Délicieuse Libertine - 1
Je suis une fille très active sexuellement depuis ladolescence. J'ai compris très tôt que certaines parties de mon corps pouvaient me procurer des sensations très agréables. Ma mère mavait prévenue, de ne jamais fricoter avec les garçons, de ne jamais permettre à un voyou de toucher ces parties de mon corps qui étaient "sacrées".
Au début, ce sont dautres filles, plus âgées, qui mont provoqué mes premiers émois. Des caresses indiscrètes, de la bouche ou des mains, mont provoqué de curieux frissons dans le ventre. Jai réalisé que leurs actions sur certaines parties sensibles de mon corps me procuraient beaucoup de plaisir.
L'humidité de ma chatte m'inquiétait un peu, mais la fille qui léchait ma chatte ma dit que jétais délicieuse. Plus tard, lorsque je lui ai rendu la politesse, je me suis aperçue que son goût était mielleux, et je nai pas compris pourquoi ma mère avait prétendu que cétait "mal".
Heureusement, j'ai pu parler de ma révélation avec ma sur aînée. Elle avait déjà eu plusieurs "petits copains", et elle nétait plus vierge depuis longtemps. Elle ma appris à mes préserver des "accidents" qui empoisonnent la vie de certaines jeunes filles imprudentes. Elle ma confirmé que le sexe cétait quelque chose damusant, à condition de bien choisir son partenaire.
Cest elle qui ma conseillée pour mon "premier". Elle ma dit quil ne fallait pas offrir mon pucelage à une "brute sauvage", mais à un type "sérieux" qui saurait faire "ça" avec douceur. Elle ma recommandé un ami de papa, un gars bien plus âgé que moi, et qui avait paraît-il une excellente réputation. Je suis allée chez lui, toute intimidée, mais il a été très gentil, très doux, et jai passé un merveilleux moment.
Ensuite, les caresses des filles me paraissaient bien mièvres. La pénétration me procuraient des sensations inégalables, même si certaines utilisaient des jouets en plastique, vibrants ou non, cela navait pas la même saveur.
Cest à l'université que je me suis révélée. J'avais une solide réputation, jinsistais pour que les gars utilisent des caoutchoucs, mais je navais pas peur den satisfaire plusieurs. Le bouche à oreille a fait son effet, et javais beaucoup damoureux. Je discutais aussi avec dautres filles, plus prudes que moi.
Lidée de navoir quun seul copain, de me préserver pour mon mari, la fidélité, labstinence, me filait la gerbe. Elles me traitaient de débauchée, de frivole, de vicieuse, mais la découverte permanente de nouveautés mexcitait tant que je ne pouvais me résoudre à une vie de rosière mal arrosée.
Certaines périodes du mois, lorsque jétais "indisposée", quelques garçons ne voulaient pas aller dans ma chatte. Jai découvert, à cette occasion, la "voie de secours". Le plaisir était différent, mais jai beaucoup aimé. Depuis, jai accepté plusieurs garçons en même temps.
J'ai eu la chance de ne pas tomber enceinte, ni dattr une maladie vénérienne. Plusieurs filles se sont fait renvoyer de luniversité lorsquelles se sont retrouvées enceintes. Cela aurait été vraiment fâcheux pour moi si cela s'était produit, parce que je n'aurais pas su qui était le père.
L'idée du mariage ne m'attirait pas du tout. J'avais cette idée que je ne pourrais pas me contenter dun seul homme. Je voyais les femmes mariées comme des malheureuses, vivant les yeux baissés, enfermées dans leur carcan de pudibonderie. Je ne savais pas, à l'époque, qu'il y avait des hommes qui acceptaient l'idée que leurs femmes pouvaient être partagées entre gens de bonne compagnie
Comme cela arrive parfois, j'ai rencontré un garçon qui m'a enflammée et ma fait tourner la tête. Pendant trois mois, jai été captivée, séduite, amoureuse à en perdre lappétit. Je ne voyais plus que lui, aucun autre garçon ne pouvait me plaire, je ne pensais quà lui.
Pendant encore un semestre, jai gardé cet état desprit de femme passionnée, consumée damour pour son "homme". Lenvie est revenue, brutale, possessive, lorsque quun réparateur est venu à la maison en labsence de mon mari. Un très bel homme, une gourmandise, je lai sucé et il ma baisée. Ce fut bref, brutal, et délicieux.
