La Nuit Où On S'Est Fait Partouzer
Comme tout les vendredis, Estelle, Lucie, Nadine et moi même Charlène, avons rendez-vous pour nôtre leçon de gym. Nous avons toutes entre quarante, quarante cinq ans, mariés et avons des s, et malgré nos grossesses, sommes restées très désirables.
Après une bonne douche, souvent coquine, surtout à cause dEstelle, experte en femmes, masseuse de métier, nous allons au restaurant, puis dans un club privé.
Nos époux nous donnent quartier libre. Ils savent que nous allons nous faire partouzer toute la nuit, mais ne sont pas jaloux. Ils nous demandent simplement dêtre prudentes, de ne pas tomber sur des sales mecs, et de bien nous protéger.
Ce vendredi là, il y avait peu de monde. Quelques couples dun certain âge, en quête de sensations fortes, un groupe de sportif, qui avait lair assez sympa.
Nous étions toutes les quatre au bar, quand soudain, je sens un bras enserrer ma taille. Calmement, une main fait glisser le zip de ma robe, qui finit au sol. Je me retrouve en culotte et soutien-gorge. La main, dune incroyable douceur, caresse ma peau, les épaules le ventre, les hanches. Je me retourne et me trouve face à homme, la trentaine, assez beau. Je passe une main autour de son cou, et lui donne un tendre baiser.
Lentement, nous glissons vers un confortable canapé, nous déshabillons intégralement. On sent le sportif, tout en muscle, dont un qui donne le tournis. La bite est imposante, bien raide, toute décalotté. Je me penche et la prend en bouche. Linconnu ne reste pas inactif, Il glisse une main le long de mon dos, jusquentre mes fesses. Ses doigts caressent ma fente, excite mon clitoris. Ma chatte commence à être mouillée. Jen peux plus. Je me lève et mempale sur son énorme queue, dans un souffle de plaisir. Il me tient par les hanches, tandis que je le chevauche, telle une amazone. Il sourit, sait quil va mavoir. Jatteins lorgasme en feulant comme une chienne. Je mécroule sur lui, lembrasse.
Il se lève et disparaît au bar, rejoindre ses copains.
Je reste allongée, en travers du canapé, quand je sens des mains monter le long de mes cuisses. Je me redresse, un mec, de type maghrébin me fixe du regard. Il se penche, parcourt mon corps de baisers, Jen ai des frissons tout au long de léchine. Calmement, il me retourne sur le ventre, et se vautre sur moi. Je sens sa queue se glisser entre mes cuisses. Je la devine énorme. Lentement, elle se faufile entre mes fesses, frotte mon petit trou. Jai un mouvement de recul en sentant son gland décalotté. Jai connu la sodomie avec mon mari, même si ce nest pas son plat préféré, avec dautres aussi. Mais là, jai limpression quil va mouvrir les entrailles, tellement la bite est énorme.
Il sent ma réticence.
- Jirai doucement, murmure-t-il à mon oreille, Si vous avez mal, jarrête.»
Je me surprend à lui dire dinsister. La douleur du début, se transforme vite en réel plaisir. Mais javoue que mon partenaire y es allé en douceur. Je me cambre au maximum pour sentir son énorme queue aller et venir entre mes reins.
Soudain, jai un orgasme terrible, que jétouffe dans un coussin.
-Alors, dit-il, cétait bon ? Meilleur quavec ton mari ?
La question qui tue, à laquelle je ne répons jamais. Même si javoue que, neuf fois sur dix, cest meilleur avec un autre, quavec mon mari, cest différent, surtout, quand ils sont mieux montés que lui. Mais je ne leur dit pas, de peur de réveiller leur orgueil de mâle.
- Hum...super, finis-je par dire, elle est bonne ta queue.
-Çà mérite une récompense, poursuit-il.
- A oui...et laquelle?
- Ta bouche...tu aimes le sperme?
Ce nest pas ma tasse de thé, mon mari na pas droit à cette faveur, mais après le plaisir quil ma donné, comment refuser. Je fais pivoter mon visage à quatre vingt dix degrés. Je vois le nud énorme de sa bite frôler mes lèvres. Je saisit son calibre à pleine main. Cest à peine si jen fait le tour.
