Eloge Des Femmes Mûres (2)
Suite des aventures du jeune Félicien, amateur de femmes mûres et partagé entre son ancienne prof Odile et sa maitresse Corinne...
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Lorsque Félicien arriva à la maison de son ancienne prof, elle jardinait en short et veste de jogging pendant que son mari tondait la pelouse. Ils offraient l'image d'un couple d'âge mûr en pleines tâches domestiques. Madame B. avait discipliné ses cheveux auburn dans un serre-tête qui la rajeunissait. Ils le saluèrent d'une poignée de main et elle le guida vers le salon pour qu'il puisse étendre livres et cahiers qu'il avait emportés. Elle lui parla d'emblée en anglais mais il avait du mal à se concentrer. La fermeture éclair de la veste de jogging était tirée un peu bas et il avait une vue plongeante sur les obus en liberté sous le léger vêtement, pesants et mouvants. Néanmoins, il parvint à accomplir les divers exercices jusqu'à la fin. Elle le conduisit ensuite dans la cuisine pour un rafraichissement pendant que son mari poursuivait sa tonte bruyante. Une conversation plus intime, et en français, s'engagea. A sa demande, il lui raconta la suite de ses études, ses ambitions, sa vision de la vie. Elle l'interrogea sur sa vie sentimentale et il l'éluda un peu trop vite si bien que, fine mouche, elle comprit qu'il n'était pas seul.
Cuisiné, il finit par avouer qu'il fréquentait une femme plus âgée que lui :
- Tu as raison, lui dit-elle, car elle le tutoyait désormais, rien ne vaut une femme d'expérience pour un jeune homme. Tu as le temps de trouver une fille de ton âge.
Elle l'avait totalement percé à jour et il dut avouer qu'elle avait raison, qu'il préférait la maturité féminine à la fraicheur juvénile. Enhardi, il glissa qu'elle avait été longtemps sa prof préférée.
- Tu crois que je ne m'en étais pas aperçue ? lui répondit-elle. J'ai bien vu que tu regardais sous mes jupes pendant les cours. Et alors, ça t'inspirait ? Tu te masturbais en pensant à moi ?
Félicien rougit sous sa peau mate.
- Tu sais, pour une femme de mon âge, c'est flatteur qu'un beau garçon comme toi rêve de lui faire l'amour. J'imagine que c'est pareil pour un homme mûr avec une jeune fille. J'étais un peu perverse, je le reconnais. Mais j'aimais ton regard, il m'excitait quelque part. D'autres que toi en ont profité mais passons... Parle-moi de ta copine. Et appelle moi Odile.
Félicien dut évoquer Corinne et son appétit sexuel, le plaisir qu'il prenait avec elle et celui qu'elle prenait avec lui. Non, il n'était pas amoureux, c'était purement physique.
- Elle a dû t'en apprendre des choses, cette femme... Tu la salueras de ma part.
- Et votre... euh... ton mari. Tu es heureuse avec lui ?
- Tu vois, il tond la pelouse, il fait plein de choses à la maison mais l'amour ne l'intéresse plus beaucoup, surtout depuis son infarctus. Du moins sous la forme classique. Dommage car moi, ça m'intéresse toujours. Mais je fais avec. Et lui aussi.
Elle termina sa phrase en posant sa main sur la cuisse de Félicien et lui adressant un regard en coin plein de sous-entendus. Si elle avait déplacé cette main vers son entre-jambes, elle aurait constaté qu'il bandait. La veste de jogging baillait de plus en plus. Mais le bruit de la tondeuse cessa et le moment de flottement s'arrêta en même temps. Il rangea ses affaires et elle le raccompagna vers son scooter avant de lui dire :
- Et si tu venais dîner avec nous demain soir ? On travaillera un peu d'abord pour ne pas perdre de temps. Garde des forces.
Cette dernière phrase aurait pu paraitre incongrue si madame B., ou plutôt Odile, ne lui avait pas adressé en même temps un regard mutin. Qu'était-ce à dire ? Que son mari serait absent ? Qu'elle en profiterait pour faire l'amour avec lui ? C'est en plein doute qu'il rentra chez lui, mais son excitation se traduisit par une longueur de pénis dont Corinne aux jambes fuselées profita abondamment ce soir là au point de surmener ses cordes vocales.