Mais l'ancienne soif de conquêtes était revenue, et elle était là, bien présente, à me tordre les ovaires lorsque je croisais le regard avide dun mâle bien monté. Jai recommencé à baiser, à droite, à gauche, prudente au début, jusquà ce que je me fasse gauler. Mon mari est rentré à la maison alors que je ne lattendais pas.
Lexplication a été orageuse. Il était vraiment fâché contre moi, mais jai réussi à le calmer en me faisant chatte, nous avons en quelque sorte réglé les choses, et j'ai de nouveau essayé d'être une "bonne épouse". Jai été sage quelques temps, puis discrète, mais il m'a de nouveau attrapée en galante compagnie.
Cette fois avec un copain à lui, ce qui ne lui a vraiment pas plu. Il a immédiatement quitté l'appartement, et a entamé une procédure de divorce. Curieusement, alors que nous étions séparés, en pleine procédure de divorce, et même après, il est revenu me voir avec régularité pour "tirer son coup".
Même remarié, il continue de faire partie de mes "habitués", ceux qui viennent sencanailler en toute discrétion. À plusieurs reprises, il a même amené des copains à lui, pour faire un "gang-bang". Il ma présenté des hommes généreux, qui nhésitent pas à mettre la main au portefeuille. Je ne suis pas vénale, mais je nai jamais refusé un petit cadeau, un bijou me fait toujours plaisir.
Il aime bien l'idée de ce que je suis. C'était quand jétais sa femme, quil naimait pas ce que je faisais. Il trompe sa femme aussi souvent quil le peut, mais la réciproque ne lui convient pas. "Ce nest pas pareil !" Il a admis que cest plutôt étrange, mais je ne vais pas en informer sa femme.
Il ma fait rencontrer Daniel, qui m'a parrainé dans un club privé dont il était membre. Jai rencontré des gens intéressants, haut placés, avec des situations enviables. Des patrons, des politiques, accompagnés parfois de leurs épouses, plus souvent de leur petite amie, régulière ou pour un soir.
Bien sûr, j'ai passé un merveilleux moment à cette soirée de débauche, mais quand vous baisez avec tout ces mecs plein aux as, cela donne des idées. Des idées pour sélever socialement. Devenir la "poule" plus ou moins attitrée dun magnat de la finance ne me déplairait pas, du moment quil ne soit pas trop regardant sur mes fréquentations.
Je nai pas fait ma mijaurée, jai baisé tous ceux qui mont demandée, hommes ou femmes. Je me suis démultipliée pour satisfaire tous mes partenaires. Jai eu mal partout pendant plusieurs jours. J'ai apprécié dêtre intégrée dans ce nouveau cercle damis. Cette nouvelle expérience a été très enrichissante pour moi.
Cest lors de cette nuit de débauche que jai fait la connaissance de "Doc". Il pourrait être mon père. Il était accompagné par une bombasse rousse qui exsudait le sexe. Elle a été la première à se déshabiller et à faire le tour de toutes les bites et de toutes les chattes présentes ce soir-là. Si on avait fait un challenge, elle laurait gagné haut la main.
Elle était si belle, si sexy, que j'ai été très surprise quand Doc m'a entraînée dans un coin discret pour me faire part de son désir de mavoir comme "régulière". Il avait discuté avec Daniel, il me savait sans attaches, il nexigeait pas la fidélité, lexclusivité, ou toutes ces fadaises, mais il voulait être mon "protecteur", une sorte de "papa gâteau".
Jétais scotchée : "Et Laura?" ai-je demandé, étonnée. "Tu l'as elle, que veux-tu faire de moi ?"
"Laura ne mappartient pas, elle est mariée". Je n'en croyais pas mes oreilles mais Daniel m'a confirmé que Laura était mariée à un type qui naimait pas ces soirées, et qui la laissait libre de sortir quand elle voulait, et avec qui elle voulait.
Quoi qu'il en soit, j'ai accepté l'invitation de Doc et nous avons commencé à nous fréquenter. C'est rapidement devenu mon amant régulier, et jai dû écarter certains de mes prétendants. Par contre, jen ai gardé dautres pour des raisons sentimentales (la taille de leur bite, ou celle de leur portefeuille).
