Terma 105 : Mon Stage Pratique À La Ferme Agricole Pilote (4)
Jai passé une bonne nuit, malgré les évènement dhier soir et jétais debout à 8h, trop tard pour le petit déjeuner. Mais ce nétait pas important, Boubekeur men fera un bien plus important que celui des ouvriers. Effectivement, je lai trouvé assis à table, entrain de déguster le sien et je me suis servi avec lui. Il ma dit quil allait maintenant dormir jusquà 13h ou plus car il navait rien à faire sauf préparer laprès midi le diner des ouvriers du soir. Moi, javais quelques documents, dans les bureaux, à ajouter à mon rapport, mais ça pouvait attendre à tout à lheure. Jai rapproché ma chaise tout à coté de lui et jai allongé ma main vers sa braguette. Son zeb était mou, pas bandé mais toujours assez lourd pour mexciter et je lai caressé et branlé à travers le pantalon. Boubekeur continuait à manger mais son zeb réagissait et se gonflait. Très vite il sallongea et se durcit, alors jai ouvert sa braguette et je lai sorti. Il était déjà superbe, il a bondit assez vite à la verticale. Boubekeur, en souriant, me demanda si ma Terma me démangeait de bon matin, et jai répondu par un sourire complice que oui. Alors, il a reculé un peu sa chaise pour bien dégager son bas ventre vers moi, et me permettre de bien empoigner et branler son zeb. De plus, sa position ma permis de me baisser sur son zeb. Pendant un moment, je lai sucé, léché et branlé et cela a remonté mon excitation, ma Terma commençait à suer son désir et à me démanger sérieusement et je remuais du derrière dimpatience. Ensuite, je nai pas hésité, jai vite enlevé mon pantalon et sans slip, nu de la ceinture aux pieds, lui tournant le dos, jai enjambé ses cuisses mettant les miennes de chaque coté et, avec impatience et désir, je me suis assis sur son zeb et jai remué de la Terma.
Son zeb était presque debout, vertical, et rapidement mon anus a trouvé sa tête et la englouti avec avidité. Je me suis assis à fond et le zeb sest enfoncé et ma pénétré jusquaux couilles, me remplissant tellement bien avec jouissances que jai hurlé de contentement.
Puis, se chauffant et même se brulant de désir, ses coups de reins devinrent violents et rapides, ses mains puissants sur mes hanches et maintenant cétait lui qui guidait la sodomie. Il se soulevait même un peu pour senfoncer encore mieux en moi et ses coups de zeb, maintenant, me secouaient le corps. Je nétais plus maitre de la situation, jétais même assez étourdi de jouissances et sensations follement agréables. Il me dominait de son corps et de son zeb et mon cul brulait de plaisir, jétais ivre de sexe et ça a duré un bon moment. Quant,soudain il éjacula en puissance, une fois, puis deux et même trois fois, avec abondance, coups de reins violents et gémissements bruyants.
A la fin de ses trois grandes éjaculations, son zeb continuait à vibrer, à donner de petites secousses au fond de mon cul pour se vider des restes de son sperme, et ce furent aussi des sensations de jouissances pour moi. Cest ainsi que je suis resté longtemps, assis sur ses cuisses avec son zeb en moi, dautant plus quil me remplissait agréablement tous les coins et recoins de mon cul. Chaque fois que je bougeais un tant soit peu mon derrière, des ondes de jouissances minondaient de la Terma vers lensemble de mon corps. Ce nest quaprès un moment que ça sest calmé et cest lui qui ma repoussé pour me relever. Tant pis pour lui, son sperme suintait encore entre mes fesses mais coulait aussi vers ses cuisses et son pantalon. Moi, je me suis baissé pour happer son zeb et le sucer et lécher pour gouter les restes de son sperme et le nettoyer. Jétais debout, nu à partir de la ceinture, le sperme coulait toujours de mon cul sur le sol. Cétait sa faute, il y en avait beaucoup trop dans ses couilles, et jétais sûr quil était habitué à ces débordements sexuels dans sa cuisine. Ensuite je me suis nettoyé dans la cuisine même et jai enfin pu terminer mon petit déjeuner, les besoins de mon cul avaient pris, tout à lheure, la priorité contre les besoins de mon ventre. Boubakar sétait levé et a enlevé son pantalon pollué à la braguette, puis il est allé vers le fond, dans sa chambre, certainement pour se changer.
En marchant, je voyais son zeb qui se balançait à droite et à gauche car il sétait amolli un peu mais il était encore assez long et assez lourd de chair et de muscles pour me donner des frissons denvie rien quà le voir ainsi en mouvement érotique. Javais encore envie de niquer avec lui et tout de suite. Les démangeaisons agréables qui recommençaient dans ma Terma me disaient daller rejoindre Boubakar dans son lit pour toute la matinée, javais réellement du travail en retard et urgent dans les bureaux. Alors, je suis parti au travail pensant à ce soir où jespérais encore jouir de ce zeb dans le lit de Boubekeur. Mais mon esprit était toujours excité et il ma suggéré des fantasmes pour le plan de ce soir. Jai rêvé de faire jouir mon cul, ce soir, dabord à Si Larbi vers 20h ou 21h, juste pour une sodomie ou deux, puis le renvoyer. Ensuite, me nettoyer et à 23h, aller chez Boubakar et finir la nuit avec deux ou trois sodomies avec son gros zeb éjaculateur, avant de venir me coucher. Jai pensé que Terma était capable de se faire niquer par cinq fois, surtout avec le gros zeb du cuistot. Et si loccasion se présentait, jaccepterais de coucher, ensemble avec Boubekeur quant il recevra son autre copain et le laisser jouir de nos deux culs lun après lautre ou ensemble, lun à coté de lautre, je soumettrais ma proposition qui me fait déjà frétiller de lanus et me démanger du cul.
