Derrière La Porte, Ma Femme Baise
Pas besoin de tout voir pour apprécier. Si Aurélie m'a souvent ouvert les portes de ses aventures, elle m'a un soir réservé une expérience hors du commun. Le son, mais pas l'image.
"Ce soir, un de mes amants vient", m'annonce-t-elle un samedi, vers 18h. "Prépare-nous un petit apéro."
Comme d'habitude, Aurélie est superbe. Robe légère. Pas de soutien-gorge sur ses petits seins. Il fait beau. Ses jambes sont belles.
Vers 19h30, on sonne. C'est Tarik, un de ses amants. Comme la plupart des autres, il est du genre costaud. Cheveux courts, sportif. Pas très grand mais puissant. Le genre rugbyman, compact. Il s'est fait beau. Chemise blanche, un bouton ouvert pour laisser entrevoir ses pectoraux. Il sait clairement pourquoi il est là.
Il me salue cordialement et je le fais entrer. Aurélie sort de la salle de bain et vient à sa rencontre. Elle vient de mettre un peu de rouge à lèvre, qu'elle pose directement sur les siennes.
"Bonjour monsieur. En forme ?", lui lance-t-elle ?
"Toujours."
Pour une fois, on prend le temps. On discute. On boit un coup. On parle de tout et de rien. Aurélie est assise à côté de Tarik sur le canapé. Je suis sur une chaise. J'observe sa main sur la cuisse de ma femme. Je suis déjà dur mais je tente de ne rien laisser transparaître.
Après quelques verres, elle prend l'initiative.
"Il est peut-être temps de passer aux choses sérieuses", lance-t-elle à notre invité en se levant et en prenant sa main.
Elle l'emmène doucement vers la chambre. Comme d'habitude, je les suis. Mais alors que j'arrive sur le pas de la porte... stop. Aurélie m'attend.
"Désolé, mais ce soir, tu restes là."
Sans dire un mot de plus, elle ferme la porte devant moi.
Je pensais la voir retirer sa robe, se faire caresser, baiser, jouir... Mais non. Je suis coincé dehors. La seule chose que je vais pouvoir faire ? Écouter.
Les premières secondes sont étranges. Leurs corps semblent collés, justement, à la porte. J'entends des bruits de bouche, de salive. On s'embrasse. Mais Tarik a vite compris que le spectacle doit être sonore.
"- Met toi à genou petite chienne, et montre moi comment tu suces", l'entendis-je lancer.
"- Oui monsieur."
Bruit de ceinture. Pantalon qui tombe. Crachat...
"Oh oui, salope, suces moi bien."
L'excitation m'a fait tomber au sol. Je suis assis derrière la porte de ma propre chambre en train d'écouter ma femme sucer un autre.
"T'aimes ça hein. En plus tu me regardes bien dans les yeux sale chienne. Met là bien au fond de ta gorge."
Nouveau crachat. Le dos de Tarik cogne contre la porte.
"Oh oui, putain."
Aurélie reprend bruyamment son souffle.
"Tu en veux toujours autant toi. Je viens bien te démonter. Mets-toi sur le lit. À quatre pattes."
Après quelques secondes de silence, une claque. Probablement sur les fesses de ma femme.
"- Mets-toi des doigts dans la chatte. Montre-moi comment tu veux que je te baise. Tu veux que je te démonte ?
- Oh oui démonte moi. Baise-moi la chatte.
- Continue de te mettre des doigts pendant que met ma capote, c'est bien."
Nouveau silence. Et ça repart. Aurélie gémit. Apparemment, Tarik commence doucement. Mais ma douce monte vite en température.
"Hmmm, oui. Oh oui... Oh oui...Oui ! Oui ! Oui..."
Je commence à entendre le bruit du bassin de Tarik qui claque contre ses fesses.
"- Oui ! Oui ! Défonce-moi ! Baise-moi !"