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A vingt ans, on "recharge" vite et c'est en pleine possession de ses moyens sexuels qu'il se présenta chez madame B. le lendemain soir. Une grande surprise l'attendait : elle avait revêtu son ensemble écarlate qu'elle portait pendant ses cours, avec jupe courte et gilet à boutons.
- Allez, ça te rappelle des souvenirs, non ? lui dit-elle. Je l'ai sorti de mon armoire exprès bien qu'il fasse un peu chaud pour le porter mais je ne le mets plus, cet ensemble. Qu'en penses-tu ?
- Il vous... euh, il te va toujours aussi bien.
- Tu es gentil. Je me suis aperçue en le mettant que je n'avais pas trop grossi. Bon, au boulot maintenant.
Ils travaillèrent quelques exercices mais Félicien était toujours aussi peu concentré. Son gilet déboutonné le troublait avec ses seins très visibles, rehaussés par un soutif pigeonnant. Sa jupe remontait très haut sur ses cuisses charnues. Il aperçut même un court instant un slip blanc. Elle le reprit plusieurs fois et finit par arrêter :
- Je vois que tu n'as pas trop l'esprit au travail. Allez, viens, on va se baigner dans notre piscine, ça te rafraichira les idées.
Le mari s'était montré pour l'heure invisible mais Félicien savait qu'il était là car les deux voitures du couple étaient présentes devant le garage. Elle le précéda vers la piscine et sans crier gare, baissa jupe et slip, dévoilant deux volumineuses fesses ivoire bien séparées par une raie longue et profonde, déboutonna son gilet, dégrafa son soutif, coiffa un bonnet de bain et se glissa dans l'eau où elle se mit aussitôt à nager complètement à poil.
- Alors, qu'est-ce que tu attends ? lui lança-t-elle.
Il ne pouvait faire autrement que se mettre nu à son tour et exhiber sa longue queue recourbée qui réjouissait tant Corinne.
- Eh ben dis donc, ton papa et ta maman ne t'ont pas raté, rigola-t-elle dans l'eau.
Il nageait à ses côtés mais elle finit par le coincer sur le bord pour lui aplatir ses deux obus sur son torse.
- Ne t'inquiète pas pour Roger. Il est d'accord pour qu'on fasse l'amour tous les deux. Nous sommes un couple très libre, lui souffla-t-elle.
C'était clair et direct. Madame B. ne s'embarrassait pas de convenances. Elle voulait mettre son ancien élève dans son lit et comme celui-ci commençait à bander dur sous l'effet de son paluchage aquatique, l'affaire n'allait visiblement pas attendre le dîner. Elle finit par sortir de l'onde en dandinant de la croupe et s'allongea sur un bain de soleil, cuisses grandes ouvertes. Il découvrait enfin cette zone mystérieuse qui l'avait tant inspiré pendant ses cours d'anglais. Cette fois, plus de jupe ni de slip mais une chatte poilue, charnue, disponible, qui attendait sa langue. Il mesure un court instant sa chance et se montra déterminé à la saisir. Baiser sa prof ! Quel élève n'en avait pas rêvé ? Elle avait ôté son bonnet de bain, libéré ses cheveux auburn et plantait son regard émeraude dans les siens, et lui dit, la voix un peu rauque :
- Viens me lécher, mouille moi bien.
Il plongea le museau avec volupté entre les cuisses ivoire et appliqua tout le savoir faire que lui avait enseigné la belle Corinne, très friande du cunni. Sa langue courait de l'anus au clitoris et retour. Madame B. lui tenait la nuque fermement par les cheveux et en levant les yeux, il pouvait percevoir par dessus ses gros seins qu'elle tenait à pleines mains son regard parfois extatique, parfois clos, sa langue sur ses lèvres, parfois un petit cri de plaisir. Ses cuisses dodues lui caressaient les joues pendant qu'il s'activait dans la fente et sur son clitoris. Il constata qu'elle mouillait et ne fut pas surpris de l'entendre dire :
- Tu lèches divinement mais je la veux maintenant. Mets-la moi.
En appui sur le bain de soleil, il se laissa guider par sa main impatiente et la pénétra avec douceur, comme le lui avait enseigné Corinne, arguant de muqueuses parfois un peu sèches au début de leurs ébats.
Il l'entendit dire :
- C'était court mais divin. Il y a longtemps que je n'avais pas été aussi bien mise.
