Résister Ou Succomber ? Ma Deuxième Rencontre Avec Denis

Tentation : résister où succomber ? Expérience N°2 Bi avec Denis.
Après avoir résisté pendant 6 semaines, l’appel et l’invitation surprise de Denis me chamboule totalement, le fait d’entendre sa voix, me rend impuissant,… “Il y a deux tragédies dans la vie : l’une est de ne pas satisfaire son désir et l’autre de le satisfaire. ” Résister, succomber ‘’ ?
L’attrait d’une chose défendue, suscite l’envie et le désir. Et le désir d’être de nouveau pris par Denis est bien présent, je quitte mon bureau rapidement, je demande à mon assistante d’annuler l’ensemble des rendez-vous de l’après-midi et je prends la direction de Rouen, j’ai une heure de route pour rejoindre Denis.
Je suis dans un état indescriptible, nerveux, mais pas inquiet, je sais ce qui m’attends, je pense à ma promesse d’arrêter pour préserver mon couple, je pense à différentes choses dans le désordre :
- il m’a parlé de piscine, mais je n’ai pas de maillot.
- Marie qui m’achète des sex-toys pour me satisfaire et me faire plaisir.
- Marie qui m’encule régulièrement comme elle peut, et je vais encore lui mentir, la tromper avec un homme beaucoup plus âgé que moi.
- Marie est une jeune femme d’à peine 32 ans, c’est une beauté extraordinaire, ses beaux cheveux blonds, ses beaux yeux bleus, son corps de rêve, 1.73m, 55 kg elle a la taille mannequin, des petites fesses belles et rebondies, sont appétit sexuel,…
- Beaucoup d’hommes doivent rêver d’avoir une telle femme dans son lit.
Je culpabilise un instant, je me dis que ce n’est pas bien, que je dois faire demi-tour, Marie ne mérite pas cela et puis finalement je gamberge et je continue en pensant à ce qui m’attend.
Et puis j’arrive à Rouen, devant ce bel hôtel particulier du XVIe siècle, hôtel de grande classe avec voiturier qui prend ma voiture en charge, cela change radicalement du premier rendez-vous ou je me suis offert totalement nu sur un parking à routiers. Denis m’attends au bar avec un large sourire, très beau, très classe, malgré ses 52 ans passés, son regard me bloque, m’hypnotise, j’ai déjà envie de l’embrasser, je ne sais si je peux, s’il va apprécier avec l’assistance, mais j’ai trop envie, je l’embrasse, il est un peu gêné mais il apprécie.

Nous prenons un verre, Denis me dit que je lui ai beaucoup manqué, je lui explique mes états d’âmes, Marie que j’aime,…
Puis nous allons déjeuner, rapidement, nous avons des choses importantes à faire, je suis impatient et puis et puis,…
Une douche rapide dans cette suite, mais demande surprise et autoritaire de Denis :
- Lave-toi bien les fesses, y compris l’intérieur,…
- Euh, c’est-à-dire !!!
Il a pris la pomme de douche sèchement et l’a dévissé.
- Tu vois c’est simple, tu enfonces le tuyau et tu fais couler l’eau lentement, jusqu’au retour de l’eau claire, et s’il te plait, je veux ton cul très propre à chaque rencontre.
Je suis un peu surpris, vexé et même blessé, mais je m’exécute, je sors de la salle de bains hyper propre, il est étendu nu sur le grand lit de notre suite, il est beau, je distingue déjà son énorme sexe, il me demande de me tourner pour voir mes fesses, de m’approcher :
- montre-moi ton petit cul de salope,…
Il me caresse les fesse et je sens un doigt passer sur mon anus et tourner, tourner en pénétrant le plus loin possible.
- Tu as tellement envie d’avoir le cul défoncé que tu mouilles comme une fille ma salope,…
Et c’était vrai, malgré la douche, je mouille déjà, provoqué par l’excitation et la vue de son gros sexe.
Distribution de petites claques sur les fesses, et j’ai aimé.
- J’ai une surprise pour toi, petite pute,…
Denis me donne un paquet cadeau, je suis un peu surpris en l’ouvrant, c’est des sous-vêtements féminins, string, porte jarretelle en dentelle et soie et des bas.
Devant mon étonnement, il m’ordonne de les passer pour lui faire plaisir, j’ai quelques difficultés par manque d’habitude, cela m’agace car je suis pressé de me blottir dans ses bras, il y a peut-être un problème de taille, enfin j’arrive à satisfaire Denis, il me trouve très sexy, je me regarde dans la glace, c’est vrai, je ne suis pas ridicule, je suis plutôt à l’aise.
