 2 mains, elle était dure comme du fer, les veines gonflaient et ce sexe vibrait denvie alors je le pris en bouche et lenfonça doucement, les lèvres humides lenserraient comme un anneau et glissèrent sur toute la longueur, la langue se déforma en U pour lui faire un lit douillet et chaud sur lequel il glissa voluptueusement.
Sa main sur la tête arrêta mes vas et viens, que je faisais langoureux, je compris quil voulut imprimer sa cadence et me baiser la bouche, ce quil fit cette fois ci sans égards. Ça lexcitait comme un fou, sa queue grossit encore et son gland devint énorme tout en allant chercher le fond de ma gorge. Je suffoquais, secoué par des hauts de cur à répétition, je tentais de gober un peu dair entre ce bâillon de chair déchainé et la gerbe infecte que je sentais à fleur de glotte puis envahir ma bouche, sortir par le nez. Il sortit sa queue quelques courts instants, juste le temps de cracher ce mélange de gerbe et de salive épaisse que je sentis dégouliner sur mon torse, puis il recommença. Javais perdu la notion du temps, jétais en mode survie, les idées se cognaient dans ma tête mais aucune ne me disait de tout arrêter, de me débattre pour cesser lenfer. Non, javais signé le contrat, je savais que ça allait arriver alors je devais assumer que jétais une chienne, SA putain de chienne.
Quand il explosa dans ma bouche, jen fus à la fois fier et soulagé.
Je restais ainsi un long moment, jétais exténué, sans force, des perles de sueur coulaient de mon front tandis que jinspirais des pleines goulées dair comme un poisson hors de leau.
Jai passé la journée dans un état second au point que mes collègues me demandèrent si jallais bien.
Je leur dis que javais mangé un truc qui ne passait pas, dans un sens, je nai pas menti vu la rasade de sperme que javais avalé le matin. En prime, javais la rondelle en feu.
De retour chez moi, je reçus un sms me disant quH arriverait dans 15mn mais de façon surprenante, je neus pas de consigne.
Il arriva avec 2 colis doù il sorti une combinaison en résille noire, avec de fines bretelles, de larges ouvertures au niveau du sexe, des hanches et des fesses. Il y avait aussi 2 ensembles soutien-gorge, string, porte-jarretelle : le 1er était noir avec des bas noirs, le 2ème était rouge avec des bas blancs. Les 2 ensembles étaient franchement de piètre qualité particulièrement la rouge qui était dune vulgarité épouvantable, et cétait avant de découvrir que les soutien-gorge avaient des trous ouverts au niveau des tétons !
Dans le 2ème colis, je nen ai pas cru mes yeux ! Cétait le comble : des escarpins dau moins 8 cm, une grotesque perruque blonde et des bâtons de rouge à lèvres dun rouge obscène.
Mécrire dessus le front le mot PUTE naurait pas été plus explicite !
Je dû essayer les 3 tenues, avec séance déquilibriste sur les escarpins. Je me sentais grotesque et ridicule, je navais aucun doute que cétait le but recherché. H avait dans lil une expression salace et avilissante.
Finalement, il me dit daller laver « son » corps. Au retour, je dû enfiler le soutien-gorge et le string rouges, les bas blancs accrochés au porte jarretelle. Ne métant jamais habillé ainsi, je galerais à enfiler le soutien-gorge, à le mettre à mes dimensions pour que les tétons tombent pile dans les trous ; sans parler du porte jarretelle et des bas dont je ne trouvais pas le sens denfilage !
Lheure du médecin approchait, il me mit à genoux et pour la 2ème fois de la journée, je gobai son membre et cette fois ci, je le suçais à ma façon. Il ne mit pas longtemps à me gicler sur le visage et le corps. Super pour aller chez le médecin !
Maître H mimposa daller ainsi habillé et « maquillé » chez le médecin.
Je me suis habillé normalement puis je me suis rendu à mon rdv. Il ny avait personne dans la salle dattente, pas vraiment étonnant vu lheure.
