La Bonne Branlette...
Le hasard a fait que ce jour là je croise Jeanine. Je suis peu fier davouer que jai tout fait pour léviter. Mais cétait sans compter sur sa volonté de me voir. Sempressant pour cela de traverser la rue pour venir à ma rencontre.
- Bonjour, Alain. Me fit-elle en se plaçant devant moi.
- Tiens
bonjour Jeanine. Jouant létonné.
Je lui ai donné les bises dusage. Les siennes claquaient bien.
- Vous allez bien ? Mai-je obligeais de lui dire.
- Oui, merci. Ma-t-elle répondu. Sauf que jai les toilettes qui fuit.
Jen étais sûr ! Elle avait toujours quelque chose qui clocher chez elle. Et comme je ne lui faisais jamais payé mes interventions, sachant que sa pension nétait pas très élevée, elle profitait avec démesure de ma gentillesse. Et elle savait parfaitement que je ne lui refuser rien. Et ce jour là comme les autres, jallais céder à sa sollicitation. Dailleurs, elle nattendait que ça. Me regardant dun air dépité, pendu à ma bouche. Sachant très bien ce qui allait en sortir.
- Juste après le déjeuner, cela vous va !
- Oui. Parfait pour moi. Il faudrait que vous me disiez un jour ce que je vous dois. Il nest pas normal que je ne vous paye pas ! Je ne suis pas ce genre de personne. Tout travail mérite salaire.
Parole, et paroles, que des paroles.
- Bien Jeanine, nous parlerons de ça plus tard, si vous le voulez bien.
- Il faudra un jour en parler tout de même.
- Oui, mais ce nest pas le moment, Jeanine !
Et cest que ce dernier mot quand sest séparé.
À lheure dite et avec le nécessaire adéquat, jai appuyé sur le bouton de linterphone. Il y eu un déclic et la porte souvrit. Je lai poussé, assez pour pouvoir y entrer. Jeanine toute florissante dans sa robe en jean, mattendait sur la troisième marche de lescalier qui en possédé cinq. Elle était très contente de me voir. Cela se lisait sur son visage.
- Comme toujours, vous êtes vraiment ponctuel.
Après examen, je me suis saisis, et jai dévissé lécrou récalcitrant, avec la ferme intention de mappliquer, pour que dans les jours prochain, je nai pas à subir de nouveau une visite chez Jeanine.
Mais alors que je maffairais seul dans les toilettes, à colmater la fuite, mon regard ne put résister à se poser sur la large culotte blanche qui séché sur le radiateur.
Et comme pareil dans pareille cas, une très subite envie de me faire tripoter, me submergea. Javoue quil ne men fallait pas beaucoup chez moi pour faire grimper ma libido. Et dans ses moments là, sous mon crâne, il y a toujours une idée qui germe.
Et cest pour la réaliser que jai avalé trois verres deau de suite, et que jai par la suite cherché dans ma boite à outils la pâte à joint bien grasse et men je suis mis avec exagération sur les doigts. Voilà, le tour était joué. Il y avait plus quà faire venir lintéressée.
- Jeanine, vous pouvez venir un instant, jai besoin de vos services.
Elle est arrivée peu de temps après. Le sourire aux lèvres.
- Oui
- Jaimerais que vous me rendiez un petit service.
- Oui
fit-elle, contente de se sentir utile. Riant bêtement, comme elle en avait lhabitude.
- Jai une envie naturelle et je ne peux pas
lui montrant mes doigts souillés de crème noir. Vous voyez !
-
Je ne comprends
me bafouilla-t-elle.
- Jai tout bonnement besoin de votre main droite pour extraire ma que
Enfin ma verge de mon pantalon pour me permette de pisser.
Elle avait lair offusqué.
- Mais
je ne peux pas faire cela
cest
- Arrêtez sil vous plaît Jeanine, la coupais-je. Nous sommes seul tous les deux. Jai une envie de pisser et je vous demande une faveur. Celui de me permettre de me soulager.
Elle est restée une seconde à me regarder, se demandant si jétais sérieux, sur le coup.
- Cest urgent Jeanine ! Je ne vais plus pouvoir attendre.
- Essuyez-vous les mains ! Ma-t-elle lancé.
- Et puis quoi encore. Je vous préviens Jeanine que si je dois me laver les mains cest pour partir. Vous mentendez, je fous le camp. Et vous vous démerderez avec votre fuite !
Puis dun pas hésitant, elle est venue jusquà moi. Elle est restée immobile une dizaine de seconde, les yeux perdus dans le vide. Puis sarrachant à ses pensées, et sans prendre la peine de regarder ce quelle faisait, elle a posé sa main droite sur ma braguette. A tâtons elle a descendu la fermeture Eclair. Puis à glisser sa main dans louverture. Pour mon plus grand plaisir, elle sest saisie de ma queue quelle a tirée à lextérieur. Je nai pus résister de mintéressé à ses faits et gestes. Elle sest exécuté avec un regard fuyant. Lorgnant tout autour delle, sauf ce quelle tenait dans la main.
