Table De Sapin 17
Quel fut ma surprise de voir débarquer chez mes beaux-parents Marilyne, ma belle sur en tenue de policier. Dont la chemise moulait magnifiquement sa poitrine. Nos regards se sont accrochés, avant que je la prenne pour lappuyer contre le mur. Je nai pas pu empêché dans linstant, de poser mes lèvres sur les siennes. Sa tenue réglementaire en était pour beaucoup. Au point de me déchaîner sur les boutons de sa chemise, avant de lui dégrafer son soutien-gorge pour atteindre la chair tiède et ferme de ses seins. De son côté, elle nest pas restée inactif. Elle sétait saisi de la paire de menottes qui était accroché sagement à son ceinturon, pour les ouvrir. Jai sursauté quand elle ma passé une menotte autour de mon poignet droit. Et elle a tiré sur la courte chaînette pour mattirer jusquà derrière un tuyau de chauffage, au bas du mur. Une sensation étrange ma alors envahi en entendant le déclic de la deuxième menotte. Loin dêtre inquiet, jai éprouvé un profond plaisir à me retrouver à la merci de ma belle-sur. Connaissant parfaitement sa perversité, je savais quelle allait me mener jusquau plaisir. Cette seule pensée me fit gonfler ma verge.
Puis elle sest mise à me caresser. Alternant le doux, avec leffleurement sur mes cuisses, sur mon ventre, et le moins doux, avec de légères griffures sur ma peau de mon torse. Jétais aux anges.
- Cela te plaît ? Me fit-elle.
- Et comment que ça me plaît. Jétais loin de mattendre à ça quand tu mas demandé quon se rejoigne chez les vieux.
- Mais ce nest quun début. Ma-t-elle lancé, alors.
- Je suis preneur. Comme tu le sais, plus je jouir plus ça me va.
Elle sest redressée et a été ouvert le frigo, y sortant une bouteille deau plate.
- Tu as soif ? Me fit-elle.
- Oui de toi. Lui ai-je répondu.
- Sois patient. Je bois et je moccupe de toi.
Elle a porté le goulot de la bouteille à ses lèvres. Et par petites gorgées elle en a un bu un quart de litre.
- Tu veux entendre une confidence. Fit-elle en buvant une grande rasade deau.
- Je técoute.
- Tu ne peux pas savoir combien de fois je me suis branlé en imaginant que jurinais sur toi
voilà !
ma-t-elle dit dune voix très douce.
- Ah oui ! Et alors. Pourquoi me dire cela ?
Elle est restée muette quelques instants avant de prendre une nouvelle gorgée deau, puis de me dire :
- Tu vois pourquoi je tai immobilisé.
- Tu ne vas pas me faire croire que tu comptes le réaliser.
- Va savoir. Je suis en train dy réfléchir.
Tout en accrochant mon regard, elle a posé la bouteille sur la table en sapin.
- Ma décision est prise !
- Et je peux savoir laquelle ?
Sans donné suite à ma question, elle est venue lentement jusquà moi pour enjamber le visage. Un pied de chaque côté de mes épaules. De réaliser son fantasme, lexciter au plus haut point.
Dans ma tête, un remous de pensées virevoltait dans une ronde folle. Elle allait vraiment le faire ! Tout cela était trop fou.
Jai vu son bassin se rapprocher de mon visage, alors quelle saccroupissait. Elle a arrêté sa toison claire, fournie à seulement quelques centimètres de ma bouche. Jai vu dans ses yeux quelle avait compris que javais compris. Son visage sest alors enflammé. Ses lèvres baignaient dans une mouille abondante. Dont une gouttelette translucide sest détachée pour finir sa course sur le haut de ma lèvre supérieur. Je me suis empressé denvoyer ma langue pour la recueillir.
Marilyne est restée immobile au-dessus de moi. Ce centralisant sans doute, sur le méfait quelle sapprêtait à commettre. Je nai pas pu résister de balayer sa fente de ma langue. Son goût était un pur régal. Mencourageant de parcourir sa faille, de sa base jusquà son gros bouton tout dur. Que jai aspiré et que jai harcelé de ma langue.
Jai levé les yeux, et jai croisé son regard. Elle avait toute les stigmates de quelquun au seuil dun orgasme dévastateur.
