Une Expérience De Ouf !
Je mappelle Carla, jai 18 ans et je viens davoir le bac.
Cet été, jai eu la chance de trouver un job en restauration dans le sud de la France, pour 2 mois.
Travail 5 jours et demi sur 7 et 4H de repos dans la journée qui commence à 9H et se termine vers 1H.
La Brasserie est très grande et nous sommes une équipe de 18 personnes + le patron.
Mes deux comparses les plus proches sont Yoann (19 ans) et Loïc (20 ans) avec lesquels jai très vite sympathisé. De plus nous étions logés dans la même grande maison située à moins de 300m de la brasserie et aussi de la plage. Nous avions chacun une petite chambre pour 2. La mienne, je la partageai avec Éloïse qui avait 3 ans plus que moi, sympa aussi, mais plus solitaire et introvertie.
Très vite, je me laissai draguer par Loïc, le plus entreprenant des garçons de léquipe et dès le 4ème jour, nous faisions lamour, pendant une pause, dans sa voiture. Ce nétait pas la première fois mais la 5ème fois que javais un vrai rapport sexuel avec pénétration et éjaculation en moi. Mon premier rapport datait de mes 15ans, pendant une fête entre amis, chez une de mes copines. Avec laide de la boisson, ce jour là, javais parié que je serai déflorée et jai gagné mon pari...
Cette première expérience ne mavait pas enchanté, je navais pas joui comme je limaginais possible, en tout cas, moins que lorsque je me caressais seule dans mon lit.
Plus tard, je suis tombée amoureuse dun super garçon de mon âge, au lycée. Ensemble nous avons expérimenté et progressé dans nos relations sexuelles. Nous avons rompu quelques semaines avant le bac, jétais donc libre !
La première difficulté, cet été là, pour avoir de bonnes relations sexuelles, cétait les horaires du boulot qui ne nous métaient pas en pause toujours ensemble et qui étaient très fatigants. La deuxième difficulté venait du partage des chambres. Nous avions des relations très rapides dans des lieux parfois peu glamours (voiture, toilettes, poubelles, cabine de bain
).
4 ou 5 jours plus tard, je me retrouvai en pause avec Yoann qui savait que je sortais avec Loïc, mais qui, sans sen soucier le moins du monde, se mit à me draguer. Nous étions alors allongés sur la plage, il se colla à moi et me caressa les cheveux en me déclarant son envie de sortir avec moi. Et moi, chauffée par un soleil de plomb, je me suis laisser faire, du moins, embrassée et caressée, mais sans aller au-delà.
La nuit suivante, après le boulot, alors que jétais prête à me coucher, Loïc vint frapper à notre porte en me demandant de venir, ce que je fis.
Arrivée dans la chambre des garçons, ils me dirent sêtre expliqués, que la vie était courte, quon nallait pas gâcher nos relations, notre boulot, nos vacances par la jalousie et que le mieux cétait de faire ménage à trois. Je fus à la fois surprise mais pas tant que ça, puisque cétait aussi cette solution que javais envisagé toute la journée.
Sans plus attendre, Loïc mattira sur le lit, dans ses bras et membrassa. Pendant ce temps, Yoann, retira ma culotte et commença à lécher ma vulve. Loïc se redressa et vint moffrir son sexe sur ma bouche. Je le laissais entrer et le suçais profondément. Javais malgré tout un petit peu peur de cette situation, mais, les garçons étaient très appliqués et très doux. Javalai le sperme de Loïc en même temps que Yoann se mit à me pénétrer en douceur. Je me sentis partir et quelques secondes plus tard je jouissai comme jamais je ne lavais fait. A peine Yoann se retirait il, que Loïc me pénétra à son tour en ayant pris le soin de me retourner avant.
Eux, malgré leur inexpérience, cest ce quils mont déclaré, réussirent après mavoir abondamment lubrifié et doigté. Cest Yoann qui fut le premier. Les sensations furent pour moi bizarre, mais pas mauvaises. Pendant que Yoann allait et venait dans mon anus, Loïc vint se présenter pour une fellation, mais je lui demandai de me pénétrer en même temps par devant en se glissant sous moi. Après un peu de gymnastique, les deux garçons parvinrent a me prendre en même temps, doucement. Je sentai les deux sexes se frotter, javais chaud, je bavai et mouillai fortement. Loïc membrassait en me disant des mots tendres, les mains des garçons me caressaient mes seins et mes fesses. Notre coït dura quelques minutes, cest Yoann qui éjacula et ressorti le premier. Loïc en profita pour me retourner et accéléra le rythme pour se lâcher à son tour avec force se qui entraîna chez moi un orgasme violent.