Un soir, jai dû refuser une invitation de Doc parce que jattendais la visite dun autre mec auquel je tenais beaucoup. Doc ma dit quil voulait me voir "juste pour parler". Je lui ai dit de passer chez moi le lendemain soir. J'appréhendais un peu. De quoi voulait-il parler ?
J'aimais vraiment Doc, j'appréciais beaucoup sa compagnie, mais je ne voulais pas changer mon mode de vie. J'aimais trop la variété, découvrir de nouvelles bites et de nouvelles chattes. La nuit suivante, Doc a ouvert la conversation en me disant qu'il m'aimait de plus en plus, et quil espérait que notre relation pourrait sorienter vers quelque chose de permanent.
Je l'ai remercié de penser à moi ainsi, jai dit que je l'aimais aussi, mais que je ne pensais pas qu'une relation stable me convenait. J'ai admis que je ne pouvais pas être fidèle à un seul homme. Doc m'a surpris en disant qu'il me comprenait. Puis il a largué sa bombe.
"Je sais que tu vois d'autres hommes. Hier soir, tu nétais pas seule ici. Jétais en planque près de chez toi, jai vu le gars entrer, je tai vu laccueillir chaleureusement, et jai attendu longtemps jusquà ce quil reparte."
Je l'ai interrompu, un peu agacée : "Doc, ce ne sont pas tes affaires. Je ne t'ai pas promis l'exclusivité. Si tu veux savoir si j'ai couché avec lui, la réponse est oui. En fait, tous les hommes que jai rencontré ces dix dernières années me sont passés dessus. Tu nas pas besoin de mespionner, suffit de me demander."
"Je sais, mais j'aimerais te poser une question, et tu n'as aucune obligation d'y répondre. Ce que j'aimerais savoir, c'est si tu es intéressée uniquement par le sexe, ou si tu en retires quelque chose de plus ?"
"Pour le sexe ! Dabord, j'adore baiser. Je pense qu'il ny a pas assez de bites sur cette terre pour me satisfaire. Mais sans être vénale, jaime joindre lutile à lagréable, et les petits cadeaux me font toujours plaisir."
L'air réjoui de Doc ma rassurée. Javais répondu juste. Mais quelle était sa pensée ?
"J'espérais que tu répondes cela ! Ça ne me dérange pas que tu aies des relations sexuelles avec d'autres hommes. J'aimerais juste pouvoir être là parfois pour regarder. Quand je t'ai vue avec d'autres hommes, au club, et même avec des femmes, ça ma vraiment excité. Même hier soir, en attendant, devant chez toi, je me suis branlé en pensant à toi dans les bras dun autre."
Jétais sceptique. Est-ce quil me faisait marcher ?
"Je suis ce que lon appelle un voyeur. J'aime regarder les ébats sexuels des gens. Et j'aime particulièrement regarder quelqu'un qui mest cher. Mon premier mariage s'est soldé par un échec à cause de cela. Javais demandé à ma femme de faire lamour avec un autre homme, devant moi. Elle a refusé longtemps, en croyant que je ne laimais pas."
"Elle a finalement cédé après que je l'aie harcelée longuement. Je lui ai laissé choisir le gars, un mec qui lui plaisait. Cétait une erreur. Elle a choisi un gars avec qui elle travaillait. C'était une grosse erreur. Elle s'est fait harceler par tous les autres mecs au travail, parce que le gars na pas su fermer sa gueule. Elle a quitté son travail, et elle ma quitté parce quelle était bouleversée par tout ça."
"Tu ne t'en es pas rendue compte, tu étais trop occupée, mais au club, la plupart des couples agissaient ainsi !"
"Que veux-tu dire par là ?" J'ai demandé.
"La plupart des gens en couple baisaient à tour de rôle. Les maris regardaient leurs femmes avec d'autres hommes, et les femmes regardaient leurs maris avec d'autres femmes. C'est la raison essentielle pour laquelle les gens apprécient ce genre de soirée."
"Je n'avais pas remarqué ça" avouais-je. "Il m'a semblé que tout le monde était occupé en même temps."
"Pas vraiment" continua Doc. "Il y avait rarement plus d'un des deux partenaires à être occupé en même temps. Lautre regarde, ce sera un motif dexcitation pour plus tard. Et moi, je te regardais. Javais remarqué ton endurance. Tu étais la seule à ne pas prendre de pause. Tous les autres sarrêtaient pour souffler, pas toi."
