Stock Car De Paris Bercy, Suite
Stock car de Paris Bercy suite
Après cette chaude rencontre au palais omnisport de Bercy, je reçus donc des nouvelles de la femme à qui javais léché le sexe sans la connaître ou presque. Je ne pensais plus entendre parler delle, car elle mappela plusieurs semaines après ce moment torride. Nétant pas sûre de me trouver, elle appela le soir et cest ma mère qui décrocha. Lorsque cette dernière me dit quune dame demandait à me parler, jétais réellement surpris, mais je reconnus la voix de suite.
- Bonsoir, cest Diane, la dame de Bercy.
- Oui, javais reconnu.
- Cétait ta mère ?
- Oui.
- Il lèche la chatte des dames inconnues et vit encore chez papa-maman ! Excitant tout ça ! Tu es libre demain ?
- Heu, jai des cours le matin.
- Dommage, tant pis alors.
- Mais si vous voulez vraiment que je
- Oui, je veux, alors ?
- Daccord.
- Tu connais St Maur ?
- Heu, non, mais je vois où cest.
- 9 heures à la gare du RER. A demain.
Et elle raccroche ! Je ne sais même pas combien de temps il faut pour aller là-bas de St Lazare. Et ma mère qui demande :
- Cest qui cette dame ?
- Ben, heu, cest la mère de Christophe, mon pote de Paris qui me dit que jai oublié une chemise chez lui lorsque je suis allé dormir là bas.
- Ah bon, je ne lai pas trouvée très aimable.
Ouf, pas sûr que ma mère ait avalé mon explication, en plus, la mère de mon copain était adorable !
Le lendemain, jarrive à 8 heures à St Lazare, je regarde le plan de métro et je constate que St Maur est juste après Vincennes, pas trop long et effectivement jy suis 20 minutes avant lheure prévue, je patiente tout étant très excité, je bande déjà. Cette femme mexcite au plus haut point ! A 9 heures, je la vois juste à lentrée de la gare, elle nentre pas mais me fait signe de la suivre, elle ne mattend pas et se dirige vers un parking. Elle monte dans une Mini et la porte passager souvre :
- Monte !
Me voilà installé, je boucle ma ceinture.
- On va chez moi
On roule quelques minutes, je la regarde, toujours aussi bandante, elle porte une jupe portefeuille qui sest largement ouverte pendant quelle conduisait, des bottes.
- Tu veux voir mes jambes, hein petit cochon ?
- Heu si vous voulez, oui.
Et elle relève les pans de sa jupe complètement, elle porte des bas comme lautre jour.
- Caresse-moi les jambes !
Je pose timidement ma main sur sa cuisse.
- Vas-y franchement, tu peux même caresser ma chatte ! Mais tu ne passes pas ta main sous ma culotte, compris ?
Je mexécute, je passe ma main sur sa culotte en dentelle noire.
- Humm, continue comme ça, jaime, ça me fait mouiller.
Ça commence fort, je bande déjà comme un fou, son ton directif, le vocabulaire sans fioriture, jaime ça ! Mais le trajet est assez court, on arrive dans une rue avec de très belles maisons, un portail souvre et nous voilà dans une très belle propriété.
- Voilà, allez viens.
On entre, elle memmène dans un salon, me propose un café et nous voilà installés, moi en face delle, elle croise les jambes, quest-ce quelle est excitante cette femme !
- Bon, nous navons pas beaucoup parlé lautre jour. Tu es un petit vicieux avec une belle petite gueule dange. Ça tombe bien, jaime les petits vicieux dans ton genre, je tavais repéré tout de suite ce dimanche à Bercy. Je te voyais regarder les femmes présentes, détailler leur corps, tes yeux se posaient sur leurs fesses, leurs jambes, je me suis dit, celui-ci, il aime les femmes mûres, allons-y ! Je le mettrai bien dans mon lit ! Jai donc décidé de tallumer, et ça a bien marché ! Tu vois jai remis la même culotte que celle que tu as remplis lautre jour.
Et elle écarte les pans de sa jupe, ses cuisses et moffre une magnifique vision.
- Je suis sûre quelle te fait envie ma chatte !
- Oui !
- Tu la mangeras plus tard petit vicieux. En attendant, tu peux la regarder ! Bon, je vais texpliquer certaines choses.
- Heu non, je veux bien.
- Si je te suce, ce nest pas pour que tu éjacules, cest parce que jaime bien sucer des queues et dans mon souvenir, la tienne était jolie. Daccord ?
- Oui.
- Tu peux dire madame, jaime bien ce contraste.
- Oui madame.
- Donc aujourdhui, tu vas me donner du plaisir et si ça se passe bien, tu pourras vider ta queue sur moi, voire en moi si tu me donnes entière satisfaction. Et peut-être avoir une surprise ! Pour commencer, tu te mets à poil !