A ma grande surprise, cest une femme qui vint me chercher.
Pas très grande, je dirais la 40aine pleine de vitalité, une belle silhouette avec des formes agréables à regarder, des cheveux façon grand carré frisé, original. Son visage était un peu long, sa bouche un peu trop fine mais son regard était magnifique, des yeux noisette pétillants et espiègles, à tomber par terre ce regard.
Le parcours de la salle dattente au cabinet fut un chemin de croix, jétais au 36ème dessous, avec mes sous-vêtements de pute.
Son regard montrait une grande curiosité, elle me dévisageait, me regardait de la tête aux pieds, tandis quelle rentrait dans son ordinateur mes coordonnées.
Puis elle me dit :
- Le mieux est de ne pas tourner autour du pot. Je suis une très bonne amie de H et je sais parfaitement pourquoi vous êtes ici. Je vais vous poser beaucoup de questions, parlez librement.
- Si je puis me permettre, que savez-vous précisément ?
- Que vous êtes
comment dire poliment? Vous êtes le nouveau soumis de H. Exact ?
- Oui.
- Depuis quand ?
- Quelques mois.
- Et comment vous a-t-il trouvé ?
- Par internet.
- Ah tiens ! ça sest passé comment ?
- Un rdv puis dautres ont suivis.
- Vous en êtes donc encore à lui faire des fellations. Il a une belle bite, nest-ce pas ?
- Vous êtes bien informée !
- Je vous lai dit, je suis une très bonne amie. Cette part dH nas pas de secret pour moi. Donc vous le sucez. Quelle est la fréquence de vos rendez-vous ?
- Il vient tous les jours.
- Ah oui ? Tous les jours depuis plusieurs mois ?!
Elle sesclaffa : Ah ce H, il est pas croyable, il trouve toujours de ces putes !
Ce mot dans sa bouche, balancé ainsi dans le cadre bourgeois dun rdv médical, matteignit comme un uppercut en pleine face.
Elle reprit en souriant, sa curiosité était évidente.
- Ça semble vous déranger que je dise de vous que vous êtes une pute ?
- Ça vous plairait vous que quelquun dextérieur à lhistoire vous traite de pute ? Moi, non. QuH le pense, il a des raisons mais vous
Elle me coupa la parole : Vous recevez son sperme en bouche ?
- Euh, oui
- Avez-vous déjà avalé son sperme ?
- Oui
- Je vais vous examiner. Veuillez-vous déshabillez-vous svp.
Javais espéré ne pas devoir le faire. Elle ne sest pas levée, elle sest callée au fond de son siège comme si elle sattendait à voir quelque chose. Une ambiance étrange émanait de cet instant, ce nétait pas une connivence érotique, non, cétait pas ça ; une perversion plutôt, oui cest ça, ce rdv médical était perverti par H et elle, le docteur, y prenait plaisir. Je suis certain quelle mouillait, quelle était excitée. Une amie de H, pourquoi pas une maitresse ? Pour si bien le connaître, savoir la taille de sa bite, cest quil lavait baisé. Elle aussi avait été sa pute. Cette idée vacharde me plut, elle était comme moi, elle était aussi une pute.
Mais il fallait que je me déshabille et ça, cétait difficile à faire. Mais elle insista dune voix ferme et franchement moqueuse. Elle savait. Jai ôté mes vêtements, me laissant ainsi apparaître en soutien-gorge, string, bas, porte jarretelle
Jétais debout, me sachant pas quoi faire de mes mains, plein de gènes, devant elle assise, qui a bien pris le temps de me voir ainsi. Elle me regardait de la tête aux pieds.
- Alors donc, vous sucez H tous les jours, vous avalez son sperme, je vois quil a joui sur vous il y a peu de temps et vous portez soutien-gorge à tétons ouverts, string, porte-jarretelles et bas. Vous êtes quoi si ce nest une pute ?
