Julie - Une Nouvelle Vie: Un Nouveau Contrat (Partie 18)
Julie ne s'était jamais faite défoncer de la sorte, les turcs et son beau-père ont bien profité de ses trous et le réveil n'a pas été des plus glamours. Pour couronner le tout, Alex qui en avait pincé pour Lilie a refusé de les aider à payer pour récupérer les vidéos compromettantes que la jeune asiatique avait promises à sa copine. La voilà donc contrainte de négocier directement avec le vieux rital pour essayer de sauver la réputation de sa copine.
<CLING CLING> L'entrée de l'adolescente dans le magasin pour vieux pervers ne passe pas inaperçue. Pour couronner le tout, la clim' toujours aussi froide fait frissonner l'adolescente qui sent instantanément la pointe de ses tétons durcir sous le fin tissu de sa robe. Elle n'a même pas besoin de vérifier puisque tous les regards des clients se portent instantanément sur les triangles tendus par sa belle poitrine.
Personne au comptoir, la jeune ingénue se fraie un chemin entre les rayons et les cinq ou six clients traînant autour des films porno pour essayer de repérer Mr. Louis. La petite brune joue des coudes pour progresser entre les hommes qui s'approchent d'elle. Julie sent rapidement les mains baladeuses "traîner" le long de ses cuisses à la recherche d'un contact, même subtil, avec sa douce peau juvénile.
Elle rebeau-père enfin le vieux bonhomme au fond du magasin en train de remettre des articles en rayons. Elle s'extraie du groupe de pervers, passe devant les vitrines de godes, et se présente au propriétaire, un sourire charmeur aux lèvres:
-Bonjour M. Louis!
-Tiens si c'est pas ma petite salope d'asiat'! Salut ma belle, qu'est-ce qui tamène?
Il encercle les épaules dénudées de la belle et l'invite à refaire le parcours en sens inverse pour revenir vers son comptoir.
-Ben voilà, c'est pour les vidéos ... Elle fait une pause, un peu intimidée par les pervers qui se rapprochent d'elle ... Vous savez, celle de ma copine et moi! .
-Tu rigoles ou quoi? Je gagne ma vie moi avec ça, rien que ton p'tit cul dans la cabine, ça m'a déjà rapporté un max. Et vous avez signé un contrat, il faut l'honorer! C'est pas de ma faute si vous changez d'avis maintenant.
Il allait enchaîner mais remarque l'air suppliant de l'adolescente, il décide de lui laisser plaider son cas, non sans se régaler de la situation. Le regard au supplice, Julie tente d'amadouer le gros italien:
-S'il vous plaît Mr. Louis! C'est pas pour moi, vous savez maintenant que j'aime le cul! Mais c'est ma copine, Aurélie, elle s'est pas rendue compte. C'est une fille brillante, elle va faire des études et tout, et j'voudrais pas que ça la plombe.
Il hausse un sourcil en la regardant de travers et enchaîne:
-J'm'en tape de ses états d'âme. La vidéo est top, je suis en cours de finalisation du montage et je vais pas foutre tout mon taf à la poubelle pour des petites allumeuses à la con!
Julie se sent coincée, "Y bronchera pas c't'enfoiré, va falloir donner de ta personne ma vieille!" Elle croise les pieds derrière elle, joue avec sa sucette et gigote une peu sur elle-même comme une gamine polissonne:
-Y aurait p'tête moyen de faire un deal? Je pourrais faire une nouvelle vidéo pour remplacer la séance de Lilie.
La suggestion interpelle le gros vicieux, et Julie sait qu'elle a fait mouche lorsqu'elle aperçoit la lueur de luxure dans le regard de Mr. Louis.
-Une vidéo pourra pas compenser les heures de boulot que j'ai passé à mettre ta copine en valeur. Entre les heures de boulot foutues en l'air et le manque à gagner, ça me coûte dans les 3000 balles ton truc.
Julie est surprise de la remarque:
-Le manque à gagner? Ben si j'la refais la vidéo moi, c'est pareil!
-Tu rigoles! Toi c'est du réchauffé, on sait déjà que t'es une grosse salope qui semmanche tout ce qui bouge, ça a plus de valeur les filles d'un jour.
L'adolescente voit rouge, elle qui commençait à se trouver bandante et désirable. Elle fulmine:
-Rien de spécial? Hé ça va, je suis pas un cageot non plus! J'suis super jeune, et mes nichons, ils sont gros quand même.
-Gros pour une gamine, mais pour du porno, faut que tu prennes au moins 4 tailles, que ça pende et que ça bouge bien quand on te défonce.
