Femmes Mariées De Roumanie - Un Triolisme Non Planifie
Coquines de Roumanie - Quand les femmes mariées de 30 ans deviennent folles
Qui aurait pensé qu'une délégation insignifiante deviendrait un trio sexuel éhonté?
Dans lequel deux femmes mariées ses débauchent comme de stars pornos?
Tous les trois étaient partis pour la délégation.
Lui, c'était M. Werner, le chef du service commercial, 46 ans, et elles, les employees, c'est-à-dire Isabela et Maria, deux économistes de 30 ans, mariées.
Isabela la brune - était la plus timide. La rousse Maria, la plus coquine.
Deux femmes, pas très grandes, pas jolies mais proportionnées.
Des laides avec des jolis corps.
Isabela était très sage et timide, tellement, que ses collègues la surnommaient ironiquement la sainte Vierge.
M. Werner était un monsieur mature aux cheveux gris, maigre, avec une voix chaude, poli et bien élevé qui rendait les femmes folles. Il avait une peu le visage d Alain Delon.
C'était en fait un symposium qui s'est terminé plus tôt et tous les trois se sont retrouvé ce matin d'avril pluvieux, dans l'hôtel, n'ayant rien à faire.
Vers 9 heures, M. Werner frappa à la porte de la chambre de ses collègues, pour une café et Isabela ouvrit. M. Werner entra dans la pièce, inhalant avidement l'odeur des femmes, du déodorant et de folliculine.
Deux jeunes femmes dans la trentaine dans un hôtel. Comme c'était excitant.
Dans la petite pièce, Isabela préparait un café, en pyjama rose, pieds nus.
Sa collègue, Maria, était sous la douche et M. Werner entendit l'eau couler - avec excitation.
Sur le fauteuil, il regardait donc les pieds d'Isabela, pieds de femme, nus, petits, aux chevilles fines et aux ongles vernis roses, et par-dessus le bruit de l'eau de douche ou une femme nue se lavait. En quelques secondes, une énorme érection, explosa sous son ventre, erection qui devint embarrassante et très visible à travers son pantalon d'été.
Il prit une gorgée de café et regarda Isabela, la sainte Vierge.
"Que ferions-nous chéries toute la journée aujourd'hui?"
Elle sourit. Elle était ébouriffée, adorable, et ses seins nus pouvaient être vus à travers le décolleté de son pyjama.
«Je ne sais pas, M. Werner. Je ne sais vraiment pas ... ".
L'érection de M. Werner était maintenant très indécente, et Isabela la vit et rougit.
Il ne savait pas que toute la nuit les deux femmes avaient fait des aveux sexuels, une a l'autre, toutes deux découvrant qu'un grand fantasme mutuel serait de regarder «en direct » une femme en train de copuler.
Il y avait donc une grosse vague sexuelle dans l'air. Il pleuvait dehors. L'hôtel était vide.
Au bout de 10 minutes, Maria est sortie de la salle de bain, seulement en peignoir. Apportant avec elle l'odeur du savon et du déodorant Impulse.
"Bonjour chef." Comment allez-vous?"
Elle avait des cernes. Elle s'assit sur l'autre chaise et alluma une cigarette. Ses pieds nus étaient sous les yeux avides de M. Werner. Et les jambes: Magnifiques, blanche, fines et épilées. Avec l'odeur du gel douche.
Les deux femmes avaient une attitude étrange.
Des frissons chauds qu'il n'avait jamais ressenti auparavant (bien qu'il ait eu tant d'expériences avec des femmes) ont traversé M. Werner, et son érection devint celle d'un cheval adulte, montrée sans honte devant les deux femmes.
Maria a alors éteint sa cigarette et l'a regardé étrangement et a dit:
«Chef, Isabela et moi nous avons discuté toute la nuit de choses dont les femmes normales ne devraient pas parler. Et un sujet serait le trio de baise. Nous voulons cela. Vous êtes dans nos rêves érotiques, c'est ça la vérité. Ça vous dérangerait si Isabela et moi nous nous déshabillions complètement maintenant? Quoi qu'il en soit, nous n'avons rien d'autre à faire pour le moment. Trois adultes ayant des besoins sexuels... Personne ne le saura.
Elle proposait tout ça comme elle aurait parlé d'une invitation au resto.
