Mariage Kabyle (5)
Nuit de rêve
Comme je vous le racontais lors du chapitre précédent, jai facilement donné mon cul pendant toute ma jeunesse. Hélas, toutes les bonnes choses ont une fin, et je ne sais pas trop comment mes parents lont appris.
Donc, mariage plus ou moins pour sauver lhonneur de la famille. Quelle connerie, quelle idiotie de lépoque qui obligeait deux êtres à sunir, avec peu de désir. Faire lamour à mon épouse était un véritable supplice, ny parvenant que rarement et après de nombreux efforts. Super cette morale à la con qui rendait deux être hyper malheureux, lun avec une sexualité contrarié et lautre en femme plus quinassouvie.
Heureusement, après une bonne réussite professionnelle, jai pu mettre fin à ce calvaire en ayant eu quand même une joie merveilleuse, celle davoir un fils, que jadore, qui me le rend bien et qui connait parfaitement ma vie actuelle, lapprouvant sans réserve, surtout que je métais quand même un peu calmé.
Pour revenir à cette fameuse soirée, les garçons commençaient à être sérieusement éméchés, et ça me gavait de plus en plus, dautant plus que ces odeurs de mâle me montaient à la tête, et quOmar sétait rapproché de moi, réclamant son dû avec forte insistance.
« On va laisser les jeunes continuer à samuser, Marc
On rentre ? »
Notre départ est passé quasiment inaperçu, sauf peut-être de la part de Kamel, un des invités de lâge de Réda, qui me matait assez souvent. A chaque fois que mon regard se posait sur lui, il se caressait discrètement le sexe dont la bosse, si elle natteignait pas celle dOmar, me semblait presque aussi volumineuse et prometteuse.
Arrivé à la maison, je me suis jeté sous la douche pour retrouver une certaine fraîcheur, quand lHomme, dans toute sa splendeur est venu me rejoindre. Je ne sais pas si cétait une illusion doptique, mais son centre de gravité me paraissait encore plus gros et plus long que dhabitude.
« Je veux ta chatte, je veux te défoncer toute la nuit comme tu ne las encore jamais été. »
Sans préambule, il ma écarté les fesses et sest introduit en moi, en entier et dune formidable poussée. Je ne métais quà peine essuyé lors de nos précédents coïts dans la soirée, son sperme tapissait encore mon conduit, lubrifiant cette violente intromission dans mon intérieur. Il me besognait comme un fou, cherchant à aller toujours plus loin et plus fort, jusquà ce quune fois la douleur passée, jatteigne le Nirvana, ce que je navais que rarement connu, sauf quelquefois avec Ilyas.
En hurlant, il sest déversé dans moi à longs jets qui me semblaient ne jamais se tarir, débordant même de ce puits quil avait foré au maximum. Jétais lessivé, mais comblé, javais limpression quun tronc darbre était passé entre mes jambes, et à ma plus grande stupéfaction, Omar conservait toute sa vigueur.
Après un rinçage rapide, il ma pris dans ses bras et ma porté jusquau lit, sallongeant sur moi, me couvrant de baisers tandis que je caressais tout son corps velu. Javais encore super mal à la chatte, mais son corps, ses poils, son odeur ont fait remonter mon excitation, ce quil a très bien ressenti en bon mâle dominant et son pieu a repris possession de moi, plus lentement cette fois-ci, mais de toute sa longueur.
Je criais, je hurlais, à la fois de douleur et de bonheur. Il variait toutes les positions, dans tous les sens, dans toute la maison, devenant à chaque fois de plus en plus long à jouir, mais dont le martèlement ne cessait jamais. Jamais je navais été baisé comme ça, même pas par Ilyas, dont pourtant les performances restaient exceptionnelles.
Jai été sienne huit fois dans la nuit, et, orifice complètement HS, cest avec ma bouche que jai calmé son érection matinale.
« Je peux te poser une question sans te choquer, Habibi ? »
« Bien sur
. Dis-moi
!!! »
« Même si je sais que tu es en manque depuis longtemps, je nai jamais connu un homme avec une puissance sexuelle aussi intense que la tienne
!!! »
« Parce que je suis exceptionnel
Mais pas que
!!! »
« Ah oui ? Cest-à-dire ? »
« Tu sais, je mange très sainement et je connais aussi pas mal dherbes des montagnes. »
« Oui, jai vu et je trouve ça super. »
« Cest là que jai découvert une plante hyper aphrodisiaque, un peu par hasard, que jai ramassée et dont une vieille femme mavait vanté les vertus, sans aucun danger pour la santé »
« Et tu las testé ? »
« Une fois, mais jai vite arrêté, les effets sont hyper forts et sans chatte pour me vider, cétait intenable, mais jen ai toujours. »
« Avoue mon Chéri
Tu en as pris pour moi ? » Avec un clin dil
« Pas au début, mais quand jai constaté que tu aimais le sexe autant que moi, je nai pas pu résister
Je voulais tellement te donner du plaisir
Tu men veux ? »
« Daprès toi ? »
« Tu as constaté aussi un certain effet secondaire ? »
« Je men doute un peu
. Ca te fait grossir le sexe aussi ? »
« Un peu quand même, mais surtout plus large, plus dur avec du mal à débander. »
« Je lai constaté
Pour mon plus grand plaisir Habibi
»
Il ma serré très fort dans ses bras et nous nous sommes reposés, lun contre lautre tendrement pendant un petit moment, puis il sest levé.