"Oh mon dieu, je me suis donnée en spectacle ?" demandais-je, faussement embarrassée.
"Effectivement" rigola Doc. "Tu étais le clou du spectacle. Tout le monde a aimé te regarder. Nous encourageons les membres actifs à amener de nouvelles femmes, des jeunes, car elles sont plus dynamiques. Tu étais juste plus dévergondée, plus vicieuse, plus perverse que les autres, la meilleure, et jai adoré !"
Les commentaires de Doc me rassuraient. En fait, il ne voyait que le positif. C'est ce que j'aime chez lui. Il sait flatter mon ego pour obtenir le meilleur de moi-même.
"Mais Laura a contenté plus de partenaires que moi, cette nuit-là. Sexuellement, elle est hyper-active. Cette femme est une vraie poupée sexuelle."
"Oui, c'est vrai. Quand elle vient, cest la reine de la soirée. Pour beaucoup dentre nous, cest la femme idéale. Jaurais aimé quelle soit mienne, mais elle est mariée et fidèle
à sa façon !"
"Doc, cest impossible. Aucun époux ne supporterait de voir sa femme se donner à dautres hommes avec cette ferveur ! Tu ne serais pas le moins du monde jaloux de voir ta femme se pâmer sous dautres hommes ? Ce serait bizarre !"
"Je ne le supporterais pas, j'adorerais cela. Je l'aiderais même à trouver des gars intéressants. Bizarre, c'est possible, mais aucun des hommes présents à la soirée du club na émis le moindre commentaire en voyant un ou plusieurs gars baiser sa femme ! Tous étaient ravis de voir que leurs femmes avaient du succès, et quelles lappréciaient."
Je n'étais toujours pas convaincue par son projet, mais Doc a coupé court à la conversation en disant : "Tout ce discours sur le sexe m'a excité." Puis il commença à dégrafer mon chemisier en m'embrassant. Je me suis rapidement retrouvée nue, à quatre pattes, pendant que Doc me pénétrait par derrière. Il ma fait jouir plusieurs fois avant de répandre son foutre sur mes reins. Nous nous sommes effondrés en tas sur le tapis, devant le canapé du salon.
La proposition de Doc a mis un certain temps pour pénétrer mon cerveau récalcitrant. Il voulait mavoir toute à lui, tout en me laissant libre de faire des rencontres, mais il voulait regarder
Cétait loufoque ! Quand il ma invité à sortir, javais déjà un rencard. Jhésitais, parce que Vincent fait partie de mes "habitués". Doc a compris immédiatement mon embarras.
"Ah, tu avais d'autres plans. Super. J'aimerais juste être une petite souris pour te regarder avec ce gars ... sinon tu pourrais juste me raconter après. Demain soir ?"
"Bien sûr, ce sera génial de se voir demain soir. En revanche, pour te raconter ma soirée, je ne suis pas sûre
Je ne sais pas si jen serai capable, je nai jamais fait ça"
Ma soirée avec Vincent s'est bien passée. On se connaît suffisamment pour ne pas perdre de temps en civilités inutiles. Direction la chambre, il ma baisée toute la soirée en utilisant tous mes orifices. Une véritable bête de sexe !
Vincent venait de partir quand mon téléphone a sonné. Cela m'a fait sursauter parce que cétait plutôt tard.
"Salut, chérie !" La voix de Doc. "J'espère que je ne t'ai pas interrompue ?"
"Non, Vincent vient de partir."
"Cétait bien ? Tu tes amusée ? Satisfaite ? Est-ce que tu es repue, trop crevée pour continuer ?"
"Bien sûr, je m'amuse toujours !" Je savais ce quil voulait, et ses masturbations cérébrales magaçaient. Pourquoi fallait-il que je lui raconte les exploits de Vincent pour que Doc me baise ? Je nétais pas assez désirable ?
"Mais je suis assez vaillante et toujours partante pour menvoyer en lair. Tu proposes quoi ?" répondis-je sans ambages.
"Je peux être chez toi dans cinq minutes, si tu es partante. Je bande déjà en pensant à toi !"
