Karine Et Le Plaisir De La Soumission 1
CHAPITRE 1 : La découverte de ma sexualité.
Je mappelle Karine, je viens davoir 18 ans en mars dernier. Je suis châtain très clair, et certains mecs en profitent quand je fais une erreur en cours pour mexcuser devant le prof en prétextant que je suis blonde, ce qui a le don de me mettre en rogne. Surtout que cest la lutte continuelle avec ma meilleure amie pour savoir laquelle des deux finira lannée scolaire première ou deuxième de notre classe de première. Elle est blonde, elle aussi, alors la bêtise des blondes, ras le bol. Si cest pour nous draguer, cest lourd, mais honnêtement je sais que je vais avoir droit à ce genre de vanne pendant encore un bon moment : 1.65m pour 52 kg, un gros 85 B ou un petit 85C suivant la marque de lingerie, des yeux gris bleu, un visage plutôt agréable, voire très agréable
bref ce que les mecs appellent dans leur discussion de male, un « petit canon », alors je vais devoir supporter ces réflexions avec philosophie.
Heureusement jai un copain depuis 2 ans, Hugo. Je lai choisi plutôt beau et musclé, il a déjà 19 ans, il est en terminale et jen suis folle. Dès que nous sommes hors du lycée, on est collé lun à lautre à sembrasser. Il ma appris à mettre la langue, mais je suis un peu coincée. Je suis vierge, la vraie pucelle, celle qui a une sainte trouille quun geste malheureux détruise ce « précieux trésor ». Même moi, en lécrivant je me rends compte du ridicule de mes propos : en fait jai surtout peur, jai une envie terrible quHugo me demande de faire lamour : je sais que je dirai NON, je me trouve trop jeune pour mengager avec un mec, mais jen ai tellement envie.
Alors on se contente de se rouler des pelles, et de se caresser. Je laisse Hugo mettre ses mains sous mon teeshirt. Quelques fois, il glisse ses doigts sous mon soutien-gorge pour jouer avec mes seins et pincer mes tétons : quand je ralle quon pourrait nous voir, il répond que mes seins deviennent tout dur et que mes tétons sallongent et grossissent.
Avec le printemps qui montre le bout de son nez, le soleil et la chaleur sont de retour. Jai envie de bronzer mais avec ma peau de blonde, je dois me couvrir de crème pour éviter les coups de soleil. Avec ma copine, je me suis acheté un bikini superbe, mais je nose pas le mettre en public. Cest tellement réduit que même si on ne peut rien voir, jai limpression quon peut tout deviner. Jai gaspillé de largent.
Il faudrait que je trouve un endroit pour bronzer sans être vue. Ma cour, impossible. Les fils des voisins se rinceraient trop facilement lil. Le parc aquatique communal, ce nest pas mieux. Tous les ados viennent draguer les minettes en maillot 2 pièces. Jai lidée de regarder sur Internet. Avec le portail de lIGN, on a accès à des photos aériennes, et je me dis quil doit être possible de trouver un endroit discret le long de la rivière pour bronzer tranquille. En grossissant au maximum, il est presque impossible de voir le ruisseau. Il y a juste un endroit possible, mais cest plutôt loin, donc bien pour le bronzage incognito. Le ruisseau na pas beaucoup de débit, car la Commune a fait construire un petit barrage en amont de la ville pour aménager le parc aquatique, mais si je peux tremper mes pieds et bronzer je serai heureuse.
Jai mis mon jogging et mes sous-vêtements de sports, un sac à dos contenant deux bouteilles deau, des biscuits et une barre énergisante. Et en avant, la recherche de mon havre de paix peut commencer. Au bout dune trentaine de minutes au petit trot, je suis arrivé à côté du ruisseau, mais impossible daccéder à la rive à cause des buissons. Après 10 bonnes minutes à essayer toutes les traces possibles, je finis par remarquer un semblant de sentier de pécheur qui va dans la bonne direction, et
jai trouvé
le Paradis, littéralement.
Tout semble parfait, mais je voudrais vérifier lautre côté du ruisseau. Nentendant aucun bruit, je me décide à enlever mon jogging et mes sous-vêtements pour nager vers lautre rive. Un sentier est aussi à labandon, mais je veux la certitude de ne pas être surprise en petite tenue par un voyeur. Etant toute nue, je parcours avec précautions la trace pendant une dizaine de minutes. Dans lexcitation dêtre nue, jai totalement perdue la notion du temps et de la distance. Jai peur dêtre vue, mais jadore ce risque. Je suis arrivée à une voie de chemin de fer : chose totalement incongrue au milieu de nulle part. Je regarde à droite, la voie sarrête sur des butoirs. Je remonte la voie vers la gauche jusquà une courbe à une cinquantaine de mètres. Au sortir du virage, je me retrouve au début des quais de la gare de ma ville. Nayant jamais pris le train, je ne peux pas croire que cette gare ai jamais été en activité. Elle est à labandon. Excitée comme une puce, je monte sur le quai et me dirige vers lancienne porte. Etre nue me fait frissonner. Je sens mon minou être de plus en plus humide, jai envie de me masturber. Je cherche un endroit tranquille pour me caresser, et au moment où jallais regarder par louverture, jentends arriver un bus.