Nous nous allongeons sur le lit, Denis me parle beaucoup, plus calmement par rapport à la douche, il est de nouveau très charmant et attentionné, commence à me caresser, déjà je ne me contrôle plus, je me jette sur lui pour l’embrasser, il me calme légèrement, redevient très directif, ses caresses et ses mains me sont agréables, il me demande de me tourner, il embrasse mes fesses, joue avec la ficelle de mon string puis il m'embrasse de nouveau dans le cou, me suce l'oreille, me lèche les tétons, sa main effleure mon sexe, on s'embrasse, il prend sans cesse l'ascendant sur moi, se met sur moi, je suis vraiment sa chose, il bloque mes mains derrière la tête, il me passe des menottes, je sens son sexe contre moi bien dur, puis il se baisse, ses mains le long de mon torse, se glisse entre mes jambes, me caresse, je bande déjà, il entame une fellation, je gonfle petit à petit dans sa bouche.

Puis je glisse entre ses jambes, toujours les mains attachées derrière la tête, ce n’est pas facile, mais Denis ordonne, je me laisse totalement aller, je lèche son sexe, je lui demande de me détacher pour prendre son sexe en main, Denis se fâche, sort un fouet et une cravache, me demande de choisir, je ne dois pas désobéir, je lui demande :
- peut-être le fouet,…
Denis me fouette énergiquement, il me fait mal, je le regarde, je lui dis que c’est pour bien le sucer, Denis se fâche de nouveau et sentence immédiate : 5 coups de cravache, il me fait vraiment mal, je lui demande d’arrêter.
- Si nous arrêtons, tu peux partir,… me dit-il.
- Je ne comprends pas,…
- Je suis ton Maître, tu dois respecter les désirs de ton Maître,…
Je lui demande de faire une pause, que je ne souhaite pas arrêter, que j’ai besoin de lui, que j’ai un réel besoin de sa bite, que je ne peux m’en passer, mais que je n’aime pas quand il est violent et trop directif.
Denis me regarde tendrement et m’embrasse.
- Tu peux partir si c’est ce que tu veux,…
- Je n’ai pas dit que je voulais partir,…
- Tu aimes ma bite ? Tu mouilles comme une salope,…
- Oui, j’aime la bite, ta bite, ton gros sexe,…
- Alors, tu dois accepter mes règles, ou partir, tu es ok ?
- Euh,...
- Je n’ai pas entendu, tu veux être ma pute ?
- Oui, je souhaite être ta pute. !!!
- Je vais faire de toi une belle salope.
Après toutes ces émotions, nous nous câlinons, je respecte les consignes de mon « Maître », je caresse son sexe, je suis toujours impressionné par ce sexe, comment mon anus a pu absorber un tel engin lors de notre première rencontre, je commence par le branler, puis je le lèche pour enfin le mettre dans ma bouche, j'y vais de tout mon cœur, je suis heureux, je m'amuse avec son gland, je m'amuse comme un fou avec sa bite, Denis apprécie, je ne veux pas le décevoir. Je prends mon pied. Je le pompe comme Marie peut me le faire.

- Tu aimes ça, salope ?
- Oui j’aime ça.
- Tu es doué ma salope !!!
- Merci
- Tu me fais les meilleures pipes de toute ma vie, salope !!!

J’ai apprécié le compliment et je continue de pomper mon homme.
Denis redevient très directif. J’obéis, il exige que je reste les lèvres bien ouvertes afin qu’il me baise la bouche.
Il va et vient doucement. Il enfonce son membre au fond de ma gorge.
- Ça te plaît, petite pute ?
- Oui.
Il me demande de m’allonger. Là, les caresses reprennent, il s'allonge sur moi, me domine, je ne résiste même pas, il me demande de me mettre sur le ventre, je m'allonge sur le ventre, il s'allonge sur moi, me donne des petits coups de bassin me laissant présager la suite, me suce l'oreille, je sens sa chaleur contre moi, il prépare le « terrain », il passe de la vaseline entre mes fesses, il me dit de nouveau que je mouille comme une salope, je suis en feu, j’ai l’impression que mon cerveau est déconnecté, je suis dans un état second, il peut faire ce qu’il veut de moi, et je lui dit :
- Très bien, j’ai bien entendu, tu ne vas pas être déçu… me dit-il.
- Et plusieurs bites, tu veux ?
