Chapitre Trois
Chapitre 3 (séance 7)
20 Juillet
Juste un petit récapitulatif.
Nous sommes maintenant mi juillet et cela fait un mois et demi que jai signé un contrat avec mon mari. Bien sûr, ce contrat na aucune valeur juridique mais jai pris lengagement de le respecter pour me faire pardonner de mon infidélité et je ne suis pas de celles qui renoncent.
En un mois et demi il sest passé tellement de choses.
Au tout début ,quand je lui ai dit: "Pardonne-moi, je t'aime. Demande-moi tout ce que tu voudras" Je ne m'attendais pas à ça. J'avoue que, au début, j'ai carrément pris sa proposition pour un canular. Lui, que je tenais pour intellectuel, cultivé, esthète, même , enfin tout sauf un hooligan ou un macho de base, j'en était sidérée.
Un contrat? Des positions? Ma chatte de "salope"? J'ai dû me pincer pour m'assurer que je ne rêvais pas. Tout d'abord, j'ai pensé que, meurtri par ma trahison, il voulait me traîner dans la fange avant de me quitter comme, de toutes façons, il en avait eu l'intention dès le début.
Et puis, j'ai pu constater deux choses:
1 Pendant les séances, il était extrêmement attentionné. La voiture était-elle suffisamment chauffée, le collier ne me serait-il pas trop le coup?
2 Dans la vie de tous les jours, il était redevenu, peu à peu, le même qu'auparavant: prévenant, galant même, courtois, spirituel.... Enfin toutes les qualités pour lesquelles j'étais tombée raide dingue de lui il y a sept ans et qui font que je l'aime encore d'avantage aujourd'hui.
Alors qu'était-ce?
Des fantasmes auxquels il pouvait, à cette occasion, donner une réalité ?
Bon sang! Sept ans de vie commune et jamais, jamais il ne m'en avait parler. J'en finirais presque par me sentir coupable, c'est un comble.
Finalement, la tension est un peu retombée et par la suite, je me suis interrogée sur le rapport que j'avais avec mon corps, la nudité, la sexualité et donc, l'amour.
Ah! l'amour! Un bien grand mot, mais en fait, une abstraction qui ne peut s'exprimer que par le don se soi et l'envie d'être attentif à l'autre.
J'ai repenser à ce film, Avatar, dans lequel, sur Pandora, les amoureux se disent: "Je te vois".
Pendant les séances, je me suis mise à apprécier que mon homme ait les yeux rivés sur mon corps et plus particulièrement sur ce qui fait de moi une femme. A l'extérieur, notamment sous le regard des hommes, je réalise maintenant le potentiel érotique qui peut émaner de ma tenue, de mes gestes.
Ma libido a évolué: Avant, j'avais juste envie de faire l'amour avec mon mec, maintenant j'ai envie de jouer et de le surprendre en devançant ses attentes.
La séance 5 avec Laurent m'a fait découvrir que je pouvais prendre du plaisir à mexhiber. En fait, une fois excitée, ma libido prend le dessus et je n'ai plus de limite. Plus les positions sont obscènes et plus je mouille. Montrer ma chatte toute mouillée à un inconnu me fait chavirer.
Jai aussi découvert les plaisirs du martinet. Sentir la piqûre des lanières sur tout mon corps me chauffe dans tous les sens du terme. Jadore ça. Bien lancée, je peux même apprécier d'être fouettée "chatte écartée".
Les lendemains sont plus difficiles. A froid, j'ai même parfois du mal à imaginer que j'ai pu avoir de tels comportements. Et puis mon chéri arrive, tout guilleret, il me regarde avec des yeux plein d'amour et je suis prête à recommencer.
Il mavait dit :» Ce soir, dix-huit heures, tenue publique »
Alors à dix-sept heure cinquante, je navais même pas eu le temps de finir de me pomponner dans la salle de bain que jentends frapper à la porte.
Mon mari ouvre :
« Bonsoir, vous êtes le représentant que j'ai eu au téléphone ? »
Le gars répond :
« Oui cest ça : Akéna, les vérandas sur mesure »
« Très bien, alors cest là, sur la terrasse. Quest-ce quil est possible de faire ?»
