Mariage Kabyle (6)
La « Grotte » du Plaisir
Jai sans doute sucé des centaines de bites dans ma vie, mais si la testostérone et les phéromones étaient toujours présentes, beaucoup dévoilaient un goût différent, propre à chaque individu sans doute, les blonds ne dégageaient les mêmes saveurs que les bruns, ou les arabes que les blacks. Les odeurs corporelles différent selon chaque être humain, question de gênes, de mélanome ou de nourriture daprès ce que lon mavait dit quelquefois.
En tous les cas, je me délectais de Kamel, en tant que véritable femelle, ses fortes odeurs masculines me comblaient. Une petite précision toutefois, je ne suis absolument pas, ni uro, ni scato, ni adepte de quiconque, pas lavé depuis plusieurs jours. Mais jaime cette saveur du sexe qui a mariné depuis la douche du matin, comprimé pendant une journée dans son slip ou son boxer, imprégnant le tissu et ses poils de toute sa virilité. Mâle, oui, pisse
. Ça me fait gerber.
Il prenait un plaisir extrême avec ma bouche qui absorbait son mat. Je le sentais tiraillé entre son instinct de dominant qui voulait senfoncer encore plus fort, plus profond, et un certain respect qui freinait sa puissance. Pour vaincre sa réserve, jappuyais sur ses fesses bien fermes et revêtue dun duvet si doux, quil sest lâché complètement.
Hmmmmmm
Je tétais encore du zob
Quel bonheur
Cette magnifique queue dans ma bouche avait fait fi des scrupules que je pouvais encore avoir vis-à-vis dOmar, et comme il me lavait dit à juste titre, je devais en profiter, jaimais trop la bite.
Comme tout jeune en manque, il na pas tardé à se libérer, à répandre son délicieux nectar au fond de ma gorge, ses couilles montaient et descendaient au fur et à mesure de la puissance de ses jets dont je me délectais jusquà la dernière goutte, nen laissant rien échapper, bien trop précieux pour ça.
Un petit instant pour reprendre nos esprits quand même, puis, presque sauvagement il a enlevé le faible rempart de tissu qui me recouvrait pour mettre à nu lobjet de toute sa convoitise.
« Jai trop envie de te prendre Marc, te défoncer, me vider en toi encore et encore, ça mest pas arrivé depuis tellement si longtemps
!!! »
« Mais pourquoi Kamel ? Tu es super beau mec
Tu peux avoir qui tu veux
!!! »
« Pas autant que tu penses
Je préfère niquer des mecs, mais la plupart refusent et fuient devant la taille de mon engin
Comme Omar
!!! » Avec un clin dil.
« Quels cons
!!! Cest si bon quand cest super gros
!!! »
« Je sais, mais Omar a du te le dire aussi, les passifs ici ont souvent peur des très grosses bites, sauf les « fofolles » qui se font sauter par nimporte qui, et ce nest pas vraiment mon truc. » Les mêmes mots que ceux dOmar.
En lécoutant, je caressais ce morceau de chair, à la peau plus douce que de la soie ou du velours, cette toison si dense et embaumante qui lentourait, les légères griffures de mes ongles un peu longs, nont pas tardé à lui redonner toute sa vigueur.
« Ne le prends pas mal, Marc, mais jadore ton côté sensuel et si salope à la fois. On voit que tu vénères la bite et que tu sais lui prodiguer un plaisir extrême. »
« On contraire
Jaime autant les câlins que de me faire défoncer comme une véritable Kahba
Une vraie femelle, cest pour donner du plaisir aux hommes, cest la nature, non ? Et cest si bon
!!! »
Il ne lui a pas fallu très longtemps pour effleurer les lèvres de ma grotte et me prendre à la fois puissamment, sauvagement, avec toutefois une attention extrême pour mon plaisir, jusquà ce que je le sente entièrement dans moi, ses bourses volumineuses épousant mes fesses. Son esprit de mâle était celui de la possession totale, forte et virile, mais sa mentalité Kabyle, tout son être cherchait aussi le partage du désir. Il ne se sentait pleinement assouvi que si MOI, je létais aussi.
Trois heures passées ensemble dans une entente parfaite, où le sexe puissant alternait avec des caresses, des baisers, des fous rires, des grignotages de petits gâteaux quil avait amenés avec lui.
Omar me satisfaisait pleinement, certes, mais Kamel mapportait autre chose, de complémentaire, que javais bien du mal à définir. Je me sentais très bien dans ses bras, tout contre lui, à lui. Cétait différent, jéprouvais un sentiment de bien-être, pas le même mais qui me comblait tout autant, dune autre manière, malgré ses 20 ans de moins que moi, ce dont il se foutait complètement, dailleurs.
