En Route Pour La Colonie De Vacances ! Épisode 5
"Les jeunes vous avez une heure pour vous préparer avant que le bus ne vous dépose en centre ville. Alors tâchez de vous saper classe, enfin plus classe que le sandales-chaussettes-banane du touriste de base. Vous représentez la France." rigola le directeur d'une 20aine d'années de la colonie.
L'agitation se fit sentir dans le camp. Les poufs courant à la recherche de leur gloss, les geeks de leurs Ipad, les kékés de leur pot de gel. Bref, la fourmilière pré-soirée faisait sourire à voir. Et puis il y avait les autres. Jessica fumant sa clope en tailleur à l'entrée de sa tente, Alice la tête penchée vers les étoiles, Héloise assise à discuter avec Antoine, l'inconnu au gros paquet et moi. Moi qui tirait de grandes bouffées sur mon pétard de pure. J'étais déjà bien high quand je décidai de rejoindre les douches. Heureux et hébété par l'herbe locale, je poussai la porte du vestiaire. Je déposai mes affaires, accrochai mes affaires sur un crochet et serrai ma serviette autour de la taille. Gel douche à la main, sifflotant, j'entrai dans les douches communes d'où provenaient des bruits. Sûrement des autres colons me dis je.
"Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh"
Hé merde. J'avais choisi la mauvaise porte (ou la bonne) et était à présent dans les douches des filles. 5 d'entre elles étaient totalement nues et mousseuses, les cheveux trempés dégoulinant sur leurs épaules.
"Beh te gênes pas surtout" me lança l'une d'entre elles, une rousse, le bras gauche cachant ses seins, la main droite cachant sa chatte.
"Je suis désolé je suis un peu fatig..." je m'interrompis, baissai les yeux vers ma serviette dangereusement déformée. Le fameux chapiteau phallique.
Géné je fit demi tour pour sortir, mais une petite brune aux hanches superbement tracées bloquait la porte.
"Hum hum. Tu crois pas que tu peux rentrer, nous mater, bander comme un cheval en rûte et partir comme un voleur." dit elle.
"Si si, c'est même ce que je vais faire.
"Wowoowo les filles, je suis désolé mais faut pas déconner non plus."
"Tu sais pas qui on est toi hein ? On vient d'un quartier difficile, on se défend bien, on domine nous !" me lança la brune, les pieds en canard écartant légèrement ses lèvres vaginales.
J'eus un sourire narquois. Dominé par des filles, non mais...
"Enlève la serviette"commanda une blonde aux seins disproportionnés. Un bon 95C.
"Non les filles, allé..." négociai je.
Mais déjà l'une d'elles m'otait la serviette, dévoilant ma queue dressée.
Un peu embarrassé au début, j'étais tout de même assez fier de mon anatomie.
"Fait pas le fanfaron avec ton jouet. Rappelle toi qui contrôle la situation." dit la brune,"à genoux loulou".
"Quoi ?!" m'exclamai je.
"A genoux".
Le ton autoritaire de cette beauté dominatrice me convint., je tombai sur mes rotules.
"Qui commence ?" demanda une chatain typée maghrébine, aux fesses bombées couleur beige, sa chatte rasée en ticket de métro, dévoilant un clitoris gonflé.
"Vas y"répondit la "chef".
"Commencer quoi ?" m'inquiétai je.
La fille s'approcha d'un pas sûr. Elle avait l'habitude de maitriser la situation. Elle frotta rapidement son bouton d'or tout en s'approchant. Sa fente à quelques centimètres à peine de ma tête, elle m'attrapa les cheveux et colla ma bouche sur son trou.
"Lèche moi bien petit" lâcha t'elle d'un ton sec.
J'hésitai puis commençai à lécher ses lèvres sucrées. Son jus était doux et épicé, je m'en délectais. Et se sentir dominé de la sorte m'excitait au final. Les autres filles se resserrèrent en cercle autour de nous, ma "maitresse" toujours occupé à me tenir la têtes sur sa fente détrempée.
"Il est bon ce petit gars" soupira la fille à ses copines.
Elle s'allongea sur le carrelage des douches, jambes écartées et m'obligea à me baisser à quatre pattes pour continuer mon cunnilingus.
Tout d'un coup je sentis quelque chose me rentrer dans l'anus. Je tentai de me relever, en vain, ma partenaire tenait fermement ma tête.
Un doigt dans le cul ! J'y croyais pas ! La rousse venait de me mettre un doigt dans le...aieee...pardon, deux doigts dans mon trou. Une grande et douloureuse première. Pas pour elles visiblement, qui maniait avec expérience l'art du doigt, enfin des doigts dans l'anus.
Je bandais toujours sec, et le va et viens dans mon rectum finissait presque par être agréable.
"Relève le" ordonna la brune.
Elles me plaquèrent contre le mur, la bite en équerre.
La brune, sauvage, me regardait de ses yeux verts ténébreux. Ses seins pulpeux aux tétons roses entourés de grandes auréoles d'une teinte rouge me faisaient les yeux doux, ses hanches proéminentes terminaient des jambes courtes mais musclées. Ses fesses charnues semblaient durs comme le béton et ses lèvres naturellement rouges vives rajoutaient un charme délicieux. Elle s'approcha d'un pas décidé, se mit tête à tête avec moi, me mordilla l'oreille avant de descendre progressivement le long de mon torse, la langue sortie.
Arrivée au pénis, elle me regarda d'en bas, partiellement baissée, un sourire d'excitation.
Elle cracha sur ma queue, se retourna, approcha sa fente de mon dard lubrifié à la salive, plia le haut de son corps parallèle au sol et fit un brusque coup de rein. J'étais en elle.
Elle s'activait toute seule, allant d'avant en arrière vite, très vite, s'empalant sur mon pénis. J'étais son jouet. De sa main gauche elle sagrippait à ma fesse pour avoir un appui supplémentaire. De la main droite elle se frottait le clito furieusement.
"Putain ça faisait foutrement longtemps que j'avais pas senti une queue comme ça en moi"cria t'elle.
Son dos courbé devant moi m'excitait, mes yeux courant de ses épaules à sa chute de reins tracée à merveille.
Je me sentais venir.
"Je vais envoyé la sauce"dis je.
Quelle finesse, je m'étonnais moi même.
Elle se retira brusquement, se retourna, faisant tournoyé ses cheveux comme dans une pub pour l'Oréal et lança :
"La nouvelle, approche, ça sera ton rite d'initiation."
Un grande blonde très mince, aux seins minuscules en forme de poires, pointant vers le ciel s'approcha timidement.
Ma brune sauvage la força à se mettre à genoux devant ma verge sous tension. D'une main elle maintenait la tête de la nouvelle à quelques cm de mon sexe, de l'autre elle empoignait ce dernier et l'agitait frénétiquement.
"Ouvre bien la bouche" ordonna t'elle.
Mon sperme gicla, 5 jets partirent directement sur le visage de cette belle blonde qui fermait les paupières.
La chef essuya de son index le sperme de son visage et lui fit sucer le doigt couvert de semence. Les deux semblaient apprécier l'expérience.
Vidé, je demandai :
"Je peux y aller maintenant ?"
"Beh prends ta douche et pars"répondit elle avant de sortir de la salle.
Je frottais pour faire disparaitre les restes de mon orgie sous l'eau chaude de la douche.
Dans quelques dizaines de minutes, le centre ville allait accueillir une soirée digne de ce nom.
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