Jai dû devenir aussi rouge que mon string !
- Et il rougit
cest mignon. Je comprends pourquoi vous plaisez à H. Car physiquement, vous nêtes pas du tout son type.
- Ah bon ? et cest quoi son type ?
- Les mecs plus fins, moins masculins, plus soumis. Vous, vous résistez encore. Connaissant H, ça doit lui plaire, surtout sil vous fait faire ce quil veut. Cest un homme exigeant, vous vous en êtes surement rendu compte. Donc sil mise sur vous, cest que vous devez avoir certaines qualités, me dit-elle dans un sourire plein de sous-entendus.
- Et vous en avez vu beaucoup des soumis à H ?
- Pas tant que vous pouvez le penser. Il est comme il est, H, mais ce nest pas un collectionneur. Sil trouve ce quil cherche, il ne va pas voir ailleurs. Chacun sait ce pour quoi H vient le voir.
- Pardon ? ça veut dire quoi ça ?
- Cest clair, non ? Pourquoi H vient vous voir ? Le sexe. Vous apparemment, vous serez son soumis sexuel, celui avec qui il se vide les couilles, dit-elle crument. Mais il a dautres soumis pour faire dautres choses. Un maso par exemple. Il a aussi une femme quil appelle « la chatte ». Chacun a ses qualités, vous, il semble que ce soit le sexe.
- Vous voulez dire quil a plusieurs soumis en ce moment ?
- Cest ça, chacun a sa fonction selon ses qualités.
Jétais abasourdi !
- Excusez-moi mais cest pas possible, il vient me voir tous les jours, je ne vois pas quand il a le temps pour dautres. Même sexuellement, comment il ferait pour baiser plusieurs fois par jour, personne tient ce rythme, personne na de telles envies.
- Qui vous dit quil baise tous ses soumis ? Le maso sert de maso et la chatte ne sert pas tous les jours, question de disponibilités, de cycle où pour je ne sais quelles raisons. H se sert de vous pour se mettre en condition pour la chatte quand cest son tour, et elle prend cher daprès ce que je sais !
- Parce que cest vous la chatte
Elle éclata de rire
- Moi la chatte ?? Oh non, cest pas moi ! Il est bien trop membré pour moi, le H ! Jaime bien sa façon de baiser mais le regarder me suffit. Me faire prendre par lui, non merci ! Quand il se sera occupé de vous, vous comprendrez de quoi je parle. Mais vous, vous aimerez.
- Pourquoi dites-vous ça ?
- Quand avez-vous signer votre contrat ?
- Hier soir.
- H avait pris rdv avant-hier
, il était certain que vous alliez signer, me dit-elle en souriant. Il veut que vous fassiez les tests MST rapidement. Pourquoi daprès vous ?...
Je vais vous les prescrire, vu lheure, vous ne pourrez pas faire la prise de sang demain matin donc ce sera pour vendredi matin. Vous aurez les résultats dans la journée. Si tout est ok, H va pouvoir bien samuser ce weekend.
Vous avez signé le contrat en sachant ce qui vous attend. Vous savez comment est membré H et vous avez dit ok. Pas besoin dêtre devin sur vos goûts. Mais en tant que médecin, je dois vous dire dêtre prudent à tout saignement anal. Venez me voir aussitôt, cest important. Suivez-moi, je vais vous examiner.
Elle mexamina consciencieusement, de fond en comble si jose dire. Elle me demanda pourquoi javais lanus irrité, je lui expliquais ce quil sétait passé le matin. Elle ne dit rien mais sassura que jallais bien. Etre à 4 pattes sur sa table dexamen pendant quelle mauscultait le cul, je ne préfère même pas en parler tellement je me sentis comme un objet prêté. Elle me posa plein de questions sur ma vie sexuelle, si je faisais beaucoup de rencontres, mes antécédents médicaux, mon alimentation, ma façon de vivre
Hors contexte, ça pouvait ressembler à un rdv normal. Je pus enfin me rhabiller.