Durant la journée, jai pensé à mon idée de partager mon cul entre Si Larbi et Boubakar et 18h arrivée, jétais de plus en plus décidé. Effectivement, au diner, je me suis assis à coté de Si Larbi et son copain habituel. Jétais tellement excité et impatient que même son copain me trouvait bizarre ce soir. Jai dit que javais fait un bon rapport aujourdhui, je ne sais pas sil ma cru mais Si Larbi a comprit mon excitation dautant plus que je frottais ma cuisse et mon flan contre lui. Dès que nus ayons fini de manger, jai poussé Si Larbi vers chez moi. Son copain nous a accompagné, mais arrivés à la chambre, Si Larbi la renvoyé, prétextant une affaire privée avec moi et son copain sest éloigné.
Et juste au moment où je finissais et que jallais mettre mon pantalon, une silhouette sest encadrée dans ma porte. Jai cru que cétait Si Larbi qui revenait, mais en réalité cétait son copain habituel qui me regardait alors que javais encore le cul découvert. Je me suis retourné tout en recouvrant mon zeb par devant avec le pantalon et je lai apostrophé. Il rigolait et ma dit quil voulait la même chose que son ami. Je commençais à me fâcher, mais il a ajouté quil savait tout depuis toujours et que ce soir cétait Si Larbi qui lui avait offert la seconde sodomie dans mon cul et, détail important, une niquée face à face et non par derrière, car, parait-il, javais des crampes aux fesses. Ce détail massomma car seul Si Larbi savait cela donc il a bien offert mon cul au zeb de son copain pour ce soir. Jétais affolé, mais il ma dit de ne pas minquiéter car il allait me niquer vite et quil partira discrètement. Alors je lui ai dit de fermer la porte et jai jeté mon pantalon pour me découvrir, par devant à cet ami de Si Larbi. Il a descendu son pantalon et slip et a empoigné son zeb déjà bandé et gonflé. Il était pas mal, bien plus gros et plus long que celui de Si Larbi, mais moins important que celui de Boubakar. Je me suis couché dos au lit et jai levé mes jambes et cuisses. Il sest penché sur moi sans même enlever totalement son pantalon, juste son zeb bien debout horizontal et rapidement, il la enfoncé dans mon anus dont javais dégagé son espace en soulevant mes couilles et zeb sur mon bas ventre. Son long zeb me pénétra jusquà ses couilles bien profondément dans mon cul et mettant ses mains sur mes seins, il commença dabord par trois ou quatre vas et viens lents et attentifs, certainement pour adapter mon cul à son zeb. Voyant que son gros zeb écartait aisément les muscles de mon anus et quil glissait facilement à lintérieur de mon cul, lubrifié par les restes de sperme de son copain, il accéléra.
Ses vas et viens sont maintenant puissants par les coups violents de ses reins et rapides et nettement meilleurs que ceux de Si Larbi auparavant. Cest pourquoi, au bout dune dizaine, javais déjà des sensations de plaisir et un début de jouissances qui faisaient vibrer ma Terma et amplifiaient les excitations de tout mon corps. Il dansait avec son zeb dans ma Terma en se mouvant à droite et à gauche, puis de façon verticale et il savait y faire. Au bout de quelques minutes jétais déjà dans les vapeurs, étourdi de jouissance et je hurlais mon bonheur davoir rencontré et gouté ce zeb. Malheureusement, il ne resta pas longtemps et ses éjaculations arrivèrent rapidement. Le première, dun coup de rein vigoureux ma clouée au lit et jai hurlé à me faire entendre de lextérieur, la seconde et la troisième furent moins choquantes mais toujours abondantes et jai ressenti mes entrailles inondées de son jus brulant. Il se colla un peu à moi pour se vider puis il sortit son zeb. Jai crié de le laisser en moi et il mobéit, en me pénétrant de nouveau jusquaux couilles. Cela a eu un effet formidable, traduit par mon long gémissement de jouissances. Son sperme avait jailli un peu puis sest bloqué dans mon cul quant il ma bouché lanus avec son zeb. Il resta en moi jusquà ce que je lui dise de sortir son zeb et il mobéit.
Javais lintention de lui sucer et nettoyer le zeb mais je me sentais fatigué, épuisé, presque étourdi. Je lui ai tendu mon mouchoir mais il avait le sien avec le quel il commençait à se nettoyer le zeb puis il remonta ses slip et pantalon et réintégra son zeb dans sa cage. Il était debout, devant moi alors que jétais étalé sur le lit, jambes et cuisses écartées sur le lit et son sperme qui me polluait le drap et je ne bougeais pas. Il me demanda si je voulais une autre niquée toujours par devant mais javais répondu que jaurais besoin de lui dautres fois et aussi par derrière et il répondit quils seront toujours lui et son zeb à ma disposition, plutôt à celle de ma Terma. Jai ainsi découvert, après le grand Boubakar, un autre vrai niqueur, un vrai mâle viril au zeb puisant et adroit qui se cachait sous les traits de cet homme qui semblait timide, effacé presque invisible, et qui avait un trésor sexuel dans sa braguette. De la main je lui ai fait signe de partir et il a ouvert la porte et il est sorti en refermant derrière lui. Je suis resté un long moment ainsi, toujours choqué par cette sodomie surprise, inattendue mais pourtant si forte, si adroite et jouissante. Ensuite je me suis rappelé Boubakar et ma Terma a aussi répondu présente. Alors, je me suis redressé, nettoyé, lavé et même changé mon drap de lit, puis rhabillé jai constaté quil était déjà 22h passées.
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