Après avoir récupérer quelques habits, je regagne le bar, ou je retrouve Estelle en train de tailler une pipe à jeune et beau athlète. Celui-ci a lair désintéressé, jusquà ce que, dans un dernier râle, il crache dans la bouche de ma copine. Gourmande, elle avale tout.
- Hum, fait-elle en savourant...quel jus.
-Au fait, dis-je une fois quelle a tout avalé, ou sont les autres.
-Ben, répond-elle, la dernière fois que le je lai vues, elles étaient très occupées. Lucie se faisait prendre en double, par deux mecs. Elle a hurlé quand elle a joui. Puis je lai vu partir avec eux, Elle était complètement nue. Quand à Nadine, je lai vu avec un couple de personne âgées. Ils étaient assis sur le bord dun canapé, elle était allongée à leur pieds, jambes écartées, entièrement nue. Jentendais le vieux dire à son épouse.
« Mais que lui fais-tu, ma chérie . »
« Regarde comme jai sorti son petit bouton, poursuivait la femme...elle aime que je lui doigte...hein ma chérie. »
« Oh oui madame répondait Nadine, cest bon. »
« On va aller à la maison, on sera mieux pour samuser. Tu veux ?»
« Oh oui, madame, je ferai ce que vous voudrez. »
-Ils lont embarquée. Elle était toute nue elle aussi .
-Hé ben, dis-je. Tu me diras, nous aussi sommes à moitié nues, Bon, je te ramènes, il est cinq heures du mat.
-Ok ma chérie, dit Estelle. Un dernier petit coup de queue pour la route. Ça te dirais pas.
-Je suis fatiguée, on remettra ça vendredi prochain.
En route, nous nous racontons nôtre soirée. Estelle me dit avoir passé une partie de la nuit avec un couple de vicieux, qui nont cessé de la faire jouir.
-Quels salauds, comme ils ont joués avec moi.
-Moi...je me suis faite prendre par un jeune beur, quel salaud. Si mon mari apprend que je me suis faite baiser par un arabe, il va faire la gueule.
-Pourquoi, demande Estelle, il est raciste.
-Pas du tout, mais il est jaloux, Il dit que les arabes sont mieux montés que lui.
-Et alors, demande Estelle curieuse.
-Ben javoue que pour le coup, il na pas tort. Je men suis surtout rendu compte, quand il ma enculée...oh putain, quelle queue...elle doit faire vingt centimètres et dune épaisseur...ouah. A peine si je faisais le tour.
Après avoir résumé nôtre soirée, nous arrivons chez Estelle, on saperçoit que la voiture de son mari nest pas garée dans la cour.
-A tout les coups, il a dormi à la maison, dis-je
-Ben, dans ce cas, couche ici. Une bonne douche, et au lit.
-Si ça ne te déranges pas, je vais faire comme ça.
Nous nous glissons toutes les deux sous la vaste douche à litalienne. Ça fait du bien, après une nuit torride.
-Tu veux que je lave ton dos, propose Estelle...je vais te masser les épaules aussi
ça te détendras.
-Oh oui...vas-y...ça fait du bien.
Mais le massage, au demeurant très doux, devient plus vicieux, se déplace vers des parties plus intime. Estelle me prend par la taille, me coince contre la paroi de la douche. Je pose mes mains à plat contre la vitre. Lentement, ses mains caressent mes seins, descendent plus bas, glissent entre me fesses, vers ma petite chatte. Un doigt court sur ma fente, de bas en haut, jusquau clitoris. Je la laisse faire, tellement ça mexcite.
-Que fais-tu, soufflais-je,
-Chut, chuchote Estelle, détends-toi.
Lentement, les doigts pénètrent ma chatte, se recroqueville à lintérieur. Les main plaquées contre la paroi, je cambre ma croupe, pour faciliter laccès. Estelle me mord le cou, accélère. Je sens le désir monter en moi.
Excitées, nous nous dirigeons vers la chambre, nous glissons sous le draps.
Bizarrement, la fatigue et le sommeil disparaissent.
Avant de mendormir, jatteins deux fois lorgasme.
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