Avant de partir, elle me dit malicieusement « on se revois bientôt et bon courage».
Que voulait elle dire ? Je nen avais aucune idée. Peut être pensait elle que H allait me déchirer le cul ce weekend avec sa grosse bite et que je viendrais la voir avec le cul ravagé dès le lundi.
Je frissonnais à cette idée, à ce que jallais subir. Elle savait comment H baisait et ce quelle men avait dit me faisait froid dans le dos.
Le lendemain matin, je pris rdv pour la prise de sang. Me défiler ne mest même pas venu à lidée. H allait me baiser samedi ou dimanche, cétait dans lordre des choses.
Je pensais ne pas le voir avant vendredi soir ou samedi mais il passa le soir comme à son habitude.
Pendant la fellation, quil me commanda de faire durer le plus longtemps possible, il me dit que jétais une chienne trop poilue.
Aussitôt, joignant le geste à la parole, il sorti tout loutillage de la parfaite esthéticienne et me dit de mallonger sur la table, bras sur la tête. A coup de tondeuse, il rasa méticuleusement mes aisselles, mon torse, mon ventre et une partie de mes jambes et sappliqua à me faire un ticket de métro sur le pubis ! Content de lui, il resta un moment à contempler mon corps presque lisse et le tas de poil tombé de chaque côté.
Puis il soccupa du verso, rasant dos, fesses, jambes en prenant son temps. Il arrêta la tondeuse après lavoir nettoyé dun souffle puissant.
Quand il dit « Passons aux choses sérieuses, allonges toi sur le dos, bras en croix », je compris que ça allait être plus douloureux pour moi. Il mit à chauffer des bandes cire dans une sorte de petite marmite puis il sorti des sangles de son sac.
Jai compris, il neut pas un mot à dire. Il commença par le bras droit quil attacha fortement. Puis ce fut le bras gauche. Je me suis laissé faire quand il fixa mes jambes et je fus immobilisé en seulement quelques minutes.
Il me fit ouvrir la bouche afin de me mettre son fameux bâillon boule. Je savais que jallais souffrir mais mon Maître avait décider et moi jétais son objet.
Dire quil nétait pas doué est un euphémisme. Il appliqua la 1ère bande sur mes testicules, jai eu limpression de recevoir un seau deau bouillante sur les couilles, mes plaintes sévanouissaient dans le bâillon boule et je tanguais des hanches, mais quand il arracha la bande dun coup sec, jai défailli et eu un vertige tellement jai eu labsolu certitude quil venait de marracher une couille. Et il recommença encore et encore, les couilles puis lentrejambe puis le cul dans des positions intenables, cest du moins limpression que jen ai eu, cétait interminable !
Puis ce fut fini, il me détacha, retira le bâillon boule et me laissa reprendre mes esprits et mon souffle. Jétais en sueur, épuisé. Puis il me dit daller me doucher et dappliquer la crème quil me tendait, « sur les parties sensibles » me dit-il en se foutant ouvertement de moi. Je vous laisse imaginer comment fut la douche, lapplication de la crème alors que je ne supportais même pas un filet deau sur mes bourses enflammées
.
Je nen fus quand même pas exonéré de lui vider les couilles une 2ème fois, lisant dans son regard, un plaisir salace de me voir ainsi chercher une position supportable le temps de le sucer. Il mit un temps fou à jouir ce jour-là et pourtant je mappliquais !
Jignore pourquoi mais je me suis dit que la chatte ne se ferait pas tirer ce jour-là.
Par la suite, jimaginais quand la chatte avait droit à se faire baiser ou pas, selon lheure, le nombre de fois que je vidais H
Les tests montrèrent bien évidemment que je navais aucune MST. On était vendredi, 17h. Le médecin devait avoir eu les résultats aussi et H serait aussitôt informé que jétais sain, jen étais certain.
