6 A La Plage 03
6 A LA PLAGE 03
François : On a loupé quelques chose ?
On était quatre à pouffer de rire. Alain se tournait vers Denis
Alain : Alors toi je te préviens tu vas te prendre de quoi dans le cul ce soir !
Avec Clic je passais sous la douche, là on continuait nos câlins, je ne bandais plus dans ma cage, je me détendais enfin. J'avais passé la journée sous pression mais là ça allait mieux et je me sentais bien, terriblement bien !
Clic ne bandait plus non plus et je le sentais détendu.
On sortait de la douche, on se séchait puis je l'entraînais dans le garage, j'y ai installé un petit atelier.
Moi : Tu connais ta taille.
Clic : J'ai déjà essayé un truc mais il était trop petit.
Moi : Le cock-ring ?
Clic : Au moins cinquante millimètres ! Mais on me dit que c'est trop, que je me trompe probablement !
Moi : Pas ment, le miens en fait cinquante deux
Clic : Ah !
Je lui passais un anneau de cette taille.
Clic : C'est pas vrai, tu as un autre modèle !
Moi : Juste un, mais j'ai l'impression que tu chausses comme moi !
Il enfilait l'anneau, ça lui allait bien. Je le regardais faire, il le faisait jouer, glissait un doigt à l'intérieur.
Moi : Finalement je crois que c'est ce qu'il te faut !
Je vérifiais moi aussi son anneau, un doigt passait juste sans avoir besoin de forcer mais il ne bandait pas donc ça devait être bon. Je lui donnais la cage en lui expliquant comment ça marchait. Il avait déjà vu sur internet mon dispositif et savait déjà tout. Il l'examinait longuement sous tous les angles. Ensuite il y glissait sa queue, il ne bandait pas mais j'avais comme l'impression qu'il ne fallait pas traîner si on voulait absolument l'éviter. La cage en position, sa queue la remplissait déjà, il bandait. C'est une réaction normale, surtout la première fois.
Pour terminer je verrouillais le dispositif. Il me regardait l'air un peu surpris.
Moi : Voilà !
Clic : Je ne m'y attendais pas .
Moi : Mais c'est ce que tu voulais ?
Clic : Oui mais
Et
C'est tout ?
Moi : Bein, si c'est moi qui contrôle
Je dirais oui ! Vous repartez dans un mois, tu portes ce dispositif à titre d'essais. On va prendre en compte tous les ajustements nécessaires, et un peu avant votre départ tu auras un modèle à toit, un peu différents, ils sont tous différents mais dans le même genre
Clic : Et je le retire quand ?
Moi : Bein, tu ne le retires pas !
Il me regardait l'air bête, puis regardait son dispositif.
Moi : Bon on rejoint les autres ?
Je partais en direction du jardin, il me suivait. Quand ils l'ont vu c'étaient des cris de surprise et d'approbation.
Alain : Enfin tu t'es décidé !
François : Mais c'est que tu est très mignon comme ça !
David : Génial ! Depuis le temps qu'on voulais te voir comme ça !
Clic : Je vous plais comme ça ?
Alain : Tu es notre vide-couille, au moins comme ça les choses sont claires ! J'adore !
Chacun lui donnait un baiser sur les lèvres.
Denis regardait ça. Il avait l'air perplexe.
Denis : Il s'est décidé vite je trouve.
Moi : Il y pensais depuis un moment.
David : Ça faisait un moment qu'on le lui suggérait.
François : Il hésitait l'animal, il n'y avait pas moyen de le décider.
Clic : Ouai d'accord mais, c'est vrai que j'y pensais depuis un moment.
Pendant le reste de la soirée, Clic était le centre d'attraction de tout le groupe. Il passait dans les bras de l'un et de l'autre. Ses trois camarades lattrapaient, le faisaient danser dans leurs bras et là c'était un échange de câlins.
Denis et moi nous regardions, on bandait ferme dans nos cages.
Pendant ce temps on mangeait. Alain surveillait la cuisson des saucisses et caressait avec grande douceur le corps de Clic quand il passait à sa portée sans lâcher des yeux le barbecue.
Ma queue protestait et régulièrement je réajustais mon dispositif. J'admirais ces trois bites qui pouvaient se redresser, alors que les trois autres dont la mienne restaient confinées sans espoir. Le plaisir on nous le donnerait, ils nous le donneraient quand ils l'auraient décidé mais pour le moment toutes les attentions allaient à Clic.