Assis dans le couloir, avec une érection en béton que je n'ose même pas toucher, j'écoute ce mec que je connais à peine baiser ma femme. Je suis comme hypnotisé par le son et ses gémissements. Mais surtout, par ce rythme.
"- Oh tu te mets des doigts dans le cul en plus petite chienne", lance alors Tarik.
- Oh oui je suis une chienne. Je veux qu'on me baise tous les trous. Baise-moi le cul !"
La femme timide que je connaissais a pris confiance au fil de nos expériences. Si elle aimait toujours que ses amants donnent le rythme, il lui arrivait désormais, comme ici, de prendre l'initiative.
Les claquements s'arrêtent. Les gémissements se font plus étouffés.
"Oh qu'est-ce qu'il est serré ton cul, c'est trop bon. Oh je rentre doucement dans ton cul."
Aurélie lui répond par quelques gémissements. De plus en plus fort.
"Oh putain oui je suis trop bien dans ton cul petite chienne."
Je suis aussi excité que jaloux. Elle a longtemps eu du mal à me donner son anus. Mais pour ses amants, elle semble toujours partante. Et le rythme s'accélère. Elle hurle quasiment alors que j'entends à nouveau le bassin de Tarik qui claque contre elle.
"- Oh Oui ! Oh Oui !!! Démonte-moi le cul !
- Je vais jouir, t'es trop bonne !
- Jouis moi sur la gueule, je veux ton foutre dans la bouche."
Les claquements s'arrêtent net.
"Ohhhhhh oui !!! Tiens !!! Ohh."
Tarik est clairement en train de gicler sur le visage de ma femme. Mais je ne peux qu'imaginer. Je ne sais pas si j'aurais voulu l'image. Je crois que je suis encore plus excité comme ça, en imaginant.
"Nettoie-moi bien la bite. Oh oui, comme ça. Avale bien mon foutre. Oh c'est bon."
Silence. C'est terminé. Mais je ne sais pas quoi faire. Je n'ose pas entrer. Quelques murmures que je ne peux pas déchiffrer. Après quelques minutes, j'entends Tarik se relever, je pense qu'il se rhabille. La porte s'ouvre. Il me trouve assis comme un con par terre.
"Alors le cocu, ça t'a plu ? Elle était vraiment chaude ce soir."
Je hoche la tête. Je ne sais même pas si j'arrive à articuler quelque chose d'intelligible. Je bande toujours. Il se tourne vers l'intérieur de la chambre, que je ne vois pas.
"Merci ma petite coquine, à bientôt."
Je me suis relevé, Tarik s'en va. Je lui ouvre la porte et lui souhaite une bonne soirée, avant de revenir à la chambre. J'y trouve une Aurélie allongée sur le dos, exténuée. Je remarque que la capote qu'il a arraché avant de jouir est encore à côté d'elle sur le lit. Elle me fait un grand sourire et se mordille la lèvre, comme satisfaite de son coup.
"- Alors, ça t'a plu ?
- Beaucoup, mais pas autant qu'à toi on dirait ?
- C'était pas mal, même si je n'ai même pas eu le temps de jouir. Et toi, tu as joui ?
- Non. Je bandais comme un fou mais je n'ai pas osé me toucher.
- Et bah alors, il va falloir régler ça. Branle-toi et jouis sur mon ventre, ma bouche était juste pour lui ce soir."
Là encore, je vois à quel point elle a pris confiance en elle. Et ça m'excite.
Je sors mon sexe de mon pantalon. En trois ou quatre mouvements, c'est fait. J'envoie quelques giclées de sperme sur son joli ventre plat en haletant.
"C'est bien mon petit cocu. Maintenant file prendre une douche, moi j'ai besoin d'être seule avec mon vibro pour me faire jouir. Tu peux rester derrière la porte si ça te fait bander."
Je ne verrai décidément rien de son plaisir et de son excitation débordante ce soir-là.
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