A présent, H avait toutes les cartes en main.
Cest le lendemain matin quil vint me voir.
A 08h00, je reçus un sms me disant de mhabiller en combi résille et dêtre prêt pour 09h00.
Quand il me tendit ses résultats sanguins pour me prouver quil était sain lui aussi, je compris à la date quil venait de les avoir. Il navait pas trainé à venir me voir !
Il se déshabilla entièrement. Si je devais encore avoir un doute sur ce pourquoi il était là, je nen avais plus aucun quand je vis la queue de H. Elle était si tendue quelle en remontait vers son pubis et son ventre ! Quand je lai pris en bouche, ce nétait plus une bite mais une poutre de chair en bois massif ! Appliqué à le pomper, je lentendis fouiller dans son pantalon, puis il m'a relevé par les cheveux et m'a orienté vers la chambre. Dun mouvement de bras, il ma jeté sur le lit et m'a dit de me mettre à 4 pattes, de me cambrer et décarter les jambes.
Jai regardé son sexe, je ne lavais jamais vu aussi gros, raide, surexcité, son gros gland décalotté était rougi par lenvie, gonflé à en exploser, tendu comme jamais. Quand nos regards se sont croisés, jai vu son désir mais aussi bien autre chose, sa domination, sa moquerie, son côté carnassier et surtout, il me disait : Tu nes quun trou. Tu es MON trou.
Jétais dans un état second, envahit par la peur de souffrir mais convaincu de mon devoir, je ne faiblirais pas quen bien même il me casserait le cul.
Il m'a doigté avec du gel, cétait donc ça quil cherchait dans son pantalon.
Il y est allé franchement, avec poigne et fermeté, cétait terrible ! mon cul ondulait au rythme des vas et viens, des ronds quil faisait dans mon anus. Puis ce fut 2 doigts, les plus longs quil fit tourner et tourner et tourner
, il recommença un long moment, avec davantage de gel, jen étais plein, jen avais plein la raie, ça glissait comme jamais.
Javais quen même la respiration courte, je subissais complétement sa puissante dilatation. Jessayais de me détendre, de me rappeler les fois où javais été sodomiser mais là, il ne sagissait plus de sodomie, le mot ne convenait plus à la situation, sodomie était un mot très lexical, trop mignon, pour ce qui se préparait.
Lui, il allait menculer, me fourrer, me défoncer, me besogner, me détruire le cul. Et il me louvrait dans ce but mais je ne lâcherais rien ; non, rien de rien.
Dun coup, jai senti quil se plaçait derrière moi. A 4 pattes, je sentais ses mollets contre les miens, les écarter pour se mettre à son aise, ses genoux prendre ancrage, ses cuisses se coller contre lintérieur des miennes, il était en train de prendre position. Dune main ferme, il enserra une de mes fesses pour lécarter, je savais quil avait maintenant mon petit trou dans le viseur de sa grosse queue. Me détendre, le plus important, me détendre, mouvrir, ne pas résister, me laisser faire, surtout ne pas me contracter !
Et là, je sentis le contact de sa poutre contre ma peau, au milieu de mes fesses, il nétait pas face au passage mais il samusait à la faire monter et descendre dans ma raie, pour lui graisser la tête. Jai senti quil rajoutait du gel, cétait froid, ça glissait entre mes 2 globes et jai compris quil sen mettait sur toute la longueur de sa queue avec sa main libre.
Il graissa encore sa bite dans ma raie, je sentais une chose monstrueuse, monter et descendre, une batte de baseball couronnée dune boule de pétanque qui écartait mes fesses en grand par sa seule présence. Javais une foreuse monstrueuse pointée vers mon fond, les vérins en fusion, prêts à lâcher toute la force dévastatrice.
Je prenais des grandes respirations, obnubilé par des « détends toi, relâches toi, respires, tu veux ça, tu vas enfin être ce que tu veux, respires, sois fort, sois pute, sois chienne ».