Le mot "mise" l'étonna. A sa place, Corinne aurait employé un mot beaucoup plus trivial. Il vit son regard se diriger vers le haut de la maison. Il se retourna et découvrit le visage du mari. Il n'avait rien perdu de leurs ébats. Une sensation étrange l'envahit mais elle le rassura d'un sourire :
- Roger aime me regarder faire l'amour.
Puis elle se dirigea vers la piscine, s'y plongea et il la rejoignit jusqu'à l'heure du dîner qu'elle avait déjà préparé. Elle avait revêtu un simple paréo et affichait une petite moue de femme bien baisée, lui lançant de temps à autre un regard énamouré. Roger se présenta détendu, comme si rien ne s'était passé. Les conversations passèrent d'un sujet à l'autre, exception faite de la relation sexuelle torride qui s'était déroulée un peu plus tôt. Et quand il quitta la maison, ce fut comme s'il prenait congé d'un couple bienveillant envers un jeune étudiant de vingt ans.
...
Les venues de plus en plus fréquentes de Félicien chez son ancienne prof avaient fini par intriguer Corinne, sa maîtresse attitrée, prototype de la "cougar". Certes, il s'agissait de préparer un concours et la blonde quinquagénaire aux longues jambes n'entendait pas y faire obstacle. D'autant que le jeune homme se montrait toujours assidu dans son lit et continuait à la faire grimper aux rideaux, fort d'une expérience de plus en plus complète et d'une endurance époustouflante. Elle finit par interroger son jeune amant sur cette fameuse prof et il lui avoua qu'il la connaissait depuis le lycée, qu'il l'avait vue au marché pendant qu'il vendait ses fromages et qu'elle lui avait proposé de venir chez elle pour progresser en anglais. Fine mouche, Corinne devina un gros fantasme derrière ces retrouvailles, au moins de la part de Félicien, et finit par lâcher :
- Est-ce que tu la baises, ta prof ?
Le jeune homme commença par bredouiller des dénégations mais, cuisiné, finit par reconnaitre que, oui, ils avaient fait l'amour une fois, mais vite fait, hein. Le visage de la quinquagénaire se crispa. Elle voulait en savoir plus sur sa rivale. Qui était-elle ? Comment était-elle ? Etait-elle mariée ? Félicien se déballonna. Il évoqua successivement l'âge d'Odile (oui, elle s'appelle Odile), son physique de femme mûre, son mari, sa maison, sa piscine, son jardin, sa gentillesse aussi pour l'aider...
- Bon, tu as baisé une bonne bourgeoise. Est-ce que tu as mis une capote, au moins ?
- Euh... non, je n'ai pas eu le temps mais tu sais, elle n'est pas du genre à trainer n'importe où.
- Mais qu'est-ce que tu en sais, hein ? Qui te dit qu'elle ne se fait pas sauter à droite et à gauche ? Tu vas me faire le plaisir de te protéger la prochaine fois, si prochaine fois il y a et j'espère que non.
Félicien ne dit mot. Néanmoins, il constata que Corinne se détendait un peu. Elle craignait visiblement une rivale beaucoup plus jeune qui aurait rendu la compétition à son désavantage. Là, elles étaient à égalité et elle était même un peu favorisée puisque mince, libre et moins bourgeoise. Avec réalisme, elle se rendait compte qu'un étalon aussi fougueux que Félicien pouvait difficilement rester de marbre face à une femelle déterminée à se faire sauter. Le cas du mari l'intrigua. Le jeune homme lui raconta qu'il les avaient observés en train de faire l'amour et ne s'en était nullement offusqué.
- Tiens donc, des candaulistes, ricana-t-elle.
- Des cando... quoi ?
- Les candaulistes, ce sont des couples qui pratiquent l'adultère à visage découvert et même avec complicité. Ils prennent du plaisir à voir leur conjoint faire l'amour avec un autre et parfois même, l'homme ou la femme se mêlent à leurs jeux. Je le sais pour l'avoir fait moi-même avec mon ex avant qu'on divorce. Tu as tiré le gros lot, mon vieux. La prochaine fois que tu vas baiser ta prof, son mari ne sera pas loin.
Félicien devint pensif. Mais pas longtemps car Corinne, que cette histoire avec excitée, venait de lui mettre la main à la braguette. Une copulation frénétique s'ensuivit sur le canapé du salon car elle tenait à lui prouver sa supériorité sexuelle sur la prof d'anglais. Elle connaissait ses faiblesses, par exemple qu'elle lui empoigne les fesses pendant qu'il la besognait et elle lui donna une nouvelle fois beaucoup de plaisir. Non, il ne se voyait pas lâcher Corinne pour Odile.
