Collection Triolisme. Incroyable (1/2)
- Regarde frérot, mâle ou femelle sous ce costume de Dingo et Clarabelle !
- Pourquoi pas femelle et femelle ou mâle et mâle ?
Cest à une fête costumée où je suis venu avec mon copain Fred que nous nous posons la question.
Tant que ces zozos seront sous ces costumes avec leur grosse tête, Fred et moi serons dans lincapacité davoir une réponse à notre question.
Pour ma part, jai un costume de DArtagnan et lui en toubib, domaine où il fait ses études.
Pour ma part, je suis en dernière année darchitecture et je viens de finir mes derniers examens attendant de rentrer dans le cabinet de notre père où je pense prendre sa succession.
- Aller Fred, chacun pour soi, bonne chance, jespère que tu trouveras chaussure à ton pied.
Une fois dans une soirée, nous nous étions rapprochés de deux filles, sans le savoir nous avions jeté notre dévolue sur la même fille, nous aimons les blondes.
Lune létait, lautre non.
Jai emporté le morceau bien que cette jeune femme ait un corps très harmonieux et notre amitié a failli en être définitivement brisée.
Depuis chacun de son côté, Fred est un tombeur et moi aussi.
Boudin, boudin, boudin, rien que des boudins.
Un verre en main je sors sur la terrasse de ce pavillon de banlieue où a lieu la fête.
Il y a des marches, pour descendre dans le jardin, Dingo est là assise.
Assise, car elle a enlevé sa tête, quelle a posé à ses côtés et regarde la lune briller.
- Je peux masseoir ?
- Oui, cet escalier est à tout le monde.
Putain quil fait chaud dans ce costume, Virginie a toujours des plans foireux.
Foireux, mais blonde avec un visage dange.
Jengage la conversation, 23 ans, maxi, soyons large 25 ans.
- Quel est ton nom ?
- Rosy, jai 24 ans.
- Que fais-tu, es-tu encore étudiante ?
- Non, je suis institutrice dans une maternelle grande section.
Je prépare les petits à bien sadapter à la grande école lan prochain.
De fil en aiguille, nous sympathisons.
La soirée semble pouvoir être prolifique.
- Danses-tu ?
- Avec ce costume, tu rigoles, jignore où est partie Clarabelle, sinon je lui aurais demandé de me ramener.
- Jai ma voiture, si tu le veux, je peux le faire.
- Cest gentil, de tout cur, si dans le quart dheure, ce déguisement absurde est toujours sur mon dos, je vais crever.
Je laide à se relever et après avoir descendu les quelques marches nous rejoignons ma voiture.
Chevaleresque, je suis DArtagnan, je laide à sinstaller lui tenant sa tête.
Sa tête, celle du costume, celle de Dingo.
Elle me guide et cinq minutes après nous sommes près de deux vieux pavillons mitoyens.
- Je toffre un verre !
En temps normal, cest le garçon qui demande si la fille veut prendre un dernier verre.
Mais dans ces temps modernes, tout est possible, même à suivre cette poupée jusquà son canapé.
Surtout pour poser ce crâne qui finit par être pesant.
- Peux-tu maider à enlever cette horrible chose ?
- Sans problème, comment dois-je faire ?
Je tire dun côté, bref je me bats jusquà la voir nue, comme elle était le jour de sa naissance sous son costume.
Elle a raison, il faut être complètement dingo pour venir dans cette soirée déguisée en Dingo.
Ma nature chevaleresque à des limites, je la prends dans mes bras sans quelle se refuse, nos bouches se retrouvant.
Elle marrache mes vêtements surtout ma chemise où les boutons sont arrachés tous dun coup.
Je la couche sur le canapé.
- Attends, je suis vierge, je veux bien que tu sois le premier, mais soit doux.
- Merci, tu verras, je serais doux, très doux.
Je le suis, millimètres par millimètre, jen fais une femme.