Mais finies les incantations, je sentis que H arrêtait de jouer à se beurrer la queue, il se fit plus précis. Oh ! ça y est, il a trouvé louverture, il positionne sa bite, je sens la masse du gland collé contre mon trou minuscule. Les mains puissantes écartent mon cul en deux, lillet souvre, H commence à pousser, la pression se fait forte sur lanneau serré, je le sens petit comme une tête dépingle devant un marteau piqueur.
Ça y est, il augmente la pression, il cherche à passer, je sens le gland rentrer en force et les chairs commencent à souvrir sous la poussée puissante, lente mais inexorable. Oh bon sang, cest énnooOrrme ! Haan, un coup de rein ! Hannn
bon sang, ça y est, le gland vient de rentrer en entier, il a passé la bague, jai senti la collerette être engloutie par mon cul, il est démesuré! Cest pas possible, cest pas un nud de bite, cest une boule de bowling !!
Jhalète comme une chienne, je ne pense plus à rien quà cette masse dure qui continue à senfoncer encore et encore. Je serre les dents mais jai limpression de crier quen même, et cette queue, Ho putain, quand est-ce quelle va sarrêter de descendre en moi, cette putain de queue dalien.
Mais non, elle continue à rentrer en moi, je ne sens toujours pas le corps de H sapprocher de moi, pitié un petit signe, une chaleur, le contact de ses poils sur mon cul rasé, rien quun petit signe que je vais bientôt lavoir en entier en moi.
Mais non, il continue, combien mas til déjà mis ? un tiers, la moitié ? plus jespère ! je me cambre pour faciliter davantage le passage, jai la tête dans loreiller, je serre les dents à me les casser, jétouffe mes cris au fond de ma gorge mais ils résonnent en moi. Putain, quelle douleur !
H doit sen rendre compte, je lentends se gausser et il me lâche un : « ten ai même pas à la moitié, ma salope ! »
Merde, même pas la moitié ! mais bordel, il va me crever ! ça rentrera jamais !!
Et là, il me prend les hanches à pleine main, je suis pris dans un étau, fini la sodomie en douceur, il force sur son pieu, ses hanches font levier, ses bras mattirent le cul sur sa queue et Han ! il senfonce avec brutalité ! sa queue raide ne plie pas et senfonce quasiment dun seul coup de bite jusquà la butée. Je sens son pubis percuté mon cul et 2 boules dures sécrasées. Je hurle comme une bête tellement la douleur est atroce, plus jamais je naurais un tel cri, un cri de gorge, un feulement de bête à lagonie.
Je suis transpercé, je voudrais que ça cesse, là, immédiatement, tout de suite, par pitié ! Je sens des larmes jaillirent sans que je les contrôle, mes dents crissent tellement je les serre. Jai un bâton de dynamite enfoncé dans le cul, je sens mon anneau à vif, est-il déchiré ? Mas til déchiré le cul ??? Jai trop mal, jen peux plus ! Cette masse en moi, je sens quelle est chaude, elle est lourde, bon sang, quest-ce quelle est lourde ! surtout quest-ce quelle est volumineuse ! je sens son volume, je sens sa forme en moi, jai limpression quelle a fait un espace en moi, je sens toute ma profondeur et ma limite, ce nest pas possible daller plus loin, plus loin elle me sortirait par la bouche comme un pale. Voilà, cest ça, il ne ma ni sodomisé, ni enculé : il ma empalé et je gigote impuissant en écoutant son rire. Il rit !
- Ça, cest un bon cul de pute comme je les aime ! Jusquaux couilles ! Tes vraiment quune lavette mais putain, quest-ce que tu es bonne ! Tes bonne par tous les trous. Han putain, je vais te démonter ! Gueules ma salope, je veux que tu gueules, je vais te faire gueuler comme une chienne !