"Laisse-moi le temps dune douche rapide et rapplique"
"Non, sil te plaît, chérie, ne te lave pas. Je veux sucer le sperme qui coule de ta chatte meurtrie, avant de te baiser."
J'étais estomaquée. Je nai pas eu le temps de protester, Doc avait déjà raccroché. Je ne savais pas quoi faire, assise sur mon lit en désordre. Jessayais de comprendre ce qui pouvait le motiver. Sucer ma chatte dégoulinante du sperme dun autre ? Quel intérêt ? Ce type était un malade !
La sonnette a carillonné avant que je puisse faire quoi que ce soit. J'ai enfilé mon peignoir pour ouvrir à Doc. Il ma enlacé tendrement, sa bouche sest emparée de la mienne, sa main a filé droit entre mes cuisses, vérifier létat des lieux.
"Tu as l'air d'avoir été bien baisée, ta chatte est baveuse, viens, ne perdons pas de temps"
Doc ma soulevée de terre comme une plume, du talon il a claqué la porte dentrée, et il ma portée dans ses bras puissants jusquà ma chambre. Il m'a allongée sur mon lit, et il a ouvert mes cuisses pour regarder ma chatte suppliciée. C'était pour le moins gênant. Je fermais les yeux pour ne plus voir son regard absorbé et gourmand.
"Oui, il ta bien baisée" appréciait Doc en scrutant ma chatte. "Ta chatte est mousseuse." Puis jai senti son souffle, sa bouche sest posée sur ma chatte, sa langue sest insinuée entre mes lèvres. Oh, il me léchait, et cétait horriblement gênant et délicieux en même temps.
Mon appréhension a disparu devant la douceur de sa caresse. Après la rude séance de lautre brute, le contact bienfaisant de sa langue charitable me remplissait daise. Au lieu de résister, je me suis cambrée en écartant mes cuisses au maximum pour offrir ma chatte à sa manuvre qui mémoustillait.
Brièvement, il sest arrêté de me lécher pour grignoter mon clitoris, et j'ai senti la première vague de mon orgasme déferler. Il a continué tandis que je me tordais de plaisir. Il alternait entre sa langue qui me fouillait, et ses lèvres qui suçaient mon clitoris. Une deuxième vague de plaisir ma submergée, puis une autre, et encore une autre. Je tremblais de tous mes membres, tout mon corps vibrait, je perdais le souffle, jallais mourir de plaisir, je lai supplié darrêter, de me laisser un moment pour me récupérer un peu.
Il ma accorder un répit, juste le temps de se déshabiller, et sest couché sur moi, entre mes cuisses ouvertes. Il était très excité et il ma martelée sans ménagement, me faisant gémir et panteler. Il est venu très vite.
Doc sest allongé sur le dos, et je me suis installée sur lui, tête-bêche, jambes repliées, ma chatte sur son visage. Cétait sa position préférée pour me manger la chatte dégoulinante de sperme. Bien sûr, je ne suis pas restée inactive, et je lui ai administré une profonde fellation. Au bout dun moment, Doc a soulevé mes fesses et m'a guidée vers le bas pour me faire asseoir sur sa bite.
Immédiatement, jai commencé à magiter de haut en bas sur son poteau vertical. Dans cette position, sa bite frottait énergiquement sur point G, et jai été prise dans une transe folle, qui me faisait claquer mes fesses sur son ventre. Je nai pas pu résister longtemps au spasme qui se propageait dans tout mon corps. Mon orgasme a déclenché celui de Doc. Je nai eu la force me soulever, et jai pris toute sa charge au fond de mon vagin sans protection.
Je me suis allongée tout contre lui. Il a été très tendre, me câlinant, il ma dit des bêtises, quil maimait, et je me suis endormie dans ses bras, crevée. Je me suis réveillée au matin, seule, nue, poisseuse de sperme. Doc était parti pendant mon sommeil.
Doc m'a appelé dans la matinée pour savoir comment j'allais. Il s'est excusé d'être parti en douce. Je lai rassuré en lui disant quil avait été vraiment formidable la veille et que je navais jamais autant joui. Mais le but de son appel sest éclairci rapidement. Il voulait savoir combien de fois Vincent avait joui en moi, parce que jétais "vraiment pleine de sperme".