Cette fois nous pouvions dormir !!!
Les jours et les nuits suivantes furent un festival sexuel. Plus je pratiquais et plus javais envie. Les garçons aussi en demandaient toujours plus et souvent, même pendant le travail, ce que je refusais toujours, surtout que le patron avait bien compris et nous surveillait de près. Peut-être même quil nous enviait, car il était de plus en plus sympa avec nous et surtout avec moi. Je devais men méfier et éviter de me retrouver seule avec lui.
Nous pouvions prendre nos pauses jusquà un maximum de deux heures consécutives. Les garçons mavaient demandé de prendre deux heures ce qui leur permettait de me voir à tour de rôle.
Ainsi mes pauses étaient pour la plus part consacrées à des relations sexuelles qui se déroulaient sur la plage, dans la chambre, dans une cabine appartenant à la brasserie, ou derrière les autres cabines, ou dans les toilettes du square du centre ville, ou dans le square derrière des buissons, ou dans la voiture des garçons
Accroupie, à quatre pattes, debout, couchée, assise, toutes les positions mont été proposées.
Cest Yoann qui était le plus pervers et cherchait à faire des trucs cochons. Cela avait commencé dans les toilettes du square. Il mavait demandé duriner devant lui, puis il mavait léché juste après. Un peu plus tard, il mavait demandé duriner pendant quil me léchait. Javais eu bien du mal à lâcher quelques gouttes, mais lexpérience mavait plu et ce jour là, Loïc, arrivé après, avait bénéficié de mon excitation provoquée par cette expérience.
Parfois, en rentrant du boulot, tard dans la nuit, nous allions piquer une tête à la mer, puis, sur le sable, dans la nuit claire, nous faisions lamour à trois. Mais ce soir là, Yoann, malgré la présence de Loïc, voulut approfondir son fantasme et me demanda duriner sur lui. Loïc nétait pas contre et me regarda faire. Yoann but une bonne partie de mon urine, puis il me demanda une fellation qui dura moins dune minute tellement il était excité. Dès quil se fut soulagé, il nous entraîna vers leau. Alors que jétais debout, leau jusquà la taille, il se colla à moi et urina sur mon dos, je me retournai et reçu son jet sur le ventre, puis il inclina son sexe pour masperger le visage. Jesquivais en riant et plongeais pour me rincer. Pendant ce temps, Loïc, dabord observateur, sétait placé derrière Yoann et lui aussi se mit à uriner sur lui et Yoann plongea à son tour .
Ce fut le début de jeux très pervers, mais, je dois lavouer, avec eux, je les ai apprécié.
Petit à petit, nous finissions nos ébats sexuels par une douche collective pendant laquelle nous urinions les uns sur les autres, du moins, les garçons sur moi et moi sur eux mais plus particulièrement dans la bouche de Yoann qui semblait de plus en plus aimer cela. Moi aussi, je commençais aussi à ouvrir ma bouche, sans avaler le liquide, du moins au début, car après quelques essais, je pouvais en boire une bonne partie sans trouver cela désagréable. Souvent, pour ne pas dire à chaque fois, ce petit jeu nous redonnait de la vigueur et nous reprenions alors nos parties de jambes en lair et presque à chaque fois je leur demandais à ce stade, de me pénétrer ensemble dans mon vagin, ce qui provoquait une jouissance surpuissante !
Cela faisait maintenant un mois que jétais dans ce resto, malgré un travail épuisant, je me sentais plutôt en bonne forme. Javais négocier avec les garçons une bonne sieste par semaine et ils respectaient ce vu.
Cest lors dune de ces siestes, sur la plage, que jai rencontré Paul, un touriste, trentenaire, brun, bien bâti, qui me fit du « rentre dedans ». Il nhésita pas à me dire quil me suivait depuis quil était allé déjeuner dans le resto qui memployait. Il savait pour les garçons et me trouvait très sexy
Javoue que sa franchise et son physique ne me laissèrent pas indifférente et quelques minutes plus tard, je me laissais embrasser, allongée sur le sable, puis je laccompagnai à son appart tout proche et me donnai à lui. Il montra beaucoup dexpérience, son sexe était dun beau gabarit et le sucer fut un régal. Lui me lécha doucement, profondément, puis il me pénétra et jouit quelques minutes plus tard dans un puissant coup de rein ... Mon temps de pose se terminai et je dus malheureusement le quitter.