- Oui, je veux,…
- Tu les auras un jour, ma salope, j’ai beaucoup d’amis, c’est une promesse de ton Maître.
Il commence à me doigter doucement, il commence à me mettre un deuxième puis un troisième doigt, j’ai une sensation extraordinaire, décuplée par rapport à la première fois car les conditions n’étaient pas top.
Je ne peux dire ce que je ressens, c'est très agréable, Denis me demande d'écarter un peu les jambes, pour l’instant il est attentionné mais directif, il m'écarte un peu plus les jambes, il me caresse les fesses, je suis à lui. Enfin, il me pénètre doucement, je sens son gland entrer, mon anus s'ouvre, c'est peu douloureux, le travail régulier de Marie pendant six semaines avec ses sex-toys paye.
Je respire fort, il rentre en moi, je ne peux bouger, m'écarte un peu plus les jambes avec les siennes et commence les va-et-vient, je suis pris, il fait des petits mouvements, il va très doucement, le plaisir vient petit à petit, puis il me glisse des baisers dans le cou, me suce l'oreille, il adore faire ça.

Puis, il me fait changer de position, il me demande de me mettre à quatre pattes, il me pénètre de nouveau, mais c’est plus agréable (c'est rentré comme dans du beurre), la position est très excitante. Je me sens comme une chienne dans cette position, pour l’instant avec le peu d’expérience que j’ai, c’est ma position préférée.
Ses mains se baladent sur mes hanches, ses couilles tapent sur mes fesses, j’ai même envie qu'il me claque les fesses.
Je lui réclame une fessée. C’est le début d’une fessée magistrale. Je commence à ressentir des frissons le long du dos, une chaleur monte à moi, le rythme s’accélère, il me défonce littéralement, en me traitant de petite pute, de salope qui aime sa bite
- Tu aimerais sucer une autre bite en même temps salope ?
J’étais dans mon délire et tout à mon plaisir.
- Si tu veux, même plusieurs, j’aime trop la bite,…
- Je te promets que tu auras d’autres bites, tu en veux vraiment ?
- Oui, j’adore,…
Cela dure un moment, un long moment, je sens ses 22 cm en moi, je réalise que j’ai énormément de chance d’être aussi profondément pénétré, les sex-toys de Marie n’ont rien à voir, je suis sa chienne dans cette position, le rythme s’accélère encore, Denis devient très violent et brutal, il alterne les fessées, il devient très bestial, encore plus violent il me démonte le cul, il accélère de plus en plus, il continue les fessées, il me fait mal, très mal, mais, je ne cesse de gémir, je m'abandonne totalement à ses coups de butoir, il ne s'arrête pas, il continue, je transpire, je pense que c'est ce qu'on appelle un orgasme, je suis en pleine extase, je ressens des spasmes dans le dos, je suis ailleurs.
- Ça te plaît, salope ?
- Oooh oui. !!!
- Tu aimes la bite ?
- J’adore
- Dis-moi que tu veux que je te fasse mal, petite pute.
- Fais-moi mal Denis, j’en ai envie !
Il me démonte toujours le cul, il accélère encore, il pousse des râles de plaisir, il gémit, je sens son jus chaud dans mon cul, plusieurs petits jets, et puis il se retire rapidement en m’ordonnant de lui nettoyer son sexe avec ma bouche, j'avale tout ce que je peux, un peu de son sperme, je le lèche goulument, l’odeur n’est pas très agréable et pas définissable et on s'arrête là.
Je m'allonge contre lui, on reste un moment comme ça sans rien dire sur le lit, je m’aperçois que je me suis éjaculé dessus. Comme la première fois, je n'ai jamais pris autant de plaisir avec une femme, Denis m’envoie dans l’espace à chaque sodomie. Il me caresse les fesses et joue avec ma petite rondelle meurtrie.
Nous restons allongé à parler, de Marie, il veut la voir en photo, je lui montre des photos de Marie habillée, il la trouve très belle, il me demande d’autres photos d’elle plus dénudées, j’hésite, mais Denis insiste, il me promet le fouet, je lui montre des photos de Marie plus hard.
- C’est une belle petite poupée !!!
- Oui, c’est une belle femme,…
- Et elle baise bien en plus ?
- Oui, elle adore ça,…
Denis me conseille de lui parler de notre relation, d’après ma description, elle est très ouverte à la discussion, elle a compris que j’ai besoin d’être sodomisé, elle doit pouvoir comprendre me dit-il.