Ahuri, M. Werner eut la sensation de se faire plonger dans une eau chaude. Est-ce qu'elle se moquait de sa gueule? Mais sa subordonnée Maria ne semblait pas plaisanter.
«Chère Maria
Mais vous etes mariées
Je ne sais pas si c'est approprié de
Maria changea lentement de jambes et sourit.
«Nos maris sont à 300 kilomètres distance, chef. Et nous sommes seules ici avec vous, qui nous montrez sans vergogne une bite énorme gonflée sous le pantalon. Il faut être généreux, non?...».
Près d'Maria, Isabela, la timide,la sainte Vierge, pendant ce dialogue, était devenue toute rouge, presque comme son pyjama et elle haletait.
Werner vit qu'elle tremblait fortement.
Maria n'était pas timide, elle était coquine.
Maria se lèva et mit rapidement le panneau «ne pas déranger» sur la porte, à l'extérieur.
Puis elle enleva son peignoir, restant complètement nue entre eux.
Elle avait un corps parfait, en dépit de sa cicatrice de césarienne qui pouvait être vue sur son abdomen. Son sexe était complètement épilé avec des lèvres épaisses et gonflées.
Nue, Maria commença à haleter. Ses yeux devinrent troubles.
"Chef... J'ai toujours rêvé de prendre le contrôle dans une orgie sexuelle... À propos, chef, notre timide Isabela, elle m'a dit qu'elle rêve de sucer un homme et de le vider sous les yeux d'une autre. Cela vous dérangera-t-il si elle le fera maintenant?»
M. Werner sentit que sa tête tourne. Il pouvait plus parler. Il essaya d'avaler sa salive.
À nouveau la voix d'Maria resonna dans la chambre:
"Vas-y Isabela, reste nue et caresse le chef. "
Comme dans un rêve, la timide Isabela lâcha sa timidité. Et se transfoema dans une pute de Hustler.
Sans un mot, devant lui, la sainte Vierge enleva son pyjama et, nue, apporta une serviette, et sans hésitation et gracieusement la femme s'agenouilla à côté du fauteuil de Werner et febrilement se mit à ouvrir la braguette.
M. Werner ouvra la bouche en etonnement et, avec des frissons de plaisir inouï, l'aida, et la femme lui baissa les slips sur ses cuisses et dans la seconde suivante, la bite de M. Werner était dehors, exhibée, pulsant vers le plafond, devant les deux femmes nues.
Maria a de nouveau parlé:
"Oooh... elle est grosse votre bite! ... Maintenant, la timide Isabela va vous donner des attouchements de bouche de femme sur cette énorme bite et vous allez éjaculer. Juste sur son visage. Nous voulons voir ça."
Werner gemit de plaisir. Et souleva les hanches. Hésitante et rouge, la timide Isabela fixait la verge decalottee et les testicules gonflées. Elle murmura.
Dieu, faut que je fasse pas ça...
Mais elle demeurait là, nue, à genoux pres du ventre de l'homme.
Après une breve hesitation la sainte Vierge attrapa la verge de Werner avec précaution du bout des doigts, avec une expression de dégoût sur son visage, comme si elle aurait eu att une grenouille.
M. Werner, touché là, leva les hanches et poussa un cri de plaisir.
Les doigts de la sainte Vierge étaient veloutés et chauds. Ensuite, dans la lumière du matin pluvieux, Isabela femme mariee, se mit à masturber la verge arquée, d'un mouvement lent et applique. Pendant que Werner se tordait, comble d'un plaisir aigu, jamais ressenti. En gémissant comme une bete sous la main de la timide qui faisait cette chose de cochonne.
Les yeux d'Maria regardaient avides la scène. Isabela, nue, qui branlait un homme. Ensuite, allongée sur le dos, sur le lit, elle commença à masturber son clitoris avec ses doigts, les yeux fixes sur Isabela et Werner.
Puis Isabela, incitée, passa au second niveau: pencha sa tete vers le ventre de Werner, renifla la bite, qui dégoulinait des filets de pre-ejacule, puis avec sa langue rose, se mit à caresser le gland. Werner cria à nouveau, brièvement.
Sur le lit, Maria fixait la séance de fellation, caressant rapidement son clitoris.