De mon côté, je réfléchis.
Donc, c'est un faux prétexte pour faire venir un spectateur à la maison. Que vais-je devoir faire devant lui cette fois. Sûrement me mettre nue, c'est le minimum. Humm! rien que d'y penser je me sens toute chose. Peut-être faire ma pisseuse, me caresser? Ca y est je suis partie! Il me faut de moins en moins de temps pour me mettre en condition.
Il est dix-sept heures cinquante-huit, jai encore deux minutes.
Le représentant se met en branle :
« Je vais prendre les mesures de la terrasse »
Mon homme le seconde et donne des infos :
« Il faudrait que ça parte dici jusque
. Là. Et lentrée
plutôt par ici.»
Pendant ce temps, je suis descendue et je suis devant la porte dentrée, les yeux baissés, les bras derrière le dos.
Le représentant ma vue :
« Bonsoir Madame »
Je réponds :
« Bonsoir
Monsieur !» Jai un peu insisté sur le « Monsieur », mais il ne fait pas attention, tout occupé quil est à déployer son mètre ruban.
Mon mari reprend :
« Comme je vous lai dit au téléphone, je suis obligé de vous laisser. Voyez ça avec ma femme et proposez-nous des devis » Il rejoint sa voiture et sen va.
Allons bon! C'est nouveau. C'est à moi de prendre les rênes. D'habitude, je ne fais qu'obéir mais cette fois, je dois me jeter toute seule dans la gueule du loup.
Je réfléchis: Je nai pas eu de directives particulières mais nous sommes en « séance » et mon mari na que faire dune véranda.
Je sais ce que mon homme attend de moi mais comment faire pour me retrouver nue le plus rapidement possible. Une idée me vient. Je vais à la cuisine préparer des amuse-gueules. J'en profite pour boire un grand verre deau, on ne sait jamais ! Rien que de penser que je vais peut-être me retrouver tout à l'heure à faire pipi devant cet étranger me donne des picotements à l'entre jambe.
Monsieur Akéna rentre dans la maison et vient vers moi. Il ouvre un classeur quil pose sur la table de la salle à manger.
« Jai pris les mesures. Regardez, je peux vous proposer différents modèles »
Sans rien dire, jai disposé sur la table des coupelles avec le fromage, le saucisson et les chips. Quand javais le dos tourné, jai enlevé un bouton à mon chemisier. Ma jupe, que je porte normalement en « taille basse », est remontée un peu et je nai pas rectifié. Je me penche maintenant pour prendre la bouteille de whisky qui est dans le placard du bas. Bien sûr, je ne plie pas les genoux. Il est assis derrière moi et il doit au moins voir la naissance de mes fesses par-dessous la jupe.
Je perçois une émotion dans sa voix :
« Ça, cest un modèle standard qui peut
euh
être mis en place
dans moins dun mois »
Je reviens à la table avec une bouteille et un seul verre :
« Prendrez -vous un apéritif, Monsieur ?«
Je n'ai pas autre chose à lui proposer parce que c'est tout ce que nous avons.
Il a dû voir mon chemisier mal fermé et ma jupe qui est remontée encore un peu. Il hésite, regarde la bouteille, jette un coup d'oeil à sa montre puis revient sur mon chemisier.
« Pourquoi pas, vous êtes mes derniers clients de la journée. C'est très gentil de votre part, comme ça j'aurai le temps de vous expliquer les différences entre les modèles standards et le sur-mesure. »
Très bien ! ça me donne un peu plus de temps. Mais je ne vois toujours pas comment arriver à mes fins.
Je verse un fond de Glenfiddish dans son verre et je prend la position n°3, en bout de table, immobile.
Le représentant continue de tourner les pages de son classeur en donnant des spécifications et des prix mais je ne l'écoute pas vraiment.
Jimagine que mon chéri a dû se garer un peu plus loin et est revenu discrètement à la maison. Selon toute logique, il est entré par la baie vitrée de la chambre du rez de chaussé. . Il doit écouter attentivement et attendre la suite des évènements.
Finalement un peu gêné par ma posture et mon comportement, le représentant demande :
« Tout d'abord, est-ce quil y a un modèle parmi ceux là qui vous conviendrait ? »
Je me dis quil faut que les choses bougent. Au diable les vérandas ! Je tente le tout pour le tout. Les yeux baissés.