Puis je demande l’autorisation de retirer mes bas et mon porte jarretelle pour aller prendre une douche, le string a été ôter pendant la bataille certainement, Denis se charge de me retirer mes accessoires, et me recommande un nettoyage complet en retirant la pomme de douche.
Puis nous enfilons un peignoir, je suis nu en dessous, Denis ayant prévu lui un maillot de bain, nous descendons au R-1, pour rejoindre l’espace piscine, sauna, jacuzzi et hammam, nous croisons deux couples avec des grandes différences d’âges entre les deux messieurs et les deux jeunes femmes, la piscine à la particularité d’être visible depuis le bar à l’étage supérieur.
Denis plonge et me demande de le rejoindre, un couple croisé tout à l’heure est revenu, je suis gêné, mais je laisse glisser le peignoir et je plonge nu rapidement, pour me venger, je rejoins Denis pour l’embrasser, il est surpris, mais finalement joue le jeu, nous nous amusons comme des fous, Denis enlève le maillot également, et le couple nous rejoint également dans la piscine. Nous les croiserons au jacuzzi et ensuite au sauna, c’est une agréable compagnie qui nous prive de quelques câlins.
Nous remontons dans notre suite, et deuxième mi-temps tout aussi riche en émotions. Denis apprécie mes gâteries, je suce d’après lui divinement bien, puis deuxième démontage de cul de l’après-midi, sans beaucoup lubrifier dans différentes positions à la demande de Denis. A chaque fois je m’exécute.
Mais c’est la levrette que je préfère, il me démonte littéralement le cul, ce n’est pas possible, il pousse des râles de plaisir, il gémit de plus en plus fort comme un animal, il est brutal, je sers les dents, j’encaisse sa brutalité sans broncher, en fait je suis ailleurs, Denis me transporte sur une autre planète, je n’ai jamais ressenti cela avec ma femme, il gémit encore plus fort en me donnant des fessées et en me traitant de salope et puis, il se retire avant d'éjaculer, on s'allonge l'un contre l'autre, je me glisse entre ses jambes, je le suce, je veux le sentir jouir en moi, je ne me contrôle plus
Je fais de long va-et-vient, il ne tarde pas à venir, il me dit d'arrêter, je le regarde, il gémit, et je sens son jus chaud dans ma bouche, plusieurs petits jets, j'avale tout ce que je peux.
Ce n’est pas désagréable, cette texture chaude et gluante amère et un peu salée, c’est une saveur sèche, qui se sent au fond de la gorge, je suis fier de tout avaler, je suis sa salope.
- Tu aimes ça, salope ?
- J’adore,…
- Je vais te faire gouter d’autres bites, ma salope !!!
- Si tu veux,…
- J’ai des amis qui aiment les avaleuses de sperme, tu vas pouvoir gouter leur caviar très rapidement !!!
- Maintenant ?
Je suis sur une autre planète, et je raconte n’importe quoi, mais Denis est sérieux, il me parle d’un ami d’un club, Claude-Yves, qui a environ 60, 62 ans, à qui je pourrai faire du bien, il n’a plus de relation avec sa femme.
- Tu n’es pas sérieux ?
- Si au contraire,…
- Ben voyons Denis, je n’ai pas envie d’un autre homme !!!
- Quand tu as ma bite dans le cul, ce n’est pas ce que tu dis !!!
- C’est vrai, mais… Claude-Yves à l’âge de mon père !!!
- Et alors, tu dois me faire plaisir, c’est à toi de voir.
Le temps passe vite avec Denis, et je dois partir très vite, mais Denis me donne des ordres, il souhaite d’autres photos de Marie plus hard, c’est-à-dire, son anatomie après un rapport après une sodomie, son visage en cours de fellation.
Mais à cette époque, pas de numérique, nous étions au bon temps de l’argentique avec développement obligatoire chez notre photographe qui prenait un malin plaisir à bien vérifier avec moi que c’était bien mes photos qu’il me remettait, avec un petit sourire vicieux car Marie aime beaucoup poser pour les photos.
Puis Denis me prodigue encore quelques recommandations par rapport à Marie.
Il souhaite me voir au moins dans deux semaines et si possible avec la présence de Claude-Yves en spectateur si nous arrivons à faire conjuguer nos emplois du temps. Je lui fais part de mon désaccord, mais il me dit que je devrais apprécier !!!
Je repars de Rouen vers mon domicile, je suis heureux, comblé, troublé par l’idée de Denis d’inviter Claude-Yves, inquiet du retour à la maison et du regard de Marie.