"Ah ... Isabela, t'es plus timide? .... Comment allez-vous, chef? .... Est-ce bien de vous faire soudain lecher pour une jolie petite femme mariee, devenue cochonne pour vous?... Chef vous êtes un superchanceux... Ooooh...".
Werner ne répondit pas: il gémissait sans cesse. L'univers était devenu pour lui seulement ce plaisir donne par la langue de la femme: sauvage et profond. Isabela non seulement mâchouillait désespérément le gland, mais avec deux doigts l'économiste mariée tirait la peau du pénis en bas, en offrant un décalottage rythmique.
Maria se débattait seule sur le lit, ses yeux sur Isabela qui était devenu une lécheuse cochonne.
«Chef... Attendez un peu... Ne vous videz pas encore... Je veux jouir avec vous... Ça vient à moi aussi
Ça me vient... Tout de suite...»
Chez M. Werner, le plaisir inattendu de la langue d'Isabela et la vue de la rousse qui se caressait la chatte sur le lit augmentaient une vague d'éjaculation énorme en lui. Il serra les dents, serra ses muscles anaux, en regardant Maria se caresser sur le lit.
Il réussit une certaine corrélation avec le plaisir de l'autre: au moment où Maria renversa sa tête et commença à se crisper dans les spasmes orgasmiques, et ces petits cris résonnèrent dans la pièce, l'homme il serra fortement ses cuisses, attrapa sa bite à la racine, miaula et grogna... et relâcha sa semence hors de ses glandes, furieusement, avec des grognements de cochon, directement sur le nez et le visage de la fellatrice, qui recut sagement les giclées de cheval qui jaillirent de l'homme qui secoueait sauvagement le fauteuil.
Quand il récupéra du ravin des spasmes il vit Isabela qui essuyait lentement ses joues macules de sperme, et sur le lit Maria, fatiguée par l'orgasme, qui les regardait avec des yeux troubles de plaisir.
Il resta affaisser sur le fauteuil, le ventre nu, les cuisses dégoulinant de semence, avec la verge ramollie exhibée.
Toujours nue et tremblante Isabela se leva.
Fit un autre café, et les deux femmes nues burent du café devant lui. En regardant son sexe.
On pouvait entendre la pluie dehors, toujours la pluie.
M. Werner tremblait encore du plaisir de l'éjaculation anormale. Est-ce qu'il rêvait?
Non, c'était pour de bon. Les parfums melanges des femmes nues etait tres reels.
Au bout de 10 minutes, entre les deux femmes nues, la verge de M. Werner repris vie et redevint arquée et erecte, pulsant de façon obscène, vers le plafond. Comme un salami.
Maria fit un geste de maitresse et Isabela, comme une esclave, se leva, embrassa à nouveau le sexe du chef, et, avec des mouvements lents, se coucha sur le lit, sur le dos.
Aussitôt Maria s'assit sur elle, en sens inverse et en quelques secondes les deux femmes nues et jolies se plongèrent la bouche dans le sexe l'une de l'autre, commençant à ce lecher les clitoris avec luxure, dans un duo de halètements et gémissements.
M. Werner les regarda, passa ses mains ses sur leurs pieds, sur leurs épaules, sur leurs cuisses nues et fesses soyeuses. La pièce sentait la folliculine, le déodorant, la peau nue de femme et le sperme.
Après 10 minutes de lechouillage réciproque, Maria l'a appelé.
«Ooooh
chef... Aidez- moi avec votre bite...»
Il se mit à genoux entre les pieds de la rousse, attrapa ses hanches et poussa lentement son phallus erecte dans la vulve humide et gonflée, qui, en dessous, était caressée sans arrêt par la petite langue d'Isabela, commençant une copulation profonde et bestiale, comble par l'étrange plaisir donné sur ses fesses et couilles. par les doigts de l'autre femme.
C'était la plus effrayante sensation, celle de copuler avec les deux femmes nues enchaînées. En dépit du besoin de se vider, M. Werner pompa la femme avec élan... et réussit à mener Maria vers les spasmes finaux. L'homme continua son va-et-vient tout au long de l'orgasme et à la fin il retira sa verge de la vulve béante et se vida abondamment sur Isabela, qui, avec la tete entre les cuisses de l'autre, recut pour la deuxième fois une charge de semence chaude en plein visage.
Auteur lucius.ro@gmail.com
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