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N'empêche. Au cours suivant, celle-ci l'accueillit vêtue de cette mini jupe marron avec sweater assorti qu'elle portait lorsqu'il était élève, évidemment pas par hasard. C'était d'autant plus étonnant qu'il faisait ce jour là 30° à l'ombre. Mais ses seins dardaient sous le tissu, sans intermédiaire et il était persuadé qu'elle ne portait pas de slip. Ce qui lui fut confirmé un peu plus tard lorsque, assise face à lui dans un fauteuil du salon, un verre d'eau gazeuse à la main, elle croisa lentement les jambes pour lui offrir le spectacle de sa chatte poilue sous la mini jupe marron. Le regard émeraude luisait de désir. Il posa son verre, lui prit le sien pour le placer à côté, s'agenouilla devant elle, retroussa sa mini jupe jusqu'au nombril et lui offrit le cunni qu'elle attendait. Pendant qu'il se gavait de sa vulve, il eut une pensée pour le temps où, lycéen, il matait son entre-jambes fugitivement découverte et se masturbait le soir dans son lit en pensant aux cuisses dodues qu'elle découvrait aussi généreusement. Ces mêmes cuisses se frottaient maintenant à ses joues, cette même chatte palpitait sous sa langue habile, venait même à la rencontre de sa bouche. Il avait en même temps en mains ses gros nichons qu'il pétrissait sous le sweater. Il l'entendait gémir, soupirer, haleter, sa main crispée sur sa nuque jusqu'à ce qu'elle se cambre sur le fauteuil, en proie à un premier orgasme.
Il se retira le museau couvert de son jus et elle lui dit dans un souffle :
- Tu vas me prendre là, sur le canapé.
Elle fit passer son sweater par-dessus sa tête échevelée, baissa sa jupe, apparut dans toute sa nudité ivoire constellée de taches de rousseur, se mit à genoux sur le canapé, les mains sur le dossier, et offrit sa croupe majestueuse. Après avoir enfilé un préservatif en pensant à Corinne (pensée vite évacuée), il la prit en levrette, mains posées sur ses hanches en amphore, et lui asséna de virulents coups de queue qui firent balancer ses obus. Elle glissa sa main entre ses jambes pour lui saisir les couilles, une manière dont Corinne n'était pas avare mais que jamais une fille de son âge n'avait osé. Cette position l'enchantait car il adorait ses fesses, plus charnues que celles de sa maitresse attitrée. Il se sentait capable de durer longtemps dans cette position que, visiblement, sa partenaire appréciait à en juger par ses ondulations et sa manière d'aller le chercher. C'est alors qu'une voix d'homme retentit dans son dos :
- Encule-la maintenant.
Il sursauta. Il n'avait pas vu le mari assis dans un coin de la pièce, nu, la main sur sa verge en demi-érection. Odile resta immobile, dans la même position, et lui dit seulement :
- Oui, fais-le.
La sodomie, il connaissait. Corinne l'avait initié très tôt à cette pratique qu'elle goûtait particulièrement. Elle lui avait enseigné la préparation, longue et minutieuse. Le nez dans la raie, il commença par lui titiller l'anus de la langue puis la doigta d'abord légèrement puis plus profondément. Quand enfin il la pénétra, elle était prête et il s'enfonça sans grande difficulté. Elle manifesta son contentement par des soubresauts fessiers qui l'engagèrent au plus profond de son rectum. Les peaux claquèrent et derrière lui, la voix d'homme l'encouragea :
- Allez, à fond, secoue la, elle aime ça. Qu'elle sente tes couilles sur sa chatte.
Félicien n'avait guère besoin d'encouragement car il était en pleine euphorie sexuelle. Enculer sa prof ! Il ne l'aurait jamais imaginé dans ses rêves érotiques les plus fous. Elle émettait des sortes de borborygmes qui témoignaient de sa transe. Il aurait continué encore longtemps à limer si l'homme derrière lui n'avait déclaré :
- Arrête maintenant. Mets-la sur toi.