Je dois reconnaître quelle me fascinait, son ton, son autorité naturelle et puis elle était terriblement bandante, même si je navais vu delle que ses jambes et son sexe. Je me déshabille.
- Tu bandes déjà petit vicieux, jaime ça ! Viens que je te touche la bite, lautre jour je ne lai pas fait. (Je mapproche) Hummm, je laime bien ta bite, jaime son champignon, elle a la peau douce.
En fait je nétais pas loin de le faire mais la sécheresse de son ton fit refluer illico mon sperme !
- Je vais te sucer, jaime sucer, mais tu as compris, pas de sperme petit vicieux !
Et elle me suce pendant une bonne dizaine de minutes en commentant régulièrement.
- Tu sais quelle est bonne ta queue ? Jaime son gros gland !
En plus elle me regardait avec des yeux pervers, ouah !
- Bon, je suis bien excitée maintenant, tu vas me faire jouir petit vicieux ! Avec ma culotte !
Elle sinstalle sur le canapé, ouvre grand les jambes. Elle me regarde et je me jette sur sa chatte. Je lèche sa culotte qui sent très fort le sexe. En même temps, elle se caresse. Elle insère ses doigts à loccasion dans sa vulve et me les donne à lécher après. Elle écarte sa culotte et me fait lécher sa fente, elle prend ma tête et me guide avec ses mains. Elle finit par couiner en me serrant la tête avec ses cuisses tellement fort que jai du mal à respirer.
- Moui !!! Nettoie ma chatte, bois mon jus !
Je mapplique du mieux que je peux, jai failli jouir aussi, il y a quelques gouttes de sperme sur le parquet. Elle finit par repousser ma tête.
- Cest bien, jaime quand un homme me fait jouir avec sa langue ! Tiens, je messuie la chatte avec ma culotte et je te la donne, comme ça tu pourras sentir mon odeur en rentrant chez toi.
- Merci madame !
- Tu as quel âge ?
- 21.
- Je ne me suis jamais faite baiser par un jeune comme toi, dhabitude, je tape dans les trentenaires. Tu aimes les femmes comme moi ?
- De votre âge ?
- Oui.
- Elles mexcitent beaucoup oui.
- Pourquoi ?
- Je ne sais pas, cest comme ça.
- Les filles de ton âge sont mieux foutues !
- Pas toutes madame, après les femmes comme vous cest mieux au niveau sexe !
- On est plus salopes ?
- Je ne dirai pas ça, plus à laise dans leur plaisir, et puis vous êtes belle !
- Tu nas vu que mes jambes et ma chatte !
- Vos jambes sont belles !
- Tu aimes le goût de ma chatte ?
- Oui madame.
- Bon, tu viens ? Jai envie de pisser, tu te rappelles ?
- Oui, je dois vous nettoyer !
- Tu as bien retenu ! Mais on va changer un peu !
Elle matt la queue.
- Suis-moi mon lapin.
Et elle memmène vers les toilettes en me tenant par la verge. Je me concentre pour ne pas jouir ! Nous arrivons dans une salle de bain très classe, avec une baignoire enterrée.
- Va dans la baignoire !
- La baignoire ?
- Oui et tu tallonges !
Jobéis, cest très froid, ça fait des frissons et ma queue ramollit. Elle enlève ses bottes et me rejoint toute habillée dans la baignoire.
- Bouffe mes pieds !
Et elle me colle ses pieds sur le visage !
- Bouffe-les, suce-les !
Elle me met un de ses pieds dans la bouche, ça sent le cuir, ça dure quelques minutes, elle mécrase le visage avec la plante des pieds.
- Tu aimes ça, hein petit vicieux, ils sentent bon mes pieds ? jai gardé exprès mes bas dhier pour quils aient plus de goût ! Tiens je técrase ta bite avec mon pied, hummm, ça roule, jaime ça ! Cest bon hein ?
- Oui madame, mais je vais jouir ! Donnez-moi vos pieds encore !
- Tu les aimes mon salaud
- Oui, jaime leur goût !
- Tiens, suce-les !
Et je tête ses orteils comme un fou, ça mexcite comme un dingue et jéjacule de longs jets copieux sur mon ventre !
- Putain tu craches bien petit vicieux.
Elle pose son pied sur mon ventre et étale mon sperme avec. Puis elle me redonne son pied à nettoyer.
- Tiens mon salaud, suce ton sperme !
Je suce encore son pied comme un fou et ça se calme peu à peu. Pfou, quel orgasme jai eu ! Elle me surplombe toujours.
- Tu bandes encore, cest bien, je vais réchauffer ta queue.
Elle se décale vers mon sexe, elle lève sa jupe et commence à me pisser dessus ! Cest tout chaud, ça éclabousse partout, mais voir ce liquide sortir puissamment de sa chatte me transporte, je trouve ça super beau ! Elle se vide la vessie sur moi.
