Collection Zone Rouge. Addictions (1/1)
- BB, jai essayé de tappeler sur notre ligne fixe, cétait impossible.
Javais un disque me disant le manque dabonner au numéro demandé.
- Je suis bête Marc, jai oublié de te dire que cette ligne je lai fermé.
- Pourquoi ?
- Depuis six mois que nous sommes mariés et que tu mas demandé de moccuper de nos dépenses bordéliques au point de te mettre dans le rouge tous les mois, jai travaillé pour faire des économies !
- Embrasse-moi Louise, jai bien fait de tépouser, tu es la femme parfaite.
Jadore le parfum de ton chum gum à la menthe.
Marc me prend dans ses bras et membrasse tendrement.
Jai une libido assez débridée et jaime quand ça commence comme ça.
Mais je tiens à lui faire voir la bonne gestionnaire quil a épousée.
- Attends, je texplique.
Jai pris une grande feuille, jai pris nos comptes, dun côté recettes, de lautre dépense.
Tu me suis.
- Bien sur BB.
- Arrête, je finis de texpliquer après on va dans notre chambre, sur le canapé, sur la table de la cuisine et tu me prendras comme tu sais si bien le faire.
- Cest pour ça que je tai épousé mon amour.
- Voilà, dans nos dépenses, je vais te donner trois exemples de nos dysfonctionnements.
Le journal tu es abonnée depuis des années, ils me servent quand jépluche mes légumes, Marc, depuis combien de temps, restent-ils dans la panière à journaux sans être lu ?
- Cest vrai, je métais abonné du temps ou je jouais au football, les convocations étaient dessus.
Javais besoin de savoir lheure du départ.
Pour le reste, le lieu du match en début de saison, le district nous donnait un tableau des lieux et des dates.
Depuis mon travail mobligeant à partir du Dimanche soir jusquau vendredi comme aujourdhui, jai arrêté de jouer sans arrêter labonnement.
- En moyenne 1 en semaine, 1,5 les dimanches avec les suppléments qui sentassent dans notre garage, environ 400 déconomie par an, la moitié dune semaine de vacances.
Lautre moitié, cest notre ligne fixe, nous la payons sans jamais nous en servir ou rarement.
Je lai donc clos, nous avons nos portables même si deux fois tu mas appelé, comme hier, jétais en panne de batterie.
La troisième, mon forfais, javais un portable avec beaucoup doption, jai changé dopérateur, il nous coûte 2 par mois.
Tu vois, je fais, moi aussi des efforts, au total 1 200 de gagner chaque année.
100 par mois, nous sommes en équilibre.
Et si nous allions prendre un bain, tu sens la sueur et tu sais que jai horreur de ça.
Cest ainsi que jarrive à embobiner Marc, la ligne de téléphone étant un obstacle à mon addiction.
Je suis alcoolique.
Ça a commencé à dix-sept ans, Josette une amie ma invité chez elle, elle travaillait déjà étant un peu plus âgée et avait son logement en ville.
Je la connaissais du temps ou moi aussi je faisais du sport, de la gymnastique aquatique comme dans le film « Le grand bain ».
Jusquà ce jour, lalcool métait inconnu, elle a voulu que je boive un verre de Martini.
Jai aimé, est-ce la bouteille que jai presque sifflée, mais je me suis retrouvé dans son lit à me faire bouffer la chatte.
Jai aimé, jétais vierge et ce sont ses doigts qui mont défloré.
Inutile de me demander si jai eu mal, le lendemain quand jai émergé javais une gueule de bois qui a duré trois jours, ma tête allant éclater.
Pendant deux semaines plus une goutte, jusquà son anniversaire où elle a voulu que je reprenne un verre.
Même produit, mais à la longue plus de maux de tête.
Javais de largent de poche, je buvais en cachette à la maison dans ma chambre.
Jamenais deux ou trois bouteilles quand maman était absente que je cachais dans un faux placard que mon père avait fermé par des aimants.
Tous lavaient oublié sauf moi qui louvrais pour boire un petit coup.
Entre ce moment et le moment où jai réussi à arrêter, ce sont des alcools bien plus fort que je buvais, whisky, vodka, voire du cognac que jappréciais beaucoup.
Je me donnais comme motif que je buvais Français étant ainsi une poivrote mais française.
Jai été obligé darrêter mes études, pour moi aussi travailler, mon état que je cachais à merveille à tous mempêchant détudier.
Hélas, le marché du travail posait quelques problèmes et je restais à la maison.
Je venais de rencontrer Marc un jour où jétais sobre et rapidement je suis tombée amoureuse.
Il me satisfaisait pleinement, au lit, cétait un sacré baiseur, jai beaucoup aimé sucer sa verge dun bon calibre.
Jai arrêté de boire jusquà cette semaine, ou il ma quitté pour faire sa tournée comme je lai dit du Dimanche soir au vendredi soir.
Il venait de trouver un poste de technicien du service matériel dans une société américaine bien connue qui soccupe de produit argentique.
Il entretient les machines chez les labos de développement privés ou hôpitaux.
Cest le deuxième jour où jétais seule alors que Marc était à Clermont-Ferrand que jai craquée.