Laprès midi était quand même fort avancé, lorsquil nous sommes sortis de notre tanière, rafraîchis par leau quil avait amené et mes lingettes qui ne me quittaient pas.
« Dis-moi Marc, tu vas te faire sauter par tous les mecs du village ? » Sourire en coin.
« Un peu nombreux quand même, non ? » Avec le même sourire
!!!
« Beaucoup en auraient envie, je crois
!!! »
« Tu as raison Kamel
. Tu sais ce que tu vas faire ? »
« Non, dis-moi
»
« Tu vois la maison un peu isolée à la sortie du village
Et bien tu vas y installer une lanterne rouge, comme ça, tous les hommes sauront que cest le bordel et que la pute est disponible
!!! »
Il est resté interloqué par ma réponse, et quand il vu mon éclat de rire, il a suivi mon hilarité, comprenant par là-même que je plaisantais.
« Omar et toi me suffisent amplement, même si je ne sais pas trop comment me dépatouiller entre vous deux, je suis incapable de choisir. »
« Tu nen a pas besoin. Cest mon cousin, sa mère était la sur de mon grand-père. On est proches tous les deux, et il a très vite compris que je voulais coucher avec toi aussi. »
« Et il a dit quoi ? »
« Que si Toi tu étais daccord, cétait sa seule condition, alors il serait pas jaloux
Il adore le sexe tout autant que toi et moi »
Ça me rassurait quand même
Du coup, je navais plus limpression davoir « trompé » Omar et ça me redonnait envie de coucher encore avec Kamel. Nous avons rejoint les autres pour nous affairer à la table du repas.
Jai déambulé parmi toutes les personnes présentes, des deux familles, où les femmes étaient présentes aussi, la plupart revêtues de vêtements européens, mais avec néanmoins une touche Kabyle, un foulard, une ceinture, un bijou ou autre. Toutes plus belles les une que les autres
Mais
Intouchables
Donc, immense frustration de ces hommes au sang si chaud
!!!
Jévitais quand même de mapprocher trop de Kamel, nayant pas trop confiance en mes hormones, ni en les siennes dailleurs quand Réda sest approché de moi :
« Alors Tonton, tu es content dêtre avec nous ? »
« Daprès toi mon Réda
!!! »
« Tu as fait lunanimité de ma famille, tout le monde tadore
Surtout Omar, et Kamel aussi je crois, non ? »
« Ça me fait super plaisir et je ne saurais jamais te remercier de ce si beau cadeau
» En rougissant comme une tomate hyper mure.
« Tu sais que ton visa est valable un mois, même si je dois rentrer en France la semaine prochaine, tu peux rester passer les quinze derniers jours ici si tu veux. »
« Mais mon billet de retour est déjà réservé et je peux pas le modifier. »
« Tinquiète Tonton, on a des potes chez Aigle Azur et on va changer ça si tu le souhaites. »
« Pourquoi pas, jai rien de prévu au retour
Mais je vais rester où ? »
« Tu crois pas quOmar ne demande que ça ? Kamel aussi dailleurs, il reste là tout lété et après, il rentrera chez lui, à Tizi. »
« Cest bien tentant tout ça mon Réda
!!! » Avec un immense sourire
!!!
« Cest arrangé alors
. On sen occupe
Je crois que Kamel veut te parler. »
Et jai vu cette merveille de beau mec sapprocher de moi, une fois que Réda se soit éloigné de moi.
« Marc, je viens davoir un coup de fil dOmar, il ne pourra pas rentrer ce soir, problème dans une ferme.
« Merde alors
. Je vais faire comment ? Je vais voir avec Réda pour dormir chez eux »
« Pas la peine, il ma dit que tu pouvais aller chez lui et que je reste avec toi pour que tu ne sois pas seul. »
Je me suis senti soulagé, car même si laccueil de la « tribu » avait été plus que convivial, je me voyais mal quémander une hospitalité quelconque. Rasséréné, jai continué à participer allègrement à la soirée, me gavant de cette si bonne nourriture, si simple, et dont la description serait par trop « superfétatoire ».
A une heure quand même avancée, Kamel est venu me récupérer pour me conduire chez Omar. Cest en constatant limmense barre entre ses cuisses, que jai réalisé que le sommeil nallait pas être pour tout de suite, ce qui, finalement, me ravissait totalement. Toutes ces odeurs de mecs avaient réveillé les sens de ma chatte, que je sentais shumidifier, surtout quand Kamel ma pris par la main.
« Tu sais, Omar risque de rentrer dans la nuit
»
« Et alors, son lit est assez grand pour trois, non ? »
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