Obéissant à regret, il se retira, accepta la capote neuve que lui tendait le mari, s'allongea sur le canapé, queue pointée vers le plafond et considéra la pulpeuse mature en train de s'empaler sur lui. Cette fois, il put vraiment et longuement la regarder baiser, observer son visage rayonnant, mater ses nichons plantureux, son ventre rebondi, son nombril mouvant, ses cuisses écartées, sa bite entrer et sortir de la vulve juteuse lorsqu'elle se mit brièvement sur ses pieds pour allonger la pénétration. Au commandement de son mari, elle se retourna et lui offrit cette fois le spectacle de sa croupe aux fesses larges et bien fendues qui frémissaient sous ses ruées verticales. Il ressentit une nouvelle envie de sodomie mais le mari en décida autrement. D'abord, il s'avança pour offrir sa bite courte à la bouche de son épouse pendant qu'elle cavalait sur son jeune amant. Ainsi donc, c'est ça le candaulisme, se dit Félicien en pensant à ce que lui avait dit Corinne.
Puis le dénommé Roger se retira et intima l'ordre à Odile de s'allonger sur le canapé. S'adressant à Félicien, il lui dit :
- Finis la maintenant, elle est mûre. Bourre la, fais lui sentir ta bite jusqu'à ce qu'elle jouisse.
La tête sur l'accoudoir du canapé, un pied sur le dossier, grande ouverte, Odile l'attendait. Pour la deuxième fois, elle parla à son jeune amant :
- Fais ce qu'il dit. Ne me ménage pas. Je suis en feu.
Il la pénétra d'abord lentement et l'embrassa sur la bouche en ondulant légèrement. Sous lui, le bassin d'Odile venait à se rencontre. Il passa des yeux émeraude aux deux outres gonflées rejetées de chaque côté du torse qui, sous l'effet du rythme crescendo de sa pénétration, s'agitèrent comme des vagues. Il l'embrassa encore en tordant ses hanches et les yeux émeraude perdirent leur éclat. Il fit crépiter sa bite comme des balles de mitraillette et il sentit, à la manière dont la rousse lui griffait les flancs, qu'elle perdait complètement pied. Il creusait, labourait, forait, fouillait, fouaillait cette chair brûlante et mouvante qu'il conduisait virilement à un orgasme ravageur. De la gorge d'Odile sortait un mélange de gargouillis, d'encouragements, d'exclamations, d'approbations et même une expression triviale que n'aurait pas daigné Corinne :
- Allez, vas-y, jusqu'aux couilles !
La pression d'un de ses talons sur ses reins eut raison de la résistance de Félicien et il éjacula dans la capote pendant qu'elle se tordait en couinant. Il l'avait fait jouir, c'était clair et net. Un regard vers le mari lui enseigna qu'il avait joui aussi en se paluchant. Sa main était pleine de son sperme, beaucoup moins copieux que celui du jeune homme. Félicien se retira lentement, décollant sa peau transpirante de celle de son ancienne prof, qui haletait encore comme après un sprint. Elle lui sourit, reconnaissante. Il s'assit sur le canapé, un peu abasourdi par ce qu'il venait de vivre et qui ne ressemblait à rien de ce qu'il avait déjà vécu.
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Comme c'était le temps des vacances, Félicien et son pote Kevin décidèrent de prendre un peu le large sur la côte. Tous deux préparaient un concours et ils ressentaient le besoin de se changer un peu les idées avant les épreuves. Bien entendu, ils draguèrent. Félicien fit la conquête d'une Daphné avec laquelle il coucha au bout de deux jours. Elle était mignonne et gentille et il lui fit l'amour plus qu'il ne la baisa. Rien à voir avec les relations torrides entretenues avec Corinne et Odile. Lorsqu'il retourna au bercail, une liaison était née avec la jeune fille. Mais si son coeur était pour elle, sa queue n'oubliait pas les deux volcaniques "matures" énervées du vestibule. Daphné était rétive du petit trou et ce n'est pas avec elle qu'un tiers se serait mêlé à leurs ébats. Il comprit que sa vie allait devenir compliquée s'il voulait garder l'une et les autres. Heureusement, il obtint son concours qui l'éloigna de ses bases vu que son école était éloignée de son domicile... mais pas de celui de Daphné. Et c'est ainsi que, peu à peu, celle-ci prit le pas sur les deux maitresses, fort déçues de voir s'éloigner un pareil chevalier servant. Elles savaient de toute manière que cette relation ne pouvait être qu'éphémère. Et comme la nature a horreur du vide, Félicien trouva très vite ses remplaçants, aussi jeunes et aussi fringants que lui. Et aussi amateurs de femmes mûres portées sur la chose...
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