Et comme sétait prévisible elle a explosé. Ses genoux sont venus cogner le sol pendant que quelques gouttes de pisse se sont échappées de son méat. Sen est suivis des jets tièdes, par saccades. Arrosant de son aigreur ma bouche, mes joues et coulant le long de mon cou pour finir sa course sur le carrelage. Formant sur ce dernier une flaque. Et sa source navait pas lair de sarrêter. Tant son envie était importante. Elle a attendu que sa fontaine se tarisse pour se laisser rouler sur le côté, et rester allongée là, sur le carrelage froid du salon.
- Merci Marilyne. Lui ai-je lancé.
- Mais de quoi mon cher beau-frère ?
- Et bien de mavoir pissé dessus.
- Ça était pour moi un grand plaisir de réaliser enfin un de mes fantasmes.
- Un de tes fantasmes ! Cest que tu en as dautre ?
- Vas savoir. A-t-elle répondu en se levant.
- Tu ne me détache pas ? Lui demandais-je, alors quelle séloignait.
Bien cinq minutes sétait écoulées, sans quelle se préoccupe de moi.
- Bon ! Marilyne, cest bien gentil tout ça, mais jaimerai que tu me libère à présent.
- Non !
- Non ! Et pourquoi non !
- Un peu de patience, encore.
- Mais cest que je commence à avoir quelques frissons.
- Je tai dit de patienter.
- Mais pourquoi ?
- Toujours des questions ! Attend et tu verras. Mais quest-ce quelle fou ? Lentendais dire pour elle-même.
- Tu attends quelquun ?
- Tu naimes plus les surprises ?
- Oui ! Mais je ne vois pas là
Sest alors que jentendis quon toquer à la porte.
- Enfin ! Laissa échapper Marilyne en se précipitant jusquà la porte dentrée.
- Mais quest-ce que tu fait là ? Lui ai-je lancé, en pleine panique. Nouvre surtout pas cette foutue porte.
- Et je peux savoir pourquoi je técouterai.
- On ne sait pas qui se trouve derrière la porte.
- Toi peut-être pas, mais moi si.
Elle a pesé sur la poignet, et a tiré la porte à elle. Sa fille
Amandine se tenait dans lembrasure.
- Mais quest-ce que tu as foutu ? Linterrogea sa mère.
- Jai rencontré une copine, voilà tout ! Alors jai papoté avec elle sans faire attention aux minutes qui sécoulaient.
- Tu as peut-être oublié ma chère fille que cest pour toi que jai organisé cette petite séance.
- Calme maman, calme ! Il ny a pas le feu au lac. Bonjour tonton ! Fit-elle en sapprochant au-dessus de moi. Je vois que maman na pas résigné sur les moyens. Ajouta-elle, le regard rivait sur mon bijou de famille.
- Bon ! Maintenant jaimerais que lune de vous deux me détache. Et mexplique ce quil se passe, ici.
- Il nen est pas question ! Ma lancé Marilyne. Enfin pas encore. Tu voulais du haut vol, cest bien cela que tu mas dit au téléphone quand on sest parlé, non ?
- Oui
bien sûr.
- Et bien tu vas lavoir.
- Mais tu me las donné ? Ai-je répondu, pas très à mon aise, et cela depuis que ma nièce se soit penché au-dessus de ma verge.
- Que dirais tu dune petite prolongation, tonton ? Fit Amandine, qui en deux trois mouvements, a fait passer son T-shirt par-dessus la tête, se retrouvant avec la poitrine nue. Puis elle a approché sa bouche jusquà ce quelle me prenne mon membre entre ses lèvres. Et très maladroitement, je précise bien, maladroitement, elle a tenté de me la sucer. Pendant ce temps Marilyne sest accroupi derrière sa fille. Profitant quelle soit occupé, pour défaire les boutons de son jean. Ceci fait elle le lui fit glisser le long de ses jambes. Alors quAmandine essayait tant que mal à sappliquer sur mon sexe.
- Voilà ma fille, il est tout à toi. Je te lavais dit que ça marcherait.
- Tu crois vraiment que je peux ?
- Et comment tu peux ma chérie ! Tu vois bien quil est vulnérable. Soumis à tout tes désirs.
- Oui ! Mais une fois quil sera libéré.
- Toccupe ma fille. Je connais parfaitement loiseau pour savoir quil nen fera rien. Allez crois-moi Amandine, éclate-toi bien. Cette occasion nest pas près de se reproduire. Nest-ce pas mon chou.