Julie est dégoûtée et vexée de sa remarque. "Putain, 3000 balles, je les trouve où, moi?"
-Moi, je produis des films porno, des vrais, pas des rushs montés, et ça rapporte 1000 balles le film. Tu m'en fais 3 et j'accepte d'attendre que tu me rembourses.
-Z'êtes un bel enculé quand même!
-Hola, gamine, on parle pas comme ça quand on doit du fric, ensuite, c'est toi qui te fais ramoner le cul par le premier venu.
Résignée, énervée mais un tantinet excitée de s'imaginer empalée sur la gros bite de cheval factice, Julie observe le salaud lui tendre la main pour conclure le pacte:
-Bon ben ok, 3 films, je refais la scène et vous me rendez la vidéo de Lilie?
Elle lui tend sa main fine et toute petite par rapport à ses grosses paluches et ils concluent le deal. Le rital inscrit 2 dans l'espace réservé du contrat et inscrit à la main une extension la sommant de refaire toute la scène de Lilie. Il signe puis lui tend le contrat, mais la petite Julie ne compte pas se faire avoir une nouvelle fois:
-Vous permettez que je relise le contrat?
Il éclate de rire:
-HA HA HA HA HA Je vois que tu as retenu la leçon. Très bien je te laisse relire si tu veux, mais si tu ne le rends pas signé avant que j'aie fini le montage, je publie la vidéo et l'envoie à tous mes contacts qui ont bien aimé ta prestation!
"Le chien, il me tient encore!"
<CLING CLING> La sonnette attire l'attention de la jeune asiatique qui se retourne au son de l'énorme voix qui éclate dans le magasin:
-LUIGI fratello mio .
Un clone un peu plus rondouillard et plus jeune que Mr. Louis fait une entrée fracassante dans l'échoppe. Julie s'en retourne vers Mr. Louis qui ne peut cacher la joie d'accueillir le nouveau venu, ni cet accent italien qu'elle ne lui connaissait pas:
-JIANNI vieni qui! Come va?
-Va bene! Mais dis moi, c'est quoi ce p'ti lot?
-Ah ça? C'est la p'tite traînée dont je t'ai parlé hier soir! Il se tourne vers l'adolescente: Julie, dit bonjour à mon petit frère Jianni, mais tu peux l'appeler Mr. Jean! Moi, ton p'ti cul d'asiat' me branche pas trop, mais lui il kifferait de fourrer tes p'tis trous avec sa grosse saucisse!
Du haut de son mètre soixante, la petite asiatique est impressionnée par le colosse italien qui lui tend la main. Il a le même embonpoint que son frère, mais perché sur son mètre quatre-vingt quinze, il est aussi colossal que son antillais de patron. "HUM pas habituel pour un italien!" Elle lui tend machinalement la main pour le saluer. Galant, le géant aux cheveux gominés noirs de jais s'incline et s'empare délicatement de la main toute frêle dans sa grosse paluche de mécanicien.
-Bonjour Mr. Jean!
Elle les regarde tour et tour et conclue:
-Mais alors vous êtes italiens?
Et le gros Jianni la toise avec envie:
-Eh oui ma belle et bien monté comme notre Rocco national!
Les deux frangins éclatent d'un rire bien graveleux. "Putain, mais ils sont débiles en plus!" Elle prend alors le contrat que Mr. Louis lui a imprimé, et feuillette la quinzaine de pages.
-Bon ben je vous ramène ça rapidement Mr. Louis.
-C'est toi qui vois, mais tarde pas trop, le montage est bientôt fini, et d'une manière ou d'une autre je toucherai ma tune.
-Ok, ok, J'ai bien compris! Bonne journée.
Julie ressort du sexshop et laisse la porte se fermer derrière elle dans un <CLING CLING> étouffé. Son contrat en main, elle le plie avec précaution et le met dans son tout petit sac à main.
Elle tente de dédramatiser la situation en repensant à tout ce qu'elle a accompli ces derniers jours, et sa pastille douloureuse lui rappelle ce qu'elle est capable d'encaisser: "Bon tant pis, faut assumer ma vieile, au moins, t'es une bonne copine! Et tu vas encore pouvoir te faire bien baiser, si Mr. Jean est si bien monté qu'il le dit..." Et elle s'imagine avec le grand rital en train de la sauter dans un entrepôt désaffecté.