Mon « le Trou de Balle » est douloureux. Le retour à la maison est aussi compliqué que la première fois, j’évite Marie pour la douche, car les fessées ont marqué mes fesses. Marie me trouve bizarre, elle pense que je suis malade.
Les jours suivants, je me dis que je ne dois pas revoir Denis, maux de ventre et douleurs anales, me rappelle la brutalité de Denis, je pense que je risque de ruiner mon couple !!!! Que j’ai une épouse formidable, qui m’aime.
Et puis après quelques jours, Denis commence à me manquer, enfin les relations avec Denis, puis j’ai de nouveau parlé à Marie de mes fantasmes, de mes besoin de sodomie, que j’aimerai éventuellement gouter à cette pratique qu’elle appréciait tant. Chaque jour, nous discutons de cela.
Et puis un soir je lui avoue converser sur le Minitel avec un homme divorcé beaucoup plus âgé que moi, 18 années de différence, que celui-ci souhaite me rencontrer.
Marie fut surprise, et un peu fâchée, nous discutons, mais elle a beaucoup appréciée ma « franchise ». Sa réaction est surprenante, préférant que je rencontre un homme qu’une femme qu’elle n’accepterait pas.
Et finalement Marie trouve cela encourageant et bien pour moi, cette différence d’âge, et qu’une rencontre n’avait rien d’engageant, qu’il avait peu de chance que cela aille plus loin et même pourquoi pas avoir une petite aventure pour me permette de gouter et réaliser mon fantasme.
Après cette surprise, je me sens mieux, je continue de mentir, mais j’ai amorcé une partie de la vérité. Je suis plus à l’aise sexuellement avec Marie, je prends de nouveau beaucoup de plaisir avec elle, Marie continue de s’occuper de ma petite rondelle, elle est étonnée de la facilité d’absorption de mon anus vis-à-vis de ses jouets, et pour cause, et elle décide de tester avec un concombre, Marie est douée pour m’enculer.
Nous convenons avec Marie d’une date pour que je contacte Denis afin de lui fixer un rendez-vous. Dès le lendemain je contacte Denis, je l’informe sur la réaction positive de Marie, mais la date ne convient pas à Denis, car il doit encore patienter deux semaines et c’est un samedi.
• - Tu me manques petite salope, j’ai très envie de ton cul !!!
• - Toi aussi, tu me manques, mais ce n’est pas possible avant
• - Tu peux venir demain après-midi à Deauville ?
• - Non, enfin je ne sais pas, peut-être,…
• - Je contacte Claude-Yves, si c’est possible pour lui.
• - Non, je ne veux pas Denis, franchement !!!
• - Tu vas voir tu vas aimer ma petite pute.
• - Non Denis !!!
• - Tu vas voir, Denis est un riche industriel, très généreux.
• - Mais voyons !!!
• - Je veux que tu sois ma pute !!! Tu veux être ma pute ???
• - Oui, je le veux, mais pas comme cela.
• - Et puis vis-à-vis de Marie, cela me gêne.
• - Ne t’inquiète pas.
• - Si je m’inquiète et je ne suis peut-être pas disponible
• - A toi de choisir, mais je ne peux encore attendre deux semaines, et je vais passer à autre chose.
Denis raccroche subitement, je me dis que finalement c’est mieux comme cela, que je ne peux accepter sa proposition et puis que je ne peux encore plus trahir Marie.
Quelques heures plus tard, le téléphone sonne sur ma ligne directe au bureau, je décroche :
• - C'est moi Denis, je te dérange ?
• - Non Denis.
• - Donc rendez-vous demain 12h00 à l’hôtel « Le Normandy » à Deauville.
• - Non, ce n’est pas possible.
• - Tu as tort, Claude-Yves organise tout, il est charmant, il se fait un plaisir de te rencontrer.
• - Denis, franchement, c’est difficile pour moi.
• - Viens, tu verras sur place, tu sais c’est un palace, tu vas apprécier
• - Heu,… Je vais m’arranger,…
• - Je te remercie ma petite salope, je suis persuadé que cela va bien se passer
• - J’espère, mais Claude-Yves est uniquement spectateur ? Promis Denis ?
• - Je vous laisse gérer cela ensemble en fonction de vos envies.
• - Je peux confirmer la date du 4 mai pour Marie ?
• - Bien sûr au contraire, confirme pour Marie
Vais-je aller à Deauville ou bien rester sagement au bureau ?
En fonction du retour et des commentaires à ce deuxième récit, je peux continuer à vous raconter trente années de libertinage, de bisexualité, d’aventures candaulistes et triolistes.

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