- « Que fais-tu par-là, jolie demoiselle ? »
- « Je me promène Monsieur » répondis-je encore un peu effrayée
- « Tu te promènes toute nue, cela me parait normal avec cette chaleur » ironise-t-il avec un grand éclat de rire.
Je rougis paniquée, mais je ne ressers pas les cuisses pour autant. Mon exhibition me rend folle de plaisir.
- « Jétais au bord du ruisseau pour bronzer quand jai entendu un bruit bizarre, jai traversé le ruisseau à la nage et jai cherché la signification du bruit que javais entendu. Je pense que cétait le train qui arrivait. Je peux repartir maintenant Monsieur ? sil vous plait Monsieur ? »
- « Tu naimes pas notre compagnie ? »
- « Si bien sûr Monsieur, mais je suis toute nue, et ça me gêne un peu. »
- « Tu ne me parais pas trop gênée pourtant. Le train ne part que dans 5 minutes, tu ne veux pas rester nous tenir compagnie jusquau départ ? Tu es superbe toute nue, tu sais ! Je peux toucher tes seins ils ont lair bien fermes. »
- Terrorisée, « Mais doucement, ne me faites pas de mal. »
Lhomme se rapproche, met sa main en forme de conque, et commence à caresser mes seins. Il sattarde sur mes tétons, les fait rouler entre 2 doigts puis caresse le mamelon. Il fait cela sur mes 2 seins de façon symétrique, mais quand il sent mes tétons durcir et sallonger sous les caresses, une de ses mains quitte mon sein et descend sur mon ventre vers mon minou. Au lieu de serrer les cuisses pour interdire laccès à mon intimité, jai le réflexe inverse : jouvre encore plus les jambes, et mon bassin va au-devant de lattouchement. Il me caresse toute la surface de mon petit abricot, et au deuxième passage, reste sur mon bouton qui pointe déjà, impudique. Lorgasme est déjà là. Je me fais tripoter par 2 inconnus qui mont fait jouir en moins de 2 minutes. Le deuxième homme profite des spasmes de mon plaisir pour reprendre la caresse du sein délaissé par son collègue. Je ne comprends pas mon attitude : jagis comme une chienne en chaleur. Au lieu de fuir, je reste plantée là, à attendre les caresses de 2 vieux dau moins 40 ans chacun. Mais ils me caressent si bien. Instinctivement, quand la main du premier revient caresser mon minou, jécarte encore plus les cuisses et pousse mon bassin en avant pour moffrir à la caresse, pour quelle soit plus forte, plus dure sur mon bouton. Jai limpression que mon vagin se liquéfie. Le deuxième homme prend ma main et la glisse dans son pantalon ouvert. Il a déjà ouvert sa braguette. Je sens son sexe dans la paume de ma main. Je veux retirer ma main, il la retient, et la pose sur sa verge. Il ne dit rien, il attend. Alors, troublée par le membre entre mes doigts, je commence un lent va-et-vient avec ma main. Jespère quil va jouir rapidement. Je masturbe maintenant les 2 types et eux me caressent le minou et les seins. Lun deux commence à bouger. Il change de position, il cherche à se mettre entre mes cuisses. Je comprends immédiatement ses intentions. Je le dis :
- « Sil vous plait, je suis encore vierge, jai envie de vous faire une fellation, mais ne me prenez pas sil vous plait. »
Sans attendre quil finisse son mouvement, je me redresse et prend son sexe en bouche.
- « Si tu préfères pas de problème pour moi. Tu es majeur au moins ? Tu as quel âge ?»
- « 18 ans Monsieur pas de problème »
Lautre approche sa bite délaissée de ma bouche. Je commence une double fellation. Cest la première fois, jadore. Je sens une boule dans le creux de mon ventre. Je vais encore avoir un orgasme. Ils risquent de se méprendre sur ma jouissance.