<PSHHHH> Elle est ramenée à la réalité lorsqu'elle entend le bus se préparer au départ à une vingtaine de mètre. "Eh merde! J'vais encore devoir courir!" Elle accélère le pas et commence à courir, de plus en plus à l'aise sur ses talons. Elle sent ses seins bouger dans le maigre soutien des triangles les enfermant: "Merde, ils sont quand même balaises mes obus!" Et ce n'est pas le regard gourmand du chauffeur qui va la contredire.
Elle sourit au jeune conducteur et va sasseoir juste en face de la première sortie. "Hors de question qu'une bande de p'tis cons me tripotent cette fois!" Mais le chemin du retour est monotone en ce dimanche et il n'y a personne dans le bus. Julie se perd dans ses rêveries, elle repense à tous les mecs qui l'ont baisée ces derniers jours et de fil en aiguille, elle repense à M. Louis: "Mais quel connard celui là, putain, il est dur en affaire! En plus il dit que je n'ai assez de seins, il est taré lui, je les adore mes einses moi.C'est pas assez pour faire bander les mecs? je crois pas moi, ils les adorent mes miches tous ces salauds. Mais bon, il les adoreraient p'tête plus s'ils étaient plus gros. Faudrait que je demande."
C'est au moment où elle envisage de demander à des couillons comme ses collègues, qu'elle aperçoit le PMU dans le reflet de la vitre. Elle appuie sur le bouton pour demander l'arrêt juste à temps pour que le chauffeur la dépose à quelques mètres du bar. Elle sort du bus et croise quelques personnes les bras chargés de divers objets troqués à la braderie, elle sourit aux hommes qui matent ses grosses miches et se dirige vers le café. Elle décide de pousser la porte de verre pour y retrouver Nono et Jeannot qui discutent derrière le zinc désert. Le jeune barman est le premier à l'apercevoir:
-Salut ma belle! Ca va? Il marque une pause tout en l'observant de la tête aux pieds avant de continuer; Toujours autant vêtue dis-moi!
-Mouais, je sais pas trop, j'ai l'impression de m'être faite arnaquée, mais bon à part ça? ça va!
Elle contourne le bar pour faire la bise à ses deux collègues, le vieux Jeannot ne manque pas l'occasion de glisser une main de sa taille et le long de son petit cul:
-T'es toujours aussi belle toi!
-Merci Jeannot c'est gentil. Tiens j'ai une question pour vous les mecs. Vous les trouvez comment mes seins?
Le jeune et le vieux se regardent, interloqués par la question de l'adolescente, d'autant que la petite robe met bien en avant ses attributs mammaires. C'est Nono qui brise le silence:
-Ben ils sont nickels pourquoi?
-Ils sont pas un peu petits?
-Ben non, ils te vont bien, y a pleins de meufs qui aimeraient en avoir autant.
-C'est pas la question bande de nigauds! Pour vous, en tant que mecs, ça serait pas mieux s'ils étaient plus gros?
Nono éclate de rire devant la question, Julie s'agace.
-Ben quoi? J'ai dit une connerie? C'est te fout pas d'ma gueule non plus!
-Hola, vas-y calme-toi! Tes nibards sont très bien, mais pour un mec, plus c'est gros mieux c'est. Les tiens c'est pareil, s'ils étaient plus gros eh ben ce serait mieux.
-Ouais, en fait vous êtes tous que des gros cons d'obsédés! Elle pause mais ils ne réagissent pas, si ce n'est qu'ils ont les yeux rivés sur ses obus les imaginant maintenant plus gros. Bon faut que je me sauve! On commence à quelle heure ce soir?
Jeannot prend la parole:
-Ramène ton cul vers 19h00, faut faire la mise en place!
-OK à tout à l'heure!
Elle s'éclipse en tournant sur elle-même, dévoilant sont petit cul musclé à ses collègues avant de foncer à travers la cuisine pour retrouver la fraîcheur de la cour intérieure et rejoindre sa chambre pour relire son nouveau contrat avec son beau-père.
Elle retrouve Eric qui s'est installé dans la chambre de sa belle-fille en attendant de décider quel sens donner à sa nouvelle vie. Il est allongé sur le lit de l'adolescente lorsqu'elle le rejoint. S'asseillant à ses côtés, elle lui raconte le deal qu'elle a dû passer avec le rital. Au lieu de la défendre, son beau-père prend la nouvelle plutôt bien:
-Alors comme ça tu vas faire du porno? Eh ben ça me semble être dans tes cordes. Fait-moi voir ce contrat?
Il chausse ses lunettes et commence à lire:
-HUM HUM .... j'accepte par le présent ... HUM HUM ... Ouulala tu as vu les clauses de tournages?