« Excusez moi Monsieur, est ce que vous me trouvez séduisante ? »
Il marque un temps darrêt. Il sent que la situation est en train dévoluer. Jusque-là très professionnel, il se dit quil y a peut-être une aubaine à saisir. Il quitte son classeur des yeux et lève la tête.
« Euh
Oui, Plutôt
»
Jembraye immédiatement et j'y vais "franco". Si ça ne marche pas, mon chéri ne pourra pas dire que je n'ai pas essayé:
« Je suis naturiste et je me sens beaucoup plus à laise sans vêtement. Est-ce que cela vous gêne si je me déshabille ? »
Il bafouille :
« Non ! Euh non bien sûr ! Faites
comme chez vous ! »
Je ne me le fais pas dire deux fois. Je fais glisser ma jupe à terre et jenlève mon haut. Me voilà complètement nue devant lui. Il a pu constater que je ne portais ni soutien-gorge ni culotte et il doit commencer à se demander si tout ceci nest pas une mise en scène. Tant mieux, comme ça, sil reste, cest en sachant quil ne vendra pas de véranda aujourdhui. Je regroupe mes vêtements, les pose sur une chaise et je vais au frigidaire chercher des glaçons. Il est derrière moi, mais je sais que ses yeux détaillent mes reins et mes fesses. Je me mets à sa place : Il était venu vendre une véranda et cétait devenu tout autre chose, mais quoi ?
Il y va sur la pointe des pieds :
« Alors comme ça, vous êtes naturiste ? Votre mari aussi ? »
Je le mets à laise :
« Mon mari aime que je sois nue en toutes circonstances Monsieur»
Jimagine que rien que le fait de terminer ma phrase par « Monsieur », doit linterroger.
Je reviens vers lui avec mes glaçons. Jen mets deux dans son verre et je me mets en position n°1 devant lui : les jambes écartées, les mains sur la tête.
Je lui explique :
« Cest la position n°1, Monsieur : une position dattente » et je me tais.
Il sinquiète :
« Mais votre mari est au courant ? Il va bientôt revenir. Non ? «
Il a du mal à comprendre ce qui se passe. Il se demande sil n'est pas tombé sur une femme frustrée qui a envie de se faire sauter vite fait par un inconnu.
Il se lève et descend sa braguette. Ça y est, il est chaud :
« Cest de la bite que tu veux ? » il sort son sexe déjà dur.
Vite ! Il faut que je recadre ! Je me mets en position n°3 et je fais deux pas en arrière :
« Non Monsieur, Je veux juste mexhiber. Vous devez rester habillé. Si cela ne vous convient pas, je comprendrais. » Je fais un autre pas en arrière.
Jai affaire à un gentleman : il ramasse son outil et se rassied. Cependant, il senhardi tout en fixant ma chatte.
« Je vois ! Tes juste une pisseuse en fait ! »
Intérieurement, je souris :
« Cest cela Monsieur. » Intérieurement, je me dit qu'il ne va pas tarder à en avoir la confirmation.
Il enchaîne :
« Alors ? Quest ce qui se passe maintenant ? »
Il a raison, quest-ce qui se passe maintenant ? Je suis excitée dêtre nue devant un étranger mais je ne sais pas quoi faire. Dhabitude, jattends les ordres, alors je lui dis :
« Jattends vos ordres Monsieur »
Il est dubitatif mais il se dit que puisquil na pas le droit de sortir son matériel, il peut au moins samuser. Il s'installe plus confortablement sur sa chaise et prend son verre sur la table.
« Mets toi un doigt dans la chatte ! » Et c'est parti!
Finalement, ça a été assez facile d'en venir là, alors je prends mentalement des notes, pour une prochaine fois:
1 Porter des vêtements exagérément sexys.
2 Trouver un prétexte pour me mettre nue.
3 Fixer les règles.
4 Attendre les ordres.
Présentation de la chatte, cest la position n°4. Je suis une petite soumise bien dressée alors jécarte largement les jambes, avec ma main gauche, je sépare les petites lèvres de mon sexe puis, je raidis le majeur de ma main droite et je me le mets bien au fond.