24 ans, cest rare de trouver une pucelle ayant cet âge.
- Veux-tu passer la nuit, des fois jai peur dans cette vieille maison.
Pourquoi refuser, comme je lai dit jadore les blondes et je vois bien quelle sest naturelle ?
Nous prenons un bain où elle me lave la queue.
Ses mains sur mon sexe me font rebander.
Nous nous séchons et cest sur son lit que nous repartons pour un deuxième round.
Jai beaucoup dendurance et cest naturellement quelle doit faire entendre à ceux de la maison voisine que jen ai faite une femme comblée.
Je mendors avec la petite dans mes bras.
Au moment de mendormir, une pensée me vient, si elle le désire, cette nuit sera suivie de quelques autres.
Au matin, jémerge, mon bras palpe les draps, seule, je suis abandonné, pourtant je sens une bonne odeur de café.
Jenfile mon boxer et je rejoins lodeur.
Jaime me sentir libre, avec le minimum de vêtements.
Elle est là de dos à éplucher des légumes sur le plan de travail.
Sur elle, un string, rien quun petit string.
Je la prends dans mes bras, elle tourne, sa tête et nos langues ont le plaisir de se retrouver.
Mes mains caressent ses seins, nous les hommes, nous oublions souvent ces petits détails dont les femmes raffolent.
Demi-tour contact, je lassois sur le plan de travail.
Le string est loin de me gêner quand ma langue entre en contact avec son clito qui réagit immédiatement.
Le clito des femmes, là encore, ma voisine qui ma dépucelé, ma bien fait travailler le sujet.
Je sais comment le faire rouler sous ma langue et sil est assez proéminent, je le mordille légèrement.
Rosy me prend par la tête et me plaque littéralement sur sa chatte, son plaisir montant.
En temps normal, cest la première fois où jai un rapport avec lune delles que je commence par un cunnilingus jusquà embrasement.
Mais hier au soir ma partenaire avait tellement hâte de perdre son pucelage, que nous avons baisée sans plus de fioriture.
Je laide à redescendre, la retournant de nouveau et cest le long du plan de travail que je la pénètre.
Je sens que jai du mal à la pénétrer, son hymen doit être encore un peu récalcitrant.
Du moins cest la seule chose qui me vient jusquà son embrasement.
Jai, moi aussi une grande jouissance même si mon sperme est moins volumineux comparé aux deux premières fois.
- Tu viens me rejoindre ce soir, il faut que je parte, mes petits chérubins mattendent.
- Si tu veux de moi, bien sûr, jai passé une nuit merveilleuse.
Je tinvite au restaurant, mes parents me donnent de quoi bien vivre pendant mes études.
Eh bien, daccord, je serais prête à 20 heures.
20 heures, elle est là dans une tenue à faire bander un saint, petit short ras la craquette et débardeur soulignant la ligne de ses seins qui, vu la fraise le marquant, doit être libre de toutes entraves.
Au volant de ma deudeuche hors dâge, je descends pour lui ouvrir la portière et laider à monter.
Cest sur la place centrale que nous nous installons en terrasse profitant de la première fraîcheur liée à la tombée de la nuit.
- Quest-ce que tu aimes ?
- Je suis végétarienne une salade de chèvre chaud fera mon affaire.
- Pour moi, ce sera un gros steak frites avec une bouteille de bourgogne.
- Un petit Givry 1er cru ?
- Cétait le vin favori dHenri IV !
- Tu connais les vins ?
- Oui, jallais en vacances dans ma jeunesse avec ma sur.
- Va pour une bouteille de Givry si Henri IV y a goûté.
Le serveur part chercher la bouteille et déposer la commande en cuisine.
À la suite de ce quelle a dit, une question me vient.
- Tu as une sur !
- Oui, elle est en voyage, je te la présenterais dès quelle sera de retour.
Je sens que mon cur bat un peu plus fort chaque fois que je la regarde.
Quelle jolie blonde aux yeux bleus
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