Mariage Kabyle (9)
La Noce, le dernier jour
Vermoulu, le corps meurtri par cette saine douleur de la femme comblée, visitée par tous ses orifices, et qui avait rempli sa fonction, à savoir, satisfaire tous les besoins de ses mâles, jai entendu des voix dans la cuisine, dont il me semblait avoir reconnu celle de Réda.
Heureusement, après tous les débordements sexuels de la nuit, avant de mendormir, javais pris la précaution de me vider un peu la chatte et de lenduire copieusement de ma pommade cicatrisante. Une protection absorbante sous mon boxer, jai vite enfilé un short et un T-shirt pour descendre les rejoindre, dun pas quelque peu chancelant, affamé, et oui
ça creuse de se faire baiser à outrance, papilles attisées par une bonne odeur de pain frais et de viennoiseries trônant sur la table.
Sans plus de façon, mon gentil neveu ma pris dans ses bras en déposant deux gros bisous sonores sur mes joues et en susurrant discrètement à mon oreille :
« Dis-moi Tonton, tu as dû avoir une nuit agitée toi aussi, comme les mariés
»
« Pourquoi ? »
« Tu pues le foutre, et tu nes pas le seul
!!! »
Effectivement, la pièce était emplie dune forte odeur de stupre, tellement prégnante, quelle surmontait celle du café chaud. Jai pris le fard de ma vie
!!! Même si Réda me connaissait bien, javais super honte quil se soit rendu compte que je métais fait défoncer par ses deux cousins.
« Je suis trop content que tu apprécies ton séjour parmi nous et surtout, que tu aies décidé de le poursuivre avec Omar et Kamel, je suis sûr quils vont très bien soccuper de toi. »
Les mots directs navaient pas été prononcés, mais pour une fois, je comprenais son fameux « Non-Dit » Kabyle qui approuvait totalement. Rien quà voir lair heureux de Kamel et Omar, tout ce qui se passait était sain, respectueux, suffisamment discret pour que les apparences restent « sauves » envers tous les convives.
« Sois heureux Tonton, profites
Tu le mérites
Tu es un mec Bien et eux aussi. »
Il était 10 heures du matin, à peu près et nous avons partagé notre petit déjeuner tous les 4, chacun deux débordant de gentillesse, à mes petits soins.
« Cest pas tout ça, mais je viens vous prévenir que le repas de fin de noces va commencer vers 14, soyez prêts, et soyez sages » Avec son petit clin dil en coin.
En quelques secondes, je me suis jeté sur un papier, élaborant une liste de courses, après avoir vérifié ce qui se trouvait dans les placards dOmar.
Oignons, rouges et blancs, à profusion, courgettes, longues et rondes avec fleur si possible, tomates, petits poivrons rouges et verts, ail persil et coriandre frais, ufs, viande hachée de buf, anchois, olives noires, levure du boulanger et tout ça, en quantité suffisante au vu du nombre que nous étions.
Je nétais pas sûr quils allaient trouver, mais jétais persuadé quils se débrouilleraient, à la fois dans les commerces du village, que chez les habitants qui avaient dû engranger des stocks de nourriture suffisant pour nourrir toute une armée.
« Allez les hommes, toi aussi Réda, aux courses
Zou
!!! Filez et revenez vite. Au fait, demande à ton copain boulanger de me prêter plusieurs grandes plaques de cuisson et si on pourra les amener pour les cuire dans son four. »
Il connaissait bien ma cuisine, pour la lui avoir faite goûter à plusieurs reprises, et il avait de suite compris ce que je voulais préparer.
En les attendant, je métais déjà avancé avec ce que javais trouvé, le garde-manger dun Kabyle nest jamais vide, même si il est célibataire et encore plus, lorsquil est fermier et maraîcher.
Ils sont revenus environ une demi-heure après, sacs remplis à ras bord de tout ce que je leur avais demandé.
Pissaladières et petits légumes farcis à la niçoise. Je voulais offrir à cette famille qui mavait si bien accueilli, un peu de ma culture culinaire pour ce dernier repas. Je passe sur la durée des préparations, mais vers 13h45, les 10 plaques doraient dans le four du boulanger, 4 de pissaladières et 6 de farcis, dont je surveillais les cuissons attentivement.
Avec laide de mes hommes, tout fut déposé sur une table que Kamel avait préparé à cet effet, Pissaladière prédécoupée, et légumes bien chauds. Notre secret avait été quand même bien gardé, et si la surprise des convives avait été de mise au premier abord, il na pas fallu très longtemps pour que tout soit englouti.
En fin daprès-midi, lheure de la séparation avait sonné et chacun devait rejoindre ses pénates, qui à Tizi, Alger, Annaba, Béjaïa, et autres, non sans effusions les plus chaleureuses les unes que les autres.
Je métais quand même assis un peu en retrait, me remémorant chaque instant de ces noces splendides, lorsque petit à petit, ces deux merveilleuses fragrances ont commencé a envahir tous mes sens olfactifs jusquà les humer tout contre moi.
« Tu dois être épuisé Marc avec tout ce que tu as fait aujourdhui
Tu veux te reposer ? »
« Pas vraiment
Vous savez ce dont jai besoin ? »
« Dun bon thé à la menthe ? »
« Oui
. Mais pas que
!!! Jai envie de faire lamour, dêtre défoncé
Jai envie de vous deux
»
Leur réaction a été phénoménale
En quelques secondes, leurs entrejambes avaient repris toute leur ampleur que je vénérais, leurs phéromones se dégageaient à puissance grand V, et je retrouvais cette formidable senteur du Mâle en Rut
!!!