C'est François qui le serrait dans ses bras, je voyais Clic de face, dans son dos, François lui caressait ventre, sa peau foncée sur la peau blanche de Clic faisait un contraste qui me troublait. Ma cage à bite se relevait avec force, c'est en tout cas ce qu'elle croyait. C'était pathétique ! C'est la queue de François qui apparaissait entre les cuisses de Clic, juste en dessous son dispositif de chasteté et lui soulevait les couilles.
C'est David qui tirait ensuite le petit Clic vers lui. Denis regardait le spectacle l'air idiot, il avait la bouche ouverte, aucun son n'en sortait. Sa cage de chasteté se relevait d'une manière tout aussi pathétique que la mienne. Il ajustait lui aussi, son dispositif. Tout comme moi c'est au niveau de l'anneau qu'il semblait avoir le plus de mal.
On avait bien mangé, on n'avait pas parlé. On se contentait Denis et moi de regarder la scène en bavant d'envie.
David invitait Clic à se pencher en avant, en le guidant de la main, se lubrifiait la queue et en nous lançant un large sourire prenait position. Avec fermeté, force et douceur il l'enfonçait sur toute sa longueur jusqu'au moment ou son ventre s'écrasait sur les fesses de Clic.
David se penchait contre Clic, le serrait dans ses bras et l'embrassait avec douceur autant qu'avec passion. Ces baisers ne couvraient pas les gémissements de Clic. David se retirait puis revenait avec lenteur, dans un mouvement ample et retenu.
Le mouvement accélérait et à chaque fois qu'il se terminait, à chaque fois que sa queue s'enfonçait en entier entre les fesses de Clic, David balançait un coup de bassin qui à chaque fois devenait plus violent. Clic gémissait sans s'arrêter maintenant.
La main de David attrapait fermement le sexe de Clic à sa base et le remuait avec force.
François s'approchait alors, il se plaçait face à Clic et enfonçait rapidement dans sa bouche sa queue qui bandait fermement. François n'y mettait aucune tendresse, il appuyait sur la tête de Clic et poussait sa queue jusqu'au fond de la gorge de son ami qui là ne gémissait plus, ne disait plus rien, ne pouvait plus rien dire.
Clic semblait prendre beaucoup de plaisir à cette situation, ce n'était pas la première fois qu'il se retrouvait dans cette situation. C'est vrai que c'était lui le vide-couille des trois autres et sa situation de nouveau porteur du dispositif le confortait dans ce statut.
David accélérait le mouvement et c'est avec des gémissements puissants qu'il se lâchait et jouissait dans le cul de Clic. François appuyait sur sa tête et lui balançait des coup de bassin dans la bouche.
David se retirait et c'est Alain alors qui le remplaçait. Il enfonçait sa queue rapidement, Clic était détendu, enfin son cul était détendu bien dilaté et ça rentrait tout seul. Quelques cris étouffé, quelques gémissements et Clic encaissait en silence les coups de bassin balancés fermement et avec rapidité autant qu'avec violence.
François guidait la tête de Clic et se lâchait sur sa bouche, sa queue entrait jusqu'à la garde puis ressortait puis rentrait de nouveau, dans son cul, Clic en prenait autant, Alain lui limait le cul de toutes ses forces.
Si Clic remuait trop les bras François en saisissait un et le lui retenait dans son dos, Alain lui retenait l'autre bras.
Denis et moi ne bougions, ne respirions plus nos deux dispositifs de chasteté tentaient de se redresser. A côté des trois étalons qui se défoulaient sur leur camarade c'était à pleurer, nous étions ridicules, nos deux queues enfermées était ridicules. C'était frustrant, humiliant mais surtout frustrant, jouissif mais frustrant.
François gémissait à son tour et quant il se retirait de la bouche de Clic, on pouvait constater qu'il avait joui, Clic bavait et ce n'était pas que de la salive.
François : Allez avale !
Clic refermait la bouche et on pouvait le voir avaler, de profil je voyais les mouvements de sa gorge quand il avalait. Alain semblait s'énerver, ses coups de butoir devenaient encore plus violent, Clic gémissait.