"Juste deux fois" répondis-je naturellement, avant de réaliser ce que je disais. Je trouvais toujours bizarre de parler à un homme de ce que je faisais avec un autre. Jamais jusquà ce jour, je navais été confrontée à ce type de comportement.
"Au fait, Doc, la nuit dernière, comment es-tu arrivé ici aussi rapidement. Et tu mas appelée juste après le départ de Vincent ? Tu ne m'espionnes plus, n'est-ce pas ?" J'ai essayé d'avoir l'air détachée, mais je voulais savoir. La réponse de Doc a confirmé mes soupçons.
"J'étais là, planqué près de chez toi" a-t-il avoué d'un air penaud. "Quand j'ai vu le gars partir, je t'ai appelée. J'étais vraiment excité de savoir que tu te faisais baiser pendant que j'attendais pour te bouffer la chatte. J'espère que tu n'es pas trop en colère contre moi"
"Non Doc, je ne suis pas en colère. En fait, je pense que je suis de plus en plus amoureuse de toi."
"Je t'aime aussi, ma chérie, je pense que nous sommes faits l'un pour l'autre."
Nous nous sommes vus, pour discuter de la situation, de notre penchant lun pour lautre, du plaisir que Doc ressentirait à me voir dans les bras dun autre, à me lécher la chatte souillée par un autre. Nous avons également parlé de nos sentiments l'un pour l'autre, quils étaient suffisamment forts pour que nous puissions vivre ensemble.
Doc m'a assuré qu'il voulait que je continue à voir d'autres hommes, et même à les ramener à la maison dans "notre" lit pour les baiser. Je m'inquiétais un peu de la logistique, surtout de la réaction des mecs en apprenant qu'ils étaient dans le lit de mon compagnon, mais Doc était si persuasif, avec ses doigts caressants dans ma chatte, que j'ai accepté.
J'ai emménagé chez Doc dès que possible. Laspect plaisant, cest que jemménageais dans une maison beaucoup plus luxueuse et spacieuse que mon modeste logement. Ce qui était moins plaisant, cest que je nétais plus chez moi, dans mon espace privé, avec mon indépendance. Je me sentais comme une invitée. Cela m'a pris du temps pour m'habi.
Pendant les premières semaines, je nenvisageais pas dautres hommes. J'appréciais de passer du temps avec mon partenaire. Nous faisions l'amour souvent, nimporte quand, nimporte où. Cela ma rappelé le début de mon premier mariage. C'est Doc qui a ressenti le premier le besoin de faire évoluer les choses.
"Ma chérie, tu sais que tu es libre de rencontrer et dinviter des hommes, ou des femmes, selon ton bon plaisir ? Jespère que tu ne penses pas de ne pas pouvoir le faire maintenant que vous sommes ensemble ?"
"Je ne pensais à rien, je suis parfaitement bien avec toi, et je nen éprouve pas le besoin. Mais cest drôle que tu me parles de ça maintenant, parce quaujourdhui, jai croisé un type qui ma envoyé des signaux pour que je comprenne bien quil était intéressé, et ça ma démangé. Je vais le revoir lundi, peut-être je me laisserai tenter ?"
"Génial !" sest extasié Doc. "Essaye de le ramener lundi soir, si tu peux !"
"Chéri, je ne suis pas sûre de pouvoir ramener un homme ici. Surtout si tu es dans le coin. Je n'ai jamais fait ça auparavant, et je ne sais pas si lui ou moi nous pourrons le gérer."
"Je vais te dire une chose. Pour te faciliter la tâche, au début, je sortirai en ville. Il suffira que tu me préviennes que tu ramènes un homme à la maison, et je serai absent. Tu me donneras le signal de son départ pour que je vienne moccuper de ta chatte. Jattendrai planqué à proximité, il ne me verra pas."
"Ensuite, quand tu seras plus à laise, je pourrais me cacher dans lappartement, de façon à tout entendre. Je ne sortirai de ma cachette que si tu le souhaites. Petit à petit, tu verras, tu thabias à ma présence et, si le gars laccepte, je pourrais peut-être participer à vos ébats."
"Oh Doc, tu es tellement bizarre, mais je taime tant ! Dit comme ça, cela a l'air assez amusant ! La dernière fois, quand tu as mangé ma chatte pleine de sperme, cétait tellement érotique, tellement pervers, jai joui si fort !"
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