Au départ, je suis descendue acheter une bouteille, je me cuitais et je jetais les cadavres avant son retour, mangeant de la menthe pour cacher tous goûts de ce que je buvais.
Il me fallait des doses de plus en plus fortes, doù notre problème de budget que jai résolu jusquà la semaine ou jai trouvé un autre moyen de boire gratuitement.
Je me rends dans un bar dans une petite rue discrète à deux pas de chez nous.
Jétais au bar dans ma tenue la plus sexy.
Javais mis mon porte-jarretelle maintenant mes bas que je montrais à lhomme à mes côtés.
- Je vous offre un verre mademoiselle.
- Merci, cest sympa.
Jai bu, un, puis deux whiskys.
Je me suis levée pour partir, lhomme ma retenue par le bras et ma parlé à loreille.
- Salope, tu mallumes, je te paye deux verres et tu te tires en me disant simplement merci.
Viens dans ma chambre, je suis dans lhôtel voisin, je vais te baiser.
Cest comme ça que la première fois, jai été obligé de craquer surtout quand il a parlé au serveur.
- Vendez-moi une bouteille de whisky.
Le gars lui a vendu et moi pour un verre de cette bouteille de whisky, jai commencé à me vendre.
Dès que nous avons été dans la chambre, jai voulu un verre.
- Tu rigoles, tu baises, je te récompense, si je te donne à boire, tu vas être saoul et tendormir.
Il a raison, souvent quand je picole, je mendors assez rapidement.
Ça été le cas le jour de mon mariage, javais beaucoup bu, de champagne.
Même si je dansais avec les témoins de mon mari de façon assez impudique, je me suis donnée à lui sans bien me rendre compte que pour la première fois les doigts de ma copine étaient remplacés par une queue.
- Suce salope.
Cest ce que ma demandé le garçon dont joublierais à jamais le nom.
Je me suis retrouvé sa bite en bouche, aucun problème, sucé chatte et verge, je faisais ça très bien à ce que lon men disait.
Sucer, puis simplement ma petite culotte enlevée avant décarter les cuisses.
Au matin, je me suis retrouvée seule quand on a frappé à la porte pour faire la chambre.
Rentrée à la maison, javais un message de Marc me disant quil avait appelé pour prendre de mes nouvelles.
Un simple SMS dexcuse a réglé le problème.
Putain de problème de batterie.
Le lendemain et tous les jours de la semaine avant son retour, jai pris des bitures mémorables et des sexes en moi à différents endroits.
Je me vendais une nuit pour une bouteille de whisky.
Un verre de vodka et je descendais dans les chiottes sucer celui qui me lavait offert.
Le barman voyant la chienne que je devenais a voulu, lui aussi profité de la situation.
Il avait un lit à larrière de son bar où il dormait quand il était trop fatigué pour rentrer chez sa femme.
Il venait préparer son bar à 17 heures, jétais là, il moffrait mon premier verre.
En échange, cest en levrette que je me plaçais sur son lit.
Position quil affectionnait et qui me permettait de boire le verre quil mavait donné pendant quil me pilonnait.
Dès que Marc était présent, je devenais sobre, jusquà son départ ou je replongeais dans ma débauche.
Un matin, je me suis regardé dans ma glace, je me suis fait peur.
Jallais me retrouver à tapiner, inexorablement Marc allait sapercevoir que je buvais mon visage se marquant de plus en plus.
Alors cest décidé, comme ceux qui fument, je décide que lalcool sest terminé.
Plus un verre, juste de sodas, grâce à une association dalcooliques anonyme qui maide ?
- Louise venez recevoir votre médaille dès un an à rester sobre.
Je suis seule quand je la reçois, je suis venue toute lannée, Marc ignorant quoi que ce soit.
Le soir je vais fêter ça.
- Je vous offre un verre mademoiselle.
Jacques, le barman se marre, il connaît ma réponse.
- Monsieur un soda si vous voulez, mais si vous préférez aller ou vous voulez me baiser, je suis partante.
Jai arrêté de boire, cest vrai, mais je suis de plus en plus dépendante du sexe.
De mon sexe.
Il me faut ma dose de baise dès que Marc est parti même si pendant le week-end il men a mis plein la chatte.
Jacques a toujours mes faveurs, à ce jour, cest le mieux monté de tous.
Il ma même appris la sodomie me permettant en méclatant lanus de le faire avec Marc pour son plus grand plaisir.
Cette semaine, jai même fini ma nuit dans la chambre dune femme de 58 ans de passage chez nous.
Elle travaille dans une entreprise de transports comme secrétaire et était là pour une formation.
Jai retrouvé mes jeux avec Josette.
Deux fois, jai baisé avec deux mecs, double péné, jadore.
Si vous aimez, contactez-moi, je donnerais suite.
Je mexcuse, je suis prête à descendre, un regret à ce jour, aucun black à mon tableau de chasse, mais je garde le moral.
Marc venant de signer son CDI définitif de responsable du service de matériel sur le large secteur du centre de la France, environ 220 000 kilomètres carrés.
Plus besoin de chercher du travail, nos finances sont saines.
Seul mon addiction au sexe est un problème, mais pourquoi arrêter, des baiseurs, il y en a plein les rues.
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