-Les quoi?
Julie att la page en question et commence à lire:
-NA NA NA NA ... Ah voilà ... "clauses de tournages ... lesbianisme, pluralité masculine et féminine, sans capote, dépistage obligatoire, éjaculations faciales, éjaculations buccales, bukkake, gokkun et assimilés, pénétrations multiples vaginales et anales, jeux de donjons SM, bondage et assimilés, jeux d'humiliation, d'exhibitions (publiques ou privées), de domination et activités de punition, de sévices corporels (aucune trace ne pourra être visible plus de 4 jours), d'uro, de dilatations extrêmes, ... AAH "sont exclus scato et autres activités feccales ou jugées trop dégradantes" bon au moins les trucs crades sont exclus
-Putain, ils couvrent toutes les activités! Ca m'exciterait presque ...
Par réflexe, le regard de la gamine se porte sur la bosse grossissante du caleçon de son paternel: "L'enfoiré, ça le fait triper de m'imaginer dans des scènes pornos hardcore ou quoi? Et c'est quoi toutes ces pratiques aux noms bizarres?" L'adolescente croise le regard de son pére:
-Tu crois que je peux signer ça?
Il s'assoit alors, dos au mur, jambes écartées et prend la main de sa belle-fille:
-Attends Julie, viens un peu par ici, qu'on relise ça ensemble!
L'adolescente obéit naturellement à son beau-père et s'installe entre ses cuisses. Le tissu de la robe glisse le long des jambes d'Eric et le parfum enivrant de la petite salope le replonge dans les scènes de débauche de la veille. Combiné avec le sujet en cours, il ne peut retenir sa bite de gonfler dans le dos de l'adolescente. Julie sourit intérieurement en sentant le membre grossir contre ses fesses, elle s'assoit contre son beau-père et tous deux parcourent le contrat avec attention.
Elle l'interrompt naïvement:
-C'est quoi gokkun?
-Ben, en fait ... Il pause un peu gêné, ce n'est pas comme ça qu'il avait envisagé d'adresser les questions sexuelles avec sa belle-fille ... C'est comme un Bukkake, tu vois, une meuf se fait juter dessus par plusieurs mecs, ils peuvent la sauter tour à tour, mais ils doivent lui éjaculer dessus. Dans le cas du Bukkake, la fille peut se contenter d'être couverte de foutre. Mais pour un Gokkun, les mecs se vident les couilles dans des grands récipients et la fille doit avaler tout le foutre collecté.
-Ah OK! Je pense pouvoir faire les deux si ce porc me le demande!
L'adolescente semble enregistrer l'information sans trop se poser de questions, ce qui ravit Eric et le conforte dans l'idée que sa belle-fille est bien une petite salope bouffeuse de bite et de foutre. Il est inexorablement attiré par cette petite pute, il voudrait la retourner devant lui, lui écarter les lobes fessiers et la baiser sans ménagement, mais il se contient et tente une approche plus en douceur. Elle sent le chibre de son beau-père durcir entre ses fesses, puis c'est la main de son paternel qui glisse subtilement sous ses cotes, puis le long de ses hanches, elle veut continuer de le chauffer et décide de le faire bander comme un taureau en l'aguichant un peu:
Il pause quelques secondes, puis glisse sa main sous l'ourlet de la jupe et lui caresse la cuisse en lui glissant à l'oreille:
-Tu te vois sucer des dizaines de mecs que tu connais pas? Ou encore te faire emmancher à la chaine pendant des heures?
L'adolescente bascule la tête en arrière contre l'épaule de son beau-père, replie sa jambe et écarte sa cuisse droite:
-Ouais c'est vraiment trash, ça c'est sûr!
Elle pose sa main droite contre la joue hirsute d'Eric et croise son regard:
-Mais bon, je sais pas si j'peux rayer des trucs, parce que sinon autant rien faire, et je laisse Lilie se démerder. Et puis, j'imagine que c'est un contrat type, y a pas du bukkake dans tous les pornos non plus! Ce serait vraiment pas de bol si ce salaud me faisait tout faire, en plus c'est que pour trois films!
Il lui sourit et remonte sa main le long de l'intérieur de la cuisse ouverte:
-C'est toi qui voit, mais j'ai l'impression que t'es douée pour te mettre en galère quand même.
Sa main gauche s'immisce sous le triangle gauche soutenant le sein de sa belle-fille, et il commence à pincer le téton gonflé de désir de la petite. Quant à sa main droite, elle est déjà en train de caresser le triangle de satin détrempé de son string:
-Putain mais tu mouilles déjà comme une chienne!