Il me laisse comme ça, les jambes écartées devant lui, le bassin bien en avant, et un doigt dans la moule pendant au moins vingt secondes pendant lesquelles il sirote son whisky. Ses yeux passent de mes seins à ma chatte et il a un petit sourire pervers sur le visage. Il a compris quil ne me baiserait pas alors il a envie de mhumilier et de me pousser dans mes derniers retranchements.
« Retire ton doigt et suce-le ! » dit-il froidement.
Moi aussi, jai envie de le provoquer.
« Oui Monsieur, je suis une petite salope. Vous pouvez minsulter, si vous le souhaitez, Monsieur »
Javais déjà senti que jétais mouillée, mais là, jen avais la confirmation : Mon doigt était gluant de lexcitation que je ressentais en moi depuis le verre deau. Je teste le goût de ma chatte : cest un peu crémeux avec une saveur douçâtre. Heureusement que je suis excitée sinon jaurais du mal.
« Mets le dans ton cul maintenant ! »
« Oui Monsieur ».
Daccord ! Il va se venger. A tous les coups le prochain ordre sera de remettre mon doigt dans la bouche. Je m'en fiche, je suis prête.
Tout ce qui touche au "derrière", sodomie, introduction de plugs et autres, c'est compliqué: Ca me plait mais j'ai peur de ne pas être "propre". Et puis, un jour, il m'a dit: " Tu sais, quand je vais par là, je sais qu'il y a un risque. Tu n'y es pour rien".
Je suis quand même allé voir sur internet et j'ai découvert que certaines femmes, adeptes de la sodomie, avaient recours à une poire à lavement pour être tranquilles. J'en ai commandé une ainsi que tout une gamme de produits adaptés et dorénavant, quand je me prépare pour une séance, je fais un nettoyage "en profondeur" pour parer à toute éventualités.
Pour linstant, je tourne le dos et je me mets en position n° 5 : présentation des fesses. Le doigt est mouillé de salive et je le rentre doucement dans mon petit trou.
Comme tout à lheure, il attend au moins quinze secondes pendant lesquelles il se rince lil en finissant tranquillement son verre.
Jai le temps de réfléchir :
Je mouille parce quun inconnu me regarde en train de me doigter le cul.
Mon mari, en principe à moins de deux mètres, se régale du spectacle.
Jai, malgré tout, très peur de lordre qui va probablement suivre.
La porte dentrée qui souvre :
« Salut chérie, ça a été moins long que prévu », et il entre dans la pièce.
Je nai pas bougé, je suis penchée en avant, nue, les fesses dirigées vers Akéna avec un doigt dans mon cul. Monsieur Véranda, sest levé et baragouine ne sachant plus où se mettre.
« Oui ! alors voilà ! Bon !...Jallais justement y aller »
Il doit être surpris que je reste en position.
Mon mari :
« Mais non ! mais non ! Je vois que vous avez fait connaissance. Ou en étiez-vous exactement ?»
Je saute sur lopportunité :
« Je suis une bonne petite pute qui se met un doigt dans le cul Monsieur »
Du coup, les vérandas Akéna sont muettes.
Mon mari se sert un verre et en profite pour resservir notre « invité ».
« Comment vous la trouvez, plutôt obéissante non ? » Puis vers moi : » Viens ici et position n°4 ! Garde ton doigt là où il est. »
Javance vers mon homme, je minstalle la chatte en avant, jécarte bien les lèvres avec ma main libre pour dégager le clito.
« Oui Monsieur »
Sa main se dirige vers mon entre-jambe et deux de ses doigts teste lentrée de la moule.
« Je suis une petite salope qui mouille de la chatte Monsieur »
Mon chéri à lair satisfait :
« Va faire voir à notre ami »
Je fais le tour de la table, toujours avec un doigt dans le cul et une main devant qui écarte la chatte.
Jai manqué doublier : « Oui Monsieur »
Je marrête devant « notre ami ».
Sans rien dire, il me plante son majeur direct dans la moule et je ne peux retenir un petit râle de surprise et de plaisir.