Mais ce même soir, il revint dîner au resto, puis, attendit patiemment la fermeture. Jétais gênée, comment allais-je men sortir, que dire aux garçons
Je fus très vite rassurée quand je les vis tous les trois ensemble, à boire un verre et à rire tout en me lançant quelques coups dil très explicites.
Une demi heure plus tard, je me retrouvai à califourchon sur le sexe de Loïc, pénétrée par derrière par Yoann et suçant le sexe de Paul. Ils voulurent tous les trois jouir de mes trois orifices. Je craignai de me faire sodomiser par Paul, son sexe étant bien plus gros que celui des garçons, mais, bien préparée et prise en douceur, je ne ressentie que du plaisir. Tout en assumant mon rôle damante du mieux possible, je ne pus mempêcher de penser à la suite de ce séjour qui allait devenir encore plus épuisant . Ce premier soir à quatre, nous navons pas réalisé nos petits jeux sous la douche, du moins, devant Paul, chez lui. Par contre dès notre retour, vers 3H du matin à notre appart, Yoann réclama ce qui semblait être devenue une drogue pour lui. Nous allâmes tous les deux sous la douche et je lui fit boire une quantité incroyable durine. Ceci mexcita à un point tel que je suçai les deux garçons en même temps et jusquau bout, à genoux, tout en me masturbant.
Deux jours plus tard, alors que jaidai à la plonge, le chef cuisinier, Jacques, me demanda de descendre à la cave chercher une bouteille de martini. Je trouvai cela bizarre mais acceptai cette mission. Arrivée à la cave, je me crispai lorsque je vis le patron, Joël, assis sur une petite table, lair goguenard. Je senti le piège, je ne me trompai pas.
« Salut Carla, en forme ce matin ? »
« Bonjour patron, ça peut aller ! »
« Les gars te laissent tranquille ? ». Il avait posé cette question avec un grand sourire plein de malice.
Je répondis fermement et détendue : « Oui, ils me respectent beaucoup, ce sont des bons garçons ! »
Il se leva et sapprocha de moi, je ne bougeai pas, pétrifiée et sur mes gardes ; Il leva la main et me toucha les cheveux, puis se baissa et attrapa une bouteille de martini quil me tendit en ajoutant : « Cest beau dêtre jeune, ils en ont de la chance, jaimerai bien être à leur place ».
Je pris la bouteille en disant merci et sans rien ajouter je fis demi tour. Au même moment je sentis quil me mettait sa main sur mes fesses en poussant légèrement : « Aller, file, avant que je fasse une bêtise »
Je ne demandai pas mon reste.
Les jours suivant, Les relations avec Joël furent plus tendues, avec moi, mais aussi avec les garçons qui durent subir des ordres idiots et des colères pour un oui ou un non. Je le vivais mal et me sentais coupable. Je me confiais aux garçons qui ne men voulurent pas.
Un soir, jétais au comptoir, Joël venait de disputer Yoann, il se présenta derrière moi et me murmura : « Tu vois, je suis trop excité, ça me fatigue et ça ménerve et ce sont tes copains qui prennent. Il suffirait juste que tu fasses un petit effort et tout se calmerait... »
Alors, je lui fis face et me surpris à lui dire : « OK, je te suce, mais tu les lâches et tu me donnes 500 balles de plus . »
Il répondit sans montrer ni de colère ni de surprise : « Voilà une bonne proposition. Dans cinq minutes, là où tu sais ! »
Cinq minutes plus tard, je descendis à la cave et retrouvai Joël. Je commençai une fellation. Il était tellement excité quil déchargea au bout de quelques secondes, ce qui le rendit tout penaud. Il insista pour que jaccepte dattendre quil retrouve de la vigueur. Je me laissai peloter et branler, puis il suça mon clito et se retrouva très vite en érection. Je le suçai encore une fois puis me laissai pénétrer debout, appuyée contre les casiers à bouteilles. Malgré ses 50 ans, il était svelte et ne faisait pas son âge ; Il imprima un rythme de folie et me fit grimper très vite au septième étage de la volupté. Dès quil sentit quil allait à nouveau éjaculer, il se retira, me fit descendre à genoux et me déversa son sperme dans la bouche tout en me demandant fermement davaler, ce que je fis.
Cela commençait vraiment à faire beaucoup. Heureusement, la fin de la saison arrivait à son terme. Je fus satisfaite de mon salaire et la prime spéciale en plus.
Nos adieux furent très explosifs, les garçons avaient décidé de battre leur record respectifs, nous navons pas dormi de la nuit. Le lendemain, jallai dire au revoir à Paul qui lui aussi se montra très généreux.
Il allait me falloir un peu de temps pour bien récupérer avant la reprise de la Fac en octobre !
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