-Et toi tu es déjà dur comme une barre de fer, papounet chéri!
Il dénoue le nud derrière la nuque de sa belle-fille, et lui arrache littéralement le string. Julie se cambre contre son beau-père, elle sent la rage qui anime Eric, elle a envie qu'il la punisse, qu'il lui fasse mal. Son ventre s'anime de spasmes de désirs, son souffle se raccourcit et s'intensifie, et sa chatte éclot de désir pour les appendices de son beau-père.
Eric caresse les lèvres gonflées de désir de sa belle-fille. Ses doigts glissent le long de sa fente ouverte et humide de cyprine chaude et gluante, il s'attarde sur son bouton qui commence à gonfler sous les caresses expertes. Sa main gauche pince, tortille, étire le téton gonflé qui durcit et grandit d'un bon centimètre. Il glisse ensuite ses doigts humides entre les cuisses de l'adolescente pour lui titiller la pastille.
Julie sent les doigts de son beau-père s'approcher de son anus, instinctivement, elle se cambre d'anticipation à la douleur. Sa respiration s'intensifie mais la douleur fait bizarrement place à un plaisir sourd, ses muqueuses se contractent et se détendent au rythme de sa respiration. Elle cambre encore ses reins pour aller au contact des doigts inquisiteurs.
Le pervers retire ses doigts, il veut la travailler un peu, la titiller puis se retirer, jouer au chat et à la souris. Mais sa belle-fille a besoin de se sentir désirée, les remarques du rital résonnent dans sa tête: "...t'as rien de spécial, pas de gros seins,..."
Elle se retourne face à lui à genoux sur le lit et termine de virer sa robe qu'elle jette à terre. Elle se retrouve entièrement nue juste habillée de ses talons, à genou face à son beau-père, les cuisses écartées, la poitrine gonflée de désir, elle le surplombe. L'adolescente lui prend la tête entre ses mains, et lui fait désirer ses nichons. Eric a les yeux vrillés sur sa poitrine, elle sourit:
-Ils te plaisent?
-Et comment donne moi les que je te les bouffe.
Elle se colle contre son beau-père le buste en avant alors qu'Eric se perd entre ses gros seins. Comme une animal en rut, il lui malaxe les mamelles, mordille ses tétons, les pince et les tord violemment, arrachant des râles de plaisir à sa belle-fille:
-Oh oui, putain, c'est bon! Continue, oui, j'adore quand tu t'occupes de mes gros nichons!
Elle se tortille et s'excite sur son beau-beau-père quelques instants, elle le chauffe comme la chienne qu'elle est devenue, puis sans crier gare, elle se fige et le fixe, le regard grave. Elle rompt intentionnellement le contact, att son beau-père par les cheveux et confronte son regard aux abois:
-Est-ce qu'ils sont assez gros mes seins? Est-ce qu'ils te plaisent? Est-ce qu'ils te plairaient plus gros?
Les yeux révulsés de son beau-père en disent presque trop long, mais ses paroles l'achèvent:
-Oh oui, ma petite salope, des énormes nibards! On voudrait te traire, t'enculer comme une salope pour les secouer dans tous les sens!
-Tu les voudrais gros comment?
-Il seront jamais assez gros pour moi.
Et Eric replonge dans son décolleté, ne comprenant pas la sincérité de la question. Un peu sonnée, Julie le laisse lui téter et lui martyriser les seins. Après quelques secondes, elle chasse ses interrogations de sa tête pour reprendre les choses en main. Elle se recule, toujours à genoux entre les jambes de son beau-père, et le déshabille.
-Tu seras plus à l'aise comme ça!
Elle lui retire son pantalon et ses chaussettes et garde le meilleur pour la fin. Elle observe le caleçon distendu un joli tente. De sa main gauche, elle soulève le tissu de son marcel, lui caresse le ventre, le griffe du bout des ongles et lembrasse en remontant vers son torse. Gourmande, elle lui mordille les tétons et descend sa main droite le long de son ventre en une caresse sensuelle, puis elle tire sur l'élastique du caleçon, faisant jaillir la bite tendue et gonflée de sang.
Le sourire coquin et gourmand, elle le regarde du coin de lil:
-Humm, tu es déjà au top.
-Tu crois? Moi je pense, qu'avec un bonne pipe ce serait mieux.
-Gourmand!