Là, je sens quil se retire, jai limpression denfin pouvoir respirer mais cest pour une courte durée car aussitôt il se renfonce, je me perds dans le vide, je crie, sa queue perd son gel à chaque allers-retours, lhumidité se transforme en râpe chauffée à blanc, mon cul doit fumé mais H commence à accélérer ses vas-et-viens, il mexplose le cul, je sens ses couilles claquées contre moi quand il arrive en butée. Je nai plus de force, hurler même, je ny arrive plus, je me sens démantibulé.
Je pensais quil était bien ainsi et quil allait se finir en levrette mais dun coup, il libéra mon cul.
Avait-il joui ? Je nai rien senti ? Je ne lai pas entendu prendre son pied ???
Mais je navais rien compris, dailleurs jaurais été incapable de réfléchir à ce moment-là.
Non, dune main ferme, il me projeta sur le côté et je tombais avachi sur le flanc, bras et jambes en vrac comme une poupée de chiffon.
Dune main, il me saisit un pied, me tira vers lui en me mettant sur le dos, de lautre main, il me saisit lautre pied et il me souleva les jambes écartées en lair dune pichenette ! Il se positionna, plaça mes jambes sur ses épaules et aidé par sa main droite, il saisit sa batte de baseball pour fouiller derrière mes couilles, cherchant lendroit où il sétait déjà tant amusé. Il le trouva facilement et plongea son dard dans mon cul si malmené par ses précédents assauts.
Jessayais de respirer mais narrivait quà hoqueter, quand il retirait sa queue, je prenais un peu dair mais bloquait ma respiration quand je sentais sa grosse bite senfoncer à nouveau en moi.
Allongé sur le dos, mes jambes en appui sur ses épaules battants lair comme 2 girouettes, jétais tassé sous son corps massif, écrasé sous son poids, et surtout, sa queue, cette queue de fer bouillant menvahissait à chaque plongée dans mon cul. Jétais incapable de bouger, mes mains restaient en croix de chaque côté. Je ne pouvais que le regarder et prendre ses coups de pilon.
Lui ne me regardait pas, sa position lui permettait encore de regarder sa queue rentrer et sortir de mon cul, dans un rythme lent comme sil le dégustait sur toute sa longueur. Sa respiration était ample, il prenait du plaisir, ça sentendait.
Puis il me regarda dans les yeux. Jai lu du plaisir, sexuel ça cétait évident, mais pas que. Puis il me dit tout en continuant ses lents allers retours
- Ça faisait longtemps que je navais pas trouvé un cul pour ma bite. Tous les derniers mont fait arrêtés même quand jy allais en douceur. Toi tes une bonne pute, docile à la bite, tes une chialeuse mais tu la prends bien et tu fermes pas trop mal ta gueule, cest très bien. Jai senti que tu avais le potentiel de devenir un bon trou à bite et javoue que tu ne me déçois pas. Tu as encore beaucoup à apprendre pour être souple de lanneau mais ça viendra avec lentrainement.
Allez, il est temps de te faire vraiment gueuler ta race de chienne !
A partir de ce moment-là, ma situation passa de terrible à apocalyptique.
Il se mit sur ses coudes, son visage prêt du mien, si bien que je sentais son souffle chaud sur moi comme le simoun, puis ses coups de bite devinrent des coups de butoir, il y mettait toutes sa force, tout son poids. Il contracta tous ses muscles, son corps en extension rebondissait sur le mien comme sur un trampoline et sa queue me défonça à chaque vas et viens, je le sentais encore plus loin en moi, il était encore allé plus profond, je sentais encore sa masse de bite dans un coin inconnu de moi, je me faisais démolir le cul et je me mis à gueuler, à gueuler à men casser la voix mais il redoubla les impacts tellement ça lexcitait, il me pilonnait, il me fracassait, il me dévastait et dun coup, sa queue enfoncée au fond, il se figea, le corps tendu comme un arc et il cria sa jouissance dans un HAAA suivi dautres HAAAAA !!! Jai eu limpression que sa queue doubla encore de volume et une sensation étrange de chaleur diffuse envahir un endroit profond en moi. Il se mit à jouir et ça sembla sans fin, son corps se tendait et détendait, il fit quelques allers retour à grands coups de reins, sarrêta au fond et chaque HAA lui coupait la respiration! Il était en lévitation, complétement parti en lair.