Je suis dans une position extrêmement humiliante qui mexcite au plus haut point mais depuis une minute ou deux une envie à commencé à se faire sentir :
« Je suis une petite pisseuse Monsieur »
Mon homme réagit :
« Ah, il va falloir sortir la chienne. Va chercher ta laisse et ton collier.»
« Oui Monsieur ».
Quand je reviens, jai le collier autour du cou et je tends la laisse à mon maître.
« Demande à notre invité sil veut bien sen occuper »
Je vais vers Monsieur Akéna :
« Accepteriez vous de memmener en laisse dans le jardin pour y faire ma pisseuse sil vous plait Monsieur ? »
Il ne répond pas mais prend la laisse que je lui propose. Je me mets à quatre pattes et jattends. Finalement il accroche le mousqueton sur lanneau du collier. Je pars devant lui vers la porte dentrée. Il mouvre et me laisse passer devant. Il a dû remarquer que cétait le meilleur endroit ou se tenir. En restant derrière moi il a vue sur mes fesses et en dessous la fente de ma chatte que je fais ressortir en creusant mon dos. Javance jusquau milieu du jardin et ny tenant plus, jécarte les jambes au maximum mais mes petites lèvres restent collées. Je vais en mettre partout ! Je mets mes coudes au sol et je cambre à fond : ça y est, ma chatte est grande ouverte. Je me relâche. En même temps que le jet durine, notre « ami » doit voir mon petit trou se détendre.
Ça y est, les objectifs sont atteints. Je suis à poil et je fais ma pisseuse, dans une position parfaitement indécente, devant un inconnu. Tout ce quil faut pour me mettre en état dexcitation extrême. Je sais que mon homme me regarde et que ça lexcite aussi.
Quand jai fini, je retourne vers lentrée de la maison en tirant sur la laisse comme une chienne mal dressée et comme si j'avais hâte de passer à la suite. Mon homme retire le mousqueton du collier :
« Grimpe sur la table et met toi en position n°6 »
J'obéi : à quatre pattes, les coudes et les avant-bras posés à même le bois, les jambes très écartées, le dos creusé comme tout à lheure, dehors, pour faire ma pisseuse.
Mon chéri dispose deux chaises juste derrière moi et les deux hommes sassoient leurs verres à la main.
« Jadore voir sa chatte par derrière, très écartée. Qu'en pensez-vous ? »
"Euh.... Oui " .
Cest pas un bavard lui ! Ou alors la situation lui convient et il a peur de rompre le charme.
Ils ont les yeux à la hauteur de ma moule à moins de trente centimètres. Si ça, ce nest pas de lexhibition ! Je les imagine en train de détailler mon sexe béant. Ça me fait mouiller un maximum.
Mon homme me tend une lingette :
« Essuie toi »
« Oui Monsieur je suis une bonne petite salope »
Je passe la lingette sur le haut de ma cuisse droite parce quil mavait semblé quune goute ou deux avaient coulé à cet endroit, puis entre mes petites lèvres déjà très écartées. Quand jai terminé je me remets en position.
Mon chéri en sirotant son verre de whisky et s'adressant à son voisin:
« Je vous propose un petit jeu : Nous allons lattacher, je vais disposer quelques accessoires sur la table et vous allez essayer de la faire jouir le plus rapidement possible. Ça ne devrait pas prendre plus de trois minutes. »
Mr Akena semble intéressé, il lâche une approbation: « Ça a lair amusant ! »
Alors c'est ça!
Après m' être montrée nue sous toutes les coutures, avoir exposé ma chatte ouverte à moins de trente centimètres de son visage, si près qu'il a sans aucun doute pu sentir mon odeur de femelle en chaleur, je vais devoir jouir devant lui.
L'orgasme, c'est quelque chose de très intime également. Il va me voir crisper mon visage, m'entendre gémir, pousser des petits cris, peut être même supplier pour qu'il continue à me donner du plaisir. J'ai honte mais j'en ai envie.
De toutes façons, mon homme ne me laisse pas le choix :
« Allonge toi sur le dos et approche tes fesses au bord de la table »
« Oui Monsieur »
La première corde relie mes poignets et va se fixer en haut de la table au-dessus de ma tête. Mes seins pointent vers le plafond.