Docile, elle se recule à quatre pattes entre les jambes musclées, puis prend la bite entre ses mains et regarde son beau-père avec gourmandise. Il retire le marcel blanc et le jette au pied du lit, puis il observe la tête de sa belle-fille redescendre vers sa bite tendue. Du bout des doigts, il écarte sa mèche de cheveux et se délecte de cette bouche pulpeuse qui commence à lui aspirer le gland.
Sachant que le plaisir de son beau-père est physique mais aussi visuel, elle lève les yeux et le fixe du regard en descendant sa bouche sur sa queue. Elle aspire le gland turgescent et le tète comme si elle suçait encore son pouce, après quelques tétées, elle l'aspire presque entièrement et remonte lentement. Après deux ou trois allers et retours au fond de sa gorge, elle recrache la bite luisante de bave pour l'embrasser et la lécher langoureusement.
Après quelques bisous et léchouilles, elle reprend le sexe en bouche sans quitter Eric du regard. Elle s'amuse à jouer de sa langue sur le frein sentant immédiatement les soubresauts du sexe. Eric se délecte de cette vision et se perd dans les talents de suceuse de sa belle-fille. Elle le suce comme une pro, formant un anneau de chair avec son pouce et son index, la petite sert la bite et les bourses à la base. Elle adore voir les veine gonfler le long du vît de chair encore luisant de bave. Sa main libre monte et descend le long de la bite gluante et gonflée à bloc, elle lui lèche les couilles et l'observe du coin de lil, ravie de l'effet produit.
-Oh oui, putain, t'es une sacrée pute toi! Si tu savais comme tu suces bien.
Elle lui sourit, puis repart à l'assaut de la bite couverte de veines gonflées à bloc. la base de la queue et les bourses encore compressés entre ses doigts, elle aspire la teub avec ferveur la masturbant en même temps qu'elle la pompe. Eric est aux anges, l'effet combiné des lèvres lui aspirant la bite, et des doigts de sa belle-fille glissant le long de sa queue et un véritable délice. Il doit lutter pour ne pas jouir trop vite, il n'en a pas fini avec cette petite pute.
Au bord de l'explosion, il tire violemment sur les cheveux de sa belle-fille. La bouche ouverte, un filet de bave la reliant encore à son beau-père, l'adolescente pousse un râle de douleur.
-Viens par ici espèce de petite pute!
Il l'attire sur le bord du lit, la tête dans le vide, puis lui att les cuisses à pleine main pour les écarter devant lui. Il est surexcité devant le spectacle de la petite vulve ouverte et luisante de mouille et se jette dessus pour la lécher avidement.
-<SLURP!> <SLURP!> <SLURP!> <SLURP!> Bordel, qu'est-ce que j'aime le goût de ta petite chatte! <SLURP!> <SLURP!> <SLURP!>
-HUM oui c'est bon, lèche moi bien profond, oui!!!!
-Ta gueule, petite pute, suce moi bien!
Il abandonne la chatte de sa belle-fille, lui att le visage et engouffre sa queue au fond de sa gorge en un coup de rein violent. Il lui baise alors la bouche comme une brute dans des gargouillis bruyants:
-<GUAH!> <GUAH!> <GUAH!> <GUAH!>
La gorge de la jeune fille est déformée par le gland énorme qui la perfore:
-C'est ça espèce de petite pute, avale bien la teub de papa!
Il se déchaîne encore quelques instants puis se retire tout aussi violemment pour ne pas jouir en elle. Eric repart alors à l'assaut de la chatte imberbe et ouverte à lui alors que ses doigts s'insinuent dans les sphincters rougis de son petit cul. Malgré la douleur de sa pastille torturée, la jeune fille est aux anges. Les yeux à moitié dans le vague, elle aspire le gland qui se trémousse sous son nez et le tète à nouveau goulûment dans des <SLURP!> <SLURP!> <SLURP!> bruyants.
Après quelques instants de ce traitement, elle sent le liquide pré-éjaculatoire sur sa langue. Eric se retire prestement de la bouche de Julie tout en continuant à lui lécher la chatte et à lui titiller le clitoris. La jeune fille jubile, non seulement elle est sur le point de jouir sous les caresses de son beau-beau-père mais en plus elle le suce tellement bien qu'il a du mal à lui résister.
La belle tente à plusieurs reprise d'aspirer le gland qui oscille devant son visage, mais son beau-père se retire à chaque fois, comme s'il lui refusait sa friandise. Frustrée, elle n'a pas dit son dernier mot, si son paternel lui refuse sa bite, elle a d'autres cibles potentielles. Elle commence alors à lui caresser les couilles qui se rétractent sous son toucher, puis elle glisse ses doigts fins entre les lobes fessiers et commence à lui caresser l'anus. Cette fois-ci pas de réaction de retrait, elle continue alors sa progression alors que son beau-père la lèche avec encore plus d'ardeur.