Alain gémissait et finalement la grimace qu'il affichait et les coups de bassin particulièrement violent faisaient savoir qu'il jouissait lui aussi ! C'était beau à voir. Denis ne disait plus rien mais je devinais que tout comme moi il aurait aimé être là, à la place de Clic. Il avait toujours la bouche ouverte, le souffle fort mais silencieux
Franchement il avait l'air con ! Mais il ne faut pas que je me moque, je devais être dans le même état que lui et je ne devais pas avoir l'air plus malin non plus
Tout le monde reprenait son calme. Le plus dur c'était pour Denis et pour moi, et pour cause. On avait été témoin d'un spectacle chaud, terriblement chaud, et on n'avait du rester sur la retenue, uniquement sur la retenue. Pas un câlin, pas une caresse, on était resté là tous les deux comme des cons. Je passais ma main sur mon torse, mon cur frappait contre mes cotes comme pour sortir, ma queue poussait contre ma cage
Ouai pareil, comme pour en sortir
Mon souffle était intense et j'avais l'impression que mes cheveux étaient en train de tomber de ma tête
Les trois loustics étaient ravis et le manifestaient. Clic était sur les rotule, il retrouvait rapidement le sourire mais il était calmé et ne disait plus rien de tout le reste de la soirée.
David et moi avions pensé un moment qu'on y aurait droit nous aussi, on l'avait même espéré. Après tout ils sont trois avec des bites de monstres, on est trois avec une cage de chasteté. Le compte était bon ! Et bien non, c'est Clic qui avait eu droit à la totale et nous ceinture.
Remarquez, ceinture, quand on parle de dispositif de chasteté on dit souvent ceinture de chasteté
Alors ceinture pour nous, on l'avait cherché !
Et peut être même mérité de fait !
Pendant le reste de la soirée, autour du feu on discutait, on riait, on parlait fort
Les bières se suivaient, Clic reprenait des couleurs mais restait calme, il s'était blotti dans les bras de François, précisément là ou j'aurais bien aimé me retrouvé mais bon
J'avais dans mes bras mon doudou Denis. J'aime bien le contact tactile avec Denis. Je le caressais et à chaque fois que ma main s'attardait sur sa cage je pouvais constater qu'il était dans le même état que moi
Tendu !
Plus tard dans la soirée, tout le monde allait se coucher, Denis et moi dormions ensemble, comme d'habitude. J'ai eu du mal à m'endormir, on à fait un câlin mais on s'est limité à ça, juste un câlin, on était fatigué. Ce début de saison touristique était encourageant mais ce n'était pas nous qui tenions les commandes.
C'était terriblement excitant, on avait la tentation à portée de main, et une tentation , je ne vous dit pas un truc terrible. Enfin trois trucs terribles. Trois bites et les corps qui vont avec ( heureusement ) et l'ensemble était tellement beau à voir.
Au petit matin, j'étais debout, j'avais mal dormi, ma queue ne se calmait pas, c'était l'érection du matin. François apparaissait en premier dans le jardin. Ma queue se révoltait de toutes ses forces, là ce n'était plus une simple protestation comme j'en l'habitude, c'était une révolte. Des bourrelets de peau se formaient aux ouvertures d'aération, c'était inconfortable et mon dispositif se relevait presque à l'horizontale.
François avec son élégance naturelle se déplaçait avec légèreté dans le jardin, il passait sous la douche. Celle qui est juste à côté de la piscine, il y a une petite piscine hors sol, je ne sais plus si je vous l'avais dit.
Il se frottait tout le corps, sa queue longue, large et de belle taille pourtant il ne bandait pas, se balançait à chacun de ses mouvements. Je bavais d'envie, je voulais me jeter dessus, me mettre à genoux, la luis sucer, me la prendre dans la bouche avant de me la prendre dans le cul. Je l'imaginais en forme, dans mon dos me serrant contre lui, sa queue se relevant entre mes jambes puis sa queue me pénétrant lentement, avec force, le cul. Je rêvais de son ventre, s'écrasant contre mes fesses. J'étais comme en apnée, mon cur battait avec force. Il me regardait et me lançait tel un rayon de lumière un sourire éclatant.
Je ne bougeais pas, je lui répondais par un sourire.
Il y avait à la maison trois mecs canons, monté comme des ânes et trois mecs pitoyables qui portaient un dispositif de chasteté. Chacun connaissait sa place. Et sans qu'on n'ait rien dit un accord tacite s'était imposé, ce n'est pas nous qui choisirons .
C'étaient eux qui décideraient si, quand, qui, ou et comment ! Nous avions accepté, nous avions même voulu cette situation.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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