- Je suis sûre que tu as aimé ça !
- Oui madame, cest très excitant !
- Tu sais ce que tu dois faire maintenant !
Et elle saccroupit sur mon visage, se frotte sur moi et je la lèche comme un mort de faim, que cest bon !
- Il ne faut plus quil reste une seule goutte sur mes poils !
- Oui madame.
Puis elle se relève, sort de la baignoire.
- Tiens, voilà une serviette pour toi, tu peux te doucher !
Elle me jette ses bas :
- Ils sont plein de pisse, tu pourras les prendre aussi.
Et elle disparaît. Je viens de vivre des minutes dune intensité érotique terrible ! Quelle femme ! Je me douche, me sèche et je retourne dans le salon. Je bande à moitié. Elle mattend toujours habillée sur le canapé.
- Il bande encore le cochon ! Un autre café ?
- Heu oui.
Et nous voilà à boire un café, elle fait très femme du monde, elle a remis des collants ou des bas et des escarpins, sa jupe est à peine entre ouverte alors que je suis nu à côté delle. Régulièrement, elle pose sa main sur ma queue, fait quelques mouvements, me caresse les testicules.
- Tu as fini ton café ? Lève-toi, mets-toi devant moi et masturbe toi !
Je mexécute ! Jai très envie de me branler devant elle ! Tout en me regardant, elle écarte sa jupe, ses jambes. Elle na pas remis de culotte et elle commence à se caresser. Je navais jamais vu une femme se caresser comme ça, comme au spectacle.
- Imagine ta queue dans ma chatte ! Regarde, jy mets deux doigts, trois, quatre ! Tu aimes ? Ecoute comme je mouille à cause de toi !
Effectivement, ça faisait floc-floc et elle sortait ses doigts pour me montrer que sa mouille faisait des filaments ! A ce moment là, dailleurs, jai eu comme un flash en me disant que je navais même pas vu ses seins, ni ses fesses, alors quelle mexhibait sa chatte depuis un certain temps, alors que souvent, cest ce quune femme montre en dernier ! Après de longues minutes de masturbation, je la vis soudain se crisper et partir en grande jouissance après sêtre aidée de son autre main pour caresser son clitoris ! Quant à moi, je serrai la base de mon sexe pour stopper une éjaculation qui approchait à grand pas ! Mais jéprouvais aussi un mini orgasme.
- Viens me nettoyer vite !
Je me jetais sur son sexe pour faire une de ces manies que par ailleurs jappréciais particulièrement. Troisième fois depuis le début de la matinée que je lui léchais le sexe ! Ce dernier sentait très fort après ce nouvel orgasme.
- Jai vu quelques gouttes de sperme au bout de ton gland ! Mais tu as su résister, cest bien tu apprends vite ! Maintenant, je temmène manger, allez, rhabille-toi !
Pendant que je me rhabillais, jai pu constater quelle ne mettait pas de culotte.
- On va dans un petit resto sympa.
Nous arrivons, je la suis, on sinstalle à une table dans un coin et elle me demande de sortir ma queue.
- Pardon ?
- Tu mets ta serviette dessus, personne ne verra rien !
Bon, je le fais, je ne suis pas très à laise.
- Dis donc cest mou !
- Désolé, mais ici
- Je vais te faire durcir moi, dit-elle en souriant tout en me branlant.
Soudain, elle lève la main en direction dune femme qui vient dentrer et qui se dirige vers nous.
- Bonjour ma chérie, je te présente mon jouet !
- Salut ! Humm, il est mignon.
- Heu, bonjour madame.
Elle sinstalle à côté de moi.
- Alors comme ça tu baises ma copine ?
- Heu, ben, je
- Il est intimidé le coquin ! Elle me raconte tout, et elle partage tout !
Et elle pose sa main sur mon sexe.
- Tu me le prête 5 minutes ?
- Pas de soucis, il est à toi.
- Tu viens ?
Et elle se lève en se dirigeant vers les toilettes.
- Ben allez, elle tattend ! Si tu veux me baiser, faut que tu la prennes avant !
Je me lève, je traverse la salle, la serveuse me sourit, je crois quelle a compris. Je me glisse dans les toilettes, la dame mattend, jupe relevée, sans culotte. Elle a un gros cul un peu mou, elle est appuyée contre le mur.
- Prends-moi ! Interdit de jouir !
Décidément ! Je minstalle derrière elle, elle prend ma queue et se lintroduit direct dans la chatte. Cette dernière est chaude, bien coulante.
- Hummm, cest bon, bouge ta bite !
Je fais ce quon me demande cest difficile de ne pas jouir, javoue que je naurai jamais dragué cette femme, mais la baiser est très bon, son gros cul mexcite bien. Elle se caresse en même temps et assez vite elle tend son cul et prend son pied.