Toute excitée, mais avec un peu d'hésitation, la petite asiat' ouvre la bouche et tire la langue. Elle écarte les lobes fessiers entre son pouce et son index gauche, et s'approche de la pastille son beau-père. Sa main droite continue de caresser les bourses velues, et elle commence à lui lécher l'anus. Elle entend les grognements de plaisir d'Eric et continue sa progression alors que sa main droite glisse le long de la bite dure comme une barre de fer.
Elle sent alors les doigts de son beau-père lui perforer la chatte, en rythme avec les doigts qui plongent dans les muqueuses douloureuses de son anus. Pour ajouter à son plaisir, Eric aspire, mordille, léchouille son clitoris gonflé de plaisir. La petite se tord de désir pour les attouchements de son beau-père, et lui rend la pareil en lui fouillant le cul poilu de sa petite langue rose et en lui branlant la bite encore lubrifiée de bave.
Elle s'enivre de ses odeurs, et de ses râles de mâle en rut. Sa chatte fourmille de plaisir, sa tête bourdonne sous les coups de langues expertes de son beau-père, et ses reins se cambrent de plaisir sous la pompage vigoureux des doigts qui lui fouillent la chatte et le cul. Les deux amants sont aux bords de la jouissance.
Eric est sur le point d'exploser, il cambre les reins pour offrir son gland tuméfier à la petite suceuse. Julie maintien sa bite au-dessus de son visage et la lèche sur toute la longueur, insistant sur le frein qu'elle léchouille et aspire. Instinctivement, elle enfonce son index dans le cul de son beau-père et se met à le branler en même temps qu'elle lui pompe le gland.
Il n'en faut pas plus à Eric pour éjaculer son foutre à l'orée des lèvres voluptueuses de sa belle-fille. Il abandonne la chatte dégoulinante, au grand désarroi de la petite, qui était sur le point de jouir comme jamais, puis adopte une position de squat au-dessus du visage de l'adolescente pour le couvrir de ses rasades de foutre chaud et gluant... Quand tout à coup la grosse voix caverneuse de l'antillais se fait entendre dans la chambre:
-...et voilà, je te présente, ...
En un instant, qui paraît une éternité à la jeune fille, la porte s'ouvre sur le géant d'ébène accompagné d'un grand gaillard chauve, aux bras couverts de tatouages. Julie, prise de panique, se redresse et tente de couvrir sa nudité avec le drap de son lit. Quant à Eric, tout d'abord surpris par l'intrusion, il saute dans son Jean's et salue les arrivant d'une chaleureuse poignée de main.
-... la jeune ... et ...HEUUUU... jolie Julie?
-Bonjour Messieurs, je suis Eric, le beau-père adoptif de cette charmante jeune fille! Il les accueille, le sourire radieux, comme si de rien n'était. Vous devez être Marco, c'est ça?
Julie est totalement décontenancée, non seulement par laplomb de son beau-père, mais aussi par l'apparition de son patron et de ce grand gaillard taillé à la serpe, et droit comme un soldat au garde à vous. Elle recoiffe sa mèche gauche derrière l'oreille et sent le sperme encore chaud couler le long de ses joues et de son menton pour s'égoutter sur le drap blanc.
-OK, eh bien bonjour Eric, moi c'est Marco, et voici Dimitri. Dimitri, je te présente Julie, ma nouvelle serveuse et ta nouvelle colocataire.
Les trois hommes éclatent de rire devant l'ingénue au visage couvert de foutre. Julie remarque le regard du grand gaillard se porter sur son étagère couverte de sextoys.
-Eh ben au moins tu sais comment occuper ton temps libre! Lui lance-t'il d'un clin dil.
Son beau-père finit de s'habiller et lui demande d'aller leur préparer un café. Julie passe le drap autour d'elle et le maintien en place de sa main gauche au dessus de sa poitrine. Elle se rend à la cuisine et prépare les cafés de sa main libre. La jeune fille sent le sperme refroidir et s'écouler sur son visage, elle le récubeau-père du bout des doigts qu'elle lèche avec gourmandise: "C'est quand même meilleur chaud!" se dit-elle avec un sourire coquin.