On me fait plier et remonter les jambes vers la poitrine comme une grenouille et deux autres cordes prennent sur les genoux et tirent vers lextérieur pour écarter les cuisses et mempêcher de les refermer. Je ne peux plus bouger et je sens ma chatte et mon petit trou très exposés et à la merci de mes deux tortionnaires. Un bandeau vient se poser sur mes yeux.
Je ne vois plus ce qui se passe mais jentends un tiroir de la cuisine souvrir et le bruit dobjets que lon pose à côté de moi.
« Maintenant tu vas commenter ce qui se passe. J'ai parié que tu allais jouir en moins de trois minutes. Ne me fais pas mentir ! »
« Oui Monsieur »
Je nai pas à attendre longtemps, je sens un liquide couler sur mon pubis et une main qui vient létaler sur ma chatte en insistant sur le clito et lentrée du vagin.
Je connais cette sensation :
« Je sens une main qui met du lubrifiant sur ma chatte de salope »
j'entends la voix de mon homme:
"Elle aime recevoir des claques à cet endroit, allez-y"
Je sursaute quand même sous leffet de la première :
« Je suis une petite salope qui se prend des claques sur sa moule bien écartée »
Et cest vrai que jaime ça ! Jen redemande :
« Encore, sil vous plait Monsieur »
Il ne se fait pas prier, une autre arrive.
Je compte : » 2, Merci Monsieur ».
Sous leffet des claques, mes jambes voudraient se refermer vers lintérieur et se rejoindre pour protéger ma chatte mais là, avec les cordes qui tirent sur les genoux, je suis écartelée au maximum et mes deux trous sont exposés et ouverts.
Les claques se succèdent avec un bruit de plus en plus « mouillé ».
Je compte : « 3, merci Monsieur, je suis une bonne petite sal
»
« 4, merci Monsieur »
Deux de ses doigts entrent dans ma moule dégoulinante de plaisir. Il fait des aller retours de plus en plus vite.
« Je me prends deux doigts dans la chatte et cest bon Monsieur !»
Jaurais bien aimé quil continue encore mais je sens maintenant les doigts se retirer et
forcer lentrée de ma bouche, ils sont tout gluants. Je les suce comme si cétait la queue de mon homme. Jai à peine le temps de reconnaître le gout de ma chatte que :
« Je sens un autre doigt qui senfonce dans mon cul de petite pute Monsieur »
En effet, dans ma position et trempée comme je suis, mon petit trou doit souvrir tout seul et le doigt rentre sans difficulté. Sil veut me le remettre dans la bouche, cette fois, je ne pourrais rien faire. Mais je men fiche, je suis trop excitée.
« Je me fais doigter le cul et jaime ça. Je suis une bonne petite pute Monsieur ».
En même temps, je sens une pression sur mon clitoris.
« Oui ! Mon petit clito de salope est tout dur Monsieur. Encore s'il vous plait ! »
Jaimerais bouger mon bassin pour accompagner le doigt qui tourne autour de mon petit bouton mais je ne peux pas. Cette immobilité e mexcite encore davantage.
« Oui ! Cest bon sur ma petite chatte de salope. Oui ! »
Un bruit sec sur mon sein droit. C'est le martinet.
Un autre coup sur le sein gauche. En fait, le bruit de claquement est très impressionnant mais je ne sens quune chaleur qui diffuse sur la poitrine. Jai envie de voir ce que ça donne quand les coups seront plus forts.
« Je me fais fouetter mes seins de petite chienne. Plus fort sil vous plait Monsieur » A côté, mon homme doit sourire.
" Plus que deux minutes"
Cette fois, le bruit ressemble à un vrai coup de fouet mais la douleur est plus que supportable ou alors, je suis vraiment très excitée.
« Oui ! Encore, je suis une bonne petite chienne qui aime se faire fouetter les seins . Encore ! »
Monsieur Akéna ne se le fait pas dire deux fois et les coups de martinet pleuvent sur mes seins. A chaque coup, je sens une petite piqure sur mes tétons. Mon excitation et mon plaisir nait du fait de sentir en même temps mon clito, mon trou du cul et mes seins. Je me sens chienne, salope et pute offerte. Jai une folle envie de me faire prendre par tous les trous mais ça, cest réservé à mon homme.