- Regardez ce que vous faite Jeanine, vous allez en mettre partout.
Ce forçant à baissé son regard, elle ma alors piloté, jusquà ce que ma verge soit placé au-dessus de la cuvette. Il était temps pour moi de me concentré à faire vidangé ma queue. Après quelques gouttes, un flux épais est venu frapper la surface de leau dun bleu marin. Je nai jamais été aussi heureux de faire autant de bruit en pissant.
- Vous ne savez pas comment je suis content de votre aide, Jeanine.
Trop scandalisé, elle na même pas prit la peine de répondre. Ce centralisant sur ce quelle effectuait. Le flux a tarie peu à peu pour devenir que goute à goute. Pensant quelle en avait fini avec moi, elle a prit linitiative de remettre ma verge où elle lavait trouvé, dans son nid. Mais cétait loin de me satisfaire.
- Oh la
oh la ! Pas si vite. Voyant vous ne savez pas quil faut la secouer, et lessuyer avant de la remettre dans son lit. Il reste toujours quelques goûte dans le tuyau. Vous allez tâcher mon slip, merde !
- Quest-ce que je dois faire. Je ne sais pas moi ?
- Vous la secouez quelques instant et vous lessuyez ensuite à laide de feuille de papiers.
Jai sentis quelle nétait pas aussi heurter quelle le faisait paraître. Je dirais même que la coquine était heureuse de pouvoir de nouveau me garder en main quelques instants en plus. Très vite sous son contact et sur ma volonté, ma verge a prit peu à peu du volume pour en devenir une queue bien dur.
Elle a porté sa main libre jusqu à sa bouche, les yeux grands ouverts.
- Cest malin Jeanine ! Comment je fais à présent pour la replacer dans mon pantalon ?
Elle a louché en regardant la chose dur quelle tenait en main.
- Mais
mais, je ne sais pas quoi faire.
- A votre avis. Vous navez pas me faire croire que vous navez jamais branlé personne Auparavant ?
- Non ! Enfin, oui mon mari, mais ça remonte à mathusalem.
- Et alors ? Ce nest pas si vieux mathusalem, il vous suffit de faire la même chose.
- Et pourquoi moi ?
- Et pourquoi pas vous ! Il y a quelquun dautre dans la pièce que nous ?
- Non !
- Alors exécution Madame.
Même gauchement, jai pris plaisir à me faire masturber par Jeanine. Ma queue était enflée comme jamais. Mes gémissements coupaient le silence. Ce qui lencouragé de mieux sappliquer. Ma verge, dune rigidité engageante, demandait à cet instant, mieux quun vulgaire branlage.
- Jeanine, vous savez peut-être pas, mais dans létat où je me trouve, je ne serais pas contre de vous la mettre où vous désirez. Dans la chatte ou dans le cul. À moins que vous préférez lavoir dans la bouche.
- Mais pour qui me prenez-vous !
- Bon si vous le prenez comme ça, jexige de votre part que vous retireriez votre culotte ! Oui votre culotte que vous allez me placer sous mes narines, pour que je sente les odeurs de votre chatte.
- Mais vous êtes tombé sur la tête mon cher ami !
- Exécution Jeanine. Cest ça où je vous viole.
- Bon
bon !
Elle ma lâché la verge quelques instants, le temps de retirer sa culotte.
- Je veux le côté qui à toucher la chatte.
- Alain, ce nest pas bien ! r dune pauvre mamie. Fit-elle en scrutant sa culotte.
Une fois trouver elle me la porta jusquaux narines. Elle était odorante à souhait, me donnant des frissons. À me donner de sale pensée.
- Vite Jeanine branle-moi ! Passant au tutoiement.
Elle ma pompé la verge magnifiquement. Faisant aller et venir sa main dessus. La jouissance ma arraché une horrible grimace. Que le reflet du miroir ma renvoyé. La bouche grande ouverte, jai tiré la langue. Alors que la main de la vieille toujours amarrée sur ma verge, la faisant giclée.
Le méfait terminé, sans un mot pour moi, elle a disparut, avalée par le couloir me laissant seul, à cuver mon plaisir. Je me suis essuyé les doigts avec du papier chiot. Je me suis ensuite rajuster avant de finir le pourquoi jétais venu. Ensuite jai rassemblé mes outils. Ceci fait jai pris sans me faire prier, et peu fier de moi, le chemin de la sortie. En passant devant la cuisine, jai surpris Jeanine en train de saffairer à préparer le déjeuner. Je lai salué et jai refermé la porte derrière moi.
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