« On attend que ça depuis ce matin
On rentre à la maison.
Si javais repéré un air de ravissement dans les yeux de Samira, il ne me semblait pas le même chez Imane, et jai posé la question à Kamel.
« Normal, Kader est bien monté, pas autant que nous quand même et il a dû la défoncer comme un fou toute la nuit. Elle doit pas avoir la chatte aussi accueillante que la tienne
Du moins, pour le moment
Avec tout ce quil va lui mettre
!!! »
Je voyais leurs sexes hyper comprimés dans leur pantalon, à leur en faire mal sans doute, jétais dune humeur joyeuse et taquine. A peine arrivés, ils étaient prêts à me culbuter sur la table, jai juste demandé :
« On avait dit le thé dabord, non ? Je meurs de soif
!!! »
Ils se sont affairés à le préparer en un temps record, alors que je le savourais lentement, à petites gorgées, grignotant lascivement quelques gourmandises, des petites et rares caresses sur leurs poils, avec mes ongles, bien appuyés, attisant çà et là, leurs pieux menaçant de faire péter leur braguette.
Je me délectais de ce moment, les poussant au « viol » bien sûr, me demandant lequel des deux allait craquer le premier. (Quelle salope, je pensais en moi-même
)
Comme je my attendais, cest Kamel qui à cédé en premier, en se ruant sur moi, me débarrassant de mes vêtements dun tournemain et senfonçant dun trait en moi. Putain que cétait gros et que ça faisait mal, même si cétait bien loin de sa première visite, mais aussi fort, cétait rare.
« Cest ça que tu voulais
Avoue
Nous exciter à mort pour te faire éclater à fond
Et bien, tu vas être servie ma belle
!!! »
Il employait rarement le féminin envers moi, mais là, javoue que cétait parfaitement justifié, et que javais tout fait aussi pour ça. Javais envie de me sentir aussi femelle que Samira et Imane, et Omar na pas tardé pour enfoncer son monstre au plus profond de ma bouche.
Lentente sexuelle entre nous trois était vraiment très forte, mais pas que
On appréciait aussi les balades, la bonne complicité, tout ça en parfaite harmonie, malgré le jeune âge de Kamel, 20 ans de moins quOmar et moi, je pense, mais il ne régnait ni jalousie, ni tension, que le plaisir de tout partager ensemble.
Après avoir usé et abusé de mon corps
Un homme reste un homme et ils ont eu faim. Malicieusement, javais mis de côté une part pour nous trois, de ce que javais cuisiné dans la journée en ayant aussi préparé, en douce, un carré dagneau quOmar avait ramené le matin dune de ses fermes, accompagné de pommes de terre nouvelles, doignons, de tomates et de poivrons, que javais mis au four pendant quils prenaient leur douche.
Jaurais voulu rester couvert sur moi et en moi de leur substance virile, mais ce nétait pas vraiment raisonnable. Je les ai remplacé sous la douche, me rinçant abondamment, surtout à lintérieur grâce à la poire à lavement que javais toujours près de moi, sans oublier la crème réparatrice, dont, je ne sais pourquoi, « doux euphémisme », je men étais muni de plusieurs tubes
. Heureusement.
En mâles affamés, ils ont tout dévoré. Il est vrai quils avaient besoin de reprendre des forces, et sagement, nous avons rejoint le salon, pour le thé, quils me servaient alors que jétais affalé sur eux. Cétait plus fort que moi, je ne pouvais, ni me passer de leurs poils, ni de leur odeur. Caresses, bisous, eux en short et moi nu, chatte ouverte et offerte, jusquà ce que Omar craque, son gland effleurant à plusieurs reprises mes lèvres anales.
« Au lit maintenant
!!! »
Et ce nest pas Kamel qui allait le contredire dont le membre, tendu à mort, dépassait de plus de la moitié de son short.
Je me suis donné à eux, un nombre incalculable de fois, renouvelant à deux reprises leur double possession. Jamais je ne métais senti aussi comblé et heureux, même avec Ilyas, mon puits damour sétait enfin foré pour recevoir, en même temps, les deux énormes calibres de mes hommes.
Le matin, nous avons rejoint Réda qui devait rentrer en France le lendemain. Jétais super triste de le voir partir, vraiment, je ladorais, comme le neveu de sang que je navais jamais eu, et je me sentais un peu coupable de rester là sans lui.
Kamel et lui ont entamé un assez long palabre, qui minquiétait un peu, lorsque Réda sest tourné vers moi.
« Marc, un de nos oncles possède un bungalow à Béjaïa, sur la côte, au bord de la mer et dans un endroit super tranquille. »
Mais quelle famille
Ils étaient combien ? Il faut dire aussi que la Famille a un sens très large en Kabylie
« Kamel, et Omar bien sûr, viennent de me demander lautorisation de ty emmener, quelques jours avec eux pour te faire profiter de cette mer que tu aimes tant et qui te manque. Cest pas Nice, mais cest Béjaïa, et cest superbe
!!! »
Le lendemain Kamel, Omar et moi lavons accompagné à laéroport Houari Boumediene, et direction
La Petite Kabylie.
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