- Merci mon chéri, viens que je nettoie ta queue, jai bavé dessus !
Et aussitôt dit, aussitôt fait.
- Si Diane ne voulait pas te garder pour cet après-midi, je te sucerai bien jusquau bout, jaime bien le sperme ! Bonne fin de journée.
Et la voilà qui sen va ! Je sors des toilettes et retourne un peu penaud à table.
- Alors, cétait bien ma surprise ?
- Oui, elle est sympa votre copine.
- Elle aussi elle est en manque !
On revient après manger, bien sûr je me retrouve vite nu, mais elle aussi. Je découvre enfin son corps, et franchement, quelle belle femme !
- Pas trop décatie la dame ?
- Non, et vous le savez jen suis sûr !
- Je crois que oui.
Ses seins sont très beaux et ses fesses bien rebondies.
- Tu aimes mon cul ?
- Oui !
- Alors
au travail !
Et elle sinstalle la tête entre les bras et me tend son cul. Je commence à connaître la dame et je comprends ce quelle souhaite. Je darde de suite ma langue dans son anus, je lavais déjà fait une fois et avait apprécié cette pratique.
- Lèche-moi le cul, nettoie le mon cochon, écarte mes fesses, va profond !
Jadore lécher les culs, cest une vraie révélation ! Elle se caresse en même temps, mais avant de jouir, bonne surprise, elle me demande de la prendre ! Je plonge ma queue dans sa chatte, cest trop bon ! Mais là
- Encule-moi crétin !
- Heu oui madame.
Je ressors ma queue, je nai pas tellement lhabitude de la sodomie, même si jen avais déjà fait. Je pose mon gland sur son anus et cest elle qui pousse, je vois mon gland qui entre doucement, cest très très bon ! Je lencule de longues minutes, elle commente ce quelle ressent avec un vocabulaire très cru, sur le coup, je trouve ça très excitant et je sens que ça vient. Je lui dis
- Pas question, je vais bientôt jouir aussi. Mets-la moi profond, hummm, putain cest bon quand tu mencules !
Et elle jouit ! Mais ces mouvements de bassin ont raison de ma résistance et je lui remplis ses intestins de longs jets de sperme ! Le pire, cest que mon orgasme nest pas très intense car jessaie de me retenir, mais je ny arrive pas.
- Il me remplit le cul le con !
Je finis de jouir et je me retire, penaud.
- Excusez-moi madame, je nen pouvais plus.
- Pour ta punition
Et elle se positionne le cul levé, je comprends et je lèche. Elle expulse mon sperme, elle pète aussi !
- Ben oui, tu as mis de lair dans mon cul, faut que ça parte !
Puis elle sallonge sur son canapé, je retourne sur le fauteuil.
- Tu vas récupérer ? Jai encore envie de ta bite, ça faisait longtemps
- Je pense oui.
Elle me sert un coca et quelques minutes plus tard, je suis attaché sur son lit. Elle me suce un peu ce qui a pour effet de bien redresser ma queue et elle sinstalle sur moi et lintroduit dans sa chatte. Elle me chevauche comme ça de longues minutes, en alternant les positions, face à moi, elle me met parfois ses tétons dans la bouche, elle se tourne et je vois son cul bien ouvert et ma queue qui entre dans son sexe. Elle se caresse en même temps et il me semble quelle jouit plusieurs fois. Enfin, elle lâche la phrase magique :
- Souille-moi, remplis-moi, vide-toi les couilles !
Un vrai soulagement ! Jai limpression de jouir très longtemps, peut-être le meilleur orgasme de ma jeune vie ! Bien sûr, dès que jai fini, elle sinstalle sur mon visage et je la nettoie avec plaisir. Jamais je naurai mangé autant de sperme, sauf plus tard quand lamant de ma femme, Nicolas, jouira dans ma bouche, mais cest autre chose.
Jen finirai ainsi avec ce souvenir, je la revis exactement 4 fois, dont une où en fait elle me « prêta » à une autre femme pour la journée (à suivre), beaucoup moins bien quelle, mais il faut avouer que je pris beaucoup de plaisir à la baiser quand même. Cétait très difficile de la voir et elle me dit clairement que son « jouet » la lassait quelque peu, donc fini .Belle expérience, malheureusement, je ne trouvais plus de femmes acceptant les jeux à base durine, jai beau avoir plus tard demandé à ma femme, il ny a quavec cette femme que jai goûté à ce plaisir que jai beaucoup apprécié, un vrai regret. La seule concession de ma femme étant de se laisser lécher après quelle soit aller aux toilettes, bon, cest mieux que rien ! Autre souvenir marquant, jamais elle ne membrassa alors quelle moffrit ses autres orifices, même pour se dire bonjour ou au revoir.
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