- Tu vas me payer cela ! Crois-moi !
- Quoi ! Une autre fessée ? Quand tu veux.
- Quest-ce que cest cette fessée, maman ? Tu ne vas pas me dire Tonton te corrige ?
- Toccupe ma fille. Et donne lui ta chatte à sucer, tu vas voir comme il fait ça bien. Nest-ce pas Alain ? Que tu vas tappliqué à faire jouir ta nièce.
Malgré tout ça jétais fasciné par le spectacle qui se déroulait devant mes yeux. Mais je ne résistai pas longtemps à la tentation quil métait donné, de coller ma bouche sur ce sexe nature et lui dévorer le minou. Ils sont dégagé une forte odeur particulièrement excitant. Je lai respiré à pleins poumons. Son émanation était très forte et sirupeuse. Elle sentait la jeune fille négligée.
Elle a gémit de bonheur sous mes coups de langue. Son ventre ruisselait de miel. Après un chapelet dorgasme, elle sest déplacé sur mon corps, jusquà approché mon pénis tout près de lentrée de son vagin et a commencé par jouer à se caresser lentrée du vagin avec mon gland.
- Non, pas par là ! hurla Marilyne. Je tavais prévenu.
- Mais maman !
- Il ny a pas de mais maman qui tienne ! Tu es vierge et je compte que tu y restes. Dailleurs on en a parlé et tu étais daccord avec moi.
- Oui mais... Je suis tellement excité que je suis prête à tout
- Oui je sais ce que tu ressens ma fille. Mais garde cela pour un autre.
- Cest pourtant mon droit.
- Oui comme le mien de bien te conseiller. A-t-elle ajouté en ouvrant la porte du réfrigérateur et y prendre une plaque de beurre. Et le lui tendit, en ajoutant :
- En fait ce quon a convenu de faire, sinon je te promets de ne plus daidé à te trouver des jeux à la hauteur de ta faim sexuelle, ma petite. Le message est clair ?
- Comme tu veux maman. En se redressant.
- Jespère bien.
Ma nièce pris une noix et commençait à en enduire son minuscule orifice et son pourtour, en un lent massage qui joint à celui quelle se prodigua à la fente, la fait roucouler de plaisir. Tout de suite après, Elle sest introduis son index préalablement graissé dans le petit trou froncé, en une pénétration délicate quelle a fait durer un moment, puis elle a ajouté très délicatement un deuxième doigt, faisant pénétrer cette double épaisseur tout en appliquant du beurre.
Pendant ce temps là, ma belle-sur lubrifiait mon sexe, lenduisant lui-aussi dune couche de beurre. Elle a par la suite, aidé sa fille de dos pour moi, à positionner son anus au-dessus de mon sexe. Les fesses minces étalées offraient à ma vue la raie imberbe brillante, un sillon brun clair, à peine arqué, au milieu duquel le minuscule bourgeon luisant de son anus se contractait, comme pour me provoquer. Jai suivis ainsi fasciné le mouvement de ma nièce qui tendant ses fesses vers mon sexe bandé. Comme pour le manger. Lorifice minuscule offrit dabord une certaine résistance, mais cétait sans compté sur ma partenaire, qui a poussé progressivement. Jai alors vu mon gland se faire gober, et disparaître peu à peu dans son rectum. Elle a ondulé très doucement. Jai commencé à mon tour à donner à mon ventre un mouvement davant en arrière, très lent et très ample.
Marilyne paraissait se délecter du spectacle.
- Active-toi ! Ma soufflé Amandine, en tournant la tête de mon côté.
Jai alors accéléré la cadence. Regardant ma verge violer ses fesses. Allant et venant inexorablement au milieu de ces deux globes luxurieux. Nos soupirs et notre exhortation se sont mêlé. La coquine ondulait sous moi, ses coups de reins allant à la rencontre de mes assauts. Ma nièce sest mise à souffler très fort, tout en se contorsionnant. Et brusquement, elle sest immobilisée, en haletant. Elle a attendu de reprendre son souffle pour me dire.
- Cétait très bon. Jai eu un fabuleux orgasme, tonton.
Ma belle-sur a attendu que sa fille déserte les lieux pour venir enfin me libérer.
- Tu men veux ?
- Pourquoi ten voudrais-je, sétait le souhait de ta fille, non ?
- Tu ne peux pas savoir à quel point tu lui as fait plaisir, là.
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