Puis un temps plus tard, je ne sais pas combien, il recommença à respirer de façon ample, son corps se détendit et je le senti lourd sur moi. Il conserva sa queue encore en moi puis se retira. Il mavait rempli de son jus et pour la 1ère fois de ma vie, javais du sperme chaud et visqueux quelque part dans le fond de mon cul.
Il resta allongé à côté de moi. Il avait pris un gros pied et il était content.
Moi jétais allongé aussi mais en vrac, dévasté et démantibulé. Javais limpression quil avait encore sa grosse queue enfoncée en moi et je sentais un cur battre dans mon cul. Cétait douloureux, je préférais ne pas bouger car je me doutais que marcher serait pénible. Etre immobile létait déjà mais javais réussi. Oui, javais tenu et chaque battement dans mon fion était comme un claquement de mains.
Voilà enfin, javais vécu ce que je voulais vivre depuis si longtemps. Enfin, javais été le trou dun vrai putain de mec, un égoïste, un pur mâle alpha, dominant et viril, bâti comme un bloc et membré comme cheval. Je voulais être un objet sexuel pour un homme, H ne sétait pas privé de se servir de moi. Je le voulais, je lavais eu bien profond !
Et H était allé encore plus loin, jamais je navais pensé quun mec jouisse sans capote en moi. Impossible vu ce qui traîne et impossible en plan One Shot. Impossible et vitalement interdit.
Mais lui mavait planté sa colonne dans le cul, 23cm de puissance virile sur 5-6cm de bestialité, presque le volume dune bouteille enfoncée dans le fion et il sétait vidé les couilles bien au fond, une de ses grosses éjacs que javais si souvent bu jusquà la dernière goutte.
Aucun autre ne mavait laissé ainsi avec cette impression. Il était là, les yeux fermés encore en voyage au 7ème ciel et je lui appartenais encore.
Les autres mavaient baisé, certains vraiment bien, mais ils nétaient plus rien pour moi quand il faisait un nud à leur capote. Leur petite domination sen allait dans leur petit sac de latex, ridicule. Une fois partis, ils ne seraient plus une sensation de dilatation pleine de gel qui disparaitrait sous la douche.
Mais là, non. H restait allongé à côté de moi, perdu dans son plaisir. Moi javais mes 2 couilles pleines et une bite qui navaient aucune utilité. Un cur battait dans mon cul, un cul remplit de SON sperme.
Après être revenu sur terre, il sest rhabillé, il semblait léger, content, cette baise lavait mis dans une forme et une bonne humeur qui mont surpris mais qui mont aussi furtivement rempli de fierté.
Avant de partir, il ma regardé. Jétais encore allongé sur le dos, je navais quasiment pas bougé, jen étais incapable tellement il mavait explosé, je me sentais courbaturé, javais mal partout davoir été si tendu nerveusement, davoir été si tassé sous son poids.
Jétais une vieille bagnole passée sous un compresseur à la casse, une poupée démantibulée ; jétais surtout une vulgaire capote chiffonnée et remplie de sperme.
- Restes là, ne bouges pas et gardes bien mon jus au chaud. Je reviens dans 2h.
Ce Samedi 10 juin 2017, il ma rempli 3 fois mais ce fut soft par rapport à ce qu'il me fit vivre par la suite.
Mogwai
PS : Merci à ceux qui m'ont laissé un commentaire lors des 2 premières parties.
Spéciale dédicace à ceux qui m'ont envoyé un mail perso. Ce qu'ils m'ont écris m'a donné envie d'écrire à nouveau.
Merci à eux.
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