« Je ne serai pas là de la journée Marc, je dois aller faire le tour du domaine pour inspecter les fermiers et où en sont les récoltes. »
« Jirais rejoindre les garçons Omar, ne tinquiète pas.
« Marc, tu as envie de coucher avec dautres garçons ? Dis-moi la vérité
!!! »
« Ma foi, je ny ai pas vraiment pensé, pourquoi ? »
« Si tu en as envie, fais-le, mais je te demande juste une chose, reste discret, ok ? »
« Tu sais, je serais un peu gêné quand même, je me sens tellement à toi
!!! »
« Tu es à moi, mais tu peux tamuser un peu quand même, je ne ten voudrais pas, je veux que tu prennes un maximum de plaisir. »
Il est parti, me laissant seul. Jen ai profité pour faire un peu de rangement, une toilette profonde et menduire copieusement de ma pommade dont je sentais les effets petit à petit, au bout dune heure environ, mon orifice avait retrouvé une taille normale.
Jai rejoint le centre du village où un superbe barbecue fumait, dont les saveurs mouvraient lappétit, avec viandes, poissons, légumes, salades
Un vrai régal.
Voulant mettre la main à la patte, Réda ma assis à table de force, et je me suis fait servir, comme linvité de marque. Comme par hasard, Kamel était à mes côtés, hyper prévenant, meffleurant le plus quil pouvait et maintenant ses jambes bien écartées pour me montrer cette merveille qui commençait à dessiner une bosse plus que majestueuse, pourtant, encore au repos, mais dont la taille me faisait saliver. Subrepticement, il prenait ma main de temps en temps, pour la poser sur cette barre qui prenait de plus en plus dampleur, et que je mamusais à branler par petits gestes, surtout par jeu.
Réda ne sétait rendu compte de rien quand Kamel, vers la fin du repas, ma chuchoté à loreille :
« On devrait aller se promener un peu pour faire descendre tout ça, non ? »
« Cest sur
. Jai trop mangé. »
« Viens, je temmène dans mon endroit secret. »
Il mavait quand même bien émoustillé ce bougre, et javais bien envie de découvrir ce qui se cachait sous son short. Il a pris une bouteille deau et nous nous sommes éclipsés, sans que quiconque sen rende compte.
« Cest pas aussi gros quOmar mais presque et tu vas te régaler
!!! »
Mon envie de me faire tamponner par le beau Kamel était très forte, je me sentais un peu coupable vis-à-vis dOmar, même si son accord avait été tacite. Mais après des mois de chasteté, au milieu de tous ces mâles empestant la virilité, la tentation était trop forte et me faire ramoner par un autre gros zob allait me faire du bien.
Je lai suivi à lextérieur du village, vers un petit bois où un entre lacis de branchage et de feuillage formait comme une sorte de grotte naturelle de verdure. Kamel a soulevé une branche et une petite ouverture, masquée auparavant, est apparue, dans laquelle il sest avancé, me tenant par la main pour que je le rejoigne en me serrant fortement contre lui.
« Je sais que tu couches avec Omar et que tu aimes les gros calibres vu sa réputation, Jai envie de te baiser depuis que tu es arrivé. » Appuyant fortement sur mes fesses, cherchant mon calice à lintérieur de mon pantacourt, incrustant sa barre sur mon ventre.
On ne se refait pas, et lappel de la bite ma toujours fait fondre comme neige au soleil, ayant rarement su dire non, sauf, comme je vous lavais précisé, lorsque jétais en relation sérieuse, dune fidélité totale dans ce cas.
Il a très vite enlevé son Tee-shirt, dévoilant un torse peu poilu mais bien dessiné, qui laissait apparaître ce merveilleux « chemin des dames » qui partait de son nombril pour atteindre cette touffe drue et épaisse de son short quil avait ouvert et dont lodeur si caractéristique emplissait mes narines. Comment un sexe dhomme peut dégager de telles fragrances, suaves et épicées, aussi douces et fortes à la fois, me chamboulant complètement. Ca valait 1.000 fois le Poppers, et cétait naturel.
Si sa longueur natteignait pas celle dOmar, lépaisseur me semblait quasi identique, me laissant présager des délices incommensurables une fois que je laurais entièrement en moi.
Sans aucun mot, je me suis agenouillé devant lui me délectant de ce magnifique objet que possèdent les hommes et dont le goût remplissait mes papilles. Cétait bien meilleur que les glaces dont je raffolais. En léchant ce membre, le suçant au plus que je pouvais, lidée saugrenue mest venue à lesprit que si un glacier parvenait à inventer une crème glacée au parfum de bite, il ferait vraiment fortune
A étudier
!!!
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