« Soixante secondes » dit-il justement.
Le doigt se retire doucement de mon petit trou.
Ah ? cest linstant de vérité
Oh et puis après tout. Je vais leur montrer ce que cest que dêtre une bonne petite pute. Jouvre grand la bouche. Un temps
Jentends : « Allez y, cest elle qui demande ! »
Le voilà
ce doigt qui sort à peine de mon cul, je lai dans la bouche et je le suce avidement comme si je voulais faire éjaculer la bite de mon homme. Jai pris le parti dêtre la plus grosse salope de lunivers alors, je pompe, je suce, je lèche comme si ma vie en dépendait. Satisfait de ma prestation, le propriétaire du doigt le récupère dans un bruit de succion.
Cest un autre bruit qui me fait sursauter. On dirait quils ont envie de tester le martinet sur ma chatte écartelée.
« Je me fais fouetter ma chatte de petite sal... »
Je nai pas le temps de finir ma phrase que le deuxième coup arrive.
Mon dieu, ce martinet, je ladore. Jentends des bruits de fouet cinglants mais pas vraiment de douleur, juste un échauffement. Jen veux encore !
« Oui cest bon ! Je suis une bonne salope qui se fait fouetter la chatte !»
Ça tombe bien, le rythme saccélère. Les coups tombent tantôt sur le clito, tantôt sur la moule. Jadore ! Je nai pas mal, mais je sens que ça chauffe. Me faire fouetter, nue, écartelée et à la merci dun étranger mexcite un maximum.
Les coups se sont déplacés. Ils arrivent maintenant en plein sur mon petit trou. Et je sens une vibration à lentrée de ma chatte. Oui cest ça, jentends un petit ronronnement électrique.
« Je suis une petite pute qui se fait fouetter le trou du cul et je sens que je vais me prendre un vibro dans ma moule de salope »
Lengin force lentrée sans grandes difficultés et senfonce doucement jusquau fond. Jouvre la bouche malgré moi comme si cétait par là que jétais pénétrée.
Ça vibre aussi sur mon clito. Les coups de fouet pleuvent sur mes fesses en même temps. Alors là, je ne réponds plus de rien. Je menvole !
Mon périnée se contracte et je sens encore mieux ce sexe en plastique vibrer en moi. Un autre coup de martinet sur mon petit trou. J'en ai la voix qui chevrote:
« Ouuuuui ! Cest boooon ! Je jouuuuis comme un salooooope ! Ouuuuui ! »
Cest le combo orgasme clito/vagin et pile en même temps. Jack pot !
« Encoooore ! Plus foooort ! Oui ! cest boooon ! Je vieeeeens ! »
Lorgasme me fait trembler de tout mon corps.
Mes jambes forcent pour se refermer mais cest impossible, je reste écartelée et le gode continue de vibrer et de faire des aller et retours dans ma chatte.
Jessaie de me soustraire à cette pénétration mais je ne peux pas.
Mon clito est devenu hypersensible et je crie :
« Stop, stop stop arrètez !» Je crois que je vais mourir et puis tout dun coup, je sens que le plaisir revient mais violement cette fois. Mon sexe se contracte comme si javais une crampe, et je me mets à crier :
« Non. Oui encore ! Ah ! Oui ! Ah ! Aaaaaah ! Les seins ! Pincez les seins ! S'il vous plait! Ouuuui ! »
Des doigts viennent pincer les tétons en les tirant vers le haut. La douleur ou le plaisir, ou les deux, je ne sais pas, sont fulgurants. Mon visage se crispe, Je sens maintenant comme des chocs électriques qui partent du fond de mon ventre et qui parcourent tout mon corps. La sensation de pince sur mes tétons samplifie encore, je manque de mévanouir. Je me cambre et me tortille autant que je peux. Il me semble que je suis en train duriner par saccades mais je nen suis pas sure.
Les contractions et les chocs électriques sespacent doucement.
Puis tout redescend. Je fais des « aie ! aie ! » en cherchant à soustraire mes seins à la douleur. Les pinces sarrêtent, le gode se retire de ma chatte.
Je suis morte.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!