Lhomme qui voulait me prendre se tétanise, gémis et décharge sa semence en enfonçant sa verge dans ma bouche. Je suis obligé davaler son sperme. Je le regarde dans les yeux. Et introduit le sexe de son collègue dans ma bouche. Il saccroupit près de moi et me caresse un sein. Je prends sa main pour la reposer sur mon sexe et je continue la masturbation que javais interrompue. Voyant son hésitation, Je lui dis « faite moi jouir sil vous plait Monsieur ». Le fait de dire Monsieur me fait frissonner de plaisir : je me soumets à la volonté de cet inconnu, et jaime mon avilissement. Jentends un coup de sifflet. Celui de je suce explose dans ma bouche. Javale tout et leur nettoie bien le gland avant de la lâcher il dit « Cest lheure, il faut partir. » Lautre continue de jouer avec les lèvres de ma vulve et mon bouton, je reste les cuisses ouvertes, face à lui, le regard dans ses yeux, soumise, et il me dit alors :
- « Dépêche-toi de venir petite salope je dois men aller. »
Le fait de me traiter de salope provoque lexplosion de mon orgasme. Je crie mon plaisir sans retenue. Il a raison, je viens de me comporter comme une salope. Je le remercie. Lhomme me dit
- « cest bien tu suces divinement, tu peux revenir quand tu veux ».
Il a remis sa bite dans son pantalon et se met à courir vers lautre bout du train. Il grimpe dans le wagon de tête, et le train commence à séloigner. Jai encore le gout du sperme de ces hommes sur la langue. Je ne sais pas si je dois être fier de les avoir sucés ou si je dois avoir honte de mêtre conduite en petite salope exhibitionniste. Probablement les deux.
Je reste accroupie, assise sur le ballast, avec des mouvements de déglutition : Javale tranquillement le sperme qui reste dans ma bouche. Jaime le gout. Puis, effrayée je regarde si une personne peut me voir nue au milieu de la voie, rien ne me cache, je suis totalement exposée. Machinalement, je mets ma main entre mes cuisses, et je sens un orgasme arriver, dévastateur. Je gémis et tremble de plaisir. Remise de ce flot de plaisir, je cherche vers lentrée de la gare, il ny a plus personne. Je suis seule, la bouche visqueuse du sperme de ces hommes, le vagin trempé et béant, attendant quelquun pour me faire lamour, un homme qui ne viendra pas cet après-midi.
Tant pis pour les horaires de train, je ne suis pas état, je retourne à la clairière. Le gout du sperme dans ma bouche est toujours là, agréable, mais il me rappelle mon attitude. Jai honte
pourtant la boule au creux de mon ventre me rappelle que jai aimé cela, que je suis faite pour cela, pour avoir du plaisir.
Je me baigne, je narrive pas à sortir de leau, je me caresse encore et jai un nouvel orgasme. Je mallonge sur lherbe, sur le dos, les jambes bien écartées, le sexe offert au soleil, ou à celui qui voudrait me prendre maintenant, gorgée de plaisir. Je ferme les yeux et je mendors, épuisée par les émotions de ma première véritable relation sexuelle.
Je me réveille une bonne heure après, toujours seule. Je me dirige lentement vers le sentier. Javance jusquà la partie de la forêt moins touffue, où les gens passent pour rentrer chez eux après avoir passé laprès-midi au parc aquatique. Je suis toujours nue, et le risque dêtre vue me donne des bouffées de chaleur dans le creux du ventre. Je rêve dune nouvelle rencontre comme celle du train. Je suis en plein délire. Japerçois 2 personnes au loin qui approchent, et au lieu de retourner me cacher, je maccroupie derrière un buisson, ma main caresse mon bouton lentement pour faire monter mon plaisir en douceur. Sils ne tournent pas la tête dans ma direction, ils ne me verront pas, mais si je fais le moindre bruit, le moindre soupir de plaisir, je ne pourrai rien faire pour me dissimuler : je suis allongée sur le dos, les jambes écartées, les genoux relevés et écartés, mon vagin béant et face au chemin quils empruntent. Ils vont passer à moins de 3 mètres de moi, trop tard pour bouger et me cacher. La honte absolue : ce sont 2 élèves de première de mon lycée. Je les croise tous les jours dans la cours. Je voulais mexhiber devant des inconnus, je suis en train de me masturber face à 2 personnes qui pourraient raconter à tout le lycée quils mont trouvé à poil en train de me masturber. Jai peur, mais je ne peux plus rien faire pour éviter le drame. Je reste les cuisses ouvertes mon minou exposé à leur regard sans faire de bruit.
Je ne comprends pas, ils nont pas détourné le regard, ils ne mont pas vu. Dautres personnes arrivent, je me mets à 4 pattes, et je me faufile de buisson en buisson jusquà la clairière. Je deviens folle, mexhiber devient une priorité. Je retourne dans leau pour me rafraichir et faire retomber la pression sexuelle qui moppresse. Je me demande ce qui ma prise. Moi, la fille timide, même prude, qui tient tant à son pucelage, et qui prends la bite dun inconnu dans sa bouche, et avale son sperme sans pudeur. Je crains le pire. Je fais nimporte quoi.
Je me rhabille en vitesse, et rentre à la maison en courant comme si javais le diable à mes trousses.
(à suivre)
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