Lorsqu'elle apporte les trois cafés sur un plateau, accompagné de quelques gâteaux secs qu'elle a trouvé dans les placards, les trois hommes ne peuvent détourner leur regard de la belle perchée sur ses stilettos, emmaillotée et couverte de quelques traces douteuses. Elle s'amuse de voir leurs regards se concentrer sur ces grosses loches à moitié visibles sous son drap. Marco rompt le silence de la pièce en lui tendant un sac:
-Au fait je me suis permis de te préparer un uniforme pour le service. Tu trouveras dans ce sac trois tenues de rechange.
-Merci Marco, je file me laver et me préparer alors?
-Oui c'est ça et bouge ton p'ti cul, ils t'attendent en bas! Ah et au fait, tiens v'là un cadeau de Jeannot, il m'a dit que tu saurais quoi en faire! Et il lui tend une bouteille en verre contenant un liquide blanchâtre.
Julie file dans la salle de bain, abandonnant son beau-père au grand black et à son locataire baraqué. Elle se regarde dans la glace, et constate les traces de sperme qui lui couvrent encore le visage. "Putain la honte! Il va penser quoi, le mec? Ben que j'suis qu'une grosse salope, quoi!"
Elle se met à rire toute seule devant sa glace et se précipite sous la douche. Quel plaisir d'enfin sentir l'eau chaude s'écouler sur sa peau et la laver du foutre collant qui commençait à sécher sur elle. L'adolescente se lave rapidement en prenant soin de ne pas se mouiller les cheveux puis dévisse la bouteille de verre, elle en sent le contenu et les effluves confirment ses soupçons: "Pas de doute, il veulent que je me fasse un lavement!" Elle att une des grosses seringues qu'elle a piqué à sa mère et en empli deux qu'elle utilise pour bien vider et lubrifier ses boyaux.
Une fois sa toilette terminée, elle se sèche rapidement, traverse le couloir à poil sans faire attention au trio dans le salon et se rend dans sa chambre pour se faire une petite beauté avant d'enfiler son nouvel uniforme.
Elle sort un des trois ensemble sous plastique du sac et étale son contenu au bout de son lit. Marco a fait les choses bien, elle passe tout d'abord la paire de bas résille blanc, puis elle att le rectangle plissé de tissu écossais bleu qu'elle passe autour de sa taille. Elle le fixe sur sa hanche droite en boutonnant la seule pression au niveau de la ceinture. D'un coup dil dans son miroir plein pied, elle constate que non seulement la petite jupe arrive juste en dessous de son pli fessier mais qu'en plus, l'échancrure sur sa hanche droite dévoile entièrement le haut de sa cuisse.
Elle passe ensuite le petit haut de coton blanc très fin et lasse d'un double nud entre ses deux seins les deux pans du vêtement. Le décolleté met bien en valeur sa belle poitrine tout en faisant apparaître ses tétons gonflés en transparence. Elle ajuste la paire de bas blancs sur le haut de ses cuisses et parfait sa tenue avec une paire de plateformes blanches assorties. La cambrure donnée par ces sandales fait presque apparaître sa raie culière sous le plissé de sa jupe.
"Putain, est-ce que j'aurais pas meilleur temps de faire le service à poil moi?"
Avant de partir, Julie se fait une queue de cheval très serrée aussi pratique pour le service que pour sucer, une paire de créoles aux oreilles et son triple bracelet, pour ensuite se maquiller à l'arrache voyant l'heure défiler. Un peu de gloss rose sur les lèvres, une blinde de mascara et du fard à paupière blanc et rose conviendront parfaitement à sa tenue. Elle balance son maquillage dans son petit à main rose, et se contemple une dernière fois:
-Parfaite ma vieille! Allez, au turbin!
Elle ressort de la chambre dans un joli déhanché, le claquement des talons sur le parquet accompagné par le cliquetis de ses bracelets. La belle Julie, hésitant entre descendre directement prendre son service ou aller saluer le trio de mâles, se fait interpeler par son patron:
-Viens un peu par ici que je vois s'que ça donne!
Elle remonte alors le couloir et se fait accueillir par des sifflements d'admiration. Arrivée dans le salon, elle fait un petit demi-tour sur ses pointes, comme elle a appris à le faire en école de danse et fait virevolté sa mini jupe:
-Oh putain! Je pense que tu vas faire fureur ce soir, si avec ça je double pas mon chiffre d'affaire...! J'suis bien content de t'avoir embauchée! Bon allez, maintenant file bosser, ils tattendent en cuisine!
Elle les salue d'un clin dil et descend les escaliers jusqu'à la cour intérieure avant de rentrer dans la cuisine où elle est accueillie par le chien de Jeannot en train de lécher sa bite de chair rose.
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